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31 mai 2010

JACQUES VASSIEUX - IL EST TEMPS DE VOUS DIRE ADIEU

Jacques Vassieux nous a quittés.

         C’est avec beaucoup de peine que j’ai le devoir de vous apprendre que notre ami Jacques Vassieux vient de perdre le dernier combat de sa vie. Jacques est décédé mercredi 22 septembre 2010 au matin des suites d’une "longue maladie".

         L’homme, conseiller régional Rhône-Alpes, était également ancien conseiller municipal de Meythet. Dans le civil, l’homme dirigeait un cabinet d’immobilier et était un expert reconnu en matière d’urbanisme et de construction. Jean-Marie le Pen a réagi à la nouvelle, rappelant son "attachement quasi-filial" à l’homme. Il est décédé à l’âge de 59 ans.

         Plus qu’un ami, Jacques aura été pour nous tous un modèle de courage et d’abnégation, tant dans le combat politique que dans celui qui l’opposait depuis un an et demi à la maladie.

Nous présentons nos sincères condoléances et notre soutien à sa famille et à ses proches.

Qu’il repose en paix !

Jacques_Vassieux

 


Bien chers amis,

         Jacques vient de nous quitter, après des mois d’une terrible maladie qu’il a endurée avec un courage qui a fait l’admiration de tous.

Une maladie qui l’a frappé soudainement alors qu’il se rendait outre-mer auprès de ses enfants et s’en faisait une joie. Un cancer qui aurait dû l’emporter en quelques semaines, et dont son incroyable ténacité a repoussé les limites jusqu’au-delà de l’épuisement. Jacques s’est battu dans la mort comme il s’est battu dans la vie.

         Jacques était avant tout un patriote. Né à Bône en Algérie où il a passé son enfance, marqué par le terrible exode de 1962, il avait connu, par lui-même et par sa famille, le prix de la patrie perdue, de la maison occupée, de la terre qu’on abandonne, des tombes que l’on laisse derrière soi.

         Il aimait passionnément la France, qui pourtant les avaient abandonnés, et les avait ensuite si mal accueillis. Il savait que cette fois-ci, il n’y aurait pas de possibilité de repli.

Après son service militaire au 13ème Régiment de Dragons Parachutistes à Dieuze -Dragon Parachutiste, ça lui allait bien !- et son mariage avec Nelly, Jacques s’est d’abord battu dans la vie civile comme chef d’entreprise, dans le secteur du bâtiment. C’était un bâtisseur, un bâtisseur de maisons compétent, qui connaissait de l’intérieur toutes les difficultés des entrepreneurs : la paperasse, la bureaucratie qui paralyse, les clients, les fournisseurs, l’angoisse des échéances, le lot quotidien et héroïque de ceux qui, aujourd’hui, en France, triment, risquent, créent, sans pouvoir compter sur quelque appui que ce soit, et auxquels on ne rend jamais hommage.

         Constructeur de maisons, il ne voulait pas laisser tomber la maison France en déshérence, et c’est ce sentiment qui fut à l’origine de son engagement politique au Front National. Un engagement qui, compte tenu de ses qualités, devait le porter au Conseil municipal de Meythet de 1989 à 2001, et au Conseil régional de la région Rhône-Alpes, où il siégeait depuis 1998. Aimant profondément ses terroirs de Savoie et Haute-Savoie où il avait fait sa vie et dont il défendait dans notre assemblée les intérêts légitimes, Jacques était resté fidèle à ses origines. 

         Pied-noir, comme l’on dit, il en avait conservé toute la verve méditerranéenne, la joie de vivre, l’enthousiasme et les emportements juvéniles qui nous faisaient souvent rire, et qui mettaient parfois une note de gaieté dans l’exercice ardu et ingrat de nos mandats électifs. Il n’avait pas perdu ses facultés d’indignation, qu’un certain relativisme moral, où la force de l’habitude, où la lassitude, finissent habituellement par émousser. Sa vivacité pouvait peut-être parfois le conduire à quelques excès ou à quelques erreurs – qui n’en commet pas ? – mais il n’y entrait jamais de méchanceté. Quand cela se produisait, il était prompt à le reconnaître, et, si nécessaire, à se réconcilier. Il fut plus d’une fois, dans des circonstances délicates, un médiateur utile et efficace. Passionné par internet, il mit jusqu’au bout cette compétence au service de ses convictions.

         Je sais pour en avoir parlé avec lui que devant le mystère d’abord révoltant de la mort, de l’injustice et de la souffrance, il s’était rapproché de Celui en qui nous mettons notre espérance, le tout innocent dont la condamnation il y a 2000 ans fut la plus révoltante, Celui qui par sa mort a vaincu la mort, et à qui nous le confions aujourd’hui, en essayant de prendre notre part de l’immense peine de sa maman, de sa chère épouse Nelly, de ses enfants Alexandra et Antony, et de sa petite-fille Jade dont il nous parlait souvent. Que tous soient assurés de notre amitié et de notre affection.

         Quant à toi Jacques, vieux camarade, nous ne vieillirons pas ensemble, et c’est bien dommage, car ta jeunesse d’esprit nous manquera. Elle manquera à tous tes amis, à Jean-Marie, Louis, Marine, Dominique, tous ceux du Conseil régional, et tant d’autres !

         Mais nous essaierons de nous consoler en pensant que tu es passé, avec la grâce de Dieu, au-delà de ces montagnes, dans la vallée où il n’y a plus ni larmes ni douleur, du côté de l’éternelle jeunesse, où nous espérons te rejoindre un jour.

 

                   Jacques Vassieux est un PN « engagé » ; il n’a jamais failli, contrairement à bon nombre des nôtres, à l’œuvre de mémoire que tout PN devrait réaliser.

Mes chers amis, nous allons perdre un grand Seigneur, un homme d’honneur, loyal, fidèle et un compatriote qui n’a eu de cesse de mener à bien son devoir de mémoire. Mes larmes ne cessent de couler et j’ai très mal…

Que Dieu vous garde

José CASTANO

Portrait_Jacques

Jacques VASSIEUX

Souvenez vous

Il est temps de vous dire adieu

         Je savais bien qu’un jour viendrait le moment où je vous le dirais mais j’avais peur de le faire et je reculais la date de plus en plus. Là je suis contraint de le faire car le temps m’est désormais compté. Je sais que cela va se terminer dans quelques jours, voire quelques semaines – j’ai toujours été optimiste- tout au plus. Et je ne voudrais pas partir sans expliquer l’histoire, la sale histoire qui m’est arrivée.

 

         Voilà, je suis atteint d’un cancer. Un cancer « haut de gamme », comme dirait Dominique Martin … Le cancer du pancréas. J’ai été diagnostiqué le 3 janvier 2009 alors que j’étais à des milliers de kilomètres de mon cher pays. Le médecin mauricien que j’avais consulté pour un ictère survenu soudainement n’y était pas allé par quatre chemins pour m’annoncer la terrible nouvelle : « M. Vassieux, je suis désolé de vous apprendre que vous avez une tumeur située à la tête du pancréas. C’est très grave. C’est un cancer. Nous, ici, nous ne pouvons rien faire pour vous. Il faut que vous rentriez d’urgence en France ». 1ère mauvaise nouvelle de l’année. Europe assistance, superbe organisation, m’a alors rapatrié, avec le plein d’angoisse, à Lyon.

 

         Je suis arrivé, deux jours plus tard, à minuit, à l’hôpital Lyon Sud. Les infirmières m’attendaient. Je vous laisse imaginer dans quel état moral je pouvais être… J’ai été immédiatement pris en charge par les services du Professeur Jean-louis Caillot qui a décidé de m’opérer le 22 janvier 2009. Ah cette opération… Un vrai calvaire. Cela a duré 6 heures. Le chirurgien a pratiqué l’ablation de la tête du pancréas, de la vésicule, de la moitié de l’estomac, du duodénum, du cholédoque… Et pendant ce temps certains petits cons écrivaient sur des forums tenus par d’autres petits cons, que je léchais le cul des patrons du FN et de Marine Le Pen pour avoir une bonne place au sein du Front.. Je ne souhaite jamais à ces abrutis de connaître l’état dans lequel j’étais, même si c’est la seule façon de se rendre compte que quand on subit ce que je subis depuis 17 mois, la seule préoccupation que l’on ait ne soit pas de « récupérer » un poste mais de survivre !


         Après l’intervention je suis resté 15 jours allongé sur mon lit d’hôpital avec sondes, perfusions, et tuyaux branchés. Quinze jours allongé sur le dos sans pouvoir bouger. Malgré la morphine, l’enfer venait de commencer.


         J’ai alors entamé une chimiothérapie. Toutes les semaines. C’est infect. Nausées, vomissements, courbatures, fatigue intense, maux de tête, tels étaient les quelques effets secondaires parmi d’autres que cela me provoquait à chaque fois.

 

         Et en juin je passais mon premier contrôle scanner. J’avais raison d’angoisser car la deuxième mauvaise nouvelle de l’année venait de me tomber dessus. Si je n’avais plus rien au pancréas, mon foie était désormais atteint par des métastases. Et pendant ce temps, les mêmes petits cons continuaient toujours de m’insulter sur les mêmes forums ou sites tenus par d’autres petits cons… Parce que la cellule riposte du FN que j’avais créée et que je dirigeais leur entrait dans la gueule avec de plus en plus d’efficacité !

         La cancérologue qui me suivait m’avait alors conseillé d’aller « hurler ma colère »  sur le parking de l’hôpital car, d’après elle, il n’y avait plus d’espoir pour moi. C’est que je fis en sortant de l’hôpital en serrant très fort la main de mon adorable épouse. Les passants avaient du me prendre alors pour un fou. Tant pis. En septembre, d’autres tumeurs. En janvier elles étaient devenues volumineuses et là, en mai, elles sont énormes.

 

         Les chimiothérapies que je n’ai jamais cessé de faire depuis n’ont donné aucun résultat. Tout ça, toutes ces souffrances pour rien ! C’est injuste. La peur et la douleur se sont désormais installées en moi. Je souffre physiquement et de plus en plus intensément. Je n’en peux plus. Parfois je tente de donner le change mais autour de moi, plus personne n’est dupe. Chaque jour me voit maigrir, mes forces s’en sont allées et le moral n’y est plus.

 

         Et pourtant je me suis tant battu. Pendant des mois, pour continuer à militer à ma façon, j’écrivais sur NPI et sur NPMag. Je me suis même payé le luxe de faire campagne pour les régionales. Fallait voir la tête des adversaires et des journalistes quand ils me voyaient arriver sur le plateau avec la pompe à chimio branchée sur ma poitrine et accrochée autour de ma taille. Et puis j’ai été ré élu. Cela m’avait requinqué cette bataille. Comme me requinquaient toutes les conneries que je pouvais lire sur moi ça ou là. Combien de fois m’est-il arrivé d’éclater de rire en lisant les abrutis de service parler de moi et me prêter des intentions que l’on peut avoir, peut-être, que lorsque l’on a la forme. Je me disais : si seulement ils savaient ces pauvres fous. Moi je m’épuisais physiquement. Eux me faisaient grand manitou du FN. Trop drôle les cons quand même quand ils s’y mettent.

 

         Et puis le 27 mai dernier je suis allé de nouveau à Lyon Sud pour rencontrer un professeur qui s’est fait une certaine réputation en mettant au point une formule de destruction de cellules cancéreuses par le froid. Nouvel espoir. Il m’a examiné, mais lorsque j’ai vu sa tête j’ai compris. Cela a été mon troisième choc. Ma troisième mauvaise nouvelle. Il m’a aussitôt confirmé que je ne pouvais pas bénéficier de cette technique. Et d’aucune autre d’ailleurs. Ni opération, ni greffe. Il m’a juste indiqué que je devrais essayer de voir s’il n’y avait pas des essais en cours auxquels je pourrais participer. Que ce serait une sorte de dernière chance. Et quand je lui ai demandé si j’étais foutu, il m’a juste répondu que mon cas était très préoccupant.

 

         Voilà. C’est donc fait, il n’y a plus rien à faire. Et c’est pour cela qu’il fallait que je vous dise maintenant ce qui m’arrive. Et puis je le vois bien. Je maigris de jour en jour et les douleurs augmentent jusqu’à être devenues presque insupportables. C’est donc la fin. Je ne vais donc plus pouvoir militer, écrire, défendre mes amis du Front, piquer des colères.

 

         Jean-Marie Le Pen,  qui m’appelle toutes les semaines pour prendre de mes nouvelles,  m’a demandé samedi de « tenir bon la barre », de « m’accrocher à la rampe ».  J’ai essayé, j’ai tenu, je me suis battu comme un fou, mais là je vais décevoir mon Président, je n’y arrive plus.

 

         Pas une semaine ne s’est passée non plus sans que Marine Le Pen ne m’ait envoyé des mots d’encouragements, des bises téléphonées et sans que Bruno Gollnisch ne prie pour moi. Ils vont tellement me manquer. Mais celui que va le plus me manquer c’est incontestablement Louis. Mon ami Louis Aliot. Pas un jour depuis le départ de ma maladie ne s’est passé sans qu’il ne prenne de mes nouvelles, sans qu’il ne m’encourage, qu’il ne me soutienne. Louis est devenu pour moi comme un petit frère qui veille sur son grand frère malade. Il est le dernier ami que Dieu m’ait permis d’avoir et il est celui dont les conversations vont le plus me manquer. C’est quelqu’un de bien Louis. De très bien. C’est mon frère.

 

         Et puis je ne verrais plus Dominique Martin. Dom avec qui pendant plus d’un quart de siècle j’ai milité. Qui m’a vu rire, me battre, déconner, danser, gueuler. C’est sans doute celui qui me connaît le plus. Et puis Bernard. Mon ami Bernard qui tous les jours passe me voir pour satisfaire le moindre de mes désirs. La pelouse à tondre, me conduire au PMU voir mes copains, m’emmener chez France 3 à Grenoble, ou au Conseil régional. Bernard s’occupe de tout ça pour moi. C’est un saint.


         Voilà, ce que je voulais vous dire. Que je ne pourrais plus participer comme je le faisais à NPI ou à NP Mag. Je voulais vous dire aussi que je vous ai aimés, même vous les cons. Que ma famille et mon pays ont été les choses qui ont le plus comptées pour moi. Mais aussi que je n’arrive pas à me faire à l’idée de ne pas participer à la bataille finale. Celle qui donnera la victoire au Front national. Je l’aurais pourtant, en tout cas me semble-t-il, un peu mérité. Ca ça m’énerve profondément. Comme cela m’énerve de ne pas être là pour lire les mémoires de JMLP quand elles seront publiées,  de ne pas participer au Congrès en janvier, de ne pas voir grandir ma petite fille Jade, de laisser mon épouse se débrouiller désormais toute seule pour tout affronter, et aussi de ne plus revoir Alexandra ma fille et Anthony mon garçon. Ca c’est dur.

 

         Mais, dans mon malheur, j’ai quand même de la chance, j’ai encore toute ma tête et je peux vous dire tout ce que je vous ai dis.

 

Et puis je peux aussi vous dire Adieu.
Alors, Adieu camarades !

Posté par Jacques le 31 mai 2010 L’adieu émouvant d’un homme de cœur, d’un grand patriote… et d’un ami

Retour JOSEPH CASTANO. 

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Commentaires
G
Unechanson m'a particulièrement émue et elle résonne dans ma tête : "le jour où le dernier pied noir quittera cette terre" - Nous allons célébrer le 50ème anniversaire de la plus grande trahison que nous ayons connue - après que bien des pieds noirs et des musulmans (arkis et aussi des musulmans qui ont eu le malheur de croire aux belles promesses du "grand" "grand de taille mais "petit" dans ses actes) aient donné leur vie pour ce qu'ils croyaient fermement être leur France - Des dirigeants peu glorieux de la France Métropolitaine ont offert sur un plateau en argent au fln, aln et autres criminels - alors le jour où le dernier pied noir rendra son dernier souffle - Ici on nous oubliera comme on nous a toujours ignorés et reniés.
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G
Je n'ai lu cet article et ces message que ce jour.<br /><br /> Un seul sentiment : la tristesse. Que Dieu protège son âge.
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H
EN CE DIMANCHE : PRIONS -
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V
La justice des hommes c'est du"pipo" La seule Vraie justice sera devant DIEU le MisericorDIEU Nous Prions pour TOI JACQUES et tous les SAINTS
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V
La justice des hommes c'est du "pipo" la Vraie Justice Nous l'auront devant DIEU avec Sa MISERICORDE...
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H
QUE DIEU AIT SON AME ! ALLELLUIA !
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S
Encore un qui s'en est allé ! quelle tristesse !<br /> Chacun de nous pensera à Jacques comme à un des siens.<br /> Il a fait preuve tout d'abord de l'amour du pays , et pour finir d'un grand courage !<br /> Nous dire sa souffrance , nous relater ses différents soins pour cette terrible maladie .<br /> Chaque fois que l'un d'entre nous part vers le Paradis PN nous prions pour un jour quand notre tour sera venu pouvoir le retrouver.<br /> L'été 1962 ce fut l'exode, la dispersion mais au fond de nos coeurs nous avons tellement de souvenirs communs que le jour où..... arrivera notre heure nous savons que quel que soit la région d'Algérie que nous représentons nous saurons ensemble l'évoquer encore dans l'éternité.<br /> Paix à son âme et.... à un de ces jours dans notre paradis <br /> <br /> Isabelle Sintes née BERTIN (I.B.S.)
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H
J'ai envoyé mes condoléances -
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A
Bonjour ! <br /> <br /> Ue difficile fin courageuse d'un être humain ! Un émouvant récit.<br /> <br /> Je ne le connais pas, mais je présente mes condoléances à sa famille car ce-ci arrive et arrivera à tout le monde mais chacun son destin et son heure.
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D
Le gitan et Dieu sont avec toi,tu peux appeller ,bonsoir a ma copine Nelly,mimis du louftingue
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M
http://smlr.free.fr/<br /> Mon époux est parti vers d'autres cieux le 3 aout,<br /> Il avait mit tout son coeur pour faire ce site sur Mosta .<br /> Il a été courageux jusqu'au bout!<br /> Merci monsieur pour toute la lucidité dont vous faites preuve et quelle leçon!!!<br /> Maryline
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F
Merci à vous pour tout ce que vous avez pu faire pour soutenir et clamer la vérité.<br /> J'admire votre courage dans la maladie et la souffrance.<br /> J'espère qu'un jour la vérité triomphera et que tous les français se rendront compte de ce qui s'est réallement passé et que dans le ciel vous pourrez assister à cette victoire.<br /> Sachez que nous penserons toujours à vous
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R
Je suis originaire de Bône en Algérie Française et je viens de prendre connaissance de votre message d'adieu qui m'a profondément touché.<br /> <br /> Je voudrais vous remercier pour votre courage et votre détermination dans les combats inégaux que vous avez mené face aux traitres à la Patrie,devenus criminels de guerre, que vous avez combattu, puis contre votre maladie qui, hélas, paraît sans issue.<br /> <br /> Je me souviens très bien des souffrances endurées par mon père, en mars 1963, peu après notre arrivée en territoire hostile après l'abandon. <br /> <br /> Il était atteint d'un cancer du poumon qui s'est généralisé.<br /> <br /> Je me souviens aussi que les médecins de l'Hôpital ou il était soigné n'avaient trouvé de mieux, pour le soulager de ses souffrances, que de l'enfermer dans une pièce capitonnée réservée aux déments...<br /> <br /> Par la suite des charges massives de morphine eurent raison de cet homme considérablement diminué. <br /> <br /> Courage M.VASSIEUX, sachez que vos combats ont été nobles et qu'une bonne majorité de Pieds Noirs, ceux qui n'ont rien oublié et rien renié, vous soutiendront toujours.<br /> <br /> Courage aussi à vos proches car ils connaîtront l'absence, la votre, celle qui fait le plus mal et dont on ne s'en remet jamais.<br /> <br /> Avec mes plus sincères amitiés... Courage ...<br /> <br /> Robert
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M
Nous n'avons jamais étés adhérent du FN parce que pas les moyens,mais notre coeur a toujours battu pour lui!Nous avons invariablement voté pour!Sans jamais tourner notre veste!<br /> En ce moment mon mari se bat contre des cancers:du poumon,des os et du pancréas!et la morphine ne le soulage plus.Je sais que l'amour de ma vie va se retrouver derrière la porte un de ces jours et je crois bien que d'ici je l'entendrai chanter :c'est nous les africains qui revenons de loin!! Je vous souhaite le plus doux des passages .<br /> Maryline
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I
Monsieur,<br /> Votre lettre d'Adieu nous a profondément émus.C'est avec beaucoup de compassion que nous l'avons lue.<br /> Vous avez, pour tous vos frères Pieds-Noirs,donné le maximum de vous-même.<br /> Je ne vous connais pas personnellement,mais puisque rien ne vous a été caché par le corps médical et que vous savez le temps qu'il vous reste à passer parmi vos proches;pensez à votre âme si vous êtes catholique.<br /> Rapprochez-vous de la Fraternité Saint Pie X,ses<br /> prêtres nous ont toujours soutenus et disent à chaque anniversaire des messes pour nos martyrs <br /> de l'Algérie Française.Ex;Saint Nicolas du Chardonnet à Paris.<br /> Il existe un Prieuré pratiquement dans chaque Région ou département.<br /> Je commence une neuvaine pour vous,votre épouse et vos enfants.<br /> Merci pour votre dévouement.Beaucoup de courage à vos proches et que Dieu vous garde.
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G
Tu nous as soutenu lors de la profanation en 2005 du cimetière de Mers el-Kébir. <br /> L'association du 3 juillet 1940-2005 pour le rapatriement du cimetière marin de Mers el-Kébir en France, honore le combattant de la cause PN.<br /> Il y aura encore des soldats pour continuer le combat de nos pères. Tu iras rejoindre un combattant Gilbert Ibanèz qui créa le site Algérie Française la vérité. Vous serez tous dans nos pensées. Je t'embrasse, Alain
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J
La victoire du front arrivera, inéluctablement et ce jour je penserai à toi cher compatriote si courageux et combatif.<br /> <br /> Jean Michel Martinet
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P
je ne vous connais pas mais je vais prier pour vous pour vous aider <br /> mon mari est parti le 22 mai 1999 de la même maladie <br /> mon beau frère joseph paya a mis fin à ses jours le 29 mai 2007 il était agé de 87 ans et a écrit sur le site algérie française jusqu'au 10 avril<br /> vous serez toujours avec nous <br /> je vous embrasse simone paya la seyne sur mer
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S
Tout le monde doit partir un jour, même les plus engagés et courageux des Patriotes.<br /> L'Algérie Française aura bientôt perdu tous les fidèles Soldats de son arrière-garde . Que le Ciel leur soit ouvert.
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P
Cet homme est un modèle de courage, de dignité et d'abnégation. Il est de la trempe des icones qu'étaient à nos yeux les Bastien Thiry, les Degueldre, les Dovecar et les Piegtz. Ils lui feront une place à leurs côtés et ainsi lorsque nos prières monteront vers eux, c'est vers ces héros immortels auxquels nous les adresserons avec pièté, amour et fraternité, puisque nous sommes les enfants de notre mère" l'Algérie Française". N'oubliez jamais Jacques VASSIEUX et que Dieu le serre contre lui et l'ai en permanence en sa sainte Garde.<br /> AU REVOIR L'AMI et à UN DE CES QUATRE LA-HAUT.
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G
Je ne vous ai pas connu cher Monsieur et malgres cela je suis boulversé par votre récit:je partage entiérement vos idées et souhaite de tout mon coeur que le bon dieu vous ai acceuilli dans son paradis et veille de la haut sur votre famille et tous ce que vous avez aimé......au revoir
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C
Sans vous connaitre ,j'ai lu votre adieu avec<br /> <br /> emotion.Nous ne sommes que de passage sur Terre<br /> <br /> mais le souvenir des meilleurs se transmet de<br /> <br /> generation en generation.<br /> <br /> Bien sincerement Alain Casanova
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R
merci cher compatriote ,merci pour tout ce vous avez apporté à la cause des PN et au Front National.<br /> Courage, votre message m'a fait monter les larmes.<br /> C'est injuste ce qui vous arrive ,Dieu sait reconnaitre les siens ,je suis croyant et reste convaincu que l'autre monde est meilleur .<br /> Mes prières vous accompagnent.<br /> Richard Ramon un oranais
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L
JE NE VOUS CONNAIS PAS PERSONNELLEMENT ET EN LISANT VOTRE MESSAGE JE SUIS BOULEVERSE, JE SAIS QUE VOUS AVEZ ETES UN ARDENT DEFENSEUR DE L'ALGERIE FRANCAISE, VOUS POUVEZ ETRE FIER DE VOS ACTIONS. GARDEZ TOUJOURS ESPOIR CE MAL PEUT ETRE VAINCU CAR VOUS ETES UN COMBATTANT, AVEC LES SENTIMENTS QUE VOUS EXPRIMEZ VOUS ETES LA FIERTE DES PIEDS NOIRS; LE SEIGNEUR EST AVEC VOUS ET IL NE PEUT PAS VOUS ABANDONNER CAR VOUS ETES LE SYMBOLE DE LA JUSTICE QUE LE PEUPLE PIED NOIR ATTENDS DEPUIS 49 ANS BON COURAGE<br /> <br /> UN ORANAIS QUI PRIE POUR VOUS;<br /> <br /> ROGER LANCRY
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F
Je ne vous connais pas mais je suis bouleversée, demain ce sera peut être moi mais aurai-je un tel courage ?<br /> Il est bon de dire ce que beaucoup taisent .<br /> Bon de hurler !!! <br /> maintenant j'espère que votre famille vous entourera et que les soins paliatifs vous aideront car j'ai une cousine qui vient de faire '' le grand passage '' en douceur grace à une merveilleuse équipe<br /> je ne suis pas bigote, même pas croyante ... mais cependant espèrons qu'il y aura quelqu'un qui vous attendra '' de l'autre côté '' pourquoi pas ? il y a tant de mystères qui tendraient à le prouver<br /> <br /> je vous embrasse<br /> <br /> Annie Fernandez, 66 ans ( VOIRON 38500 )
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J
Je n'ai pas eu l'honneur de te connaitre.nous sommes compatriotes de Bône,tes idées sont les miennes et comme tu le dis "bien des Pieds-Noirs ont oublié ou tourné leur veste".<br /> Merci Jacques pour tout ce que tu as fait et donné,car tu as été un Homme d'honneur(chose très rare de nos jours).<br /> Le seul hommage que nous pourrons te rendre c'est qu'un jour,nous arriverons à triompher.<br /> Tu seras toujours présent dans nos coeurs ainsi que d'autres qui sont partis et qui défendaient Notre Cause.
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Y
Au revoir Ami.<br /> Vous appartenez à la race des Seigneurs.<br /> Que Dieu vous garde prés des Notres, et protège votre famille.<br /> Yves de Philippeville, ancien appelé 70/10, comme vous(chauffeur du bus) du 13° RDP
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R
oui cela doit être un homme de bien les larmes me sont montées aux yeux en lisant son emouvant adieu., j'ai fait partie du fn à lyon auprés de bruno golnisch, dans la section de tassin la demi lune, et puis cela c'est su à mon niveau professionel, car éducateur en prévention je militais sur le quartier ou je travaillais, tracts, collages meeting;;;;;;et puis cela c'est su alors je n'ai eut que la solution de quitter lyon, sinon je perdais mon emploiet j'ai continuer à me battre pour rehabiliter les pieds noirs en répendant mes idées et souvenirs dans mon entourage, j'admire ce monsieur qui à été capable de mettre sa peau au bout de ses idées malgré la maladie, et qui aura lutté jusqu'au boutsi il disparait prochainementje le remercie pour son courage et sa volonté qui m'insufle de me battre encore plus pour réhabiliter notre pays qui n'existe plus avec mes modestes moyens, mais surtout je sais qu'il va rejoindre tous nos amis disparus pour l'algérie française:bastien thiry, degueldre dovecar, piegts et bien d'autre comme salan jouhaud et tous les anonymes morts pour l'algérie française, je prie pour toi, mon ami.....
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L
C'EST AVEC BEAUCOUP D'ÉMOTION QUE J AI LU VOTRE MESSAGE PLEIN D'AMOUR ET DE SAGESSE, D'UN "HOMME " QUI A RESPECTÉ SES CONVICTIONS JUSQU'AU BOUT , SOYEZ EN REMERCIÉ. SI VOUS ÊTES CROYANT CE N'EST PAS UN ADIEU VOTRE ESPRIT SERA TOUJOURS PARMI NOUS . RECEVEZ L'EXPRESSION DE MON RESPECT <br /> COURAGE, QUE DIEU VOUS AIDE ET VOUS PROTÈGE
Répondre
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