LE HERISSON - PINCEZ MOI, JE REVE

BREF RAPPEL DE L’HISTOIRE DE L’ALGERIE.
Un nommé LAHOUARI ADDI, sociologue de son état, après des études….. approfondies ….en France que pourtant, il exècre, pose la question ahurissante ci-après : Faut-il demander que la France s'excuse des crimes commis en Algérie durant la guerre de libération ?
Vous ne doutez de rien, Monsieur ! Vous êtes aveuglé par la haine d’un pays qui vous fait bouffer à votre faim, vous a accueilli et fait de vous ce que vous êtes, à savoir une centrale à irradier la haine et du mépris pour tous ceux qui heureusement et Dieu merci, ne vous ressemblent pas.
Pendant que vous considérez vos semblables de la hauteur de votre « superbe » et de votre « connerie », ici en France, chez nous, de pauvres hères de toutes races et de toutes religions, font la queue aux restos de cœur, à la croix rouge, et, ou meurent de faim dans certains pays où vous devriez aller exercer vos talents pour peu que vous en ayez et pour essayer d’émouvoir l’opinion publique, là par exemple où de lui plonger le nez dans ses excréments, lui ferait le plus grand bien.
Vous étiez probablement pendu aux testicules de votre géniteur, pendant la guerre d’Algérie et vous osez au nom de votre haine et de soi-disant érudit, vous instaurer en donneurs de leçons ? Allez, ouste ! Dégagez de notre horizon où vous n’avez rien à foutre. Vous nous cachez la vue sur notre drapeau tricolore.
D'un côté, en France, il s'agit de laver par la loi un passé qui n’intéresse plus personne, sauf les gesticuleurs marionnettes, profiteurs de votre espèce. De l'autre, en Algérie, on valse autour de ce passé pour des raisons de politique politicienne. Le conflit a officiellement pris fin le 19 Mars 1962, mais des deux côtés de la Méditerranée, il y a des groupes qui réactivent une guerre mémorielle pour obtenir des avantages surtout matériels en espèces sonnantes et trébuchantes. Mais, désolé et ravi en même temps de vous l’apprendre, l’un de ces deux groupes a été volé. L’autre a été voleur (le votre).
Et alors ? Comment pouvez-vous penser un seul instant que l’Eldorado dont vous vous êtes emparé et que vous nous avez volé avec la complicité de la France Gaullienne, vous aurait plongé dans le chaos et la misère, alors que vous rengorgez en affirmant le 06/09/2009 à 00:17 par le biais de HOGRA (un quotidien de chez vous) que vous disposez de 2741 MILLIARDS DE DINARS DANS vos CAISSES ? Comment osez-vous parler de misère avec cet article publié également par le dit HOGRA, lequel affirme : 46 milles milliardaires en Algérie Par : Nouara Bachouche/ H. Benyahia.
Les dernières données obtenues par le quotidien « Echourouk » ont indiqué que le nombre de milliardaires est en hausse dépassant le chiffre de 46 milles. 6 milles d’entre eux sont du gros calibre, 20 milles tournent dans une zone fictive alors que 500 milles petits riches se préparent à rentrer dans le monde des milliardaires
· L’ex ministre du commerce, Noureddine Boukerouh, a déclaré en 2004 que leur nombre dépassait le nombre de 40.000 milliardaires, ce qui en dit long sur ce qui a accompagné les deux dernières décennies sur les transformations de l’ouverture et de ce qu’elles ont connue du phénomène de nouveaux riches.
· Des experts financiers, en rapport avec le dossier, affirment que la vague de 46 milles milliardaires est repartie en deux équipes. Entre 20.000 et 30.000 vrais milliardaires appartiennent à des familles riches, ce qui explique leur statut de riche puisqu’elles s’activent depuis l’ère coloniale dans l’exportation d’oranges, d’olives, de dattes et de raisins etc… qui avaient les pieds-noirs pour promoteurs
· A coté de cette frange, les observateurs persistent à dire que le circuit des milliardaires est en expansion touchant ainsi plus de 20.000 milliardaires fictifs. A leurs tête, des cas de corruption et dénis de fonds publics que connaissent aujourd’hui les tribunaux. Quelques rapports indiquent que la valeur de leur richesse globale est estimée à 2 milliards de dinars au minimum, alors qu’elle atteint entre 50 et 60 milliards de dinars en réalité.
· En Algérie Algérienne, les 10 dernières années ont accouché d’un circuit « Mafieux », à l’image des quelques émirs qui sont devenu du jour au lendemain des milliardaires, venant se pavaner dans de grosses voitures et limousines capitalistes. Les autres, continuent à déambuler en « chouaris », en « khamars » et à dos d’âne ou de mulets pour les non arabophones.
Dans le même sillage, de nombreux experts financiers ont indiqué qu’il est difficile de fixer le montant financier établi de l’autre coté de la mer, et ce par absence de mécanismes statistiques exacts visant à contrôler les fonds, surtout avec l’existence de 40 % des fonds en dehors de l’autorité monétaire, ce qui a été reconnu par le premier ministre Ahmed Ouyahia lui-même ainsi que son ministre des finances quant à la circulation de fonds en dehors du circuit officiel et les banques, à l’image du marché parallèle.
Les pieds-noirs, dont certains deviennent plus nostalgiques avec l'âge, ne cessent d'exiger de leur Etat des compensations réellement dues. Certains d’entre eux savent que le temps efface beaucoup de choses, sauf la mémoire historique. Et même si nous, les anciens, un jour nous ne sommes plus là, soyez certains que nous aurons passé le relais à nos enfants et même à nos petits enfants et nous veillerons avec l’aide de Dieu, à ce que justice soit rendue à nos descendants.
En Algérie, la guerre mémorielle qu'entretient «la famille révolutionnaire» - qui n'a plus le monopole du nationalisme depuis un certain match Algérie - Egypte - a des enjeux aussi intéressés.
En exigeant que l'ancienne puissance coloniale présente ses excuses, Belkhadem veut apparaître comme l'homme qui aura mis la France à genoux. Je ne crois pas que Sarkozy lui fera ce cadeau et il se trompe lourdement. La France a été défaite une fois diplomatiquement par le FLN historique; elle ne voudra pas être défaite une seconde fois, même symboliquement, par un FLN d’opérette. Mais qu'est-ce qui fait courir Belkhadem ? Il y a bien sûr les plans cachés de cette revendication qui ne peuvent être étalés publiquement, mais Belkhadem doit se dire : parlez, mentez, médisez, il en restera toujours quelque chose.
Occupez-vous plutôt des chômeurs, des harragas et autres habitants de quartiers précaires dits «Bni oua Skout». Et tentez de les retenir, car ils fuient la peste que vous représentez. La guerre s’est terminée en Mars 1962 et ce sont les Français d’Evian qui vous ont donné votre pays sur un tapis volant. Si au lieu de nous brimer et de nous marginaliser, on nous avait laissé faire nous pieds-noirs et quelques militaires à couilles, beaucoup des vôtres seraient morts de fatigue, à force de courir devant nous dans les sables de votre Sahara pétrolier, pour nous échapper. Mais comme la vérité vient toujours ou souvent d’ailleurs, voici la liste des victimes selon …les Allemands : Nombre total de victimes : entre 200 000 et 300 000 morts ou disparus:
* Nombre de victimes chez les Français : 24 000 morts (dont 4 500 musulmans).
* Nombre de victimes du côté du FLN : 141 000 (normal ce sont eux qui ont commencé).
* Nombre de victimes civiles du terrorisme du FLN : 19 000 morts (dont 6 000 musulmans), 21 000 blessés et 14 000 disparus.
* Nombre de victimes du terrorisme de l'OAS : 2 700 morts (Merci pour l’information fournie par des estrangers)
A l’échelle de la vie, il n’y a pas photo, non ?
Depuis l’indépendance, l’Algérie s’est mutée en un État socialiste. Le FLN contrôle alors tous les secteurs de l’économie, l’agriculture, les industries du gaz et du pétrole.
À la fin des années 1980, des émeutes violentes contre les restrictions imposées par le gouvernement débouchent sur la mise en place de réformes économiques et sociales. Ces dernières engendrent cependant une opposition entre le gouvernement et le Front islamique du Salut (FIS). En 1992, le Front tente de saisir le pouvoir et une guerre civile éclate. Depuis, les combats et les attentats terroristes ont fait des milliers de morts. Liste non exhaustive établie par Dr. Salah-Eddine Sidhoum et Algeria-Watch, le 11 janvier 2002, actualisé en avril 2003
1100 exécutions Sommaires. Qui dit mieux dans les pays civilisés ?
La nouvelle guerre d'Algérie, au lendemain du coup d'Etat du 11 janvier 1992, connaît encore une fois ses comités d'autodéfense comme au temps de la colonisation. (Les bonnes leçons ne s’oublient jamais). Cette milice levée théoriquement pour défendre les villages, douars et mechtas isolés sortira rapidement de ses limites initialement imparties, à l'instigation de certains tyranneaux et autres seigneurs de la guerre pour dériver vers des pratiques criminelles et maffieuses. Le 28 février 2002, l’avocat Farouk Ksentini, président de la Commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l'homme (CNPPDH), a reconnu, lors du forum du quotidien El Moudjahid, le recours systématique à la torture en Algérie.
Selon lui, (je cite) les prévenus sont maltraités dans les commissariats de police, les brigades de gendarmerie et les autres centres de détention. " Il est acquis que l'Algérie est un pays où l'on torture. Où il n'y a pas de droit ", a-t-il déclaré. Les services de sécurité continuent, d'après lui, de cultiver " la religion de l'aveu " dans leur recherche de preuves d'inculpation. " Cela ne sert à rien de vouloir arracher l'aveu puisque celui-ci est laissé à l'appréciation du juge ", a-t-il appuyé. Lors des débats, un intervenant a relevé que souvent des prévenus arrivent aux prétoires avec des bras cassés ou des blessures. " Les représentants du parquet ou les juges font comme s'ils n'ont rien vu ", a-t-il remarqué. Lorsqu'un prévenu se plaint, en séance, d'avoir subi la torture, le juge de siège est tenu d'ordonner l'ouverture d'une enquête. Une obligation que les magistrats algériens ne respectent jamais. Ou rarement. Cela a des répercussions sur la valeur de leurs verdicts du fait du déroulement anormal de l'instruction.
Allez, mettez fin à votre cinéma. Cela va se retourner contre vous plus vite que vous ne le pensez maléfique ment et soyez – en certains, dans pas longtemps. Avec patience et beaucoup de salive l’éléphant est arrivé à baiser la fourmi
LE HERISSON de Janvier 2010