Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
popodoran
popodoran
Newsletter
9 septembre 2015

BULLETIN D'HUMEUR N° 162

Libre propos citoyen

Document transmis par

LE PHAREFOUILLEUR  le Samedi 5 septembre 2015.

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen - Article XI - 1789

Mort d’enfants… deux poids, deux mesures FN !

Madame, Monsieur, cher(e)s ami(e)s et compatriotes,

         Nous avons tous été meurtris d’apprendre les conditions de la mort d’Aylan KURDI, l’enfant syrien âgé de trois ans, retrouvé mort par noyade mercredi 2 septembre sur une plage de Bodrum en Turquie.  

         Instrumentaliser cette mort pour faire accepter aux pays d’Europe l’arrivée d’un nombre déraisonnable, voire très alarmant, d’immigrés clandestins est particulièrement honteux !

         C’est de la manipulation sans vergogne.

         D’autant que le père de l’enfant, qui vivait en Turquie depuis trois ans ne fuyait pas la guerre, de l’aveu même de sa sœur vivant au Canada, il voulait venir en Europe pour…se refaire les dents !!!

         Le premier responsable de la mort du garçonnet, de son autre jeune frère et de son épouse (cette dernière ne savait pas nager), c’est le père de l’enfant, Abdallah KURDI !

         Constat lucide : monter dans une embarcation qui n’est pas prévue pour contenir douze personnes implique que toute personne embarquée dans ces conditions est en péril, et ce péril a provoqué la mort de trois des membres de sa famille.  

         Le chavirage du bateau a été provoqué par certains des passagers qui se sont levés et l’ont déséquilibré. A qui la faute…à l’Europe ?  

         Comme la photo du petit Aylan a fait le tour du monde, paraît-il, je ne la reproduirai donc pas, volontairement.

         Par contre j’ose vous présenter une autre photo, qui elle n’a pas fait le tour du monde alors qu’elle aurait dû le faire en son temps.

         Elle rappelle la barbarie des lâches djihadistes algériens.

         La voici dans toute son horreur :

1

         Il s’agit du corps d’un petit garçon au prénom resté inconnu, égorgé par les tueurs djihadistes du FLN algérien, le 20 août 1955 à El-Halia (Constantine / Algérie Française).

         Il aimait jouer, il aimait ses parents qui ne cherchaient pas à fuir l’Algérie Française, dont Charles-le-Félon avait promis qu’elle le resterait tant qu’il serait vivant (authentique), il aimait la vie mais il avait le tort d’être un petit Français d’Algérie alors…les djihadistes algériens l’égorgèrent sans pitié, comme ils le font pour un mouton.

         Suivant que l’on est un petit enfant syrien mort noyé ou un petit enfant Français d’Algérie égorgé par des jihadistes, la photo du petit cadavre est ou n’est pas diffusée et les artistes chantent ou non en mémoire du défunt enfant. C’est bien vrai : deux poids, deux mesures !

         Les guerres fratricides au sein des pays arabes, sont le résultat de l’incapacité des responsables à gouverner leurs nations, ruinées par des dictateurs anciennement et ouvertement soutenus par certains pays européens dont la France.

LA MORT d’Aylan KURDI DEVRAIT FAIRE HONTE AUX PAYS ARABES ET NON AUX PAYS EUROPEENS !

Merci de votre aimable considération. Bien cordialement.

Michel Salanon...de l'Hôtel Saint Maurice d'Aïn-el-Turck 

Retour le phare fouilleur

Publicité
Publicité
Commentaires
A
Le passé génocidaire de la France en Algérie. (Reconnaître au moins cette vérité pour que nos population respective puisse se réconcilier )<br /><br /> <br /><br /> En 1880, le déclin démographique de la population algérienne était tel que, dans une étude intitulée La démographie figurée de l’Algérie (17), le docteur René Ricoux, chef des travaux de la statistique démographique et médicale au bureau de statistique du gouvernement général de l'Algérie, prévoyait la disparition des Algériens. Selon lui, les Berbères et les Arabes, « races inférieures » et surtout « races dégénérées », devaient tendre « à disparaître d’une façon régulière et rapide » (18). <br /><br /> <br /><br /> Etudiant l’évolution démographique de la population algérienne depuis l’invasion française de 1830, le docteur Ricoux expliquait : « A notre arrivée, en 1830, la population indigène était évaluée à trois millions d’habitants. Les deux derniers recensements officiels, à peu près réguliers, donnent en 1866 : 2.652.072 habitants, et en 1872 : 2.125.051 ; le déchet en 42 ans a été de 874.949 habitants, soit une moyenne de 20.000 décès par an. Durant la période 1866-72, avec le typhus, la famine, l’insurrection, la diminution a été bien plus effrayante encore : en six ans il y a eu disparition de 527.021 indigènes ; c’est une moyenne non de 20.000 décès annuel mais de 87.000 ! » (19). Au regard de ces chiffres, le docteur Ricoux affirmait qu’ « un déchet aussi considérable (nous pouvons ajouter qu’il se reproduit régulièrement chaque année) suffit à démontrer […] que les indigènes […] sont menacés d’une disparition inévitable, prochaine. » (20). <br /><br /> Dans la nuit du 6 au 7 avril 1832, la tribu des Ouffia fut exterminée près d’El-Harrach (Maison-Carrée) par le gouvernement du duc de Rovigo. A ce moment, Pellissier de Reynaud affirmait : « Tout ce qui vivait fut voué à la mort ; tout ce qui pouvait être pris fut enlevé, on ne fit aucune distinction d'âge ni de sexe. Cependant l'humanité d'un petit nombre d'officiers sauva quelques femmes et quelques enfants. En revenant de cette funeste expédition, plusieurs de nos cavaliers portaient des têtes au bout de leurs lances et une d'elles servie, dit-on, à un horrible festin. » (1) <br /><br /> <br /><br /> Par la suite, l’assassinat de tribus entières se renouvela à plusieurs reprises. En 1844, le général Cavaignac procéda à l’enfumage de la tribu des Sbéahs pour obtenir leur reddition. Décrivant cette « opération », le général Canrobert écrivait : « On pétarada l'entrée de la grotte et on y accumula des fagots de broussailles. Le soir, le feu fut allumé. Le lendemain quelques Sbéahs se présentèrent à l'entrée de la grotte, demandant l'aman à nos postes avancés. Leurs compagnons, les femmes et les enfants étaient morts. » (2) <br /><br /> <br /><br /> En 1845, dans le Dahra, devant les difficultés à réprimer une insurrection menée par un jeune chef maraboutique surnommé Boumaza, le colonel Pélissier décida d’enfumer les Ouled Riah. Ceux-ci s'étaient retranchés par centaines dans des grottes de montagnes. De grands feux furent allumés et entretenus devant les issues des grottes. Loin d’être un acte isolé, l’« enfumade » des Ouled Riah fut encouragée par le gouverneur général d’Algérie, le maréchal Bugeaud, qui ordonna au colonel Pélissier d’employer cette méthode le 11 juin 1845 : « Si ces gredins se retirent dans leurs cavernes, imitez Cavaignac aux Sbeha. Fumez-les à outrance comme des renards/ » (3) <br /><br /> <br /><br /> Quelques semaines après l’« enfumade » des Ouled Riah, le colonel de Saint-Arnaud fit procéder à l’emmurement d’autres membres de la tribu des Sbéahs : « Alors je fais hermétiquement boucher toutes les issues et je fais un vaste cimetière. La terre couvrira à jamais les cadavres de ces fanatiques. Personne n'est descendu dans les cavernes ; personne... que moi ne sait qu'il y a là-dessous cinq cents brigands qui n'égorgeront plus les Français. Un rapport confidentiel a tout dit au maréchal simplement, sans poésie terrible ni images. » (4) ET ENCORE ET ENCORE......................
Répondre
Publicité