Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
popodoran
popodoran
Newsletter
5 novembre 2014

BULLETIN D'HUMEUR N° 120

Libre propos citoyen

Document transmis par

LE PHAREFOUILLEUR  le Samedi 1 novembre 2014.

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen - Article XI - 1789

1er novembre 1954 : début du jihad algérien contre la France !

Madame, Monsieur, cher(e)s ami(e)s et compatriotes,

         Dans l’histoire de l’œuvre civilisatrice de la France en Algérie (n’oublions pas qu’avant 1830 l’Algérie n’existait pas, ni en tantque pays et encore moins en terme de peuple), il est une date inoubliable qui a marqué le début des « évènements d’Algérie » (bien avant que soit utilisé l’appellation « guerre d’Algérie ») : le 1er novembre 1954, journée dramatique qualifiée de « Toussaint rouge » à cause des premiers morts civils assassinés par les djihadistes algériens (à l’époque ondisait terroristes ou rebelles)….au nom de l’Islam !

         Le drame se déroula en plein cœur du massif des Aurès, sur la RN 31 qui relie les villes de Biskra et Arris, dans les gorges sauvages de Tighanimine, vers 7h00 du matin.

         Un groupe de terroristes armés se réclamant de l’ALN (Armée de Libération Nationale) arrête un vieux bus qui roule à petite vitesse et transporte essentiellement des paysans. Les rebelles en font descendre trois voyageurs qui se distinguent des autres :

- Hadj SADOK, un musulman en tenue saillante, caïd du douar M’chounèche, ancien capitaine de l’armée française,

- Guy et Jeannine MONNEROT, deux européens de 23 et 21 ans, jeunes mariés et instituteurs installés depuis moins d’un mois à la mechta de Tifelfel (desservie par la RN 31) où leurs idées libérales les avaient fait aller pour « rendre service en instruisant les populations locales ».

         Le chef des rebelles aurait demandé à Hadj HADOK sur un ton menaçant : « de quel côté es-tu ? ». Il aurait répondu : « je ne discute pas avec des bandits (…), vous n’avez pas honte (…) ce sont des instituteurs français qui viennent pour nous aider ».

         C’est alors qu’une rafale d’arme automatique est tirée en direction des trois otages qui s’écroulent : Hadj HADOK est touché au ventre, Guy MONNEROT est atteint à la poitrine, Jeannine MONNEROT est blessée à la hanche, elle survivra.

Le cadavre de Hadj HADOK est déposé dans le bus, tandis que les corps des deux français sont laissés au bord de la route. Le 1er novembre 1954 fut le signal d’une vague d’attentats qui provoqua la mort de dix personnes, dont les deux précitées.

         Ces crimes ont bel et bien été commis au nom de l’Islam !

         Le 7 novembre 1954, en première page de l’Echo d’Alger, on peut lire la déclaration de François MITERRAND, alors Ministre de l’Intérieur de la IVe République : « L’Algérie c’est la France et la France ne reconnaîtra pas chez elle d’autre autorité que la sienne ».

         Dans la famille des menteurs professionnels, je demande FM… !

         Cette « Toussaint rouge » fut le début d’un drame terrible accentué par la lâcheté du traître de Colombey, responsable de l’abandon de l’Algérie (alors que l’armée française tenait bien le pays et que les rebelles commençaient à se rendre), l’exode inhumain des Pieds-Noirs (devenus des parias après avoir été les dignes soldats de l’armée d’Afrique avec leurs frères d’armes musulmans), et le terrible génocide de 100.000 (150.000 ?) Harkis massacrés avec une barbarie difficilement imaginable.

         L’indépendance de l’Algérie, votée après un référendum-plébiscite organisé par Charles-le-félon, fut effective le 5 juillet 1962.

         Les massacres ne s’arrêtèrent pas pour autant : le génocide des Harkis dura plusieurs mois après cette date, dans l’indifférence générale des autorités françaises et des nations….dites civilisées.

         Autant de taches ensanglantées qui laissent des traces indélébiles sur les mains de la France, que les décideurs de l’Education Nationale ont fait disparaître des livres d’histoire.

Pour ce sang répandu, honte à tous les gaullistes de la terre, d’hier et d’aujourd’hui, copains-coquins avec le FLN algérien !

         Certes les Pieds-Noirs, les militaires et les Harkis qui ont survécu à ces tueries se souviennent avec gravité de ces années de terreur.

         Et pourtant certains ont toujours autant de m…. dans les yeux et les oreilles : la municipalité socialiste de Bagnolet avec le soutien d’une grande partie de la « gauche unie » (Verts, Radicaux de gauche, parti de gauche, PC, entre autres), a organisé une fête (!) en ce soixantième anniversaire de la Toussaint rouge, avec une exposition intitulée (lisez attentivement) : Algérie, un peuple, ses résistants !

         Non, nous ne rêvons pas.

         Qu’en pense Maxence BUTTEY, jeune Conseiller Municipal FN de Noisy-le-Grand (93), récemment converti à l’Islam ?

Merci de votre aimable considération. Bien cordialement.

Michel Salanon...de l'Hôtel Saint Maurice d'Aïn-el-Turck 

Retour le phare fouilleur

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité