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popodoran
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26 novembre 2012

ALGERIE LES FILMS

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Commentaires
A
Mr. JF Paya,<br /> <br /> Il y a beaucoup de vrai dans ce que vous dites dans votre article, car l'histoire ce doit d'étre contée. Bonne ou mauvaises, les étapes se doivent d'étre relatés. <br /> <br /> Il y à peu de temps, j'étais entrain de consulter certaines vielles photos prises par des personnes, durant la période des années 1950/60. <br /> <br /> Il y en avait une ou l'on voyait un viel homme assis sur un tabouret prés d'un arbre, entrain de jouer de l'accordéon. Prés de lui se trouvaient 2 enfants, 1 fillette et 1 garçon, vétus de la façon époque. Ils appréciés le moment de joie que leur procuré le viel homme, avec son accordéon et sa musique. Ils ne se doutaient pas encore, de ce qui allait venir. <br /> <br /> Sur une autre, on voyait un groupe de jeunes filles et de garçons pieds-noirs et Algériens, traversant en courant et en fille indienne, une rue de la cité Essada, prés du clos Salembier, à Alger. Avec joie ils vivaient ce moment là, uniquement. Ils ne penser à rien d'autre. <br /> <br /> Cette période me revint à l'esprit car durant un laps de temps, je me suis rappelé mon adolescence, durant ces années là. Pour ce qui avaient mon àge, nous avons beaucoup souffert de la cassure. <br /> <br /> Dans la relation Pieds-noirs et Algériens de l'époque, il y avait beaucoup de fraternité, si ce n'est plus que cela.<br /> <br /> Je suis sur que dans les deux groupes de personnes, ceux parties et ceux restés, il y en à plus d'un, qui doit se rappeler des histoires de réelles amitiés, du fait qu'on été nés dans le méme quartier, allaient à la méme école, et que nos péres et nos méres faisaent face aux méme soucis, de la vie quotidienne de l'époque. <br /> <br /> Merci pour l'article, et puisse t'il inciter certaines personnes, à vouloir s'associer à ce magnifique projet.
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J
Au sujet du cinéaste Jean-Pierre Lledo trop jeune pour avoir participé à la guerre d'Algérie!Ce qui importe à mon avis est le présent et l"adage "mieux vaut tard que jamais" en sachant que les témoignages d"Algériens de l"époque peuvent nous etre trés précieuxpour démontrer certaines vérités que nous clamons depuis longtemps et confondre certains qui en France sont restés sourds à nos appelsEt pour ma part je me rallie pleinement à la conclusion extraite de l'avis de l"Historien Guy Pevillé sur le film de Lledo exprimée ci dessousque vous pouvez trouver sur son site http://guy.perville.free.fr/spip/article.php3?id_article=27 JF Paya<br /> <br /> "Les historiens français ont eu trop tendance à croire qu’ils devaient "balayer devant leur porte", c’est-à-dire chercher à mettre au jour les fautes de leurs compatriotes, et laisser leurs collègues algériens faire de même de leur côté. Mais cette apparente symétrie n’était pas vraiment réalisée, dans la mesure où les historiens algériens n’étaient pas libres de contester ouvertement les dogmes officiels de leur Etat. De ce fait, les vaincus de la guerre d’Algérie persistaient dans leur impression que les prétendus historiens manquaient gravement à l’objectivité dont ils se réclamaient en évitant soigneusement certains sujets. Les historiens dont il s’agit croient sans doute que la disparition de la génération des dirigeants issus de la guerre d’indépendance mettra fin à la domination de la mémoire officielle sur l’histoire de l’Algérie, mais c’est un pari audacieux sur l’avenir que rien n’est venu confirmer jusqu’à présent, bien au contraire. ""Et c’est justement le piège dont le film de Jean-Pierre Lledo nous permet de sortir. Il nous prouve que le seul clivage doit être entre ceux qui veulent dire toute la vérité et ceux qui ne le veulent pas, où qu’ils se trouvent. Et si les Algériens ne sont pas encore libres de tout dire, il nous appartient au moins à nous de tout dire, pour nous et pour eux."
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