CORBEAU...
Et les femmes-corbeaux et leurs tendres chérubins, on les ménage aussi ?
Dans un bus, une femme-corbeau a voulu me faire verbaliser pour insulte
Colmar, le 17 octobre 2019
J’appelle femme corbeau, une femme tout en noir, vêtue de la tête aux pieds, dont on arrive à peine à distinguer le visage. Ces femmes se promènent dans de nombreuses villes de France dont évidemment Colmar, où, selon l’humeur du jour, je leur chante ‘‘frou-frou, frou-frou… c’est tellement la femme’’ ou encore, je leur fais savoir qu’étant en France, elles devraient s’habiller en conséquence…
Mardi 1er octobre 2019 au matin, bien reposé après un bon petit déjeuner, je prends connaissance d’un long article du Figaro du 25 septembre 2019 sur : “La reconnaissance de l’Etat, l’éternelle quête des harkis” ainsi qu’en dernière page du même quotidien d’une déclaration de Mohamed SIFRAOUI (je sais, le personnage est quelque peu controversé). Je retiens avant tout cette formule de sa part, que j’ai toujours fait mienne : “Ce voile n’est rien d’autre qu’un symbole d’infériorisation de la femme et de diabolisation de son corps”. Me voici d’aplomb pour prendre l’autobus ligne 1 direction “Horbourg-Wihr” pour affaire me concernant.
Patatras ! A la station “Champ de Mars”, je tombe sur une de ces femmes-corbeaux, que “j’affectionne” tant, apparemment une convertie, les pires, tout le monde en convient. Elle s’installe au fond du bus, moi idem, bien en face d’elle. Je prends un air goguenard, disons même franchement narquois. Elle se fâche : “Qu’est-ce que vous avez à me regarder comme cela en rigolant ?”
Je réponds : “Vous avez vu comme vous êtes habillée ?”
Elle rétorque : “Je m’habille comme je veux !”
Je vous fais grâce du reste, si ce n’est que le ton monte de plus en plus et que des noms d’oiseaux ont dû fuser de part et d’autre ! Madame, au prochain arrêt “théâtre” s’en va se plaindre au chauffeur, “Il m’a insultée”. Sans coup férir, ce dernier s’apprête à immobiliser le véhicule et à appeler, semble-t-il, la police.
Pas vraiment effrayé, je m’attends néanmoins à devoir ferrailler, ayant manifestement non pas un, mais deux adversaires : le monstre ténébreux et le chauffeur prenant, selon toute vraisemblance, son parti. Les passagers s’impatientent, le conducteur se résout à démarrer.
Peu de temps après, notre apprentie djihadiste s’éclipse.
A une station de la destination, une voiture s’arrête avec un agent, je suppose un contrôleur de la TRACE, la société des autobus de la ville de Colmar, à hauteur du véhicule.
En présence du conducteur, Monsieur le contrôleur me fait savoir qu’une insulte à l’égard d’un quidam est passible d’une amende de cent cinquante euros après un passage au commissariat. Pressé par l’horaire, je ne souhaite pas poursuivre l’incident.
En fait, la “victime” s’étant envolée (c’est normal pour un corbeau) l’infraction peut difficilement être “caractérisée”.
Moralité de l’histoire tout de même : soyez sur vos gardes, les islamistes vous attendent au tournant et sont prêts à toutes les manœuvres, la veulerie ambiante est assurément leur meilleur atout !
Je vais probablement écrire au Directeur de la TRACE, en proposant d’inscrire dans le règlement intérieur : “L’accès aux véhicules est interdit à toute personne qui arbore un accoutrement inapproprié, voire délibérément provocateur”.
Jean-Michel WEISSGERBER
Article transmis par Maurice Calmein
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NOTA BENE :
Dire à un de ces sinistres personnages : « Vous êtes un "DAECH" serait-ce une insulte ou non ?