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16 juillet 2011

CLAUDE NAL-LE SERMENT DE L'ORANE

 

Marseille, février 2017

Madame, Monsieur, Chers Amis, nous avons le plaisir de vous annoncer l'ouverture des réservations pour la onzième représentation de la pièce "Le Serment de l'Orane" qui aura lieu à Menton.

Nous serons très heureux de vous y accueillir.

 

Inscription Menton

 


 Claude_f_vrier

Marseille, le 20 octobre 2016

Madame, Monsieur,

à l'approche de Noël, nous sommes tous à la recherche d'idées de cadeaux !

Pour cette belle occasion, je vous propose mes ouvrages, ci-dessous, exonérés de frais d'expédition.

Les deux romans et le DVD de la pièce peuvent intéresser tout le monde, mais leurs caractéristiques historiques et pédagogiques s'adaptent plus particulièrement aux enfants et petits-enfants des familles Pieds-Noirs.

Ils seront enfin passionnés par la découverte sereine de leurs origines et par l'histoire de leurs parents ou grands-parents.

Notez que l'achat des trois ouvrages vous coûterait 50€ au lieu de 56€.

Vous pourrez passer de bonnes fêtes en Piednoirie.

Cadeau de noël 2016

Quelques avis de spectateurs et de lecteurs: 

pour "Un jeune homme d'honneur"

pour "Le Serment de l'Orane"

pour "Voyage en Piednoirie"

Merci de me faire part de vos propres commentaires, à l'adresse ci-dessous, si vous avez lu l'un ou l'autre des livres, ou si vous avez assisté à une représentation de la pièce. Merci également d'en parler à vos proches si vous avez apprécié ces ouvrages.

Claude Nal 04 91 82 01 37

Nouvelle adresse: c.nal@orange.fr

Ensemble du site: www.jh-dhonneur.fr

Bande annonce sur Youtube: "Le Serment de l'Orane"

Page Facebook : "Le Serment de l'Orane"

Claude Nal


 

LE SERMENT DE L'ORANE - 2012 

 

  Claude_2011

 

 

CouvertureJHH_1ere_1

Madame, Monsieur, Chers amis,

Depuis janvier, j'ai eu le plaisir de vous proposer quelques extraits, de mon livre  " Un  jeune homme d'honneur " en quelques lignes, et de nouvelles appréciations de lecteurs.J'espère que ces six extraits et les commentaires de lecteurs qui les ont accompagnés vous auront plu et que ce livre aura désormais une place de choix dans votre bibliothèque. Je vous remercie pour les recommandations que vous en ferez auprès de vos amis.

Merci de m'avoir suivi tout au long du semestre.

Pour l'avenir, l'écriture et le témoignage continuent. Je termine la mise en forme d'une pièce de théâtre en trois actes dont le titre - provisoire - est "Le serment de l'Orane" qui a pour thème l'Algérie et son histoire à travers le vécu de jeunes étudiants Pieds-Noirs. D'ores et déjà, je recherche des éditeurs et des gens de théâtre, amateurs ou professionnels, qui seraient intéressés par la mise en œuvre de cette pièce. Je vous propose un premier contact par courriel claude.nal@numericable.fr .

 

Extrait choisi pour juin 2011:

 

"Isabelle et le jeune homme d'Abidjan"

"Ils s’allongent un instant sur le sable et les souvenirs assaillent Nicolas. Il change de visage. Il pâlit en essayant de retenir deux larmes qui humidifient ses yeux. Isabelle, émue et inquiète, ne sait pas à quoi elles sont dues mais ces larmes, infimes, déclenchent une réaction presque maternelle. Elle se penche, passe ses bras autour des épaules de Nicolas, le couvre de baisers et enfin lui demande : 

« Qu’est-ce que tu as mon lieutenant ? »

Il sourit, s’excuse de sa légère faiblesse et explique que leur situation sur cette plage lui en rappelle bien d’autres d’une époque heureuse où il avait un « chez lui », des amis et de l’eau et du sable qui lui appartenaient. Il lui décrit la pêche avec son oncle, les levers de soleil sur la mer, les parties de ballon sur la plage avec ses copains et les filles avec lesquelles il se promenait les pieds dans l’eau comme ils viennent de le faire. Il lui dit combien il est sensible à ce bruit d’amour et de douceur que fait la mer en caressant le sable. Autant de choses qu’il ne connaîtra plus que sous d’autres cieux comme c’est le cas aujourd’hui.

C’est un grand moment d’émotion que Nicolas vient de faire partager à son amie. Elle sent combien il est proche d’elle pour lui faire ces confidences et elle en ressent un frisson profond qui lui donne la chair de poule. Après cet instant de communion, il ne peut y avoir que le silence pour le magnifier. Isabelle vient de comprendre en quelques mots et avec deux larmes minuscules, ce qu’est l’indépendance de l’Algérie pour tous ceux qui ont leur âge, pour tous ceux qui ont été arrachés à leur première vie et qui devront en construire une autre à partir de rien, à partir d’un autre sable que le leur, avec une autre eau que la leur."

"Du passé à demain avec Françoise"

"Au petit  matin leurs mains sont encore jointes et l’aube les surprend sur la corniche à contempler la mer et à regarder ensemble vers le sud comme si de leurs regards, juvéniles et amoureux, ils pouvaient espérer voir cette terre où ils sont nés et où ils ont vécu sans se connaître. Leur destin était de s’aimer ici et maintenant à l’endroit et au moment où doit commencer leur deuxième vie."

Extrait choisi pour mai 2011 :

 

" Le rêve est si beau !" 

"Isabelle est absolument splendide. Elle s’avance vers lui lentement, très lentement, avec un sourire radieux. Elle écarte les bras, fait tourner sa robe pour adresser à Nicolas un message muet mais très clair : 

« Je me suis faite belle pour toi ! Comment me trouves-tu ? » 

Encore une fois Nicolas se dit que les femmes ont l’art de donner de l’éclat à leur beauté. Sa robe virevolte autour d’elle, légère, colorée, mettant en valeur son corps de jeune fille dont les formes suscitent chez Nicolas d’indescriptibles émotions. Il regarde sa taille dont il pourrait faire le tour avec ses deux mains, ses hanches arrondies à souhait, ses jambes fines et galbées, son corsage rempli de vie. Elle continue à avancer alors qu’il ne bouge pas. Ils ont visiblement envie, tous les deux, que cette approche de leurs corps dure le plus longtemps possible. Il détaille son visage. Il aime les brunes c’est sûr, mais les cheveux d’Isabelle sont les plus beaux qu’il ait vu depuis longtemps ; depuis Oran sûrement. Elle les a relevés en chignon. Son cou est dégagé.

« Quelle belle allure ! », pense-t-il.

Il plonge maintenant dans ses yeux foncés, souriants, qui l’attirent tout autant que ses lèvres. Elle est à peine maquillée et les bijoux dont elle s’est parée sont simples. Ils ne font que souligner sa beauté. Ils n’y participent pas. Ce sont de petits ensembles métalliques auxquels sont accrochées des pierres colorées, comme on les fait beaucoup en Afrique : un collier, deux boucles d’oreilles et un bracelet ; le tout en argent. Les pierres sont azurées.

Elle aussi le détaille : il a mis les vêtements civils qu’ils ont achetés ensemble. Le pull qu’elle lui a offert  est posé sur ses épaules et les manches sont entrelacées sur sa poitrine. Il a de beaux cheveux blonds coupés courts, comme il se doit pour un officier. Son visage bronzé par le soleil du Ténéré est à la fois mâle et juvénile. Il est rasé de près, souriant, attirant.

Elle est tout proche maintenant. Il tend ses bras et prend ses deux mains pour la conduire jusqu’à lui très lentement « Je suis ébloui ! lui dit-il. Tu es radieuse, resplendissante, je suis plein de fierté à la seule idée de t’avoir à mon bras cet après-midi » 

Ils se retrouvent enfin dans les bras l’un de l’autre et ils peuvent alors échanger un baiser empreint de tendresse qui semble avoir commencé dès qu’ils se sont vus, avant même d’être l’un contre l’autre."

Extrait choisi pour avril 2011:

 

" Le désert de l'honneur"

Après le vent de sable : "Aux premières lueurs de l’aube, on aperçoit dans ce coin du désert des tas de sable qui bougent et qui commencent même à parler. Chaque homme est recouvert d’une épaisse couche de roche finement moulue. Une mouture constituée de grains brillants descendant lentement des couvertures qui collent à ces bipèdes maladroits dans leur tentative de retrouver un équilibre vertical. Ils se soulèvent lentement, l’un après l’autre, comme le feraient des méharis après avoir barraqué pour la nuit.

Le vent s’est tu. Le vent s’est couché à son tour, probablement las de ses jeux nocturnes. Grandval le premier levé, après Laouel bien sûr, commence à remuer ses couvertures … et son petit monde:

« Tout le monde debout ! Départ dans une demi-heure ! »

On secoue son sable, on s’étire, mais surtout on ne rouspète pas. Nous ne sommes pas dans une chambrée de caserne de la région parisienne. Nous sommes entre « gens du désert », presque entre nomades. Et dans le désert, les nomades ça ne discute pas, ça nomadise !"

 

Coucher de soleil sur le Ténéré : "Le soleil glisse à l’Ouest en faisant rougir le sable de l’horizon. C’est alors un spectacle grandiose que tous se mettent à admirer dans un silence de cathédrale. Le soleil est maintenant un immense cercle allant du carmin à l’orange. Il descend lentement, comme pour se faire mieux admirer. Au loin, tout le long de l’horizon, une bande brunâtre pailletée d’or absorbe l’astre comme pour lui éviter de se brûler au contact de ce sable qu’il a lui-même embrasé. Le soleil ne touche pas le sol mais il cache petit à petit sa splendeur dans cette couche où, semble-t-il, il va passer la nuit. Les couleurs s’estompent, l’or devient argent et le noir s’étend pour tout recouvrir. Les points de lumière parsèment le ciel du Ténéré et tous les regards se tournent maintenant vers un nouveau point lumineux bien plus modeste mais combien attirant. Le feu que le goumier vient d’allumer crépite et appelle au regroupement. C’est l’heure bénie du repos, du calme et de la convivialité. Laouel, heureux d’avoir pu respecter la ichâ, heure de la cinquième prière, celle du soir, a commencé sereinement les préparatifs du thé. Le repas est pris autour du feu. Tous, assis en tailleur à même le sol, évoquent la journée passée avec ses difficultés et les découvertes surprenantes qu’ont pu faire les uns et les autres, jusqu’à cet étonnant coucher de soleil."

Extrait choisi pour mars 2011:

 

" Amour et guerre" 

La plage est déserte. La lune est au rendez-vous. Le sable est encore chaud et la mer toujours tiède. Quel bonheur pour ces deux jeunes gens qui sont en train de découvrir ce que signifie l’expression « battre la chamade ». Leurs cœurs s’affolent. Ils n’en sont pas à leur premier émoi, mais à ce moment là ils découvrent des sensations nouvelles, profondes, presque effrayantes tellement elles sont nouvelles et profondes. Ils marchent dans l’eau. De nouveau leurs mains se rencontrent et leurs doigts s’entrelacent, mais avec plus de force que la première fois. Une grande attirance et une infinie pudeur les enveloppent. Ils ne parlent plus. Ils marchent dans l’eau. Nicolas, lentement attire son amie vers le sable sec et l’invite à s’étendre ; pour écouter la mer, lui dit-il. Et c’est vrai que ce bruit de l’eau sur le sable est la musique préférée de Nicolas. S’il existe une mélodie qu’il souhaite faire partager à Michèle, c’est bien celle-là.

«Écoute  comme c’est doux. Il n’y a rien de plus doux dans la nature que le bruit de l’amour de l’eau et du sable»

Sacré Nicolas, en quelques gestes tendres et en quelques mots, il a réussi à attirer sa charmante compagne contre lui. Cette mer Méditerranée et son sable ont toujours été ses complices, depuis son premier château de sable. Aujourd’hui encore, il sent combien il leur est attaché, combien il les aime. Michèle blottie dans le creux des bras de son jeune amoureux soulève son visage. Leurs yeux se rencontrent dans un rayon de lune. Leurs lèvres aussi. Un long baiser va ponctuer ce moment de bonheur juvénile mais déjà si mûr. Tout à coup Michèle se dresse.

«Tu entends ?  Ce sont des explosions. Regarde, il y a des lueurs qui apparaissent sur Oran. Ce sont des plastiquages ou des tirs de mortier.

C’est une nuit bleue, reprend Nicolas tout en serrant Michèle contre lui.»

Extrait choisi pour février 2011:

 

" D'eau et de sable "

         Le soleil est encore très bas au levant et ses premières lueurs caressent la peau et le sable qui restitue la chaleur douce de la nuit. Les premiers rayons donnent à la surface de l’eau des reflets dont les teintes vont du blanc argenté au mauve, en passant par tous les bleus et les verts d’une divine palette. La mer sort langoureusement d’un sommeil plein de douceur. On entend sa respiration ; le bruit léger de l’eau qui vient se frotter sur le sable, doucement, longuement, puis se retire en soupirant. Câlineries amoureuses que partagent, au réveil, des divinités cachées.

 

         La jeune femme, belle comme le jour qui naît, est allongée à même le sol. Sa tête repose sur une serviette en forme d’oreiller et sa respiration légère est au rythme de la vague. La vague qui pénètre le sable pour ne faire qu’un avec lui. La nature, d’eau et de sable, accompagne dans ses rêves celle qui est venue à sa rencontre pour lui confier ses pensées et peut-être ses espoirs d’un matin radieux. Le flirt de la vague légère et du sable fait entendre un bruissement d’une infinie douceur. La mer couvre le bord de plage, s’y mélange et se retire avec des soupirs qui invitent à tout oublier de la vie qui ne soit pas beauté, douceur, espoir. Les yeux fermés, la dame solitaire, sur son lit de sable, s’imprègne des odeurs, des bruits et de la tiédeur qui l’entourent.

Extrait choisi pour janvier 2011:

 

"Des chemins vers la vie"

Un dimanche de juin 1941, le père Dorval est sur le chemin qui mène au signal d’Apt, dans le Vaucluse. Il s’est levé avant le soleil. Il aime bien gagner cette petite course du premier levé qu’il a inventée entre le soleil et lui. Si la lumière du jour a pénétré sa chambre avant qu’il n’ouvre les yeux, il peste contre tout ce qui lui passe par la tête : sa femme bien sûr, le coup de gnôle qu’il a pris avant d’aller au lit, ce fainéant de coq qui dort au milieu de ses poules sans se soucier de la brièveté de la vie, … Aujourd’hui, rien de  cela : il a eu le temps d’enfiler son pantalon, sa chemise et son gilet dans le noir, et même son café a été avalé à la lueur d’une bougie. Il roulait sa première cigarette sur le pas de la porte, quand de timides lueurs ont commencé à descendre sur le village endormi.

Sa musette sur le dos et son fusil à l’épaule, il avance maintenant d’un pas décidé sur le chemin de terre, qui commence à grimper vers le ciel d’un bleu limpide. Les oliviers et les chênes laissent frémir leurs feuilles dans un mélange de verts très provençaux.

Il est au milieu de sa terre, au cœur de son pays, de sa Provence. Au lever du soleil, il n’y a pas d’endroit aussi merveilleux ! Aucune terre ne peut exhaler de pareilles senteurs. Il connaît chacune des plantes qui produisent ces parfums : le thym en premier, mais aussi les différentes sauges, le romarin, la sarriette et cette merveille que la nature a offerte à la Provence, et croit-il, seulement à la Provence : la lavande. Imprégné de ces odeurs qui embaument son pays, il se mettrait à croire que Dieu est venu sur place pour installer lui-même le décor, tellement il ressent de la perfection sur son chemin pourtant caillouteux, sec et pentu."

 

Appréciations de lecteurs (extraits parmi une centaine de commentaires):

 

Après une seconde lecture très satisfaisante, je considère qu'un "Jeune homme d'honneur" est bien davantage qu'un roman, c'est aussi le récit d'événements dramatiques de notre Histoire relativement récente. Ses belles illustrations et son site internet en font un ouvrage à caractère encyclopédique et interactif.

  Pierre D.

Bonsoir ! C'est entre mer et sable, au Portugal que j'ai emmené le roman. je l'ai dévoré. Bravo ! J'y ai retrouvé des ressentis et des odeurs de ma petite enfance ... enfouis. J'ai même pleuré.

  Jocelyne N-D.
 

Il existe de nombreux livres sur l'Algérie, mais c'est la première fois que j'en vois un sous forme de roman, et vous avez écrit un roman magnifique. Je le relirai en vacance.

  Daniel A.

Monsieur Nal bonjour,
Je tenais à vous dire que c'est avec beaucoup de plaisir que j'ai lu votre roman. J'ai pu à travers le récit de Nicolas revivre l'histoire de mes grands-parents ayant eux aussi vécu en Algérie. J'ai pu rêver, voyager, découvrir la vie et la beauté de certains lieux grâce aux descriptions si parfaites contées dans ce bel ouvrage. J'ai apprécié le vrai sens des valeurs si précieuses dans la vie dont vous avez si bien parlé. Félicitations et merci pour ce roman.

  Magalie M.

Toutes mes félicitations pour cette œuvre. Après près d'un demi-siècle, les passions laissent petit à petit la place à l'histoire. J'ai toujours été attiré par cette tragédie et ce dès le début. De plus, ma fille ayant épousé un pied-noir d'Oran, j'ai été plongé en plein dedans. Ma conclusion rapide : avec un peu plus d'intelligence de la part de nos dirigeants politiques de l'époque, nous devrions être toujours là-bas.
  Francis P.


... Je vous charge d'adresser à l'auteur mes félicitations pour son travail " de Mémoire " Amicalement.

  Monique C.

Roman agréable à lire. L'histoire est attrayante et l'atmosphère bien rendue. Roman qui m'a donné envie de découvrir certains lieux décrits.

Françoise G.

 

Bonjour Claude, Je viens de terminer votre livre que vous m’avez  gentiment dédicacé dimanche dernier à Antibes, vous avez réveillé en moi des souvenirs que je croyais avoir rangé définitivement ! Je dois vous dire que j’ai eu un immense plaisir à redécouvrir l’ambiance de l’Algérie de cette époque que vous avez su décrire avec une grande précision. Votre histoire est très intéressante, sa lecture est prenante et avec de nombreux rebondissements qui nous font voyager bien loin de la France et de l’Algérie. Les paysages, les hommes, les sentiments tout y est , pour un premier livre c’est une réussite. Bravo.
Merci pour ce bon moment passé avec cet officier de talent. Amicalement.

  Bernard B.

 

Félicitations à mon ami Oranais pour ce magnifique roman. Un texte qui fait Honneur à notre communauté. Des images, des sensations, un vécu qui nous rappelle tant de souvenirs, un hymne à nos convictions et à notre terre ... Bravo.

  Yves J.

 

"Ce roman relate avec précision tout un passé. Une enfance, une jeunesse, des moments de vie incomparables, privilégiés. Le style concis, sans fioritures, réussit à faire passer chez le lecteur de véritables émotions. A travers ce récit, autobiographique, des souvenirs rejaillissent, même ceux qu'on avait cru enfouis. Paysages, bruits, senteurs, inoubliables, instants vécus dans le bonheur ou la tristesse. La nostalgie est ce qu'elle est ! Claude Nal s'est inspiré de sa vie riche en aventures, débordante de bons sentiments . Il parvient par le biais de Nicolas Dorval à nous faire partager les étapes d'une existence hors du commun.

Odette P.

 

Votre livre m'a beaucoup plu. J'ai souvent été émue. Les sentiments sont bien rendus, y compris l'amour pour la Provence. On ressent aussi pleinement la dureté de la guerre d'Algérie et l'atrocité de ses conséquences. J'ai du mal à trouver les mots pour exprimer ce que j'ai ressenti. J'ai aimé l'ensemble. Je le relirai pour bien comprendre ce qui a pu m'échapper en première lecture.

  Marie P.

Nous refermons votre livre avec regret. Ce fut un beau voyage entre Oran et le Ténéré. Un passage en Provence, que nous venions de découvrir, avec un petit air de Pagnol "La gloire de mon père".
En lisant ce "Jeune homme d'honneur" nous n'étions plus dans l'ouest de la France mais voyagions avec vous. Mille merci ... Continuez de nous conter de belles aventures avec des personnages ayant le sens de l'honneur. Il en existe toujours, mais on n'en parle plus guère...

Catherine et Claude A.

         Bonjour Monsieur Nal.
Je me permets de vous faire part , de mes sentiments , après la lecture d’UN JEUNE HOMME D’HONNEUR ... C’est votre premier roman ? eh bien dites donc ! Je me suis régalé. Quant au sous-lieutenant Dorval, c’est un plaisir que de le suivre, de comprendre ses états d’âme , deviner ses interrogations . Le courage qu’il lui a fallu, la personnalité qu’il dégage à 21 ans, commandant une section, sachant que les soldats ne lui pardonneraient pas la moindre faiblesse en tant que chef. Nous vivons tout cela dans votre roman. Nicolas a aussi rencontré l’amour à Abidjan, sans lequel il ne peut y avoir de héros romantique. A Abidjan, où j’ai fait également escale dans la lagune. Nous y retrouvons l’ambiance coloniale de la société européenne . Le lecteur entend presque la musique de l’orchestre. Bref, pendant toute cette lecture , on est avec Nicolas , ressentant les mêmes émotions pour peu qu’on ait goûté de près à cette vie.

  J.P.C.


... pour mes amis du site du 3ème GT via notre journal interactif. J’avais prévu de parcourir au mieux ce roman que Claude NAL vient de me dédicacer, avant de vous le présenter sur le journal …
Mais ce serait trop vous faire attendre ! Et les premières pages m’ont de suite décidé. En effet, ce roman qui s’appuie sur des faits bien réels m’a paru d’entrée, d’un style libre agréable, coulé des plus sympathiques, un livre avec des senteurs ! Bref ce livre délecté avec le plus grand plaisir, nous laisse sur notre faim car le voyage de la vie du jeune Nicolas bien que déjà très remplie, n'en est qu'à ses débuts! Il est vrai que ''feu'' l'Algérie que le goût amer d'avoir perdu son pays ne s'oublie pas aussi facilement!!

  Alain B.

Le livre de Claude Nal, je l'ai bien apprécié, et plus particulièrement pour sa partie saharienne (même si je connais mieux les Touareg que les Toubou, ma géographie n'ignorait ni le Tibesti, ni l'Aïr). Yves S.

Claude, j'ai lu ton bouquin, je le trouve très bien écrit, beaucoup de "littéraires " de formation en sont bien incapables.

Il m’a donné en fait la sensation de lire deux œuvres:

- la première, un reportage sur une enfance et une adolescence à Oran qui par simple translation aurait pu être la mienne.( les pièces du pitchac s'étaient transformées en bouts de chambres à air, le twist avait succédé au rock, le Lycée quelques années avant..)

- la deuxième, du Frison Roche avec un clin d'œil vers le Désert des Tartares...

L'ensemble passionnant. Amitiés.

  Jean F.

 

Bonjour CLAUDE, j'étais dans les cent premières pages du livre "Un Jeune Homme d'Honneur" et déjà j'étais impatient de connaitre la suite. Les premières pages ont fait ressortir de ma pensée tous ces souvenirs depuis le cours préparatoire jusqu'au C.M.2 de l'école annexe d'instituteurs. Le paragraphe d'ORAN LA BELLE où tu énumères tous les jeux que nous avions dans le quartier. Dans la deuxième partie de ton roman le Sous-Lieutenant NICOLAS chef de section à 21 ans nous montre le sérieux et le patriotisme que nous avions dans cette belle ALGERIE. Ne pas être classé B.S.A. au recrutement était pour un garçon un déshonneur. Bravo pour toutes les missions effectuées dans cette partie d'Afrique, le fameux désert du TENERE. Tes explications et les détails sur les sorties en missions nous les vivons à tes côtés.

Encore un grand BRAVO pour ce merveilleux roman et au prochain. Félicitations sincères et chaleureuses.

  Joseph A.

 

Quand Nicolas embarque à MARSEILLE pour son autre vie (comme il dit) en AFRIQUE OCCIDENTALE et qu’il est nommé officier, tout cela est bien narré. Quant à ses flirts sans lendemain, quoi de plus naturel pour un jeune homme voyageant loin de tout. D’ailleurs, j’ai été très émue par cette fille “ BINTI“, fille du chef d’un village qui se donne à lui, afin de le remercier de l’avoir menée auprès de sa grand’mère mourante, au prix de la désobéissance militaire. C’est un geste humanitaire qui fait de lui un jeune d’honneur. En conclusion, je dirais que ce livre est une réussite ; en plus il nous fait comprendre qu’il ne faut pas oublier ces soldats français d’ALGERIE qui se sont battus et sacrifiés pour sauver notre pays. Félicitations.

  Nadine F.

 

Salut Claude,

Bien sûr, j'ai lu ton livre et j'ai été impressionné par ta capacité de mémoire et la précision de ton récit. Quant à la partie consacrée à notre Algérie, tous ceux qui ont vécu là-bas et ont connu, comme moi, l'exode, se reconnaîtront. C'est un beau livre, qui laisse échapper, dans la main qui le referme, quelques grains de sable du Désert. Bien amicalement.

  Roland B.

 

Félicitations Claude ... Je me suis régalée de tes descriptions sur la Provence. Je lisais avec l'accent, les odeurs, les bruits, les couleurs, comme si j'y étais. J'ai beaucoup aimé les séjours et les descriptions dans le désert : le sable et ces magnifiques couchers de soleil que tu décris. La vie militaire, eh oui l'honneur ... l'armée, les hommes d'honneur ... Mais, l'Oranie, "Oran la belle", je la gardais pour la fin ! Elle était belle notre ville ! beau notre pays perdu ... Les rues, les monuments dont tu parles, le balcon sur la mer " Boulevard Front de Mer" et La Corniche, Santa Cruz ... J'ai tout revisité avec émotion grâce à ton livre. C'est une belle réussite. Bravo !

  Rose Marie S-P.

 

Claude Nal a su mettre dans l’écrin de ce premier essai, tous ces parfums que l’on délecte comme un rayon de miel dont on ne voudrait pas perdre une goutte, pour nous amener de la Provence jusqu’aux confins de ces déserts que nous avons foulés nous faisant découvrir celui qu’il a appelé : « UN JEUNE HOMME D’HONNEUR »

  Alain B.

 

Bonsoir Claude. Je viens de terminer ton livre, je l'ai lu d'une traite et avec plaisir: grâce à Nicolas, de nouveau je me suis baigné à la cueva del agua, j'ai parcouru les préaux de l'annexe et du lycée Lamoricière, manifesté place des Victoires, avenue Loubet, et roulé dans le sable de nos plages. Si le vent du désert ne m'a pas emporté, l'aventure saharienne de Nicolas m'a rappelé avoir lu avec délectation Frison-Roche. Ton roman m'a offert une petite cure de jouvence. Merci" Nicolas".

  Jean-Luc M.

 

" Un mot pour vous dire combien j'ai apprécié le livre. J'en ai aimé le style, j'y ai retrouvé l'ambiance de ces années d'enfance et d'adolescence, années de bonheur, dans les mêmes paysages, " sur l'autre rive", dans l'insouciance entre famille et amis. De part et d'autre de la Méditerranée, nous partagions les mêmes valeurs. J'ai eu la chance de ne pas avoir eu à subir ces aléas de l'histoire où on est obligé de tout quitter, j'ai aimé le récit, avec les rappels historiques concis mais précis, de ces années difficiles qui ont bouleversé votre vie, et en même temps c'est un livre optimiste. Bref, je me suis régalée ! J'ai suivi Nicolas comme un ami tout au long du livre.

  Jacqueline P.

 

"essai romancé destiné à transmettre la période d'apprentissage d'une vie avec des détails techniques, historiques et géographiques, philosophique aussi. Les personnages, attachants et pittoresques, tous particulièrement positifs ... La lecture agréable se fait sans effort, les ambiances bien rendues ont parfois une petite connotation de Pagnol ou de Camus ... En refermant ce livre, on a envie de retrouver dans une suite le monde de Nicolas où l'on ne s'attarde pas sur les épreuves mais plutôt sur les moments magiques qui passent trop vite dans la vraie vie ... "

  Marie-Noëlle M.

 

" N'ayant pas les qualités littéraires de Claude Nal, je n'ai pas su trouver les mots pour traduire l'émotion et les divers sentiments que j'ai éprouvés en lisant son livre. Je saurai peut-être exprimer tout cela de vive voix...Encore bravo et félicitations à ce "Jeune homme d'honneur".

  Rose F. 

 

"J'ai lu le livre de Claude Nal. J'ai beaucoup aimé, surtout le passage sur Oran et sa découverte de la Provence lorsqu'il est enfant. Je ne sais pas si c'est sa biographie. Va-t-il faire un deuxième tome sur sa lancée ? Il a du mérite d'avoir écrit un si beau livre."

  Chantal M.

 

"Bonsoir. Je l'ai aussi beaucoup aimé et je garde sous la main pour relire également quelques passages. Mon seul regret : qu'il ne soit pas dédicacé parce que je n'ai pu vous rencontrer. Merci pour ces agréables moments. Cordialement."

  Jackie A.

 

"Un jeune homme d'honneur" a trouvé une place de choix dans mes lectures. J'ai lu ce roman certainement très autobiographique avec grand plaisir . Il était important pour moi d'avoir le regard d'un homme de mon âge, né sur cette terre d'Algérie . Nos chemins se sont croisés à Oran, dans cette période tragique d'avril 1961 à avril 1962. Je comprends le déchirement de la population "pieds noirs" mais quel prix aurait-il fallu payer pour garder français ce territoire ? Jeune sous-officier de l'armée de l'air j'ai cependant gardé d'Oran de bons souvenirs. Après une première lecture de ce roman, si peu roman mais historique, je vais analyser plus complètement certains passages. Belle écriture, belle construction, je voudrais bien avoir ce talent pour écrire moi aussi sur ma jeunesse et le séjour qui a sonné la fin de l'Algérie française.

  Jean-Claude C.

 

"Merci pour ce merveilleux livre... je me suis régalée !! Merci pour ce beau voyage dans les souvenirs. "LE SABLE ET L’EAU" : c’est toute ma jeunesse... Bien sur que la plage de Bouisseville est irremplaçable pour moi !... "

  Arlette B.

"A la lecture du roman je me suis promené dans mon enfance et pleins de souvenirs me sont revenus : j'ai fait le boulevard à St Eugène, dansé aux castors de Dar Beida et flirté sur la musique des platters. Nostalgie quand tu nous tiens.... "

 Jean-Paul D.
 

"Au début de ce récit, c’est une belle description des paysages de Provence et de la ville d’ORAN avec tout ce qui l’entoure (vie courante, mer, sable, etc…). On s’imprègne bien de l’atmosphère. Il n’en faut pas plus pour rentrer dans le livre et se mettre dans la peau de l’auteur. Et dès les premières lignes, on voyage, on s’évade ! Evidemment, les passages sur les affrontements sont terribles et on imagine bien cette existence effrayante, enfin l’horreur. Comme tout cela est bien décrit, cela passe tout seul et se lit très facilement. Toute cette histoire n’est pas ennuyante, car voyez-vous, dans les livres relatant des guerres ou des attentats que j’ai eu l’occasion de lire, je dois l’avouer, c’était un peu ennuyeux. Je peux vous le dire franchement, je me suis régalée en lisant ces lignes."

  Nadine F.

"Bonjour Claude. Merci pour ce beau roman qui est un peu le roman de notre vie. Nous avons le même âge que Nicolas et avons vécu en parallèle son épopée Oranaise : mêmes émotions, même ciel, même mer, mêmes jeux, mêmes odeurs, mêmes événements etc... Et la Provence : notre terre d’accueil que nous affectionnons particulièrement. Je souhaite à Françoise et Nicolas un bel avenir. Amicalement."

  Jocelyne E.
 

"Bonjour Monsieur Nal ! j'ai eu le grand plaisir et une vive émotion en lisant votre roman, d'autant plus que maman était Oranaise. Merci pour cette lecture pleine de fraîcheur et de tendresse."

  Annita S.

"Aux rythmes des vagues de la Méditerranée, je me suis laissée porter par le vent de la jeunesse, les souvenirs, à la découverte du Niger et d'une région, un véritable bijou que je demande à connaître : "La Provence". Un seul mot Merci ! "

  Ghislaine G.

" Le roman de Claude Nal est un hymne à l’Amour qu’il dit si proche de l’Amitié ! Ce Nicolas qui lui ressemble tant est un « Jeune homme d’honneur » … car dans l’Amour …il faut honorer : Ses racines … ses Amis … sa famille … l’être aimé ! Dans le joli château de Suze la Rousse, en Drôme Provençale, il y a un blason dans la Cour d’Honneur où il est inscrit : « Que l’Honneur, pas les honneurs »."

  Gérard D.

 

AVIS D'UN JOURNALISTE : "Un jeune homme d’honneur, oscille avec talent entre roman initiatique, roman historique et biographie romancée… le tout se mêlant pour une histoire vraie dans une fiction réaliste, et pour cause, la vie de Nicolas Dorval est très proche de celle de son créateur. Né sous la plume légère, précise et sensible de Claude Nal, son héros lui ressemble et vit de souvenirs qui nous plongent dans cette page de l’Histoire de France, sans pour autant porter de jugement. Un jeune homme d’honneur se lit avec curiosité et passion, sur les pas d’un héros ordinaire, sur les pas de l’auteur, sur les pas d’un Homme parmi tant d’autres, d’un Homme dans l’Histoire, d’un Homme dans sa vie, d’un Homme tout simplement avec ses forces, et ses faiblesses. Un jeune homme d’honneur, de Claude Nal, ne ravira pas seulement les amateurs d’Histoire, il ravira aussi les amateurs de belles histoires"

  Mickaël Tardu du Carrefour Des Cultures

 

"J'ai fini le livre et j'ai beaucoup apprécié. J'ai même relu les passages sur la Provence. "

  Brigitte B.

 

"Lorsque tu nous décris la Provence de tes ancêtres j'ai l'impression de sentir à travers les mots de ton livre les parfums de la lavande et autres plantes. "

  Odette A.

 

" ... il se lit avec bonheur, les mots provençaux lui donnent une saveur particulière (quels veinards, ces gens du midi, pour les odeurs, les couleurs, les paysages - enfin, ceux qui n'ont pas encore été massacrés, c'était sûrement mieux à cette époque-là), en bref, je conseille vivement sa lecture."

  Marie E.

 

Quel talent ! Merci Monsieur Nal pour votre "œuvre". Chers Amies et Amis, …  je vous recommande particulièrement « Un jeune homme d'Honneur » de Claude NAL.
C'est avec un pincement au cœur que je viens de refermer ce livre. En  effet, dés la première page, on est comme happé, pris en haleine et ce, jusqu'à la fin du roman. Une véritable  Histoire d'amour entre le narrateur et Oran. On est replongé dans cette ambiance Oranaise, où se mélangeaient ces senteurs, ces odeurs qui ont tant chatouillé nos narines autrefois.  BRAVO, encore BRAVO. Un livre, où l’on partage avec l’auteur passion et ferveur, et qui a tellement de relief, qu’un non voyant pourrait le lire comme du braille. Ce roman deviendra vite votre livre de chevet. J’en ai acheté deux pour des amis. Mes Félicitations à l'Auteur.

  Jack T.

 

"J'ai acheté et lu le livre de Claude un mot : MAGNIFIQUE ! Félicitations Claude Qu'il est doux de se replonger dans ses racines ..."

  Marie-Pierre C.

 

"... Je l'ai lu et je vous le recommande car il "PARLE VRAI". Il s'intitule: UN JEUNE HOMME D'HONNEUR. Il vous permettra de mieux connaître ce pied-noir de haut niveau."

  Pierre Salas - auteur de "Le beau ciel perdu à jamais"

 

                 

"Après la lecture de votre roman « un jeune homme d’honneur » nous vous adressons nos félicitations pour cette œuvre si agréable à lire. Nous en avons apprécié l’aspect « voyage et dépaysement» mais aussi son point de vue historique si particulier et intéressant car, et ce n’est pas le plus répandu, vue de « l’intérieur », par quelqu’un qui l’a vécu au quotidien et qui en parle en toute simplicité, avec ses joies et ses peines, ses espoirs et ses regrets. Ce témoignage sincère, sans haine et au contraire empreint de beaucoup d’amour, à travers une écriture laissant apparaître le plus modestement du monde, une grande noblesse d’esprit et un sens de l’Honneur qui nous a touchés. Très cordialement."

  Pascale C. et Sauveur B.


            Claude Nal habitait Oran Saint Charles ou son père tenait la ‘Brasserie Nal’ de Saint-Eugène, fréquentant l'annexe de Gambetta avant de rejoindre le Lycée Lamoricière nous présente son livre ‘Un jeune homme d’honneur’

N'attendez pas pour lire cette histoire  "D'eau et de sable"

                   Le temps passe ! Les souvenirs, malgré leur contour flou, sont toujours vivaces. Par période, ils deviennent envahissants avec leurs paysages, leurs bruits, leurs parfums. On se souvient des visages, des propos échangés, des sentiments éprouvés. La dimension du passé augmente et occupe un espace de plus en plus important dans le présent, mais aussi dans l’imaginaire.

                   Des questions nombreuses et préoccupantes engendrent des réflexions sur les événements vécus : était-il possible de modifier le cours des choses ? le « vent de l’histoire » était-il une réalité, ou un concept imaginaire, issu d’un esprit tortueux et vieillissant, pour en finir au plus vite avec un problème qui risquait de devenir insoluble : maintenir l’Algérie dans la France ou l’abandonner ?

                   Tout ceci est obsédant ! Il devient indispensable de « matérialiser », pour que ce vécu ne se déforme pas trop avec le temps, et ne disparaisse pas dans l’oubli définitif. Il faut en parler, mais cela ne suffit pas, car les paroles ne fixent pas les souvenirs. Alors, l’écriture s’impose. Les paysages et les portraits sont reconstruits par des mots, puis des phrases. La réflexion s’extériorise, comme mue par une pulsion, de la même manière que le fruit, arrivé à maturité, tombe soudainement de l’arbre. Ecrire, oui ! mais quoi ? et comment ?

                   J’ai décidé d’écrire vrai … dans une fiction ! La réalité d’antan et le fantasme s’entremêlent pour mieux passer du souvenir, plein de beauté et de douleur, à une nouvelle vie enrichie par les faits de jadis, mais aussi gonflée d’espérance, de créations et de joies nouvelles. Il n’était pas question d’écrire, avec aigreur, un nième livre sur l’Algérie en guerre civile, mais bien de parler de la beauté d’un peuple, et de sa jeunesse en particulier, avec sa grandeur d’âme et son sens de l’honneur. Les événements douloureux, la souffrance et le désarroi d’hommes et de femmes trahis et vilipendés, ne sont pas occultés, mais c’est à travers leur courage, leur esprit de résistants et de bâtisseurs que l’histoire est évoquée.

                   J’ai créé un jeune pied-noir : Nicolas Dorval, pour témoigner, et transmettre une période d’apprentissage d’une vie où les épreuves importantes sont supplantées par les moments magiques, et où la clarté domine. L’âme de Nicolas est imprégnée de la lumière du ciel : lumière éblouissante des jours d’Oran ou de Provence, mais aussi lumière de la croix du sud dans la nuit profonde du désert nigérien.

                   Nicolas vit, et évolue, dans des lieux réels. Il ressent des émotions que d’autres ont ressenties. Il s’exprime librement, avec conviction, douceur et poésie selon les sites et les personnages rencontrés. Seule la haine lui est interdite, et ses colères légitimes sont légères, compte tenu des douleurs endurées.

                   Il plonge intensément dans de merveilleux paysages, comme ceux du désert sableux et caillouteux du Niger, où il vit une aventure calme et excitante comme peut l’être un voyage en mer, avec ses moments d’enchantement et sa houle aux creux impressionnants. Il apprécie la noblesse des hommes et la beauté des femmes qu’il rencontre, et qui participent à la réalisation de son idéal de vie, car il sait leur prêter attention et partager avec eux l’amitié, ou l’amour … sur le sable ou sur l’eau.

                   Lentement, Nicolas sort de la tristesse et de l’isolement dans lesquels l’ont plongé "l’indépendance" et le "plan simoun" pour remonter la pente d’une vie bouleversée, surmonter les difficultés et atteindre sereinement le seuil d’une deuxième vie. Il est enhardi par l’amour d’une femme auprès de laquelle il retrouve le besoin de construire. Mais l’avait-il vraiment perdu ?

                   Au bout de tout, et malgré sa rancœur, son sens de l'honneur va le maintenir dans la fidélité à son pays, le pays où ses ancêtres ont tracé le sillon de son avenir ...

Visiter son site pour plus de renseignements et pour acquérir le livre. http://www.jh-dhonneur.fr 

Retour nos lectures.

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Commentaires
H
OUI, JE L'AI RECOMMANDE SUR FACEBOOK ET SUR MON BLOG , IL Y A DEJA UN BON MOMENT -<br /> CORDIALEMENT -
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H
Bonjour, je l'ai lu, mon mari aussi et je l'ai présenté sur ma page "facebook" , dans article, vous pouvez aller voir !<br /> Bonne journée -
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P
J'écris toujours ce que je ressens et que je pense. Cela ne me réussit pas toujours. Je suis hors-la-loi dans certains sites PN dont l'origine te surprendrais. Divergences de vue (mes propos jugés orduriers). Mais peu importe je suis en paix avec ma conception et ma vision et j'écris comme je parle (avec mes tripes et mon cœur) surtout quand j'ai affaire à des mecs biens.(denrée qui se raréfie de + en +).<br /> Amitiés<br /> PIERRE
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C
Venant d'un homme de ta qualité ce compliment me va droit au coeur. Merci ! et, j'espère, à bientôt pour échanger par nos "lignes" Air Pieds-Noirs ou de vive voix. J'aime beaucoup "intégristophile" ! Amitiés.<br /> Claude
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P
Cette lettre de Notre compatriote Claude Nal à cet integristophile.... Français (je suppose) est remarquable tout autant que l'est "son livre" qu'il m'a dédicacé et que j'ai échangé avec le "mien" lors du dernier salon du savoir-faire PN. Je l'ai lu et je vous le recommande car il "PARLE VRAI". Il s'intitule:UN JEUNE HOMME D'HONNEUR. Il vous permettra de mieux connaître ce pied-noir de haut niveau.<br /> PIERRE
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D
merci monsieur pour votre reponse au journaliste du midi libre
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H
BONNE NUIT (IL EST 2H12) JE NE DORS PAS !<br /> COMME VOUS NOUS L'AVIEZ DIT , MON MARI QUI NE LIT <br /> PAS? L'A DEVORE !<br /> JE L'AI PRESENTER SUR MON BLOG, IL Y A UN MOMENT DEJA !<br /> ET J'EN AI PARLE SUR FACEBOOK EN PRESENTANT UN AUTRE LIVRE -<br /> Mon blog : www.la-parole-franche.com
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C
M. et Mme Halet, merci pour votre remarque positive. mais je n'ai pas retrouvé votre commentaire sur Facebook ni sur votre site, pas plus que la fiche de Geneviève Halet. Merci de me donner plus d'informations directement par mon adresse mail. Je me souviens bien de votre passage sur mon stand au salon SFPN. Amitiés. Claude.
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H
AVEC MON MARI, NOUS L'avons lu avec bonheur - J'en ai parlé sur facebook qui sert quelquefois !
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C
Monsieur,<br /> Je vais vous répondre une dernière fois. Ensuite, je pense qu’il faut laisser la place aux autres et éviter de surcharger le site POPODORAN avec des échanges qui n’intéressent probablement personne.<br /> J’ai beau relire votre première question, je pense y avoir répondu. Votre question était « de quelle fidélité voulez-vous parler ? ». Il n’était pas question de fierté à vivre en France. <br /> Mais peu importe. Je vais répondre à votre nouvelle question : je suis fier de vivre en France pour une multitude de raisons dont les principales sont, d’une part, que mes ancêtres étaient Français et, d’autre part, que ceux qui sont morts pour mon pays se comptent par millions et que je me dois de leur être fidèle même si, de tout temps, des gouvernants de ce pays ont fait des erreurs et mêmes des fautes gravissimes. Je suis aussi fier de ce pays parce qu’il est beau, parce que la démocratie y règne (même si ce n’est pas la panacée), parce que nombre de mes compatriotes sont des gens de grande valeur, et pour d’autres raisons du même niveau. Mais si, comme vous, je considérais la France comme « un pays de merde » et comme une « pute » j’aurais au moins la pudeur et la cohérence de ne pas y rester, de ne pas y vivre et de ne pas en profiter. J’irais vers ce pays paradisiaque dont vous semblez connaître l’existence sans le nommer. Je ne sais pas moi : la Russie, Cuba, l’Iran, un pays africain, un pays d’Amérique latine, ou tout simplement un de nos pays voisins ? Mais je crois tout simplement que vous confondez le pays et certains groupes de gens qui y vivent - un peu à la manière des moutons – ou qui le dirigent pour satisfaire souvent un égocentrisme exacerbé – tous partis politiques et syndicats confondus, mais sans faire l’amalgame des hommes et des femmes qui s’y trouvent.<br /> Il n’est d’ailleurs pas nécessaire de mourir pour mériter l’estime et la reconnaissance de ceux qui profitent du sacrifice des combattants. Votre père est de ceux-là, comme mon frère ainé qui est parti d’Oran à 18 ans pour combattre, comme l’un de mes cousins germain tué au champ d’honneur en Indochine. Nous sommes nombreux à avoir des « hommes d’honneur » dans nos familles. Si un jour vous tomber, par hasard sur mon livre, vous verrez que je leur rends hommage dans une page spéciale à la fin de l’ouvrage. Je cite :<br /> <br /> … « J’ai également une immense gratitude pour tous ceux qui ont donné leur vie pour la France et dont le sacrifice suprême me permet de vivre en homme libre dans un pays libre,<br /> ainsi que pour tous ceux qui sont morts, en défendant nos plus belles valeurs, pour que l’Algérie reste dans la France.<br /> Ils ont tous été des « Jeunes hommes d’honneur »<br /> <br /> Il est évident que vous me trouverez dans votre camp pour combattre tout un tas d’anomalies et d’actes ou de propos déshonorants (les films que vous citez n’en sont qu’un exemple, et hélas il y en a beaucoup d’autres). Mais vous ne trouverez pas à vos côtés lorsque vous vous efforcez d’écrire le mot France avec un initiale en minuscule ou lorsque vous vous vantez de brûler le drapeau Français, le drapeau de mon pays pour lequel, comme je l’ai déjà écrit, des millions de gens ont donné leur vie ou leur liberté (comme votre oncle dont la devise « Honneur et Fidélité » est rappelée page 221 de mon livre). Là, ce sont des actes qui caractérisent les voyous dont vous ne devez pas apprécier les méthodes. Ne les imitez pas. C’est déshonorant. <br /> Pour conclure, vous dites que le mot « Honneur » n’a plus le « moindre sens pour vous ». Mais je pense que ce que vous écrivez, à juste titre avec colère, montre au contraire que vous attachez, comme moi de l’importance à ce mot, et que vous regrettez qu’il soit salit comme ce drapeau tâché que vous avez sauvegardé parce que sur cette relique, il y avait justement le sang de l’honneur – honneur de ceux qui ont été blessés ou tués mais bien évidemment pas de ceux qui se sont déshonorés en utilisant leurs armes contre des innocents.<br /> Je ressens dans vos messages, en dehors de ce que je n’ai pas apprécié à titre personnel au début (mais je ne vous en veux plus puisque vous avez retiré votre mot offensant), des contradictions qui vous conduisent à insulter votre pays plutôt qu’à poursuivre ce que vous aviez commencé aux côtés du Général Salan et des membres de votre famille particulièrement méritants : vous battre, comme j’essaie de le faire avec ma modeste plume. <br /> J’ai écrit, avec conviction, pour défendre les valeurs auxquelles je crois parce que je les ai reçues d’une famille qui avait, comme la votre, le sens du « bien », et de mes maîtres qui savaient eux aussi parler de morale et de bonne conduite. Vous me posez tellement de questions qu’il faudrait que je réécrive ce livre pour vous répondre. Alors, faites-moi l’honneur, sinon l’amitié, de le lire. Et si vous craignez de faire un investissement décevant, au moins aurez-vous, dans ce cas, le plaisir d’y mettre le feu.<br /> Soyez assez aimable de ne pas me répondre par le site Popodoran. Envoyez-moi plutôt un message direct sur claude.nal@numericable.fr si vous y tenez, mais je pense que nous avons suffisamment échangé et j’espère que nous nous sommes bien compris. Nous savons les points qui nous rapprochent et ceux qui nous éloignent. Nous avons surement été très proches à une certaine époque dans nos opinions et dans nos actions, mais j’ai choisi après le malheur qui nous a été imposé de ne pas prendre le chemin de la haine, mais de poursuivre sur celui de la volonté dans l’honneur, parce que précisément les dangers sont encore trop nombreux pour que je déserte – ce que je n’ai jamais su faire.<br /> <br /> Salutations d’un Oranais amoureux de sa terre et fidèle.<br /> <br /> Claude Nal
Répondre
R
Monsieur,<br /> <br /> Admettons que vous puissiez prendre le terme d'oportuniste comme une insulte. Même avec faute d'orthographe, je le retire.<br /> Toutefois, ma réaction réside sur le fond et non sur la forme.<br /> Et du reste je vous pose une question à laquelle vous ne répondez pas : comment un Pied-noir peut-il garder un sentiment de fierté à vivre dans ce "pays de merde" qu'est devenu la france ?<br /> Oh...veuillez me pardonner mon langage un peu cru.<br /> <br /> Pour me situer, je vous dirai que mes ancêtres sont arrivés dans l'Oranais, quasiment dans les bagages de l'armée ( 1832 ) qui avait alors besoin d'artisans compétents et courageux. L'un était maçon, ou "entrepreneur en mâçonnerie, les autres charpentiers.<br /> Nous étions donc Pieds-noirs depuis cent trente ans en 1962.<br /> Bien des membres de ces deux familles ont fait la guerre de 14/18, aussi celle de 42/45, voire 39/45, dont mon père.<br /> Au sujet de ce père, parlons-en, de l'HONNEUR : savez-vous que personne ne peut m'indiquer quelque trace de son régiment ( 1°RSAR ), pourtant bien connu, où il était Lieutenant et a été gravement blessé. Aucune Instance gouvernementale ne peut me renseigner. Il a pourtant fait Saumur, la campagne de Tunisie, le débarquement de Provence, la poursuite et la campagne d'Alsace, a eu la Médaille militaire, la Croix de guerre, et la Légion d'"Honneur".....<br /> C'est là où notre débat devient passionnant ! Légion "d'Honneur", de quoi parlons-nous ? Mais surtout, de quoi parlez-vous quand vous évoquez ou invoquez "l'Honneur".<br /> Un de mes oncles, colonel de la Légion, a été enfermé de longs mois après le 22 Avril...et vous savez comme moi quelle est la devise de la Légion ?... La france lui en a-t-elle été redevable ?<br /> Moi, je n'ai rien fait, comme la plupart de mes camarades, hélas, à part de monter la garde auprès de Salan autour du 22 Avril.<br /> Autre question : que signifie le mot "HONNEUR" pour la france d'aujourd'hui ? Et doit-on toujours dans ce pays considérer ce mot dans son sens normal ?<br /> Ce que vous semblez ne pas saisir, ou bien est-ce ma réaction trop vive qui vous a ému, c'est que je considère aujourd'hui comme un "DESHONNEUR" d'avoir une carte d'identité française, surtout en tenant compte de cet HONNEUR Pied Noir des deux guerres mondiales, ce dernier Honneur traîné dans la boue et la merde dans certains films subventionnés par nous tels que "Indigènes", "Hors la loi", etc..<br /> En effectuant des rangement chez moi, je suis tombé sur une bonne douzaine de drapeaux français dans le haut d'un placard...j'ai réfléchi à tout ce qu'ils représentaient de fidélité et de foi à l'époque où nous étions en Algérie. D'abord, j'ai choisi de les conserver , puis j'ai profondément ressenti le besoin de brûler tout cela. Sauf un; un drapeau qui avait été caché là après les "barricades" ( j'habitais 1 bis rue Michelet ). Un très grand drapeau, sale et avec des taches de sang très visibles. J'ai pensé que ce drapeau avait, lui, le droit d'être honoré, parce qu'à l'époque, ceux qui l'avaient déployé avaient de l'honneur, et sans doute même de la souffrance. J'ai prévenu l'ADIMAD de ce que je comptais faire, précisant bien que je voulais leur confier ce drapeau, mais que les autres seraient brûlés. Ils ont parfaitement compris ma façon de voir et ont accepté. Par contre, je n'ai pas voulu accepter "l'honneur" qu'ils me faisaient de le leur remettre officiellement.<br /> Comprenez bien, au final, que ce terme d'honneur n'a rigoureusement plus le moindre sens pour moi. Tous ceux qui ont fait preuve "d'Honnorabilité" sont morts ou agonisants...alors, je vous le demande une fois encore :<br /> <br /> <br /> <br /> comment un Pied-noir peut-il garder un sentiment de fierté à vivre dans ce pays qu'est devenu la france ?<br /> Cette France passée qui est devenue une pute dès après 1918, en 40, en Indochine, en Algérie, <br /> et qui va maintenant jusqu'au reniement de tout ce qui aurait pu ressembler, <br /> de loin ou de près, à quelque-chose qui ressemble à l'HONNEUR ?<br /> <br /> <br /> Alain CAVAILLÉ<br /> 100927
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R
Réponse à Monsieur Alain Cavaillé<br /> <br /> Bonjour Monsieur (voyez-vous, pour répondre à votre question, je suis déjà fidèle à la bonne éducation que j’ai reçue de mes parents et de mes maîtres : je salue les gens auxquels je m’adresse). Mais qui êtes-vous Monsieur pour vous permettre de m’invectiver et de m’insulter ? La bonne éducation impose aussi de se présenter lorsque l’on aborde quelqu’un pour la première fois. Etes-vous Pied-Noir, musulman comme Monsieur Ribéry, de gauche, de droite, du centre ? Où habitez-vous ? Pas en France j’espère, puisque vous semblez honnir ce pays – ou alors c’est vous qui seriez opportuniste comme tous ces immigrés qui viennent profiter de la belle vie dans un pays qu’ils n’aiment pas. Je ne sais donc pas qui vous êtes puisque vous vous cachez derrière une burka immatérielle pour lancer vos invectives et vos insultes.<br /> <br /> Pour ce qui me concerne, vous me connaissez car vous êtes apparemment allé sur le site de mon livre où je me présente – sinon allez-y. Vous devez donc savoir, qui que vous soyez, que vous n’avez aucune leçon à me donner.<br /> <br /> De quelle fidélité est-ce que je parle ? Mais de la « Fidélité » Monsieur ; la seule qui soit : la fidélité à ses amis, à sa famille, à son pays (pour moi c’est la France, et pour vous ?), à la parole donnée (c’est ça aussi avoir le sens de l’honneur). Oui Monsieur je suis fidèle à la France dont tous les habitants ne sont pas des traitres ni des lâches. Ignorez-vous comment les métropolitains ont reçu les informations sur les événements d’Algérie ? Ignorez-vous qu’ils sont souvent morts ou ont été blessés pour nous aider (comme des Pieds-Noirs sont morts pour défendre « ma patrie » entre 1939 et 1945, et sur tous les champs de bataille du monde) ? Ignorez-vous dans quelles conditions ils ont été amenés à se prononcer à l’occasion de référendums téléguidés par le traitre en chef – le vrai celui-là ? Ignorez-vous que tous les métropolitains n’ont pas participé, volontairement ou involontairement, à ces votes ? Peut-être avez-vous été un héros pendant la guerre d’Algérie et dans ce cas « Bravo ! ». Pour ma part je n’y ai pris qu’une modeste part et je n’ai pas à en être félicité, mais je peux au minimum exiger que l’on me respecte, Monsieur ; même vous, le héros potentiel.<br /> <br /> J’espère vous rencontrer un jour pour vérifier si vous oserez m’insulter en face à face. Dans ce cas n’oubliez pas que je suis Pied-Noir, Oranais, Saint-Eugénois … et que j’ai le sang chaud. Encore un conseil : ne fréquentez pas les manifestations de Pieds-Noirs ! Ils osent encore brandir le drapeau français et chanter La Marseillaise ! Cela pourrait vous faire mal.<br /> <br /> Enfin Monsieur Alain Cavaillé quand vous insultez quelqu’un par écrit, n’oubliez pas de respecter la langue française, dans laquelle vous vous exprimez encore malgré tout. L’orthographe s’applique aussi aux insultes : « opportuniste » s’écrit avec deux « p ». C’est vrai que j’oubliais de vous dire : pour moi « opportuniste » est une injure car je n’agis pas différemment selon les circonstances parce que précisément je suis fidèle et que j’ai le sens de l’honneur.<br /> <br /> Lisez mon livre Monsieur Cavaillé, cela vous fera le plus grand bien. Et si vous êtes Pied-Noir, continuez de le cacher, car vous ne donnez pas de notre communauté une bonne image. Et puis laissez Jésus-Christ tranquille ; il n’est pas sûr que vos propos lui plaisent.<br /> <br /> Je vous salue Monsieur.<br /> <br /> Claude Nal
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A
Au bout de tout, et malgré sa rancoeur, son sens de l'honneur va le maintenir dans la fidélité à son pays, le pays où ses ancêtres ont tracé le sillon de son avenir ...<br /> ....mais de quelle fidélité voulez-vous parler ?<br /> Vous voulez sans doute dire qu'il faut rester fidèle à une notion elle-même infidèle ? Si c'est cela, bravo Monsieur, il faut vous admirer, vous êtes bien un émule de Jésus-Christ...ou bien un oportuniste plutôt.<br /> Alain Cavaillé
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H
JE L'AI ACHETE AU SALON PN ET JE L'AI FAIT DEDICACE - PAS EU ENCORE LE TEMPS DE L'ATTAQUE 6
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A
Bonjour ! <br /> <br /> L'honneur et la dignité, le droit et la liberté, ce sont les quatre notions essentilles de la vie d'un homme jeune ou vieux.<br /> <br /> Mais les textes imaginaires ou de fictions n'accrochent pas trop un certain léctorat lui-mêmme influencé par cette nostalgie du passé sans l'accompagnement d'anciennes photos du vécu quotidien dans les villages ou dans les villages d'anton y compris indégéne des coins les plus reculés gérés par les caïds de douars surtout sans européens si ce n'est les jeunes instituteurs civils.
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