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popodoran
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25 décembre 2009

"LE GUETTEUR" RETOUR DE PN A DOUAOUDA

Sous couvert d’investissement agricole préparation du retour de 200 pieds-noirs. 

Situation_Douaouda

*

            Des sources bien informées ont confié à El Khabar qu’un parlementaire français, Mr Kléber Mesquida, préparait le retour en Algérie  de 200 pieds noirs, originaires de la commune de Douaouda, dans la wilaya de Tipaza. Il a, en effet, profité de son séjour en Algérie, à l’invitation d’un organisme officiel, pour visiter la ville qui l’a vu naître, souhaitant renforcer les liens d’amitié entre les habitants  de cette région, et les français qui y sont nés, et cela en vue d’un retour prochain de ces derniers.
            Notre source a indiqué que, le parlementaire français né à Douaouda  le 03 Août 1945, était venu en Algérie le 20 octobre pour raison professionnelle, sur invitation  de la direction générale des forêts, et qu’une fois sa mission officielle achevée, il avait décidé de revoir la maison où il était né à Douaouda, ainsi que l’église ou il avait étudié. Précisant que celui-ci avait rencontré des habitants de la région, auxquels il avait décliné sa fonction, et clarifié qu’un des principaux objectifs de sa visite était de renforcer les liens d’amitié entre ses compatriotes nés à Douaouda et résidant actuellement à Evry, avec les natifs de cette région.
            Notre même source a ajouté, que ces intentions affichées d’investir dans le secteur agricole en Algérie, cachait en réalité le dessein de certains  pieds noirs de revenir dans leur pays d’origine. Mr Mesquida fait, en effet, partie d’une association nommée « l’association des amis de Douaouda », dont les membres n’ont pas caché leur souhait de revenir en Algérie si  « les conditions le permettaient ». Il est apparu lors de la rencontre que le parlementaire se considérait en quelque sorte comme la courroie de transmission entre les algériens et les 200 français originaire de la région.
            Rappelons par ailleurs que Mr Mesquida, est ancien ministre de l’équipement et a occupé plusieurs postes administratifs et politiques. Il est également membre de du collectif d’amitié franco-algérienne, parlementaire depuis 2002 et coordinateur de l’organisation  du droit des paysans.
 

            Par : B.Salim /Tipaza 

A chacun de conclure de la lâcheté et l'hypocrisie de certains pieds-noirs

LE GUETTEUR

RETOUR COUPS DE COEUR 

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Commentaires
M
Les pieds noirs qui n'ont rien a se reprocher seront les bienvenus a Douaouda.Le capitaine sanguinaire HORTAL n'a pas interet.
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L
Visitez le blog des livres d'histoire de la banlieue d'Alger y compris Douaouda<br /><br /> <br /><br /> http://sahelalgerois.blogspot.com/
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M
bien venue dans votre maison tu es un vraie douaoudaciens mieux que moi presque les braves hommes de douaouda te souhaites bien venue
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M
...je dois me réjouir ou me creuser les méninges devant de tels propos sentant la haine de l'autre.<br /> Je suis PN et je me permets d'affirmer que les Algériens que je rencontre à chacune de mes visites en Algérie et, plus précisément dans ma ville/quartier de mon enfance , ces Algériens sont sublimes et ne témoignent aucune animosité envers nous. Je sais que des charters sont organisés à l'attention des Français d'Algérie qui rassemblent des centaines de nostalgiques. Où est le problème ? Pourquoi tout ce tintamarre alors que ce qui est plaisant chez les Algériens c'est que la page du passé est belle et bien tournée.<br /> J'ai fait partie d'un groupe de pelerins qui avons été récemment à Blida et , je ne serai pas en mesure de vous décrire la chaleur de la reception. Quel serait le grand écrivain ou poète qui s'aventurerait à décrire l'ambiance des plus chaleureuses lors de notre acueil.<br /> Certains , à ce que je viens de lire, nous reprochent ces visites. A ceux là je leur répondrais tout simplement que nous n'avons rien -absolument rien- à nous reprocher. <br /> Pourquoi s'en priver ? <br /> Il est déplorable que certains restent accrochés au passé alors que le passé est mort et enterré.<br /> <br /> Regardons l'avenir , projetons vers l'avenir. <br /> <br /> Celui que nous avons qualifié de tous les mots et de tous les maux est un être fabuleux.<br /> <br /> Merci
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L
relevé sur EL WAATAN d'aujourd'hui<br /> Le film qui a réveillé la bête immonde<br /> <br /> Cannes a joué contre le cinéma, Cannes a plié devant la haine. Et cela n’honore pas le festival qui, pourtant, par le passé, a su maintes fois s’élever au-dessus des passions et des procès d’intention pour ne reconnaître que l’art cinématographique et les vérités des messages : d’anciens jurys ont détecté de grandes œuvres, passées alors inaperçues dans la critique. Il est vrai que cette édition 2010 était toute particulière. Avant même qu’il ne soit projeté, le film de Rachid Bouchareb, Hors-la-loi, a été livré en pâture par l’extrême droite française. Elle a ratissé large, comme d’habitude, dans les rangs des nostalgiques de l’Algérie française recevant toutefois, cette fois-ci, en renfort des personnalités de la droite au pouvoir, y compris des élus.<br /> Ceux-ci ont agi en mission commandée, grisés par l’air du temps de la France sarkozienne qui est le rejet de toute reconnaissance des crimes de la colonisation sur fond de glorification de ce passé. La campagne menée tambours battants contre Hors-la-loi, y compris dans la rue, visait à décrédibiliser l’œuvre de Rachid Bouchareb auprès du public et surtout peser sur les choix du jury. Par manque de courage ou d’indépendance, ce dernier ne sut pas faire face à l’hystérie des ultras. Il plia honteusement en ne décernant aucune distinction au film alors même que l’ensemble des critiques lui reconnaissaient des qualités esthétiques indéniables.<br /> Début des années 60, la Bataille d’Alger de Gillo Pontecorvo subit un sort plus dramatique : le film fut boycotté par tous les festivals en France et les salles qui le projetèrent victimes de plasticage par les nostalgiques. Mais la reconnaissance il l’eut dans les autres pays et tout récemment au Congrès américain tandis que le jury de Cannes de l’année 1975 eut le courage de décerner la Palme d’or au film algérien Chronique des années de braise de Lakhdar Hamina. Il est vrai que l’œuvre Hors-la-loi de Rachid Bouchareb a réveillé une bête immonde en allant jeter un regard là où s’est déroulé un des plus grands crimes commis par la France coloniale : le massacre de 45 000 Algériens civils en 1945 à l’est du pays.<br /> Un crime jamais évoqué, encore moins reconnu dans l’Hexagone à ce jour. Un massacre à large échelle relevant du crime contre l’humanité. Reste que le ratage honteux de Cannes ne viendra contrarier ni l’avenir du film ni les projets du réalisateur, nationaux (l’Emir Abdelkader ?) et internationaux (Bob Marley). Le monde entier a désormais entre les mains un témoignage, même indirect et par la fiction du massacre de Sétif, Kherrata, Guelma. Une brèche dans la stratégie de l’amnésie développée depuis un demi-siècle par la France officielle, suffisante pour rendre dérisoire les menaces à la bombe auxquelles sera inévitablement confronté le film dans les salles de cinéma françaises.<br /> <br /> Par Ali Bahmane
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L
je réponds a b salim pour l'article concernant le député klebert mésquida et sur le retour des soit disant 200 pn a douaouda je tiens a preciser que nous devions etre 10 ou 15 puisque j'avais été contacté et que c'était dans le cadre d'un partenariat avec le foyer des jeunes de douaouda car mr mésquida doit offrir des ordinateurs .Cher m salim il faut vérifier vos imformations et nous pn nous sommes ni laches ni hypocrites ni collabos comme le dit m razdane et je correspond av braucoup d'amis algériens sans rancune
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L
Relevé sur le quotidien d'oran ce jour:<br /> A l'attention du sieur GAUDIN:<br /> DEFERLEMENT D'IMBECILLITE <br /> par K. Selim <br /> <br /> Un «nouveau dérapage». C'est la formule déjà utilisée et à nouveau répétée par des journalistes français plutôt dégoûtés pour évoquer le racisme décomplexé exprimé cette fois-ci par le maire de Marseille, Jean-Claude Gaudin. Le maire de la bonne ville de Marseille, qui entretient des liens économiques très poussés avec l'Algérie, n'a pas apprécié que des Franco-Algériens manifestent un peu trop chaleureusement leur joie après le match Algérie-Egypte à Khartoum. Sa déclaration est un pot-pourri d'amalgame et de cette arabo-islamophobie libérée par un débat sur l'identité nationale orienté sur l'immigration et les musulmans. <br /> <br /> Ainsi, M. Gaudin se réjouit que les «musulmans» (sic) soient heureux du match. Mais quand «ils déferlent à 15.000 ou à 20.000 sur la Canebière, il n'y a que le drapeau algérien et il n'y a pas le drapeau français, cela ne nous plaît pas». Passons sur ces «musulmans qui déferlent», qui sonne de manière très désagréable dans une République à la laïcité vindicative. Pourquoi ces citoyens français, même s'ils sont des descendants d'Algériens, doivent-ils être définis par leur religion présumée ? N'est-ce pas précisément ce que la laïcité est censée ne pas permettre ? <br /> <br /> Une enseignante lui a fait remarquer qu'il s'agissait d'un discours de la période coloniale. «Il s'agissait de 15 à 20.000 Franco-Algériens, pas de musulmans». Mais après tout, pour cette génération d'hommes de pouvoir et d'affaires, la période coloniale - avec ses pathologies et ses références - est toujours actuelle. <br /> <br /> Autre question naïve : pourquoi s'attendre à ce que dans un match opposant l'Algérie et l'Egypte, on sorte les drapeaux français ? Combien de ces milliers de «déferlants musulmans» sortent dans les rues de Marseille avec le drapeau français quand l'équipe française l'emporte dans un match décisif ? Gaudin connaît parfaitement la réponse. Et l'on sait que pour beaucoup de ces jeunes Français ou Franco-Algériens, pas forcément différents de ceux d'Algérie, un match de foot est une occasion de s'éclater. Et ils le feront autant pour la France, l'Algérie ou l'OM et le PSG. <br /> <br /> Le plus révélateur est qu'aucun responsable en France n'éprouve la moindre surprise ni exprime la moindre réprobation devant les manifestations de joie de Français d'origine lusitanienne fêtant une victoire de l'équipe du Portugal. Et aucun ne poussera l'absurdité jusqu'à parler de déferlement de catholiques portugais. <br /> <br /> Le débat préfectoral français organisé par un socialiste renégat est réellement vicié par ses soubassements électoralistes. Tellement vicié que le maire d'une ville où vivent de nombreux Franco-Algériens et dont les relations commerciales avec l'Algérie sont fortes, se laisse aller à des considérations qui en disent long sur le niveau politique et la culture dominante dans ce milieu. <br /> <br /> En flattant les peurs d'une frange vieillissante et nostalgique de l'ère coloniale, le débat identitaire a levé les inhibitions de tous ceux qui draguent dans les eaux troubles des haines et des replis ethniques. Le maire de Marseille, un expert reconnu en propos imbéciles, en est une illustration de plus. <br /> <br /> Ce sont les algériens chéris du sieur GAUDIN qui non seulement le disent, mais l'écrivent. Je me marre!!!!!
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R
Encore un,qui ne mérite pas le titre de Pied-Noir,c'est ce genre de personnes qui nous ont fait du mal, pour mi,ce sont tout simplement des colabos!
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R
cE kleber MESQUIDA es ce le DEPUTE PS DE L HERAULT hauts cantons ST PONS dans l article il apparait qq fausses infos concernant sont passé politique peut on appronfondir la question merci
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L
Ils ont vraiment la mémoire courte ces PN ?????<br /> Cette fois ils ne pourront pas dire qu'ils ne savaient pas .....si ON leur refait le coup de "la valise ou le cercueil "!!!!
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