BILLET D'HUMEUR N° 37
Document transmis par
LE PHAREFOUILLEUR le mardi 30 avril 2013.
« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen - Article XI - 1789
BOUTEFLIKA : un ennemi de la France soigné gratis à l’hôpital militaire parisien du Val de Grâce !
Madame, Monsieur, cher(e)s ami(e)s et compatriotes,
Abdelaziz BOUTEFLIKA, (faux) ami de la France depuis 1962, est né
en 1937. En 1956, il s’engage dans l’Armée de Libération Nationale (ALN) et combat les forces françaises dans différents secteurs algériens (Wilaya V et frontière du Mali). En 1961, il effectue un séjour clandestin en France, pour entrer en contact avec les chefs historiques de la rébellion algérienne, alors détenus à Aulnoy. En 1962, il est député et devient ministre de la jeunesse, des sports et du tourisme du premier gouvernement de l’Algérie indépendante.
En 1962, ce premier gouvernement formé grâce au soutien des gaullistes de l’époque, comprenait des djihadistes qui massacrèrent les Pieds-Noirs durant toute la guerre et provoquèrent le génocide des Harkis après le 19 mars 1962.
A l’occasion d’un voyage d’Etat en France, le 14 juin 2000, Bouteflika fut reçu à l’Assemblée Nationale (!), et prononça un discours rappelant les brutalités de la conquête française et les injustices du système colonial français (…).
Il fut opéré à l’hôpital militaire du Val de Grâce, à Paris, en 2005, suite à un ulcère à l’estomac, et s’y trouve de nouveau depuis le 29 avril, pour des examens suite à un accident cérébral survenu le 27 avril, à Alger.
Personne n’a oublié que l’Algérie doit plusieurs dizaines de milliers d’euros de soins médicaux donnés à ses représentants, impayés depuis de longs mois et que le budget de la Sécurité Sociale est en déficit. Cherchez l’erreur !
Merci de votre aimable considération. Bien cordialement.