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10 avril 2015

PIERRE DAUM

Journaliste engagé jusqu’à l’inconscience

Article transmis par Michel Delenclos biographe, chercheur en histoire.

DAUM Pierre  né le 22.11.1966 à Thionville (Moselle)  -D'origine juive. Il obtient un DEA puis, après une année d’enseignement au sein de l’Education nationale, en1994, il s’installe en Autriche. En 1996, il collabore au «Monde diplomatique». En 1999, il est correspondant à Vienne du quotidien «Libération». Journaliste à plusieurs journaux européens : «Le Monde», «L’Express», «La libre Belgique», «La Tribune de Genève», etc. De retour en France en 2003, il devient correspondant de «Libération». De 2004 à 2007, à Montpellier, il devient correspondant de «Libération» pour le Languedoc-Roussillon.

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Pierre Daum

* En 05/2008, «Le Monde diplomatique» publie un article de P. Daum intitulé «Sans valise ni cercueil, les Pieds-noirs restés en Algérie», dans lequel il prétend que le slogan «La valise ou le cercueil» pour les Pieds-Noirs, était sans fondement. (http://www.monde-diplomatique.fr/2008/05/DAUM/15870 ).

* Le 26.05.2008, dans les locaux de la mairie à Paris, aux côtés de Mohamed Harbi, Benjamin Stora, de Gilles Manceron et de G. Morin, il participe au «débat» organisé par la «LDH» et le «Monde diplomatique» sur le thème «Algérie 1962 : de quoi les Pieds-Noirs ont-ils eu peur ?» et, présente son reportage «Sans valise ni cercueil, les pieds-noirs restés en Algérie», en présence de G. Morin, G. Manceron, M. Harbi, J-P. Lledo et B. Stora.

Dans «Libération» du 06.03.2010, il signe un article intitulé «Témoignages descendants de harkis face à l’oubli» : De toutes les victimes de la colonisation, et de la guerre d’Algérie en particulier, les harkis sont certainement parmi les plus durablement blessés. Car ils n’ont jamais été reconnus comme victimes. «Traîtres» pour nombre d’Algériens, «bougnoules» pour certains Français, interdits de séjour en Algérie, parqués pendant des années dans des camps du sud de la France, les harkis continuent, un demi-siècle après leurs drames, à souffrir de leurs déchirures. Et que dire de leurs enfants ? «Avoir des parents traumatisés conduit à porter soi-même, comme enfant, le poids de leurs blessures», rappelle Boris Cyrulik (*) dans la préface du nouveau livre de Fatima Besnaci-Lancou : «Des vies. 62 enfants de harkis racontent», ouvrage collectif publié le 25.02.2010 ; après avoir donné la parole aux femmes de harkis («Nos mères, paroles blessées»), puis dirigé, avec l’historien Gilles Manceron, le fondamental ouvrage sur «Les harkis dans la colonisation et ses suites», F. Besnaci-Lancou poursuit son minutieux travail de dévoilement de cette page honteuse de l’histoire coloniale française. Pendant 3 ans, elle a sillonné la France afin de rencontrer les enfants des personnages de ses livres précédents ; si les pères se sont tus, les enfants, eux, veulent transmettre cette mémoire. Et ils réclament, à l’instar d’Amar Zeroual qu’ «en France, on reconnaisse leur tragédie pour les apaiser.».

Le 31.03.2007, dans un discours de campagne, le candidat Nicolas Sarkozy s’était engagé, s’il était élu, «à reconnaître la responsabilité de l’Etat dans l’abandon et le massacre des harkis en 1962, afin que l’oubli ne les assassine pas une nouvelle fois». Trois ans plus tard, les harkis et leurs enfants attendent toujours.

Auteur, dans « Le Monde diplomatique » de 01/2012 d’un article intitulé « Chronique d’un massacre annoncé Oran 05.07.1962 ».

Le 07.01.2012, est publié le point de vue de Jean-Pierre Lledo sur le «reportage» de P.  Daum «un énigmatique et faux reportage». (http ://exode1962.fr/exode1962/depart/daum.html ). A la suite de la publication de son livre «Ni valise ni cercueil. Les Pieds-Noirs restés en Algérie après l’indépendance», le 14.01.2012, l’historien Guy Pervillé fait part de sa critique sur son site, le 11.06.2012. (http ://guy.perville.free.fr/spip/article.php3 ?id_article=280 ).

Le 11.10.2012, P. Daum participe au Centre culturel algérien à une rencontre débat avec Assiya Hamza, auteur de «Mémoire d’enracinés : mes rencontres avec des pieds-noirs qui ont choisi de rester en Algérie» ; Pour P. Daum : «Depuis 50 ans, on explique en France que «tous les Pieds-Noirs sont partis en 1962, qu’ils n’avaient pas le choix, que c’était «la valise ou le cercueil» -métaphore qui sous-entend qu’une fois indépendante, les Algériens n’auraient eu qu’une seule idée, assassiner les Français jusqu’au dernier. Or, ces affirmations sont fausses, puisque des dizaines de milliers de Français sont restés dans leur pays de longues années après l’indépendance. Leur présence est d’ailleurs connue de très nombreux Algériens, qui en gardent d’excellents souvenirs. En France, qui sait que le 05.07.1962, au moment où l’Algérie devient indépendante, 400.000 Pieds-noirs sont encore présents dans l’ancienne colonie ? Après 7 années et demie de guerre et de haine, la violence s’évanouit brusquement, et très vite les Pieds-noirs retrouvent un sentiment de parfaite sécurité. Au 01.01.1963, ils sont plus de 200.000 Européens et Juifs à tenter le pari de l’Algérie algérienne. Ceux-là, qui les connaissent ? Pendant 3 ans, P. Daum est parti à la recherche de ces hommes et de ces femmes restés dans leur pays après 1962. Ceux et celles qui, au lendemain de l’indépendance, n’ont choisi ni la valise ni le cercueil…».

Le 28.10.2012, dans le cadre du 1er Forum des écrivains organisé par les éditions l’Harmattan, à Paris-Vème, P. Daum participe à une table ronde : «La guerre d’Algérie : les pieds-noirs, les harkis», avec J-J. Jordi, F. Besnaci-Lancou, D. Saint-Hamont, E. Laurentin. Ce forum s’est déroulé du 27 au 29.10.2012.

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28.10.2012. J-J. Jordi et Pierre Daum.

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De gauche à droite : D. Saint-Hamond, F. Besnaci-Lancou, E. Laurentin, J-J. Jordi, Pierre Daum.

Le 19.04.2014, à Salies-du-Salat (Haute-Garonne), le collège des Trois Vallées accueille P. Daum : les collégiens de deux classes de 3ème et leurs professeurs : Sylvain Nicolino et Eric Parra l’accueilleront ; dans un article de «La Dépêche du Midi» -non signé- on note que : Pour les jeunes élèves, la lecture de deux de ses ouvrages «Immigrés de force» et «Ni la valise, ni le cercueil» a permis de découvrir les interactions de l’histoire mondiale avec celle de notre pays. Tout un travail effectué sur ces périodes à partir de témoignages et ouvrages parus sur le sujet, a permis aux collégiens de poser des questions pertinentes et documentées au journaliste-écrivain. Que souhaiter à P. Daum, si ce n’est de suivre le parcours de Dany Laferrière, récemment nommé à l’Académie française ?»….

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19.04.2014 : à droite, tenant un journal entre les mains, P. Daum.

Le 20.06.2014, au Théâtre régional Malek Bouguermouh de Bejaia (ex-Bougie) en Algérie, P. Daum participe à une conférence-débat sur «Les Pieds-Noirs en Algérie après l’indépendance». En août 2014, «Le Monde diplomatique» publie un article signé de P. Daum, intitulé «Sexe, jeunes et politique en Algérie». L’auteur invite les lecteurs à en prendre connaissance. (http ://www.monde-diplomatique.fr/2014/08/DAUM/50713 ).

Le 02.03.2015, Robert Martin, du Journal majoritaire «En vie de Béziers», s’entretient avec P. Daum :

Le 02.03.2015 : P. Daum répond aux questions de R. Martin.

-Question : «P. Daum, vous êtes journaliste, collaborateur du «Monde diplomatique» mais bien d’autres choses encore, vous pouvez nous en dire plus ?»

- Réponse : «J’écris aussi des livres, des enquêtes historiques sur le passé colonial de la France. J’ai écrit un premier livre sur le passé colonial au Vietnam, ce que l’on appelait l’Indochine, et une second livre sur l’Algérie. Le fait est que je connais très bien l’Algérie d’aujourd’hui puisque j’y effectue de nombreux reportages. Je vais très souvent dans ce pays et je connais aussi le passé colonial de la France en Algérie, avec sa phase finale, la guerre d’Algérie (que les Algériens appellent la guerre de Libération). J’ai écrit donc un premier livre sur les Pieds-Noirs qui sont restés en Algérie après l’indépendance et là, je vais bientôt sortir un nouveau livre sur les Harkis qui sont restés en Algérie après l’indépendance.»

-Question : «Oui, votre livre sur les Pieds-Noirs s’appelle «Ni valise ni cercueil» et parle forcément de l’année 1962, mais surtout des Pieds-Noirs qui sont restés en Algérie…».

Réponse : « Absolument ! Avec ce livre, j’ai en quelque sorte détruit un des mythes, un des discours bétonnés sur la guerre d’Algérie, à savoir que depuis 50 ans on nous explique que, au moment de l’indépendance, à l’été 1962, tous les Pieds-noirs, tous les Français d’Algérie, un million de personnes, de femmes, d’hommes et d’enfants avaient franchi la Méditerranée, et qu’ils avaient été obligés de quitter leurs pays. Or, c’est faux ! C’est faux puisque j’ai retrouvé dans différentes archives ce chiffre très important : au 01.01.1963, il y avait encore 200.000 Pieds-noirs en Algérie. 200.000 sur un million, ça fait 20%. Donc cela veut dire qu’il a bien eu 800.000 qui sont partis, c’est donc un exode très important, mais, il y en a tout de même 200.000 qui sont restés et qui n’ont pas du tout été zigouillés comme on nous le raconte. Donc, ce n’était pas la valise ou le cercueil pour tout le monde». Poursuivant ce dialogue,

R. Martin rappelle à P. Daum : «…Je me suis permis de vous envoyer l’article qui a paru dans le Journal de Béziers…et qui retrace justement ce fameux 19.03.1962. L’auteur, anonyme d’ailleurs, de cet article parle d’une date «infamante». Quelle est votre réaction ?».

Réponse : «Cet article est non seulement anonyme mais d’une très grande violence. Cette date du 19.03.1962 correspond au cessez-le-feu. Les négociateurs français et algériens s’étaient réunis depuis 10 jours dans la ville d’Evian pour essayer de trouver une solution de paix. Ils ont fini par la trouver le 18 mars. Ils ont signé ce texte de 93 pages qu’on appelle les accords d’Evian et qui prévoyait en préambule que le lendemain, à midi, , donc le 19 mars, débuterait le cessez-le-feu. Des deux côtés, les armes cesseraient de tirer. Le fait est que ce cessez-le-feu a été largement respecté par les deux parties. Le problème, c’est qu’il y a eu une 3ème partie qui est venue mettre la pagaille, à savoir les tueurs de l’OAS. Donc, ces centaines, ces quelques milliers d’hommes, pieds noirs et militaires français, ont refusé la paix, ils ont refusé que cesse cette guerre qui durait depuis 7 ans et demi…En fait depuis 50 ans, cette date du 19 mars est une espèce d’épîne qui est restée en travers de la gorge des nostalgiques de l’Algérie française et de leurs héritiers. Ce texte qui est paru dans le journal municipal de Béziers, est une caricature de ce discours qu’on entend depuis 50 ans qui est, sous couvert de rappeler les exactions qui ont eu lieu après le cessez-le-feu, une façon de contester (50 ans après !) l’indépendance de l’Algérie. En fait ce texte fait partie de ce discours qui continue, de façon complètement anachronique, à pleurer la perte de l’Algérie française et à regretter l’ancien temps, celui de l’empire colonial français.»…    .(http ://www.envieabeziers.info/micros-ondes/97-entretien-avec-pierre-daum ).

Le 27.03.2015, P. Daum accorde un entretien à Adlene Meddi du quotidien algérien «El Watan» intitulé «La majorité des harkis n’a pas quitté l‘Algérie», autour de son «enquête» effectuée en Algérie ; article repris par «Algeria-Watch». (http ://www.elwatan.com//une/la-majorite-des-harkis-n-a-pas-quitte-l-algerie-27-03-2015-290886_108.php ).

Le 29.03.2015, P. Daum est interviewé par le journaliste algérien, Khaled de «Echorouk news», à propos des Harkis. (https://www.youtube.com/watch?v=2uLvesjcn74%20).

BIBLIOGRAPHIE :

«Immigrés de force. Les travailleurs indochinois en France : 1939-1952»

Ed. Actes-Sud, 18.05.2009, préfacé par Gilles Manceron. Sous la direction de F. Besnaci-Lancou et la participation de J-J. Jordi, G. Manceron, Abderahmen Moumen, Yann Sciodo-Zurcher est publié ;

«Des vies. 62 enfants de harkis racontent»

Ed. de l’Atelier, 25.02.2010.

«Ni valise ni cercueil, les Pieds-Noirs restés en Algérie après l’indépendance»

préface de B. Stora (http ://ldh-toulon.net/ni-valise-ni-cercueil-de-Pierre.html ) Ed. Solin, Actes Sud, Arles, 14.01.2012.

 «Il n’y a pas une mémoire, mais des mémoires»

Ed. L’Harmattan, 23.09.2014 : cet ouvrage collectif reproduit en intégralité les actes des tables rondes organisées lors du 1er forum des écrivains, du 27 au 29.10.2012.

«Le dernier tabou» -Les «Harkis» restés en Algérie après l’indépendance-»

Ed. Actes Sud, 02.04.2015.-(*) Cyrulnik Boris né le 26.07.1937 à Bordeaux. D’origine juive. Psychiatre et psychanalyste.

Retour DELENCLOS Michel. Chercheur en histoire. Biographe.

«Les biographies sont des visages de l’Histoire».

Additif en date du 1 avril 2015 De Manuel Gomez

http://magoturf.over-blog.com/2015/04/harkis-pierre-daum-au-service-du-negationnisme-de-l-etat-algerien.html

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Commentaires
A
Je suis né à Oran en 1946, Mes parents, bien que nés en Algérie, provenaient de Bretagne, de Lorraine et de Carcassonne. Ceci pour me situer.<br /><br /> Nous sommes venus en métropole en 1959. Principalement parce que mon père s'était remarié avec une parisienne, ma mère étant décédée de maladie quatre ans auparavant. Je n'ai donc pas connu l'exode massif de 1962. Mes grands parents, eux, sont restés à Aïn-el-Turck jusqu'en 1965. Ils sont venus en métropole pour pouvoir nous voir puisque, malgré leur insistance, mon père refusait de nous envoyer en vacances chez eux.L'un de mes oncles, du côté de ma mère, était médecin à Sétif. Il y est resté encore plusieurs années avec sa mère qu'il avait recueillie au décès de son époux. Dans les deux cas, jamais je ne les ai entendus se plaindre de leur situation en Algérie, que ce soit dans les lettres ou dans les discussions sur le sujet à leur retour. Le seul regret de mes grands parents fut la décision de mon père qui les avait contraint à venir en France . Quand, en juillet 1962, les forces de l'ALN sont arrivées à Oran, elles continuèrent jusqu'à Aïn-el-Turck quelques jours plus tard. Les gens du village ont entouré la maison de mes grands parents afin qu'ils ne soient pas inquiétés et que leur maison ne soit pas fouillée. Tout le monde savait que ma famille était pour l'Algérie française. D'ailleurs lors des événements de 1958 et de la création des comités de salut public mon père et le caïd du village avaient constitué une liste et nous parcourions le village en klaxonnant Algérie française. De ce fait, je conçois aisément qu'un certain nombre de pieds noirs soient restés au pays sans aucun problème. probablement à hauteur de 200.000 si les historiens s'accordent sur ce nombre. Pour autant ceci ne veut pas dire que c'était partout pareil. A Oran, pourtant à 15 km d'Aïn-el-Turck, la situation fut, hélas, gravement différente. Il y eut cette folie meurtrière du 5 juillet, horrible. Mais même dans les temps précédant ce triste jour, le slogan "la valise ou le cercueil" était une menace à l'adresse des européens. Est-ce que le comportement de l'OAS y fut pour quelque chose? je suis incapable de le dire, mais je suis quasiment sur qu'il n'a pas contribué à apaiser les ressentiments existants.Bref, suivant les lieux, les événements, les personnes et leur comportement passé et bien d'autres aléas encore, la "valise ou le cercueil" était une réalité ou pas. A Sétif, par exemple, mon oncle médecin y a coulé des temps heureux avec sa mère. Ce ne fut pas le cas pour son frère dentiste qui tomba dans une embuscade en allant à la pèche pour un week-end avec des amis et perdit la vie. Il est vrai aussi que leur attitude avec les arabes durant les années précédentes, depuis 1934, était totalement différente.
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G
Bien sûr quand un journaliste choisi ces sources, pour convaincre de ce qu'il n'a pas vécu ni subit. Eh oui les massacres, les disparus d' Oran entre autre ça n'a jamais existé. On peut récrire l' histoire suivant son propre intérêt qu'il soit politique ou autre..<br /><br /> Tout le monde était gentil. J'ai la même réaction que lorsque je lis un article écrit par des journalistes ou pseudo historiens que ce qui nient les camps de concentration de la 2ème guerre mondiale. Un vrai journaliste doit informer sur des évènements mais ne pas les déformer. J' ai vécu une partie de mon enfance entre autre en Algérie et Moyen Orient dans l'ex empire coloniale. Mais j'étais à l' école aves des amis kabyles, pieds noirs, arabes chrétiens, druzes etc.. Les enfants parlent sans haine.<br /><br /> et c'est grâce à cela que J' ai appris à différencier le vrai du faux.... Je n'oublierai jamais qu' à chaque retour en métropole scolarisé j'entendais un autre discours, alors que de jeunes Français du contingent se battaient en Algérie, des élevés collectaient des fonds pour le FLN entre autre pour l'achat d'armes et tout cela été organisé par des parties dits de gauches. Les enseignants devaient être sourds ou aveugles sinon complices.....Les pieds noirs étaient accusés de tous les maux et les kabyles de traites, comme un des gouvernements précédent l' avait fait alors pour les juifs....<br /><br /> Les Français dont les anciens Pieds noirs sont toujours bienvenus et se sentent en sécurité au Maroc, en Tunisie.. Mais pas en Algérie ? Il est vrai qu'une partie de la population leur est sympathique, certains même regrettent leur départ, mais malheureusement pas la majorité actuelle. Le pays n'étant pas entièrement sécurisé pour ses propres habitants.....<br /><br /> La suite de l'histoire, depuis la fin de la colonisation rien n'a changé, Au sujet de l'ex-Levant, La guerre continue, les pauvres seront encore plus pauvres, les tyrans plus cruels , les minorités sans argents (ni pétroles) toujours des victimes sans intérêts pour le Monde...Que ceux qui croyaient que le simple fait d' avoir été élevé dans culture Française ou comme chrétiens menacés de mort, attendaient un soutien, une réponse à leur appel de détresse...Beaucoup de blablabla...Mais rien de concret...Pas de pétrole pas d'argent, pas de contrat de milliards d'Euros d'achat d'avion...Plus de colonie donc plus aucun intérêt , Eux ou leurs parents ont bien servi la France, à l'époque , comme cela a été les Kabyles en Algérie... <br /><br /> Désolé l' histoire je la découvre et l'apprend sur le terrain et je continuerais ainsi....
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E
à mettre dans le meme sac que B Stora
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