Halet, j’ai hélas le même sentiment que vous. En 1962, la seule priorité vitale du Pied Noir était de se reconstruire, surtout survivre psychologiquement. 50 ans après, la plupart d’eux reconstruits, la majorité avec succès, se sont résignés au destin. Ils ont pardonne et même oublie. C’est plus facile. Il faut vivre le présent, pas le passé ni le future. <br /><br /> Qu’en reste-il de nos racines ? Alors, pourquoi, continuer à en parler ? <br /><br /> Parce que c’est notre vérité. Notre devoir de la faire connaitre pour nous-mêmes, nos descendants et les autres.<br /><br /> Un jour viendra ou nous serons capables de nous fédérer pour faire une manifestation dans chaque ville de la France, comme vous le mentionnez, pour faire connaitre notre vérité. Le moment est aujourd’hui.

Et Zorr..euh!..non..2gol est arrivé..é..é..!!!<br /><br /> Et ensuite la censure a changé le commentaire.Et bientôt: " Gloire à ces glorieux soldats de libération " en cette année du cinquantenaire et<br /><br /> honnis ces sales colonialistes,n'est-pas François?..n'est-ce pas président?

Exactement cela - Avec émotion : les vignobles et les orangeries de mon enfance - <br /><br /> J'ai vu la valise et le cercueil -<br /><br /> Mais pourquoi vouloir se faire tant de mal avec les souvenirs -<br /><br /> Nous ne sommes même pas capable de nous fédérer pour faire une manifestation digne de ce nom -<br /><br /> Alors, pourquoi, continuer à en parler -<br /><br /> Je pense sérieusement, après les élections, de m'expatrier, mais cette fois, "on" ne me fichera pas dehors, je partirai de moi-même -<br /><br /> Honte à ceux qui ne réagisse pas et qui font tout pour diviser -