7 décembre 2014
FRANÇOIS, TU MENS
Tu mens, tu mens, tu mens ...
Depuis ton avènement
Tu bafoues tes engagements,
Tu oublies tes serments,
Tu entasses tes reniements.
Arrête tes boniments.
Tu accrois l'endettement
Et persistes dans l'entêtement.
Sans aucun tempérament,
Tu gouvernes mollement.
Tu manques d'arguments
Dans tes raisonnements,
Aussi dans tes jugements.
Tes taxes, c'est le saignement,
Ta Justice, c'est infamant.
L'Armée, ses régiments
Dans le plus grand dénuement,
Un état très alarmant.
Tu maltraites l'Enseignement,
Les jeunes et leurs tourments.
Tu nous mènes fatalement
Droit vers l'effondrement,
La ruine, dit autrement.
Ton règne, c'est l'écœurement,
Et je sens l'embrasement
Du peuple, tout bonnement.
Jean-Paul Ruiz
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