AVIATION EN ALGERIE FRANCAISE
Documents transmis par Pierre Jarrigue
SECONDE GUERRE MONDIALE EN ALGERIE FRANCAISE.
Documents transmis par Pierre Jarrigue
SECONDE GUERRE MONDIALE EN ALGERIE FRANCAISE.
52 - Aéromodélisme n°1
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53 - Aéromodélisme n°2
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« Nous courons sans souci dans le précipice, après que nous avons mis quelque chose devant nous pour nous empêcher de le voir » (Blaise PASCAL)
Dès lors qu’il s’agit des relations entre pays développés et tiers-monde, l’Occident, et principalement la France, sont atteints d’un sentiment de culpabilité qu’entretient une classe intellectuelle et médiatique inspirée par l’idéologie mondialiste et le rejet du passé colonial présenté comme honteux. L’esclavage, le colonialisme, le capitalisme, l’exploitation sous toutes ses formes, que nous aurions infligés aux peuples du Sud, nous rendraient coupables à leur égard d’une faute irrémissible et leur confèreraient sur nous des droits : devoir de repentance pour les uns, pour les autres droit aux compensations, à l’ouverture des frontières, et demain bien sûr droit à une revanche méritée. Alors que sont expulsées ou dépossédées les dernières minorités européennes des pays ex-colonisés et notamment d’Afrique, il nous faudrait, au nom de ces « péchés » historiques, accepter et entretenir sur notre sol des flots de migrants venant de ces mêmes pays, y compris lorsqu’ils s’imposent chez nous en violant nos frontières et nos lois. Dans cette vision des choses, les coupables ne sont plus ceux qui renoncent à défendre nos valeurs, notre identité et notre territoire, mais ceux, qualifiés de « xénophobes », qui prétendent résister à un déferlement migratoire de plus en plus envahissant et arrogant. La manipulation idéologique s’appuie sur un arsenal législatif de jour en jour plus répressif.
Accueillir des migrants en surnombre auxquels nous n’avons à proposer que l’assistanat, l’économie parallèle et la délinquance, au nom de la compassion et du rachat de nos fautes présumées, est un faux argument auquel nos compatriotes cèdent trop facilement. L’alibi de la solidarité et de l’aide au tiers-monde ne tient pas : Les pays qui voient partir les migrants n’ont rien à y gagner sur le long terme. Le coût social d’un seul immigré africain en France permettrait d’en faire vivre et travailler utilement plusieurs dizaines chez eux. Aider les tricheurs attirés par le mirage de l’Eldorado français ne fait qu’enfoncer un peu plus leurs pays dans un sous-développement devenu chronique, car structurel. L’argent qu’ils envoient à leurs parents est investi dans l’immobilier de prestige (Bamako et Kayes, au Mali, sont entourées d’une ceinture de carcasses de béton abandonnées) ou sert à acquérir des biens de consommation importés au détriment de l’économie locale. Le « bon pain blanc », fabriqué avec de la farine de blé d’origine étrangère acheté avec l’argent des immigrés, a ruiné les producteurs de vivriers locaux, mil, sorgho et manioc. Les politiques dites d’aide alimentaire aboutissent d’ailleurs aux mêmes conséquences, déstabilisant des économies fragiles et poussant les agriculteurs à émigrer, dans un premier temps dans les mégapoles africaines devenues ingérables, puis en Europe. Les « transferts de technologie », autre argument souvent invoqué en faveur de l’immigration, sont de très faible amplitude car les retours au pays sont de plus en plus exceptionnels et les savoir-faire acquis en France par une main-d’œuvre non qualifiée au départ trouvent rarement un débouché en Afrique. Un éboueur parisien aura du mal à exercer ses talents dans la vallée du fleuve Sénégal, où, par contre, l’agriculture manque désormais de bras et surtout de débouchés rentables. L’immigration des cadres, dite à tort immigration « choisie » car elle n’est pas davantage maîtrisée que l’autre, est tout autant pernicieuse car elle prive l’Afrique de l’élite professionnelle dont elle aurait besoin pour enfin sortir de l’ornière.
L’immigration, conséquence du sous-développement et d’une décolonisation ratée, ne saurait en constituer le remède. Faire appel aux bons sentiments d’une opinion publique manipulée, mal informée et indûment culpabilisée, pour lui faire accepter l’intrusion sur son territoire d’une immigration envahissante qui tend à ruiner notre économie et à détruire notre identité, sans bénéfice décelable pour les pays d’origine des migrants, constitue une supercherie mortelle. Ce n’est pas en encourageant les comportements de fuite que nous contribuerons au développement des pays du Sud, bien au contraire. L’émigration est un choix personnel, qui ne confère aux migrants aucun droit. Les intellectuels, politiques, magistrats, gens d’église, de media, de lettres et du spectacle, belles âmes en quête de valorisation personnelle ou électorale, qui jouent de la corde sensible pour instrumentaliser la pitié des Français, se trompent ou nous trompent. A l’époque coloniale et après, alors que la France constituait encore aux yeux des Africains authentiques un modèle et un partenaire respecté, beaucoup d’entre nous avons participé, sur un terrain difficile, à la construction d’une Afrique prospère et digne. Nous n’avons, à ce titre, aucune leçon de générosité à recevoir d’apprentis sorciers et d’idéologues toujours prêts à dénigrer la France, pour soigner leur image politique et promouvoir leur vision d’une humanité hors-sol, grise, déculturée et amnésique.
Robert SCHILLING rjp.schilling@wanadoo.fr
"La France est un pays qui s'est construit sur la diversité et sur l'immigration. Ça doit continuer." (Nicolas SARKOZY, alors Ministre de l'Intérieur, le Monde 08/04/2003)
« L'absence de communauté nationale est facteur de guerre civile, tant que les citoyens ne partagent pas les mêmes valeurs de civilisation. Une cité ne se forme pas à partir de gens pris au hasard, et elle a besoin de temps pour se coaguler. C'est pourquoi, parmi ceux qui ont accepté des étrangers pour fonder une cité avec eux, et pour les intégrer à la cité, la plupart ont connu des guerres civiles. Par exemple, les tyrans de Syracuse, en ayant naturalisé les immigrés, ont dû subir des révoltes. Citoyens et étrangers en sont venus à se combattre » (Aristote, Politique, Livre V)
« Nous devons être fous, littéralement fous à lier dans ce pays, pour autoriser chaque année l’entrée de 50.000 personnes, qui seront à l’origine de la future augmentation de la population d’origine immigrée. J’ai l’impression de regarder ce pays construire frénétiquement son propre bûcher funéraire » (Enoch Powell – 20 avril 1968)
Sous le titre « Stopper l’immigration, renforcer l’identité française », Marine Le Pen prévoit ceci dans son programme : « L’immigration non contrôlée est source de tensions dans une République qui ne parvient plus à assimiler les nouveaux Français. Les ghettos, les conflits interethniques, les revendications communautaires et les provocations politico-religieuses sont les conséquences directes d’une immigration massive qui met à mal notre identité nationale et amène avec elle une islamisation de plus en plus visible, avec son cortège de revendications. Le communautarisme est un poison contre la cohésion nationale. »
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- Appel à soulèvement des immigrés musulmans contre la France
http://www.petitsechodoran.com/flash-info/la-france-en-grand-danger-de-printemps-arabe,a3005645.html
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Conférence sur : « LA KAHENA »
(La fabuleuse épopée de cette reine berbère qui s’opposa au VIIe siècle à l’invasion arabe de l’AFN)
« Quinze ans après la mort du Prophète Mahomet, les armées arabes abordaient l’Afrique du Nord. Ce pays, jadis transformé par la civilisation romaine, en partie conquis à la foi chrétienne, va entrer dans l’ensemble, de jour en jour agrandi du monde musulman. C’est alors, que pour faire face à l’envahisseur, une femme va organiser la résistance berbère, réaliser la difficile unité du Maghreb et infliger aux cavaliers arabes de cuisantes défaites. Celle-ci, connue dans l’histoire sous le nom de La Kahéna, avait un caractère sacré. Il signifiait, la sorcière, la prêtresse, la devineresse. Elle possédait en effet un don prophétique et était vénérée de son peuple. Mais ses succès mêmes causeront sa chute…
Durcie par ses victoires dans une orgueilleuse intransigeance, ne vivant plus que pour son clan, cette femme, si longtemps écoutée et obéie, ne pourra maintenir l’unité berbère et juguler les séculaires rivalités entre tribus. Dès lors, elle prédira son propre destin et, cernée par la trahison, verra dans un ultime baroud d’honneur tomber les meilleurs de ses compagnons. L’islamisation de l’Afrique du Nord était en marche… »
C’est en s’appuyant sur les travaux des plus éminents historiens que le conférencier retrace avec l’émotion, l’amour et la passion qu’on lui connaît pour sa défunte terre française d’Algérie, l’extraordinaire épopée de cette « Jeanne d’Arc berbère » qui incarna avec tant de grandeur la folie d’indépendance et la fierté passionnée d’un peuple.
- Cette conférence, organisée par l’association culturelle « Lettres de Sable », sera donnée par José CASTANO, lundi 27 Février, 20h, à la Maison du Combattant, 14, quai du Chapitre (rive droite) – 34250 PALAVAS LES FLOTS - Contact : 04.67.75.30.57 – e-mail : lettresdesable@gmail.com - Blog: http://lettres.de.sable.over-blog.com/
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Deux légionnaires français ont été tués, jeudi 29 décembre, en Afghanistan par « le tir délibéré d'un soldat afghan de l'ANA », l'Armée nationale afghane, ce qui porte désormais à 78 le nombre de soldats français tués en Afghanistan depuis fin 2001 (il y a également plus de 500 blessés dont certains ont été amputés). Le président de la République a « présenté à leurs familles et à leurs proches ses plus sincères condoléances en s’associant à leur douleur » tout en « exprimant, à nouveau, la détermination de la France à continuer d'œuvrer au sein de la Force internationale d'assistance à la sécurité pour rétablir paix et stabilité dans ce pays et contribuer à son développement ». Dans un communiqué séparé, François Fillon a « salué solennellement le courage, le dévouement et le professionnalisme sans faille de nos militaires agissant aux côtés de leurs camarades afghans ». Et pendant que ces Messieurs « s’associent à la douleur des familles », nos soldats continuent de se faire tuer pour une cause qui n’est pas la leur, dans un pays soumis aux lois et coutumes féodale, hostile et étranger, et qui retournera aux talibans quand l’OTAN se sera retirée. A quoi auront donc servi tous ces morts ? Au nom de quel droit, de quelle éthique, de quelle loi sacro-sainte les aura-t-on sacrifiés ?
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Ne les oublions pas EUX NON PLUS.
Alors que les médias nous matraquent quotidiennement sur l’enlèvement de ressortissants Français quelque part dans le monde et que des comités de soutien se créent fort justement pour réclamer leur libération, nous Pieds-noirs, rappelons également que depuis le 19 Mars 1962, par la volonté maléfique d’un manipulateur de Président de notre France d’alors, cela fera au 19 mars 2012, 18251 jours, que des milliers de Français d’Algérie ont été enlevés dans l’indifférence générale sans que les « bonnes consciences » de ce monde qui détournaient pudiquement leur regard, n’aient élevé la moindre protestation pour nous défendre et nous soutenir. Nous ne les oublierons pas eux aussi.
Il y a quelques années, que j'ai commencé mon compte à rebours. Ma vieille carcasse n'a conservé d'intact que le désir que j'ai toujours eu: celui de tenter de reconstruire sans y parvenir notre communauté en rappelant les valeurs historiques de nos glorieux ancêtres et aujourd'hui je me considère comme faisant partie du dernier carré. Je remercie le Seigneur de m'avoir privilégié en me permettant de conserver les quelques qualités que je crois posséder dont celles de l'observation et de la réflexion. Mais seul Dieu est infaillible et je ne suis que l'un de ses bien modestes serviteurs. Mais tant pis, j'ose et je me lance.
Quand je lis les exploits des preux chevaliers qui jalonnent notre magnifique histoire de France, notre pays (que mes tris aïeux d'Almeria, sud de l'Andalousie, me pardonnent à l'avance de l'amour que je porte au pays où je suis né, car je ne connais que ce dernier), je constate que nous pouvons nous enorgueillir d'avoir eu des Du Guesclin, des Bayard, des Jeanne d'arc (celle dont tout le monde se souviens subitement qu'elle a existé après une léthargie qui a duré des siècles), des Charles Martel, des Cambronne qui ont su dire « Merde » aux Anglais et tant d'autres qui restent les héros de ma jeunesse.
Nous avons eu aussi des Ganelon et des vendus.
Mais ces derniers étaient des apprentis, comparés à ceux dont nous sommes entourés. Nos politiques actuels sont « les guignols de l'info de Canal +». Et que constatons-nous? Hormis le Président de tous les Français qui reste le cheval de bataille préféré de la foultitude de chansonniers qui ne vivent que par eux et à travers eux, quand on voit que les gens s'esbaudissent à gorge déployée sur des sujets qui devraient nous attrister et non pas nous réjouir, on ne peut s'empêcher de penser que le sens des valeurs humaines s'est réduit comme une peau de chagrin (mot emprunté à Honoré De Balzac qui en détient la paternité).
Là, arrive un moment où je sens que je vais devenir agressif.
En effet, notre Maître es barreau, Monsieur Gilbert Collard, pour les besoins de sa profession, assistait récemment à un colloque réunissant des représentants de quelques religions expliquant les bases de leurs religions respectives dont: la Catholique, La Protestante, la Juive et la Musulmane.
Je me permets de le citer, car la description de son intervention, vaut son pesant de harissa et je me suis délecté à sa lecture, laquelle a retenu toute mon attention. En voici à peu près les termes :
-Après l'intervention de l'Imam, Maître Collard lui demanda :
« Merci de me corriger si je me trompe, mais j'ai cru comprendre que vous déclariez le Jihad (guerre sainte) à l'encontre des infidèles, et que pour aller au paradis d'Allah, chaque musulman, devait tuer un infidèle, pouvez-vous me dire ce qu'est un infidèle ? » L'Imam répondit ‘‘un non- musulman’’.
Ce à quoi, rétorqua notre Maître «Alors si j'ai bien compris, chaque musulman doit tuer un non-musulman» pour espérer aller au ciel d’Allah. C'est exact, répondit l'Imam dans un souffle inaudible.
Maître Collard « J'ai du mal à imaginer notre pape Benoit XVI exhortant les catholiques à massacrer vos coreligionnaires ou le Pasteur Stanley en faire de même pour garantir à leurs fidèles une place au Paradis, car eux nous disent, au contraire «aime ton prochain comme toi-même» et «ne fais pas aux autres ce que tu ne voudrais pas que l'on te fit à toi-même»
A l'Imam interloqué, il rajouta «J'ai du mal à me considérer comme votre ami, lorsque vous encouragez vos coreligionnaires à m'égorger. Et encore une question: Choisiriez-vous de suivre Allah qui vous ordonne de me tuer afin d'obtenir le paradis, ou le Christ qui m'incite à vous aimer pour que j'accède moi-même au Paradis?
Dans un silence de mort, la réunion prit fin au grand dam des organisateurs de ce colloque, qui n'apprécièrent pas cette façon de traiter cette espèce d'enfoiré enturbanné (ce qualificatif est de moi et non de Maître Collard, beaucoup plus élégant que je ne le suis dans les jugements à porter).
Pour conclure, Maître Collard rappelle que si l'on continue dans ce laxisme et cette passivité, il y aura au cours des prochaines années, suffisamment d'électeurs musulmans pour installer un gouvernement de leur choix avec application de la sharia. C'est aussi ma crainte mais j’aimerais, oh combien, me tromper !
Alors je joins ma modeste voix à la sienne pour mettre en garde tous les FRANCAIS DE FRANCE qui lirait ce qui précède, de se tenir sur leurs garde et de réagir en conséquence contre ces enfoirés de politiciens qui tirent sur tout ce qui bouge et peut leur rapporter des voix d'où qu'elles proviennent pourvu que l'on puisse les comptabiliser à leur avantage (cette réflexion perso, n'engage que le petit mammifère hérissé que je suis, reste et resterai jusqu'à mon dernier souffle et répondez-leur le fameux mot historique de Cambronne : MERDE).
Abordons un autre des sujets qui me ‘‘hérissent’’ :
Nous n'avons jamais vu autant de PV sur nos pare-brise ou dans nos boites aux lettres. Cela s'appelle une escroquerie d'état, de notre état, de l'état Français.
Ils ont trouvé des moyens qu'ils appellent « géniaux » en se masturbant leurs grosses têtes d'énarques à la ‘‘mort-moi-le-nœud’’, pour mieux nous baiser et remplir leurs caisses à moindre coût. Les pandores sont sur la brèche, manque de port de ceinture, brulage d'un feu orange alors qu'à 50m devant il y a un feu vert et que le risque de franchir le feu jaune est nul.
Excès de vitesse avec des radars sophistiqués, bien camouflés et verbalisant s'ils sont détectés sur votre GPS. Pour faire chier le monde, là ils n'ont pas besoin de se forcer. Ils en connaissent un bout.
Moi, je vais leur indiquer un moyen honnête et légal, justifiant et irréfutable à l'adresse d'une grosse majorité d' automobilistes pour dresser procès-verbal et supprimer les permis de conduire, sauvant ainsi des vies humaines d'une autre façon que celles employées qui font la fierté et l'orgueil des têtes pensantes des services de répression.
Amusez-vous à compter ceux qui ont la courtoisie d'indiquer leurs intentions de conduite en indiquant par clignotants interposés la direction où ils se rendent et où veulent aller sans mettre les autres en danger.
Je me suis astreint à compter ceux qui le font (en dehors de moi-même). Je me suis même amusé à compter à maintes reprises au cours de mes déplacements et surtout dans les ronds-points. En voici le résultat : sur environ une vingtaine d'expériences menées par votre mammifère préféré (qui ne le sera plus pour certains), j'ai établi une moyenne de 3 sur 10 qui le font et qui ont la courtoisie et la correction de manifester leur direction. Les 7 autres restants, n'en ont rien à foutre et par leurs écarts de conduites marquent leur volonté de s'imposer sur la route alors que chez eux, c'est souvent leurs épouses qui portent les pantalons. C'est une façon peut-être pour eux de se venger sur le sort qu'est le leur cette volonté néfaste peut être aussi la dernière et pour eux et pour certains innocents qui les interprèteraient mal. J'aimerais savoir si cette statistique est prise en compte par les services con-péteux. Nenni !
Puisque le sort en est jeté, allons un peu plus loin dans mes gueulantes: un autre sport social nique notre économie: Arrêts de maladie injustifiés, faux chômage, allocations de maternité pour une famille qui a autant d'enfant que les lapins peuvent en faire, travail au bakchich, sans compter les malversations des nantis.
Un hebdomadaire que j'aime bien a abordé ces sujets récemment (cf. Le Point n°2047, pages 110 à 123). Ses commentaires se passent d'explications tant ils sont clairs et explicites mais quelques-uns (s'ils l'ont lu), ont dû sentir quelque chose leur pousser entre les fesses.
Ils viennent ensuite nous donner des leçons de comportement. Mais ces moulins à vent et à paroles n'ont qu'un seul culte : leur personnalité. Pauvres cons, va ! Allez, je vous tire ma révérence pour aujourd'hui, mais je reviendrai croyez-moi et pour me faire fermer ma gueule, ce sera très dur pour ceux qui voudraient s'y essayer.
LE HÉRISSON VOUS SALUE BIEN ET TOUJOURS A VOTRE SERVICE.
A tchao et à la prochaine si Dieu le veut.
INFORMATION janvier 2021
BABA MERZOUG PAR JEAN-CLAUDE ROSSO
INFORMATION septembre 2020
Le canon BABA MERZOUG va-t-il quitter Brest pour Alger ? Sentant un fléchissement pour la repentance nouvelle tentative vers Macron
LETTRE DES ARMÉES.
L'Algérie réclame à nouveau le retour de son mythique canon, pris par les Français en 1830 et érigé en colonne à Brest. Macron pourrait faire un geste. (Mais est-ce de son pouvoir car CLASSÉ MONUMENT HISTORIQUE ? Ce qui n’est pas les cas « des cranes » ndlr)
Par J GUISNEL Publié le 01/09/2020 à 11h30 | Le Point.fr
Depuis une décennie et plus, le sujet est régulièrement mis sur la table par l’ALGÉRIE. Le pays réclame le retour sur son sol d'un trophée de guerre de la marine française, le canon Baba Merzoug, pièce maîtresse de la défense du port d'Alger dès le XVIe siècle. Monstrueux pour son époque avec ses 12 tonnes de bronze et ses 7 mètres de long, il pouvait projeter des boulets de 80 kilos à près de 5 kilomètres.
Cette arme n'était pas seulement un outil de défense. Elle a aussi servi à humilier délibérément la France à deux reprises au moins.
OPÉRATION REPENTANCE ALERTE ILS VEULENT RÉCUPÉRER LE BABA MERZOUG !
"Après la restitution à l’Algérie de vingt-quatre crânes de résistants décapités au XIXe siècle et entreposés à Paris, que reste-t-il à faire côté français ? Un groupe d’intellectuels algériens, l’Instance de lutte contre la pensée coloniale qui comprend des chercheurs, des historiens et des juristes, attend encore beaucoup de Paris.
Pour Fatima Benbraham, présidente de l’Instance de lutte contre la pensée coloniale, l’un des gestes les plus significatifs serait la restitution du canon de Baba Merzoug, appelée en Fiance « la Consulaire ». Un canon qui depuis 1833 est installé dans le port de Brest.
« C'est une pièce d'artillerie qui a protégé" l'Algérie " pendant plus de 400 ans. C'est le plus grand. Il a une valeur symbolique extrêmement importante pour les Algériens parce que ce canon a détruit plusieurs navires français, les navires de Charles Quint, etc. qui pensaient pouvoir occuper Alger à l'époque. »
NB : L’Algérie n’existant pas encore, il n’y avait pas "d'Algériens" à l'époque mais plutôt des Turcs Ottomans d’Alger
Dans un livre édité en 1840 "De l'Algérie" relatant la prise d'Alger, par le père Dorigez aumônier de l'armée d'Afrique il est écrit que : "Ce canon proviendrait de la prise de guerre de Charles Quint lors de la victoire sur François 1er à Pavie, en 1525. Charles Quint qui était allé bombarder Alger quelques années après, en 1541, avait dû fuir devant une épouvantable tempête, et abandonner toute son artillerie ; près de trois siècles après, la victoire devait restituer cette pièce à l'armée française".(fin citation)Cependant il est plus vraisemblable vu son poids que ce canon ait été fondu par les maitres d'œuvre Vénitiens à la solde du Dey d'Alger ;à l'aide des nombreuses pièces d'artillerie Espagnoles et Françaises récupérées après la débâcle de Charles Quint en 1541 (pièces Françaises saisies après la défaite de Pavie de François 1er)
Et payé avec les rançons des nombreux otages Européens : Espagnols, Allemands, Flamands de son armée un millier resté prisonniers après la tempête qui les coupa de la flotte
Selon certains avis, à voir les inscriptions gravées sur ce canon, celui-ci fondu pour des musulmans devrait avoir des inscriptions en langue arabe? Mais pas pour les Turcs donc ce n’est pas un canon "Algérien" au sens Arabes d'Alger (puisque « l’Algérie » n’existait pas encore) comme sur certaines pièces déposées dans la cour des Invalides à Paris.
En effet, dans les galeries extérieures de l'Hôtel des Invalides, on peut observer plusieurs canons en bronze de François 1er, et récupérés à Alger en 1830 et d 'autres genre “mortiers” avec des inscriptions en Arabe .
En tout cas un contentieux Turco/Européen et non pas Franco/Algérien ! Franco/Turc pour les exécutions de prisonniers Français et des Consuls.
En restant sur le sujet, ce dossier du BABA MERZOUG est suivi avec attention à Brest et à Alger et sur plusieurs sites (lire la suite de la page) c’est une affaire diplomatique !
Ceci dit “barbaresque” n'est pas une insulte c'est comme si on disait“ Gaulois” où “Germains” ce sont des appellations anachroniques qui ne correspondent plus à la réalité historique d’aujourd'hui !
ÉTUDES HISTORIQUES JFP 3

Ce canon en bronze Fabriqué par un fondeur vénitien suite à la commande du pacha Hassan, qui avait succédé à Kheireddine, avait une portée exceptionnelle pour l’époque, 4.872 mètres, et un poids impressionnant, 12 tonnes, payé probablement avec le fruit du trafic d'esclaves. Le canon ’’Baba Merzoug’’, qui en fait n'a pas grand-chose d'algérien, est une prise de guerre et un instrument de torture. Il était en revanche plus symbolique qu'utile tant il était long à servir.
Un comité de "militaires et historiens" algérien prétend que Claude Guéant lorsqu'il était secrétaire général de l'Elysée a promis, qu'à l'occasion des 50 ans d'indépendance de l'Algérie, il serait fait restitution en juillet 2012 de "Baba Merzoug" (Père Fortuné), une énorme pièce d'artillerie enlevée lors de la prise d'Alger le 5 juillet 1830 et érigée en monument en l'Arsenal de Brest.Connue en France sous le nom de La Consulaire.
Ce que le comité algérois ne précise pas, c'est que l'engin doit son nom de "La Consulaire" et sa triste célébrité au fait qu'il a surtout tué des innocents en représailles des actions entreprise sur Alger par Louis XIV pour détruire ce qui ce qui restait des pirates barbaresques et obtenir la libération des milliers d'esclaves chrétiens qui croupissaient dans les prisons musulmanes en attendant de servir comme bêtes de somme dans les mines ou sur les cultures, ou pour les femmes, les fillettes et les garçonnets de devenir objets sexuels dans les harems de poussah libidineux. En 1683, le père Levacher, consul et 20 résidents français puis en 1686, le consul André Piolle et 42 résidents français sont liés face à la bouche du canon qui projette les miettes de leurs corps sur les navires de la Royale.
Le 5 juillet 1830, les troupes française prennent Alger et trouvent le canon relégué sous les voûtes de l'Amirauté ; transporté à Brest sur ordre de l'amiral Duperré, il est dressé sur un socle de granit flanqué de bas-reliefs et devient un monument commémoratif et un monument aux morts inauguré en juillet 1833 ultérieurement couronné d'un coq gaulois, monument commémoratif du patrimoine français, du patrimoine breton, du patrimoine de Brest, et doit le rester.
S'il y a quelques raisons de repentance à son sujet, elles n’ont certainement pas à venir de la France.
Yves Darchicourt
132 ANS DE L’ÉTAT CIVIL DES FRANCAIS D'ALGERIE CONFISQUÉS PAR L'ALGERIE CONTRE LE " BABA MERZOUG "
Nous partîmes un million… laissant armes et bagages, dans ce lointain pays qui fut le nôtre, n’en déplaise à tous les falsificateurs de l’Histoire de France en Algérie.
Le passé ne s’effaçant pas d’un coup d’éponge, la France demanda aux Algériens, devenus « indépendants », de lui remettre les fichiers de l’Etat civil des citoyens Français nés ou décédés pendant ces 132 années.
Dans un premier temps, l’Algérie n’y vît aucun inconvénient et remit ces précieuses archives françaises, sous forme de microfiches, que la France se chargerait de dupliquer. Nos fonctionnaires n’en étaient arrivés qu’à un tiers de cette copie, lorsque l’Algérie se ravisa. Prise d’un soudain remord (sans doute), elle exigea que la France lui renvoyât, de toute urgence, ces microfiches.
Toujours très empressée lorsqu’il s’agit des « affaires algériennes », la France obtempéra et réexpédia, à l’Algérie, les, néanmoins, très indispensables archives des Fichiers de l’Etat civil des Français d’Algérie.
Jusque-là et, même si le procédé reste fidèle à l’image de ses dirigeants soit ; peu élégant, il fut convenu que la France enverrait un « fonctionnaire » qui recopierait ces archives, sur place, à Alger. Ce qu’elle fit.
Durant deux longues années, ce fonctionnaire de l’Etat français, en poste à Alger, attendit que les algériens veuillent bien mettre à sa disposition, les fichiers afin qu’il les reproduisit.
Rien n’y fit. Il y eut, à chaque demande, à chaque requête du Français, des excuses aussi fantaisistes qu'invraisemblables, avancées par les algériens, qui ne remirent jamais les microfiches à ce fonctionnaire. Et, bien entendu, au bout de ces deux années payées à attendre le bon vouloir de l'administration algérienne, ce dernier fut rappelé en France où il y fut mieux employé.
La France, donc, n’ayant pas pu obtenir ce qui lui appartient et à nous PN aussi, continue de réclamer, en vain, les fichiers de l’Etat civil des 132 années pendant lesquelles l’Algérie était la France.
Mais ce n’est pas tout !!!!!
Nous apprenons, aujourd'hui, que les algériens qui font profit de tout demandent à la France, de payer les archives, si elle veut les récupérer. Il n'y a pas de petit bénéfice ! Cinquante ans après, nos archives d’Etat civil sont toujours confisquées dans ce pays honni et, comme elle monnaierait des tapis, l’Algérie voudrait les rétrocéder à la France, moyennant finances. Le maquignonnage a toujours cours chez les algériens.
Pour résumer, simplement, nous dirons qu’un canon vaut bien un fromage et si, donc, le canon repart là-bas, notre Etat civil devrait revenir à la France à l'occasion du même cinquantième anniversaire de l'abandon de notre territoire.
Donnant-donnant, c'est de bonne guerre, franco-algérienne !
Les promeneurs qui empruntent le pont de la Recouvrance, à Brest, peuvent distinguer en surplomb le canon planté au milieu d’un parking de la zone militaire. Les curieux, autorisés à s’en approcher, découvrent un monument un peu piteux, l’affût recouvert d’un magma de plâtre jauni. Puis une grille rouillée autour d’un socle carré en marbre. Sur les côtés, des gravures en bronze commémorent l’histoire coloniale. Sur la plus réactionnaire, on peut lire : «L’Afrique délivrée, vivifiée, éclairée par les bienfaits de la France et de la civilisation.» Déjà, gravé dans le marbre de la honte coloniale, le résumé de l’esprit de la loi de février 2005 glorifiant le fait colonial.
Point de vue d’un historien :
Revenons au débat sur ce canon réclamé par certains comme "constitutif de l'histoire de l'Algérie", en 1542 ce toponyme inventé par les Français vers 1840 n'existait pas pour le Maghreb central mais "dar el soltan " et la "régence d'Alger" et les "Algériens" pour les habitants de la seule ville d'Alger qui deviendront Algérois lorsque le terme précédent s'appliquera à toute la région du Maroc à la Tunisie.
Donc histoire de la ville d'Alger certes mais de l'Alger Ottoman c'est à dire dominé par les Turcs ce canon leur appartenait, prise de guerre, fondu avec des pièces Espagnoles et Françaises à Alger à Venise, mais crée par des Vénitiens, il a été payé par les rançons des divers captifs Européens dont un millier de soldats de Charles Quint. Il s'agit donc avant tout de l'histoire de cette colonie côtière Turque qui verse tribut à la "sublime porte" et si cet engin à servi d'instrument d'exécution les habitants à l'époque de la future Algérie n'en sont pas responsables Juifs, Kabyles où Arabes.
Personnellement si j'étais "citoyen Algérien" je réclamerait plutôt les armes et les affaires de l'Emir Abdelkader qui sont déposées au musée des Invalides à Paris je me sentirait plus en symbiose avec mon histoire, (fusils, sabres, gandoura et mini Coran)
Ceci dit personnellement je serai assez d'accord avec les "petits écho d’Oranie". Mais j'ajouterai une plaque commémorative pour les "Disparus" du 5 Juillet 62 sans sépulture d'Oran, la guerre étant terminée.
Il suffit d’aller avec "Baba Merzoug" sur Google pour voir que certains Français d'Algérie réclament le retour de leur Etat Civil séquestré en Algérie au moins en copies (et ils ont raison). Le gouvernement gaulliste de l'époque n'a même pas fait rapatrier le 2em Registre en double dans les mairies où tribunaux d'instances (un dédain de plus). C'était pourtant facile à obtenir suite à l'octroi de l'indépendance et à une certaine réciprocité avec l'état civil des Algériens en France! Des amis juristes Algériens sont encore tout éberlués par cette "bévue" (en restant polis).
Ensuite d’autres demandent la Pose d'une simple plaque commémorative "Aux Disparus du 5 Juillet 62 à Oran" dans l'enceinte du cimetière Militaire du petit lac, pas de provocation sans qualifications ni parlant de massacres. Quant au fameux canon à mon avis ce n'est pas spécifiquement l'affaire des "Pieds Noirs" mais des citoyens Français voir Européens dont les aïeux ont payé les rançons aux Turcs d'Alger. Aussi j'en reviens aux armes à la gandoura et au mini Coran de l'Emir Abdelkader qui étaient exposés aux Invalides plus faciles à transporter que le canon de 7 tonnes et d'une valeur bien plus symbolique pour l'histoire de l'Algérie à mon avis et redevable d'un geste de réciprocité apaisant.
voir amical, Khouani.
Portrait, armes, djellaba, livres et affaires de l'Emir Abdelkader prélevés lors de la prise de la smalah en 1843 à la bataille de Taguin par le Duc d'Aumale fils de Louis-Philippe.
Photos du musée des Armée Paris Les Invalides Salle Algérie qui je pense n'existe plus depuis la création de l'espace "historial De Gaulle" en 2008.
Lors de la prise de la Smala, parmi les trophées et pour sa collection particulière, le Duc d'Aumale ramena de nombreux objets personnels ainsi que quarante-deux manuscrits arabes richement calligraphiés appartenant à l'Emir Abdelkader (citation d'une chronique).
Dans le livre édité en 1840 "De l'Algérie" relatant la prise d'Alger, par le père Dorigez aumônier de l'armée d'Afrique il est écrit que "Ce canon proviendrait de la prise de guerre de Charles Quint lors de la victoire sur François 1er à Pavie en 1525. Charles Quint qui était allé bombarder Alger quelques années plus tard en 1541 avait dû fuir devant une épouvantable tempête, et abandonner toute son artillerie. Près de trois siècles après, la victoire devait restituer cette pièce à l'armée française".(fin citation)
Cependant il est plus vraisemblable que vu son poids ce canon ait été fondu par les maitres d'oeuvre Vénitiens à la solde du Dey d'Alger à l'aide des nombreuses pièces d'artillerie Espagnoles et Françaises récupérées après la débâcle de Charles Quint en 1541.
Selon certains avis, à voir les inscriptions gravées sur ce canon, celui-ci fondu pour des musulmans devrait avoir des inscriptions en langue arabe mais pas obligatoire pour d'autres, comme sur certaines pièces déposées dans la cour des Invalides à Paris. En effet, dans les galeries extérieures de l'Hôtel des Invalides, on peut observer plusieurs canons en bronze de François 1er récupérés à Alger en 1830 et d 'autres genre "mortiers" avec des inscriptions en Arabe .
JF PAYA Date de publication le 10/01/12 - 15:55
Ne les oublions pas EUX NON PLUS.
Alors que les médias nous matraquent quotidiennement sur l’enlèvement de ressortissants Français quelque part dans le monde et que des comités de soutien se créent fort justement pour réclamer leur libération, nous Pieds-noirs, rappelons également que depuis le 19 Mars 1962, par la volonté maléfique d’un manipulateur de Président de notre France d’alors, cela fera au 19 mars 2012, 18251 jours, que des milliers de Français d’Algérie ont été enlevés dans l’indifférence générale sans que les « bonnes consciences » de ce monde qui détournaient pudiquement leur regard, n’aient élevé la moindre protestation pour nous défendre et nous soutenir. Nous ne les oublierons pas eux aussi.
Nous n’avons peur de personne, nous n’aurons jamais peur de personne, nous ne sollicitons aucune garantie de quiconque, nous n’acceptons pas le chantage, nous n’acceptons pas l’intimidation, nous n’accepterons pas les menaces.
Les cloches de nos églises sonneront toujours et nos voix se feront toujours entendre, mais toujours pour exprimer le juste et le vrai, quel qu’en soit le prix. Nous refuserons tout compromis, nous ne mendierons pas pour qu’on nous accorde la sécurité et la tranquillité, nous n’avons peur de personne et nous savons nous conduire.
Nous saurions renoncer à la vie si elle n’était plus en conformité avec nos valeurs, nos principes et nos convictions. Nous n’accepterons pas que notre histoire et notre identité soient livrées à des faussaires. (…) Qu’on veuille bien nous dire qui attaqua les chrétiens au Liban ? Qui les a tués ? Qui vous a tués ? Qui détruisit nos églises ? Qui détruisit Notre-Dame de la Délivrance ? Qui bombarda Achrafieh, Zahle, Ain Al-Remaineh et Ouyoun al-Siman ? Qui attaqua les villes de Billa, Koor, Qnat et Al-Qaa ? Qui opprima, emprisonna et tua nos hommes, nos moines, nos prêtres séculiers, nos soldats et nos politiciens ?
Dites-nous, s’il vous plaît, qui a longtemps opprimé, marginalisé, persécuté, exclu, détenu et exilé des Chrétiens après la fin officielle de la guerre? Qui les a contraints à émigrer? (…)
Les Chrétiens étaient présents au Moyen-Orient bien avant tous les régimes… Les Chrétiens ont survécu sous la férule de nombreux empires bien plus tyranniques que ceux d’aujourd’hui (…) Notre droit à l’existence dans la région est un droit acquis, et non une faveur concédée par quiconque, c’est un droit que nous avons remporté par héroïsme, sainteté, labeur incessant, au prix du sang , sans renoncer à la coexistence avec d’autres communautés, en délivrant un message de liberté et de dignité humaine… et si ce message venait à rencontrer l’échec, nous n’aurions plus de raison de rester sur cette terre. Samir GEAGEA Chef des Forces Libanaises, mouvement chrétien, discours tenu à Jounieh lors de la messe annuelle pour les martyrs du Liban Nowlebanon.com 25/09/11 Courageux Liban.
NOTE DU HERISSON
Ce magnifique message d'espoir devrait interpeller beaucoup de fiers-à-bras de notre communauté qui préfèrent parler "couscous, paellas, anisettes, thés dansants avec la bedaine trainant par terre et les couilles rasant le sol" plutôt que de montrer que nous sommes maintenant 3.000.000 de votants et que nous détenons peut-être la clé du résultat des prochaines présidentielles.
Ne voyez-vous pas des similitudes avec notre communauté ? Ayons le courage d'admettre que ce plaidoyer ressemble étrangement à notre situation ? Nous n'avons pas d'œillères, que Diable.
Oh les gars de la Marine, réveillez-vous, il n'est pas encore trop tard pour réagir et brandir nos dentiers, même si nous avons perdu nos dents. Il nous reste encore ce courage et cette hardiesse qui faisaient que nous étions les dignes descendants d'une communauté en voie d'extinction et soyons fiers d'être ceux qu'on appelait non sans une certaine condescendance : PIEDS-NOIRS. C'est maintenant notre label de qualité.
LE HÉRISSON VOUS SALUE BIEN ET TOUJOURS A VOTRE SERVICE.
A tchao et à la prochaine si Dieu le veut.
Mai 2015
Article transmis par un oranais de la 5° génération. Robert.L
Ci-joint les Armoiries officielles avec la signification des différents emblèmes utilisés pour sa réalisation, mais je pense que vous en avez saisi tout le sens.Je vous joins également un projet de drapeau qui, s' il se réalise, nous représentera au cours de nos différentes manifestations, avec ou sans l' inscription de sigle des différentes associations Pieds-Noires, là encore il n' y a pas de copyright il est à la disposition de tous.
D' autres part je vous informe que le Centre de Documentation Historique de l' Algérie, Tunisie, Maroc, a crée un Groupe d' Actions Mémorielles (GAM) composé de compatriotes bénévoles ( dont je fais partie pour le 06 ) qui procède actuellement à une collecte de témoignages audiovisuels sur l' arrivée de nos ancêtres en Afrique Française du Nord, notre vie là-bas,notre « débarquement » en métropole, notre vie nouvelle ici.
Ces témoignages, filmés après acceptation, constitueront une banque d' archives audiovisuelles pérennes déposées au siège du C.D.H.A.maison du Mal Juin, 29 ave de Tubingën 13090 Aix en Pvce.tel.:04/42/52/89, où se constitue actuellement le Conservatoire National de la Mémoire des Français d' A.F.N.
Ces archives seront consultables librement, notamment par les étudiants, les historiens, les écrivains etc...
Conscient de l' intérêt que ces témoignages représentent pour les générations futures, les futurs témoins peuvent nous contacter au siège du C.D.H.A.( coordonnées ci-dessus ) soit, pour ce qui concerne le Département des Alpes-Maritimes :
Par courrier C.D.H.A./G.A.M.
Maison des Associatons des Rapatriés
16 rue Bavastro
06300
Par téléphone: 04/97/13/52/31
Par courriel : maisonassociations@rapatriés.fr
BLASON DEFINITIF.
ÉPINGLETTE (PIN'S) DU BLASON DE L'ALGÉRIE FRANCAISE
Historique décembre 2011
Le CDBAF (16 Rue des noyers 31520 Ramonville Saint-Agne) propose trois options d'acquisition de timbres postaux et d'autocollants.

Issu d’une large consultation de nos compatriotes étalée sur un an ‘‘Le blason de l’Algérie française’’ » a vu le jour en mai 2011. Depuis, et notamment lors de sa diffusion qui a connu un large succès, un certain nombre d’utilisations possibles se sont fait jour. L’une d’elle a tout particulièrement retenu notre attention.
En vue de la commémoration du cinquantième anniversaire de la funeste année 1962, il nous a semblé intéressant de faire imprimer deux timbres postaux, ainsi que des planches de petits autocollants portant les mêmes visuels : Trois options d’acquisition vous sont offertes :
- soit un ensemble de 6 timbres et 20 autocollants assortis pour une somme de 10€
- soit un ensemble de 6 timbres pour la somme de 7€
- soit un ensemble de 40 autocollants assortis contre la somme de 5€
Vous pouvez adresser votre commande à :
CDBAF, 16 rue des noyers, 31520 Ramonville Saint-Agne.
Nous restons à votre disposition pour toute information complémentaire sur cette démarche à laquelle vous aurez à cœur de vous associer et de la faire connaître autour de vous. Toujours à votre écoute et bien cordialement vôtres.
Pierre Anglade, Théo Bruand, Maurice Calmein, Jacques Decroux. cdbafs@gmail.com
TIMBRES POSTAUX
AUTOCOLLANTS
C.D.B.A.F. Le 13 Mai 2011
Cher compatriote,
En juin 2010 se constituait le Comité du blason de l’Algérie française créé spécialement à cette intention et qui sera dissout prochainement, avec pour projet l’élaboration d’un tel emblème pour notre province française d’Algérie et sa mise à disposition de tous les Pieds Noirs et de leurs associations.
La procédure choisie a été volontairement participative car il n’était pas question pour notre petit comité de décider seul des choix à effectuer.
Un concours d’idées a donc été ouvert au plus grand nombre et annoncé dans divers journaux et sites associatifs.
Vous avez bien voulu participer à ce concours et nous vous en remercions vivement.
Une soixantaine de propositions de dessins ou de listes de symboles à faire figurer dans le blason nous sont ainsi parvenues de tous les coins de France.
Permettez-nous d’exprimer le plaisir et l’émotion que nous avons ressentis à prendre connaissance de toutes ces propositions dans lesquelles les auteurs ont mis tout leur cœur et leur talent. Chacun d’eux se retrouvera un peu dans le choix définitif puisque celui-ci est le fruit d’un travail collectif et d’une synthèse.
En effet, un premier tri a consisté à retenir quatre blasons présentant les symboles et couleurs le plus souvent proposés par les participants.
Dans un second temps, pour assurer une cohérence d’ensemble, nous avons décidé de retenir l’une des propositions qui consistait à conserver dans le « chef » du blason (c’est à dire au dessus du blason proprement dit), le seul emblème officiel de l’Algérie française ayant jamais existé, à savoir le pavillon maritime (1) blanc chargé de deux bandes horizontales coupées rouge et bleu, agrémenté par nous de trois fleurs de lys rappelant l’expédition d’Alger décidée par Charles X pour mettre fin à la piraterie barbaresque en Méditerranée. Ces lys, proposés par beaucoup de participants au concours, se retrouvent également dans de nombreux blasons des anciennes provinces du royaume de France ainsi que dans ceux de plusieurs villes d’Algérie.
Les quatre blasons « finalistes », surmontés du « chef » commun, ont ensuite été soumis au vote de tous les participants.
Nous sommes heureux de pouvoir vous présenter aujourd’hui le blason définitif qui a été choisi dans le cadre de ce concours et nous présentons nos plus vives félicitations à tous ceux qui ont contribué à son élaboration.
Afin que chacun puisse maintenant connaître et faire connaître ce blason, nous vous en adressons ci-joint un modèle.
(1) cf. Bernard Dubreuil, Administrateur de l’inscription maritime, in Hesperis Tamuda, 1960, p. 543 à 549.
Tout en respectant les règles héraldiques, cet emblème représente avant tout la synthèse de 132 ans de présence constructive de La France et des populations européennes en Algérie.
Le blason définitivement retenu, et dont vous trouverez une illustration ci-dessous, est composé des éléments suivants :
Le chef, partie haute, est constitué par le seul emblème officiel de l’Algérie française ayant jamais existé, à savoir le pavillon maritime blanc chargé de deux bandes horizontales coupées rouge et bleu, agrémentées de trois fleurs de lys rappelant l’expédition d’Alger décidée en 1830 par Charles X pour mettre fin à la piraterie barbaresque en Méditerranée.
Les quatre quarts du blason comportent chacun un symbole fort:
Le soleil ardent et généreux ;
Le symbole le plus fort : le bateau d’aller et de « retour » portant deux pieds noirs sur sa voile ;
La croix , le croissant et l'étoile de David, symboles des trois religions qui se côtoyaient en Algérie ; Enfin, les symboles du développement et de la prospérité du pays : la vigne, l'olivier et le blé.
La description héraldique du blason (ou blasonnement) :
Ecartelé. Au 1, de gueules à un soleil; au 2, d’azur un vaisseau d’argent pavillonné de France, gonflé d’une voile chargée de deux pieds de sable, navigant sur une onde du champs; au 3, une barre d’argent chargée d’un croissant montant de sinople, d’une croix latine de gueules et d’un didelta d’azur; au 4, de gueules une grappe de raisin d’or, accompagnée à dextre d’un épi de blé au naturel, posé en bande, et à senestre d’un rameau d’olivier au naturel, fruité de sable, posé en barre, les tiges croisées en champagne. Le chef cousu d’argent chargé de deux fasces coupées de gueules et d’azur, et de trois fleurs de lis brochant sur le tout.
Le blason a été déposé au ministère de l’intérieur, aux côtés de ceux de toutes les autres provinces françaises. Selon le souhait du comité, il appartient désormais à tous les Français d’Algérie et à leurs associations, chacun étant libre de l’utiliser à sa guise.
Pour tout renseignement complémentaire, s’adresser à : CDBAF, 16 rue des noyers, 31520 Ramonville-Saint-Agne, courriel : cdbafs@gmail.com
Il est d’ores et déjà possible de se procurer des autocollants représentant ce blason (format 10 x 8 cm) auprès de l’association Sos Outre-Mer, 13 Fbg Sébastopol, 31290 Villefranche de Lauragais. Courriel : sos.outre-mer@orange.fr, Tel : 05 61 81 01 18.
Des autocollants du blason ont été imprimés pour le compte de l’association humanitaire Sos outre-mer qui aide depuis 21 ans un orphelinat chrétien au Liban.
Les autocollants du blason peuvent donc être commandés à : Sos outre-mer, 13 Fbg Sébastopol, 31290 Villefranche de Lauragais en joignant un chèque à l'ordre de Sos Outre-mer (1 autocollant: 2=€, 10=15€, 50= 50€, port compris dans tous les cas).
Utilisation du blason :
Ce blason a été déposé au ministère de l’intérieur afin qu’il rejoigne la collection de ceux de toutes les autres provinces françaises.
La propriété du blason appartient désormais à tous les Pieds Noirs et à leurs associations.
Chacun pourra l’utiliser librement et le reproduire sur tout type de support, autant que de besoin.
Quelques exemples possibles d’utilisation :
- Ce blason pourra servir de logotype pour les manifestations qui seront organisées en 2012 à l’occasion du 50ème anniversaire de l’exode de 1962. Ces manifestations seront souvent inter-associatives et le blason pourra constituer un emblème fédérateur.
- Les associations qui le souhaitent pourront reprendre ce blason dans leur identité visuelle, comme logo si elles n’en possèdent pas déjà un, par exemple en l’accolant au nom de l’association sur le papier à entête, les cartes de membres ou le bulletin d’information.
- Des reproductions privées ou commerciales sont également possibles, et absolument libres, sur tout support : drapeaux, fanions, autocollants, porte-clefs, assiettes, etc.
Nous exprimons nos sincères remerciements à toutes les personnes qui ont accepté de participer à ce concours et nos félicitations pour la qualité de leurs contributions.
Il ne nous reste plus maintenant qu’à souhaiter une très longue et intense vie à notre blason, mais cela dépend désormais de chacun de vous !
Bien cordialement,
Pierre ANGLADE, Théophile BRUAND d’UZELLE, Hervé CADOT, Maurice CALMEIN, Hervé CORTES, Robert DAVEZAC, Jacques DECROUX, Alain GIBERGUES, Camille PARA.
Comité du blason de l’Algérie française 16 rue des noyers – 31520 Ramonville Saint Agne Mél : cdbafs@gmail.com
Merci à Louis Baylé, Bertrand Bouret, Christian Duran, Jean Gassier, Robert Lidon et Dominique Piquet pour le concours qu’ils ont bien voulu nous apporter aux plans informatique, photographique, financier, graphique et héraldique.
Les propositions reçues lors du concours :
21 DECEMBRE 2011
HOMMAGE A JOSETTE BOUSSOMMIER.
Décembre 2010, Josette Boussommier s'en allait.
Vers un monde que l'on dit meilleur, elle s'envolait.
Elle était notre phare, nous servait de référence.
Quel grand vide ... en tirant sa révérence ...
Son charme rayonnant et son charisme fascinant.
Faisaient d'elle un personnage très attachant.
Ses avis et conseils étaient très judicieux.
Frappés aux coins du bon sens mais jamais sentencieux.
C'était une battante bien résolue et lucide,
Ses assertions étaient réfléchies et limpides.
Elle rayonnait sur la toile par son érudition,
Sa clairvoyance, son mordant, sa motivation.
Par un travail méthodique et méticuleux,
Elle avait créé un blog riche et ambitieux,
Conçu pour lutter contre la désinformation
Et les infâmes mensonges qui sont une négation
De l'œuvre colossale accomplie par nos aïeux
Qui avaient fait un pays prospère et merveilleux.
Bien que fort occupée, Josette était serviable,
Toujours disposée à aider, très affable,
Les nombreux internautes qui la sollicitaient.
Elle possédait toujours la formule qu'il fallait.
Enseignante hors-pair, elle sera toujours vénérée
Par ses anciens élèves de Carteaux-Gambetta.
Ils sont tellement fiers de leur instit préférée
Qui leur rappelle les années heureuses de là-bas.
Aux cérémonies mémorielles, toujours présente,
C'était notre sentinelle, stoïque et vaillante.
Nous avons perdu une amie très précieuse,
Mais dans nos cœurs, elle règnera toujours radieuse.
Jean-Paul Ruiz pour La Familia Oranaise le 21 décembre 2011
Plaque déposée au sanctuaire de ND de Santa-Cruz à Nîmes en juin 2011
21 décembre 2010
Je viens d'apprendre la terrible nouvelle du décès de notre doyenne Josette Boussommier, enseignante à Oran - Gambetta, notre maîtresse que l’on appelait, encore aujourd’hui, M’dame,et je suis submergé par une très grande tristesse. La communauté pieds-noirs vient de perdre un être exceptionnel et irremplaçable. Ses qualités humaines, bonté, générosité, altruisme, érudition ... faisaient d'elle quelqu'un de très attachant pour qui on ne pouvait avoir que de l'admiration et du respect.
Voila une grande Dame qui nous quitte !
- Grande par sa gentillesse !
- Grande par ses connaissances !
- Grande par l'affection que nous lui portions toutes et tous !
- Grande par son engagement pour notre communauté !
En dépit de sa grande fatigue, elle avait à cœur de poursuivre son travail de recherche et de documentation afin que notre communauté dispose des informations utiles et nécessaires pour la défense de notre passé d'outre-mer et pour nous mettre en garde sur les dangers qui pèsent sur notre avenir. Elle aura accompli un travail colossal et d'une grande richesse, qui ne sera pas vain car il sera d'une très grande utilité pour la poursuite de notre combat pour la vérité.
C'est toute la communauté Pieds-Noirs dans son ensemble qui perd l'un de ses plus fidèles défenseurs. Un exemple de courage et d'abnégation pour tous. Une volonté extraordinaire. C'est une grosse perte pour nous.
Nous ne verrons plus, lors des manifestations pour la bonne cause à Paris, cette dame de classe si digne que tout le monde respectait et admirait ! Nous nous consolerons en pensant qu'elle a gagné le repos éternel pour un monde meilleur !
Josette notre doyenne n'est plus... Puisse son âme être accueillie dans la plus grande lumière...
Merci M'dame, nul ne pourra vous remplacer. Vous allez nous manquer à tous....
Monsieur et Madame Michel BOUSSOMMIER,
son fils et sa belle-fille;
Monsieur Michel BOUSSOMMIER,
Mademoiselle Alexandra BOUSSOMMIER,
ses petits-enfants ;
Monsieur Jean BOUSSOMMIER,
Madame Valérie MENZER,
Monsieur Jean-Luc SPORTOUCH,
ses neveux et nièce, et toute la famille,
ont la douleur de vous faire part du décès de:
Madame Josette BOUSSOMMIER
née GUIJARRO
survenu le 21 décembre 2010, à l'âge de 87 ans.
La fermeture du cercueil aura lieu le Mardi 28 décembre 2010 à 11 heures 30
au funérarium de Villepinte
83 boulevard Robert Ballanger – 93420 VILLEPINTE
Vous pourrez vous recueillir au crématorium du Père Lachaise
71, Rue des Rondeaux – 75020 PARIS
le même jour à partir de 14 heures 45
avant la mise à la flamme qui aura lieu à 15 heures 15.
Prière de faire livrer les fleurs au crématorium
Les cendres seront dispersées à 17 heures 15
au jardin du souvenir.
Vous pouvez adresser vos témoignages d’amitié et de sympathie à
Monsieur Michel BOUSSOMMIER
65, Impasse des Roseaux – 01210 VERSONNEX
A M'DAME JOSETTE BOUSSOMMIER
Madame Josette Boussommier vient de nous quitter.
Elle était notre doyenne, une femme de qualité.
Elle était notre phare, nous servait de référence.
Quel grand vide elle laisse en tirant sa révérence ...
Ses avis et conseils étaient pertinents,
Cette femme remarquable avait du tempérament.
C'était une battante bien résolue mais lucide,
Ses assertions étaient réfléchies et limpides.
Elle rayonnait sur la toile par son érudition,
Sa clairvoyance, son aura, sa motivation.
Aux cérémonies mémorielles, toujours présente,
C'était notre sentinelle, stoïque et vaillante.
Nous venons de perdre une amie très précieuse,
Mais dans nos cœurs elle règnera toujours radieuse.
Jean-Paul RUIZ
ADIEU M’DAME (Henri Martin)
Le 23 juillet 1923 naissait à Oran, Josette Boussommier fille de Monsieur et Madame Guijaro, Oranais bien connus (le papa fut un grand sportif). Elle nous a quittés le 2l décembre 2010. Elle avait 87 ans. Elle épousa Henri Boussommier en 1944, lui-même Oranais depuis plusieurs générations la famille Boussommier s'était, en effet, installée à Saint-Cloud dès la création du village et un des aïeux de la famille fut maire de la commune. De leur union naîtra un fils, Michel aujourd'hui marié et père de deux enfants.
Ayant embrassé la carrière d'institutrice au début des années 40 après avoir fréquenté dès sa scolarisation l'école des Sœurs trinitaires d'Oran, son premier poste l'amena dans un quartier populaire du centre de la ville d'Oran, l'école du faubourg Gambetta. Elle poursuivra ensuite son parcours faubourg Carteaux, jusqu'à I ‘indépendance, en 1962. Ar; début, elle dispensait son savoir dans l’ancienne école de ‘‘Monteseco’’, et à partir de 1954, dans la nouvelle école du même quartier, inaugurée sous le nom d'école Paul Bert. Elle acheva sa carrière d'institutrice exceptionnelle dans cet établissement primaire, en juin 1962, pour ce qui concerne l'Algérie.
Rapatriée en France, elle continua la deuxième partie de sa carrière à Villepinte, puis à Sevran, où elle passa les deux dernières années précédant sa retraite et ou elle demeurait toujours avec son époux, décédé quelques temps avant elle. C'est dans ces mêmes années qu'elle retrouva la plupart de ses élèves de Carteaux, ceux de France mais aussi, par le miracle d'Internet, ceux installés à l'étranger.
Dès 2003, elle créa un forum, les ‘‘Anciens du FCO de Carteaux et Gambetta’’. Ses écoliers d'antan ainsi que ses amis en furent ravis et dès lors, commença l'aventure des échanges épistolaires. S’y ajoutèrent en prime, des retrouvailles comme celles du Pradet, lors du rassemblement des anciens du FCO et de leurs amis, association présidée par Ernest Tomas et soutenue par Antoine Beltran, tous deux anciens élèves de M'dame, ainsi que nous avions l'habitude de la surnommer.
Les amis de la Marine nous rejoignirent heureux de communiquer avec elle, et son Blog mené de main de maître, avait un très grand succès. Durant quelques années, lors des retrouvailles de l'Ascension, à Nîmes, tous les anciens élèves et les amis de M’dame l'entouraient et l'accompagnaient comme pour l'encercler et ne plus la laisser s'échapper, la garder pour eux tous seuls, même si les amis de la Marine auraient aimé en faire autant, car eux aussi correspondaient avec elle, sur d'autres forums auxquels elle participait avec bonheur. Ceci dit, ses ‘‘petits de Carteaux’’ avaient sa préférence, quoi de plus normal! Ils le lui rendaient bien et garderont toujours le souvenir de son rayonnement extraordinaire et de son in altérable dynamisme.
Bien entendu, nous adressons nos sincères condoléances à son fils Michel ainsi qu’à son neveu Jean Boussommier qui se faisait un plaisir de l'accompagner dans tous ses déplacements.
Les anciens élèves de Carteaux-Gambetta et du FCO voulaient lui rendre hommage, comme le fait ici Henri Martin.
L’origine du nom de Canastel près d’Oran, vient de sa proximité avec le village de Kristel duquel il n’est éloigné que d’une dizaine de kilomètres. Avec le temps est parvenu jusqu’à nous les deux noms: le vrai et sa déformation. Le même nom a été aussi donné à une pointe de terre, nommée Ahmeur Dekenah (pente rouge) ou Cabo Rojo (cap Rouge ou cap Roux), d’autres disaient Cabo rousso. Si bien que l’on trouve dans le prolongement en venant d’Oran, la pointe de Canastel, Kristel, la pointe de l’aiguille, le Cap Ferrat, le cap-Carbon puis près du fort de la pointe, le village d’Arzew qui ferme la boucle à l’Est de cette presqu’île, annonçant les fameuses plages de Damesme, Saint Leu et Port aux Poules. Canastel, un nom évocateur qui sentait bon le jasmin et les effluves iodés de l’air marin vit le jour sur un bras de terre qu’enserre la mer où des constructions à l’architecture chatoyante furent édifiées par des colons français, espagnols, et italiens qui voulaient se ménager un lieu de repos loin d’Oran, de son tumulte et son vacarme.
Un groupe d’entrepreneurs décida un jour de bâtir un lotissement au bord des falaises de Canastel, situé, on le sait, sur la côte, à l’est d’Oran, à côté du fort du même nom. Les terrains à concéder se trouvaient sur un plateau dominant des falaises à pic à une altitude de 200 mètres. Il a été créé au cours de l’année 1930, écrit Eugène Cruck en 1939, par trois de nos concitoyens, MM Rico, Dordé et Soler qui n’hésitèrent pas à immobiliser une petite fortune, là où il n’y avait qu’un plateau couvert de broussailles, et de genêts odorants.
Avec une superficie de trente hectares, les bâtisseurs n’ont pas hésité à prévoir un tiers de la surface soit dix hectares de voies de communication. Les boulevards avaient une largeur prévue de seize mètres et les rues une largeur de douze mètres et devaient être entièrement empierrée. L’alimentation en eau avait été prévue au début des travaux. Ce précieux liquide, choisi parmi les sources les plus saines et les plus appréciées de la région avait été amené sous pression depuis la ferme Chambaret située à trois kilomètre de là.
Les communications avec Oran étaient assurées par une route goudronnée de 6 kilomètres. Le climat de Canastel méritait une mention particulière: sec l’hiver, frais l’été, il devait son caractère favorable à l’altitude des falaises qui en bannissait toute humidité. Le brouillard, aussi bien que le siroco, y était inconnu.
A Canastel, les bouquets de pins parasols existant rajoutés aux nouvelles plantations, assuraient un paradis de fraîcheur pendant les températures caniculaires de l’été. Très rapidement apparaissent dans ce lieu huppé, pour les riches et les nantis, de luxueuses constructions comme Le “Grand hôtel” de 30 chambres dont une façade s’élève à pic à 200 mètres au-dessus de la mer, inauguré en 1925. Il possédait une vaste terrasse d’où l’on pouvait admirer la baie d’Oran. La magnifique vue que l’on avait du haut de son promontoire, et sa proximité de la ville faisait que ce lieu de rêve était très fréquenté par la haute société oranaise, et les notables de passage. La station « Climatérique» recevait les «Hiverneurs» de France et de l’Est algérien. A côté du Casino des Falaises se trouvaient le tennis, les restaurants “la Guinguette”, “Bagatelle” et quelques villas. Le Casino était un endroit réputé......pouvaient-on lire sur les guides Thiolet de 1937.
Un excellent restaurant, de style mauresque, était devenu le rendez-vous des promeneurs et des gourmets. A ce restaurant fut adjoint un hôtel moderne de la Société Rico-Dorde-Soler avec tout le confort contemporain, téléphone et installations dernier cri. La proximité de la montagne des Lions et des escarpements de Kristel permettait l'organisation d’excursions aussi intéressantes que faciles et sans danger.
Les falaises proches étaient d’un excellent attrait pour la communauté Oranaise avide de calme et de tranquillité. Un chemin sécurisé assurait l’accès aux plus petites calanques. Les entrepreneurs de ce lotissement avaient mis à la disposition du public un beau tennis au sol en ciment élastique, des portiques de gymnastique, des balançoires et tous les agrès indispensable à la jeunesse Oranaise. Un garage pouvant contenir cinquante voitures avait été construit et un distributeur automatique d’essence avait été installé sur la place. L’approvisionnement en produits frais était assuré, notamment en pain à raison de deux fournées quotidiennes. Les nouvelles constructions y étaient d’autant plus aisées que la pierre et le sable se trouvaient en abondance sur place, l’usine d’Arcole, toute proche, fournissant la chaux et le ciment.
En 1942, avec le débarquement des armées alliées à Oran, les Américains subjugués par la beauté du site s’y installèrent. Ces derniers, arrivés par voie maritime, débarquèrent au lieu-dit La Farge sur lequel ils construisirent une usine qui allait fournir du ciment à tous les chantiers de la région durant de longues années.
Canastel était très prisé par les adeptes de la chasse et de la pêche. Le gibier constitué de sangliers, de lièvres et de bécasses faisait affluer les amateurs de chasse. On raconte que les parties organisées duraient parfois plus d’une semaine et pouvaient mobiliser tous les habitants de la localité.
Le panorama, qu’on découvrait du bord de la falaise, était splendide et les couchers de soleil y revêtaient un caractère d’une beauté inoubliable. Les pêcheurs à la ligne des quartiers de Gambetta, de Saint -Eugène et des quartiers populaires préféraient les rochers à demi immergés qui longeaient la côte oranaise au pied des falaises de Canastel et plus près de la Cueva del Agua (la cova lagua), pour la variété de leurs poissons. Encore que, la déverse des égouts de la ville attirait une variété particulière de poissons; les mulets. Les plus débrouillards pêchaient au loin en barques «faites-maison» : les Botes à ventre arrondi ou les Pasteras à fond plat.

1962 Doc Danièle Lopez
En Mars ou Avril 2005, j'avais écrit pour moi cette lettre comme une sorte de remerciement intime à Dieu, pour m'avoir aidé à m'en sortir dans des moments pénibles que j'avais traversé pour cause de grave maladie, et où, suivant pronostic médical, mes jours étaient comptés.
En 2008, j'ai écrit mon livre « Il était une fois notre là-bas » ou « le beau ciel à jamais perdu » et j'ai pensé que cette lettre avait sa place dans ce livre, me disant « in peto » que Dieu méritait que cette confession que j'avais faite pour lui, je la rende publique à un moment où les gens commençaient à se prosterner devant des idoles malfaisantes( l'argent , luxure, égoïsme, attitudes sexuelles contre nature que même les animaux réprouvent, serments ou promesses passés au poste « pertes et profits, surtout profits ». J'en ai donc fait l'épilogue de ce bouquin.
La photo ci-dessus, Dieu regarde la terre et pleure que j'avais placé en tête de mon épilogue, a du plaire à l'auteur du PPS reçu le 24 Novembre écoulé, Puisqu'il nous conseille fort joliment de cliquer sur la larme qui coule sur sa joue gauche et les commentaires qui s'affichent sont très beaux et prennent aux tripes et cette photo méritait bien cet hommage supplémentaire, d'où qu'il vienne.
Ma confession citée plus haut, Je l'avais faite pour rétablir les évènements en leur contexte. C’est très difficile de parler de Dieu, d’Allah ou de Yahweh (Nom hébreux du dieu unique) malgré ce qui a été dit , écrit sur lui et sur son existence selon les croyants, toutes religions confondues.
Pourquoi ? Parce chacun est persuadé de le connaître suivant la conception qu’il se fait de son image et c’est faux ! Nous le connaissons mal et même si nous le connaissions un tant soi peut, savons- nous ce qu’il ressent quand il regarde vers nous et qu’il constate ce que nous faisons de notre existence et du peu de cas que nous faisons d’une vie humaine, d’une vie qu’il a voulu pour nous et envoyé sur terre sous forme d’un ange, par l’intermédiaire de nos géniteurs.
Non, personne ne le sait et beaucoup d'entre nous s'en moquent puisque pour faire taire certains de ces bébés qui pleurent toujours pour une excellente raison, on les insère dans une machine à laver qui les tue et les fait taire à jamais. Ah ! Docteur Guillotin, que n'êtes plus parmi nous.
Dans notre « Pater » de chaque soir, nous ânonnons : « Pardonnez-nous nos offenses, comme nous pardonnons..... » Mais tuer un enfant sans défense, nous ne pouvons pas pardonner et vous -même, avec la dévotion et le profond respect que nous vous portons, vous refusez à le faire et c'est normal. J'en suis chrétiennement convaincu.
On a écrit de belles choses sur Dieu avec pour racine et dénominateur commun la Bible ou le Coran. Mais que de sang et de misères n’a-t-on pas répandu en son nom et soi-disant sous son couvert suivant l’interprétation que l’on faisait de son message.
On a écrit aussi des inepties, des blasphèmes et des négations sur sa réalité. Mais les fidèles que nous sommes savons « séparer le bon grain de l’ivraie »
De cette incompréhension sont issues les croisades, les guerres de religion, les différentes croyances qui nous entourent et la naissance de l’extrémisme, de l'intégrisme et du fanatisme aveugle.
La Bible et les 10 commandements confiés à Moïse à notre intention, sont là, depuis des lustres. Œcuméniques, ils nous guident et illuminent notre parcours sur terre, que chacun suit selon sa foi.
Dieu est amour car il possède toutes les qualités qui nous font défaut, il est la perfection. Cet être de lumière est invisible, pourtant il est là pour tous, quelle que soit la manière de l’honorer et le vénérer, pourvu que chacun en son âme et conscience soit en paix avec lui-même.
A partir de ce dogme, Dieu est la vie en trois personnes. C’est le grand mystère de la Sainte Trinité.
Quand viendra l’heure de la rencontrer, cela ne se fera que si nous l’avons honoré sur terre où, à chaque instant, il se manifeste de façon diaphane et invisible pour nous protéger et nous guider vers le bien.( même et y compris les athées).
Visitez n'importe quelle partie du monde aujourd'hui. Parlez aux gens quelle que soit leur religion. Ils savent qu'il n'y a jamais eu un homme comme Jésus de Nazareth. Il est la personnalité sur laquelle nous nous appuyons pour compter le temps qui passe depuis plus de 2.000 ans. Quelle meilleure preuve unanime de la reconnaissance de Dieu.
Mon modeste exemple n’est qu’une preuve de plus de son existence. Au crépuscule de ma vie, j’ai été frappé par le mal du siècle, je veux parler du cancer du poumon.
Les analyses, les scanners et la radiologie étaient unanimes dans leurs diagnostics Il était des plus graves qui soient. Rares sont ceux qui en réchappaient.
J’ai prié dans ma tête, beaucoup prié jusqu’à sentir presque sa présence à mes côtés. Je lui ai demandé de me permettre de mener à son terme, une mission sur laquelle je travaille depuis 20 ans.
Après de longs mois de séances pénibles de chimio thérapie, mes médecins m’ont jugé apte à subir une opération chirurgicale qui consistait en l’ablation d’une partie du poumon.
Après l’opération, quelques heures plus tard, je me suis réveillé en prières en salle de réanimation et j’ai su dès cet instant que seul Dieu, avait pu guider le scalpel du chirurgien, grâce auquel il m’avait permis de continuer à vivre.
J'ai compris ce jour-là, que j’avais une dette envers lui et que je devais m'investir dans l'aide à mes semblables. J'ignorais encore comment et j'ai cherché et j'ai trouvé.
Je crois que Dieu m'a conseillé, vu mon caractère et certaines dispositions que j'ai toujours eu, surtout dans notre « Là-bas » de m'occuper de ceux qui avaient besoin de lui.
A partir de là, et en 2005, j'ai regardé autour de moi, et j'ai découvert une organisation apolitique (ce que je voulais pour rester mon libre arbitre). J'y ai adhéré et ai constaté par la suite que mon choix était le bon, tant la conviction et la solidarité de ses membres est visible et tangible. Leurs actions et leur aide sont appréciées par notre communauté entière et détestés par les officines de recouvrement qui se gavent sur notre dos.
Nous sommes des déracinés exilés malgré eux, tels des troupeaux qu'on emmène aux alpages pour y passer l’été. Mais les nôtres auront duré ½ siècle et nous sommes toujours traités comme ces animaux qui attendent passivement leur dernier voyage vers les abattoirs.
La seule chose que nous ayons en commun avec ces bestiaux, c'est cette mise aux alpages. Quant aux abattoirs, c'est un autre problème et c'est probablement ces gens-là qui iront avant nous.
Quelle erreur d'appréciation et quel manque de vision de ces instances politiques, héritières des idées d'un bourreau digne du procès de Nuremberg et qui nous gouvernent encore mais plus pour longtemps.
Jusqu'à ce jour. Les repliés que nous sommes, avons été victimes expiatoires d'une décolonisation sauvage par la volonté de bêtes malfaisantes mais investies à l'époque d'un pouvoir qui les aveuglait. A l'exception de Monsieur François Mitterrand, en 1997, personne ne s'était penché sur notre sort. N'oublions pas.
Le triomphe des démagogies est passager, mais les ruines sont éternelles. (Charles Péguy)
Pierre Salas.
« C’est très bien qu’il y ait des Français jaunes, des Français noirs ; des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu’elle a une vocation universelle. Mais à condition qu’ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. Qu’on ne se raconte pas d’histoire ! Les musulmans, vous êtes allés les voir ? Vous les avez regardés avec leurs turbans et leurs djellabas ? Vous voyez bien que ce ne sont pas des Français. Ceux qui prônent l’intégration ont une cervelle de colibri, même s’ils sont très savants. Essayez d’intégrer de l’huile et du vinaigre. Agitez la bouteille. Au bout d’un moment, ils se sépareront de nouveau. Les Arabes sont des Arabes, les Français sont des Français. Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de musulmans, qui demain seront vingt millions et après-demain quarante ? Si nous faisions l’intégration, si tous les Arabes et les Berbères d’Algérie étaient considérés comme Français, comment les empêcheriez-vous de venir s’installer en métropole, alors que le niveau de vie y est tellement plus élevé ? Mon village ne s’appellerait plus Colombey-les-Deux-Eglises, mais Colombey-les-deux-Mosquées » (Charles de Gaulle, 5 mars 1959 – Propos rapportés par Alain Peyrefitte)
Contrairement aux affirmations fantaisistes de de Gaulle évoquant le nombre croissant d’Algériens qui viendraient s’installer en Métropole si l’Algérie demeurait française transformant ainsi Colombey-Les-Deux-Eglises en « Colombey les deux mosquées », c’est, précisément, l’indépendance de l’Algérie qui a entraîné la situation actuelle de l’immigration des Nord-Africains en France…
Si l’enfantement de la nouvelle République algérienne entraîna l’hystérie collective, amalgame de réjouissances, de meurtres et de pillages tels le génocide dont furent victimes les Musulmans fidèles à la France et les assassinats d’Européens du 5 juillet 1962 à Oran, les Algériens ivres d’indépendance allaient, très vite, danser une tout autre danse en tournant en rond devant un buffet vide… C’est ainsi qu’après la mise à sac du pays en 1962, après la frénésie sanguinaire et destructrice des premiers mois de l’indépendance, après l’incurie des chefs du FLN désormais aux commandes de l’Etat, après les premières années de chaos forcené, il ne restait plus rien de l’équipement technique du pays. Les immeubles tombaient en ruine, l’agriculture était moribonde, les rouages précieux mis en place par la France rouillaient au soleil de midi et les ingénieurs venus de l’Est dès la proclamation de l’indépendance levaient les bras au ciel en contemplant d’un œil désespéré l’ampleur des dégâts. C’est alors que craignant la colère du peuple que l’on avait savamment gavé durant huit ans de promesses démagogiques et fallacieuses, le gouvernement algérien, incapable de fournir du travail à sa population, exigea « la libre circulation des personnes » avec la France et « leur libre résidence de Dunkerque à Marseille » en menaçant de Gaulle d’une rupture qui eût contrarié sa « grande politique » arabe. Aussitôt, sur l’injonction formelle du « Guide », satisfaction sera donnée aux nouveaux maîtres de l’Algérie et la décision d’ouvrir, pratiquement sans contrôle, nos frontières à l’immigration algérienne fut appliquée.
Dans son ouvrage « Les immigrés maghrébins entre le passé et l’avenir », M. Mohamed Harbi, l’un des dirigeants du FLN de cette époque en apporte la confirmation : « Une discussion collective sur l’émigration a eu lieu dans le cadre de la commission de préparation du congrès du FLN. Je dois dire que nombre de dirigeants avaient sur cette question une « attitude de type magique ». Faute de solution crédible à proposer, ils avaient tendance à considérer que l’exportation de main-d’œuvre était une sorte de dédommagement pour les préjudices causés à l’Algérie par la colonisation, un droit qui les confortait dans leur nationalisme et en même temps leur « permettait d’échapper au spectre de la question sociale ».
Il ajoute plus loin : « les préoccupations de la gauche du FLN ont été prises en compte dans les programmes du FLN d’avril 1964. La charte d’Alger stipulait donc : « Les causes de l’émigration sont étroitement liées au niveau de développement du pays. (Elle) peut être atténuée ou freinée mais « ne cessera qu’avec la disparition de ses causes principales ».
Les inquiétudes que les plus avisés avaient alors émises sur ce rapport quand on connaissait, déjà à cette époque, les problèmes d’ordre économique et social que rencontrait l’Algérie, ne furent pas prises en compte et pourtant, il était illusoire de croire que le gouvernement algérien encouragerait ses ressortissants à « demeurer au pays ». A cet effet, il est bon de citer un extrait du rapport rédigé en 1966 par l’Amicale des Algériens en France (qui, ne l’oublions pas, incarnait le FLN durant le conflit), concernant l’émigration : « L’émigration, cette solution imposée par la pression démographique est, à notre sens, la solution complémentaire au développement agricole et industriel. Car l’émigration a toujours des conséquences démographiques, même lorsqu’elle consiste en une migration temporaire de travailleurs ; elle sépare alors les couples mariés, retarde le mariage des célibataires et réduit la natalité. La dimension finale moyenne d’une famille algérienne est de 7 à 8 enfants nés vivants ; celle d’un émigré marié, périodiquement séparé de son épouse pour des durées plus ou moins longues, est 2 à 3 fois plus petite (2 à 4 enfants) ».
Ainsi, lorsqu’en 1966 un accord officiel autorisait l’entrée de 8 000 travailleurs algériens entre le 1er janvier et le 1er septembre, ce furent en réalité, d’après les statistiques officielles, 15 732 « travailleurs », plus 23 228 « touristes », plus 25 000 « parents », soit au total plus de 60 000 immigrés réels (pour 8 000 autorisés) qui vinrent s’installer en France en huit mois… et il ne s’agissait là que d’Algériens !... Cette situation était d’autant plus grave que, grâce à l’immigration clandestine, le nombre des Algériens résidant en France s’élevait déjà à un million en 1968. Bien que nombre de journaux –dits « nationalistes »- poussèrent un cri d’alarme, ils ne furent pas entendus et l’hebdomadaire « Minute », dans son édition du 7 novembre 1968, résuma alors avec lucidité et clairvoyance -et de façon prémonitoire- l’état des lieux : « De véritables villes arabes surgiront peu à peu dans nos grandes cités comme Harlem à New-York. Or, ces villes arabes deviendront les fiefs d’une communauté étrangère inaccessible car… l’indépendance algérienne a sonné le glas de toute assimilation d’ensemble de la communauté nord africaine de France. A quelques heureuses exceptions près, les arabes forment sur notre sol un monde clos et non perméable… « L’inadaptation, la misère, la réaction instinctive d’autodéfense de la population française ne feront qu’exacerber le particularisme de la minorité algérienne de France et transformer ses médinas en places fortes révolutionnaires… »
« Le Back Power menace aujourd’hui l’existence même de l’Amérique. Nous risquons de voir dans vingt ans quatre millions d’Algériens revendiquer chez nous le pouvoir arabe ».
Cela fut écrit il y a 43 ans ; qui eut la bienveillance de l’entendre ? Aujourd’hui la prophétie se réalise rendant vivants ces vers de Théophile de Viau dans « Elégie » :
« Dans ce climat barbare où le destin me range,
Me rendant mon pays comme un pays étrange. »
De nos jours, compte tenu des milliers de naturalisations effectuées depuis 1962, du nombre important de Maghrébins séjournant en France et de l’importance des clandestins, nul n’est en mesure de chiffrer avec exactitude leur nombre. Néanmoins, selon Yves-Marie Laulun, directeur de l’Institut de géopolitique des populations (Monde et Vie du 16 juillet 2011), la population immigrée née sur le sol français (donc « française de papier ») représente 7 à 8 millions de personnes, soit plus du dixième de la population française. Ces personnes sont originaires, pour l’essentiel, de l’Afrique noire, du Maghreb et un peu de Turquie et représentent politiquement un vivier électoral très intéressant, ce qui explique l’attitude du parti socialiste, par exemple, qui souhaiterait capter ces suffrages pour s’emparer du pouvoir (dixit, Y- Laulun)… d’où la proposition de loi en faveur du vote des étrangers lors des élections municipales, déposée et votée par la Gauche, le 8 décembre 2011, dans un Sénat désormais à sa solde…
Le vote musulman aura également un impact majeur sur les prochaines élections présidentielles et législatives. Plus de 10% de l’électorat français est en effet musulman. Et c’est la part la plus jeune de la population, représentant presque un quart des moins de 20 ans. Leur impact politique ira croissant. Dans certaines villes, la moitié de la population est musulmane et il va devenir impossible pour la droite de gagner ces circonscriptions, à moins que les français de souche votent unanimement à droite… plus spécialement pour le FN. Beaucoup de Français semblent, enfin, réaliser que ces élections sont l’une des dernières chances pour eux de préserver quelque chose de l’ancienne France. Et les statistiques les plus optimistes s’accordent à dire qu’en 2030, sur une population française de 68 millions, il y aura 20 millions d’Afro-maghrébins, soit 30% de la population française… ce qui laisse augurer un changement radical dans la gestion de bon nombre de collectivités locales et territoriales…
En janvier 2011, les chiffres de la natalité française furent annoncés avec faste : L’INSEE venait de publier un claironnant bilan démographique que nos journalistes, tout sourire, répercutaient : La France comptait désormais plus de 65 millions d’habitants. Soit 10 de plus que lors de l’élection de François Mitterrand en 1981. Quel exploit ! Cette augmentation du nombre d’habitants s’expliquerait, selon l’INSEE, par l’allongement de la durée de vie en hausse depuis 2000, mais aussi (et surtout) par un taux de fécondité de 2,01% qui ferait de la femme française la championne d’Europe. Et il ne s’est trouvé aucun journaliste, aucun politique, aucun adepte des « droits de l’homme » pour s’interroger sur ce bilan flatteur…
En réalité, sur 830 000 naissances recensées en France en 2006, 165 000 venaient de cette population issue de l’immigration. Le taux de fécondité de la population française « de souche » est de 1,6%, celui des Maghrébines en France est de 2,7% et celui des Noires d’origine africaine, 4,2% (source, idem que précédente). Donc, sur 65 millions d’habitants en France, il y a combien de Français réels ? Qui pourrait le dire avec courage et lucidité ?
Concernant l’immigration en général, selon Eric Besson, l’opportuniste transfuge du PS (alors Ministre de l’immigration du premier gouvernement Sarkozyste), pour la seule année 2009, 6 000 personnes ont été régularisées ; 29 288 étrangers en situation irrégulière ont été expulsés, tandis que 173 991 titres de séjour ont été délivrés et 108 275 étrangers ont acquis la nationalité française (en 2008, ils avaient été, déjà, 107 000), ce qui place la France en tête des pays européens pour l'acquisition de la nationalité. Sur les huit premiers mois de l’année 2010, comme l'attestent les chiffres officiels des services de l'immigration, non seulement l'immigration n'est pas stoppée, ni même ralentie mais la situation continue à s'aggraver : 122 246 autorisations de long séjour ont été accordées, soit 9 % de plus que sur la même période de 2009, année déjà catastrophique et 6 597 statuts de réfugié ont été accordés pour ce laps de temps, contre 6 786 personnes pour toute l'année 2009. Selon l’OFPRA, Il a été déposé en 2010, 52 762 demandes d'asile, faisant de la France la première destination européenne.
Il y a également toujours plus de Français de papier puisque, durant cette période, ce sont 67 300 personnes qui ont été naturalisées françaises par décret. Par ailleurs, le délai moyen pour une naturalisation est passé de douze à cinq mois. Il y a eu enfin 19 042 renvois d'étrangers en situation irrégulière au cours des huit premiers mois, contre 19 456 pour la même période de 2009, donc quasi pas d'augmentation. Mais il y a plus grave ! En septembre 2010, selon « Valeurs actuelles » du 9 décembre 2010, Eric Besson a reconnu que « 75% des reconduites à la frontière n’ont pas été exécutées »… ce qui rendrait, dès lors, peu crédible le chiffre des expulsions annoncées… Pour conclure : En janvier 2011, il a été délivré 23 504 titres de séjour (+ 42,1% en un an). Le nombre de demandeurs d’asile a également grimpé de 17,4% (à 3 899) et celui des naturalisations de 19,4% (à 13 337).
Dans une étude parue dans le National Zeitung du 11/08/2006, Herbert Vonach, Professeur d’université autrichien écrivait : « Ce n’est pas parce que l’on décidera de naturaliser tous les étrangers que les problèmes y afférents disparaîtront »… « Quand j’ai mené cette étude, je me suis d’abord posé la question de savoir si mon petit-fils appartiendrait dans son propre pays à une majorité ou à une minorité. Je n’ose penser à cette dernière éventualité ».
Et quand on pense que le Ministre Besson, lors de sa visite dans la Cité des 4000 à la Courneuve (là même où un certain Ministre de l’Intérieur, aujourd’hui Président de la République, avait promis de nettoyer ces zones de non droit au « kärcher »… mais qui a, en réalité, seulement « kärchérisé » les forces de l’ordre en supprimant 9 500 postes de gendarmes et de policiers) avait déclaré sans le moindre scrupule : « La France n’est ni un peuple, ni une langue, ni un territoire, ni une religion ; c’est un conglomérat de peuples qui veulent vivre ensemble. Il n’y a pas de Français de souche, il n’y a qu’une France de métissage »… comment voulez-vous que ce « conglomérat de peuples », encouragé comme il l’est, accepte la moindre assimilation ? Car, l’assimilation c’est devenir comme autrui, chez autrui alors que l’insertion, c’est vivre comme chez soi, chez autrui. La plupart de ces immigrés, essentiellement africains et maghrébins, veulent bien bénéficier des lois sociales françaises, mais ils en refusent les devoirs. La majorité d’entre eux, ne veut pas adopter notre langue -hormis celle de la « zone »- (Pour éviter les mots un peu élégants, on ramasse ceux du ruisseau, disait Maurice Druon), notre culture, notre genre de vie, en un mot s’intégrer dans notre société… c'est-à-dire s’adapter ou se conformer aux modes d’existence du pays d’accueil. Par conséquent, ils veulent vivre selon leurs traditions et la loi coranique intégriste, en formant des îlots étrangers aux abords des villes. « Quand un peuple n’ose plus défendre sa langue, il est mûr pour l’esclavage », soutenait Rémy de Gourmont.
Parmi les communautés étrangères établies sur le sol national, la communauté islamique est la plus marginalisée. En effet, tout les distingue des autres immigrés, leur culture, leur religion, leur histoire et leur aspect physique. L’immigré européen devra apprendre la langue française –ce sera sa seule difficulté- car les fondements intellectuels et moraux de son univers et de celui où il va vivre ne connaissent que des différences de degré. L’immigré musulman, au contraire, connaîtra une désidentification totale. Il deviendra, qu’il appartienne à la première ou à la seconde génération, un complet étranger pour les siens.
En 1969 – déjà !- dans son n° 704 du 8 mars, le journal « Entreprise » alertait l’opinion publique : « On ne peut pas ne pas se poser la question de leur assimilation. Le langage, les mœurs, l’apparence physique, les habitudes familiales, sociales, religieuses creusent dans leur cas un fossé, sans comparaison avec les barrières relativement faibles qu’on dû franchir les immigrants européens ». A priori, ce cri d’alarme n’a pas été entendu…
Concernant les « Français » d’origine algérienne, cette attitude peut se comprendre aisément dans la mesure où ces « Français de papier » restent sentimentalement algériens, s’estimant les héritiers des vainqueurs de la guerre d’indépendance. Et il en est de même pour leurs coreligionnaires tunisiens et marocains. A cet effet, il n’est qu’à se remémorer les incidents survenus au Stade de France lors des rencontres de football opposant la France à l’Algérie et à la Tunisie pour en être convaincu… « La France est devenue la colonie de ses colonies ! » a déclaré sur ce point Vladimir Poutine.
« Les français qui n'ont pas voulu de l'Algérie Française auront un jour la France algérienne » a écrit dans son livre « D'une Résistance à l'autre », Georges Bidault, l’ancien chef du Conseil National de la Résistance. Il reprenait là, en quelque sorte, cette déclaration du redoutable chef terroriste du FLN qu’était Larbi ben M’Hidi, lancée à la face des parachutistes français venus l’arrêter en 1957 lors de la « bataille d’Alger » : « Vous voulez la France de Dunkerque à Tamanrasset, je vous prédis, moi, que vous aurez l’Algérie de Tamanrasset à Dunkerque ».
Nos hommes politiques devraient méditer sur cette déclaration prémonitoire...
Le 17 mars 2011, le Ministre de l’Intérieur, Claude Guéant, déclarait sur « Europe 1 » : « Les Français, à force d'immigration incontrôlée, ont parfois le sentiment de ne plus être chez eux, ou bien ils ont le sentiment de voir des pratiques qui s'imposent à eux et qui ne correspondent pas aux règles de notre vie sociale. » Ainsi, tandis qu’à gauche on se réjouit de cet apport d’électeurs potentiels ; à droite, on se contente d’en établir l’amer constat sans pour autant apporter de solutions…
Et le plus grave reste à venir dans la mesure où nos élites « bien pensantes » -entre autres celles du Haut Conseil à l’Intégration- ne cessent de nous rabâcher, dans un grand concerto libéral, que la France va devoir impérativement accueillir dans les prochaines décennies plusieurs millions (sic) de nouveaux immigrés pour à la fois assurer son renouvellement démographique, pérenniser son système de retraites et relancer son développement économique, ce qui rend actuelle cette déclaration de Malika Sorel, écrivain, journaliste d’origine algérienne, parue dans le magazine « Le spectacle du Monde – Octobre 2000 » : « La France s’autodétruit sans rendre service aux immigrés ». Mortifiant sujet de réflexion…
José CASTANO (petit fils d’immigrés espagnols)
E-mail : joseph.castano0508@orange.fr
« Je n’ai pas une goutte de sang français mais la France coule dans mes veines…» [Romain Gary (Roman Kacew de son vrai nom)]
« J’ai eu une discussion de fond avec Nicolas Sarkozy à l’Elysée à la fin de l’année dernière ; il m’a dit : «Toi tu as les intuitions, moi j’ai les chiffres. Et tes intuitions sont confirmées par mes chiffres. L’islamisation de l’Europe est inéluctable. » Déclaration de Philippe de Villiers, 4 juin 2009.
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8 Décembre 2011
Mesdames, Messieurs, chers amis,
C’est aujourd’hui que le Sénat examine une proposition de loi socialiste visant à accorder le droit de vote aux étrangers aux élections locales.
Inutile de vous dire que je suis résolument contre le droit de vote aux étrangers.
Le droit de vote est un attribut de la citoyenneté, et la citoyenneté est indissolublement liée à la nationalité.
C’est notre règle républicaine depuis toujours, c’est notre tradition nationale, et il n’est pas question d’en changer. Il n’est pas question non plus de retirer aux Français le dernier privilège qui leur reste : le droit de voter pour choisir leurs représentants.
Seuls les Français doivent pouvoir voter et choisir leurs représentants en France !
Ce principe n’est pas négociable, et s’il ne doit y en avoir qu’une pour le défendre, ce sera moi !
J’alerte ainsi sur cette proposition de loi socialiste, que je considère antirépublicaine et dangereuse pour notre démocratie.
Car ne soyons pas dupes, si le PS soutient le droit de vote aux étrangers, c’est bien évidemment pour des raisons électoralistes.
Le but est de récupérer de nouvelles clientèles électorales, quitte à fouler au pied tous les principes qui font la France.
Marine LE PEN, Présidente du Front National
- Cliquez sur : Il s’en est fallu de peu, 173 voix pour, 166 voix contre. Mais, au final, la proposition de loi sur le vote des étrangers aux municipales a été adoptée par le Sénat.
- Cliquez sur : L’immigration pour le PS : s’assurer des millions d’électeurs potentiels en plus
- Les sondages disent ce qui les arrange. Cliquez sur : http://www.petitsechodoran.com/cap-sur-2012/sondages-toujours,a2985229.html
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- Alors que les médias n’ont eu de cesse de rappeler durant 18 mois l’enlèvement de deux journalistes en Afghanistan et qu’un comité de soutien fut créé pour leur libération, nous rappelons également que depuis le 19 mars 1962, cela fera, au 31 decembre 2011, 18184 jours que des milliers de Français d’Algérie ont été enlevés dans la plus grande indifférence sans que les « bonnes consciences » de ce monde n’élèvent la moindre protestation. Ne les oublions pas –
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Article 19 de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme : "Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit"
Comme un homme politique ne croit jamais ce qu'il dit, il est étonné quand il est cru sur parole. Charles de Gaulle
Ne nous oubliez... pas nous....... NON PLUS.
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Alors que les médias rappellent quotidiennement l’enlèvement de 8 ressortissants Français quelque part dans le monde et que des comités de soutien se créent fort justement pour réclamer leur libération, nous Pieds-noirs, rappelons également que depuis le 19 Mars 1962, par la volonté maléfique et satanique d’un Président de notre France d’alors, manipulateur pourri d’orgueil et de suffisance , cela fera au 19 Mars 2012, 18251 jours , que des milliers de Français d’Algérie ont été enlevés dans l’indifférence générale sans que les « bonnes consciences » de ce monde qui détournaient pudiquement leur regard, n’aient élevé la moindre protestation pour nous défendre et nous soutenir. Nous ne les oublierons pas elles aussi. |
Hier soir, j'avais achevé un article intitulé : Le HERISSON PERPLEXE et DUBITATIF.
La nuit favorisant la réflexion, je décide, ce matin, de changer radicalement mon thème des deux ou trois jours consacrés à la rédaction de ce dernier.
Dans cet article, je reprenais un commentaire du 15/12/2010, dans lequel je disais que nous, Français, étions de braves gens et vivions dans un beau pays accueillant pour ceux qui fuient leurs pays, sauf l'exception qui confirma la règle (nous) en 1962.
Je me dois d'ajouter à cette évidence que nous Pieds-noirs, avons été d'une naïveté impardonnable. Faisons notre mea culpa.
Effectivement depuis le mois de Mai 1958 (mois des anniversaires, d'abord le mien:25 ans, ensuite, le 13 Mai, nous Français d’Algérie, hostiles à l’investiture de Pierre Pflimlin, jugé favorable à des négociations avec les partisans de l’indépendance, nous nous étions soulevés et obtenu du général Salan qu'il lançât un appel au général de Gaulle. Belle bande de cons que nous étions, en vérité !!!
On pensait que ce dernier pouvait être « le défenseur d’une Algérie française». Tu parles !
Grâce à notre soulèvement et à l’épuisement des forces politiques, ce parjure voyou fut amené à former le gouvernement par le président de la République d'alors : René Coty.
Il devint président du Conseil, le dernier de la IVe République et ensuite Président de la république, le 8 Janvier 1959 en succédant à Mr René Coty qui venait de lui ceder sa place, ce jour-là..
En ce qui concerne la guerre d'Algérie, de Gaulle suscita d’abord de grands espoirs parmi les Français d’Algérie, auxquels il déclara à Alger le 04/06/58 « Je vous ai compris ». Ce jour-là, il se garda bien de promettre quoi que ce soit. Il ne reprit ni le mot d'ordre d'« intégration » ni le slogan « Algérie française ». Ce n'est qu'à Mostaganem (département d'Oran), que deux jours plus tard, le 6.Juin, il osa dire : « Vive l'Algérie française ».
Après nous avoir promis la lune, il fit tout et son contraire de ses promesses. C'est cela la face cachée de la lune, titre de cet article que je vous prie de ne pas oublier et de lancer à la face des historiens merdiques qui nous entourent, aux hommes politiques de même nature, mais surtout de faire connaître à notre descendance pour que, ELLE, n'oublie pas .
Et, ironie de l'histoire, notre France en nous lâchant et en nous livrant au couteau de ces bouchers, a fait de l'Algérie du 5 Juillet 1962, un pays envié fournisseur de pétrole dont elle regorge grâce au travail de la France et des pieds-noirs.
Comparez le prix des carburants aujourd'hui en Algérie avec celui que nous déboursons ici grâce à cet escogriffe étoilé, à la mémoire duquel les Algériens envisagent de dresser un monument.
(Actuellement, 0.22€ le Super / 0.13€ le diésel ) Qui dit mieux ?)
Quant aux pays méditerranéen, libérés de toute tutelle tyrannique, leur trop plein (pas d'essence) mais de racaille de « Coupe-jarrets, fainéants, bons à rien, suceurs de roues et d'avantages gratuits que nous, sujets Français, attendons depuis des décennies, et n'en bénéficions pas » pullulent maintenant et se groupent à nos frontières, en attendant que les autres en provenance d'Espagne (passée à la droite hier) arrivent renforcer, en France, leurs prétentions.
Ces émigrants d'un nouveau genre , débarrassés de la tutelle étouffante de leurs dirigeants, se précipitent dans notre accueillant pays à qui mieux mieux, pour se regrouper en clans malfaisants, fouteurs de merde et font tout pour bien « niquer » la France et le faire savoir par des attitudes, des chansons, des chaines de TV complaisantes, des exigences vestimentaires, alimentaires, des constructions de mosquées. Même les éleveurs porcins devront s'accoutumer à leurs exigences.
Bref ! Ils veulent halaliser notre pays et réussiront probablement sans une prompte réaction nationale, collective, salutaire et chrétienne.
Pauvres de nous, s'ils venaient à gagner sans combattre. Ils n’acceptent pas « le qu'on dira-t-on », et rétorquent : »Pourquoi le con di raton et pas le con di Français »
Cette France-là, en outre, est responsable directe de l'assassinat du 76e jeune soldat Français tué en Afghanistan. Elle fourre son nez partout où çà pue et ou çà bouge, sauf là où ce serait d'utilité et de salubrité publique : chez nous, ici, en France,
Cette malheureuse jeune victime du « non-devoir, de la vassalité et de l'allégeance de nos dirigeants aux Américains », n'avait que 25 ans. Il était un glorieux légionnaire de 1re classe, Goran Franjkovic, du 2e régiment étranger de génie (2e REG) de Saint-Christol (Vaucluse) commune française, située sur le Plateau d'Albion et n'était arrivé que depuis dix jours sur ce théatre d'opérations extérieures. Quand on connaît la Légion, on connaît la signification de la valeur de cette distinction de « 1re Classe » et la mise en application de sa devise : « Va où tu veux, meurs où tu dois »
Il serait lamentable qu'aux yeux de nos dirigeants actuels, ceux de nos enfants qui servent de chair à canon puissent être remplacés par une kyrielle d' intégristes en provenance justement de ces pays où nous jouons la mouche du coche et rien d'autre.
Les valeurs qui nous étaient propres, sous Clemenceau distinguaient notre pays du reste de l’Europe. Il est vrai que nous étions sous la 3e République et que ce Président-là, était surnommé LE TIGRE. Nous n'avons que des tigres de papier maintenant.
En outre, nous avons fini par perdre le sens des valeurs morales, et maintenant on en rajoute une couche avec l'institution de l'union officielle en Mairie des couples gays de même sexe. C'est quoi cà ? Où allons-nous ? Notre décadence ne vous effraie pas ? Nous tombons bien bas
Mais comprenez bien, à travers mes lignes, que certains Français se prenant pour des coqs Gaulois et ne sont que des poules mouillées (récupération obligeant toujours), je prends tous les paris que les partis politiques qui se disputent la première place dans les sondages, se battront pour se faire voir en tête des gays-prides, parader et être vus en tête de ces cortèges. Que miseria !
Je me fais violence pour mettre des formes dans mes expressions, car je suis poli, sauf quand je me hérisse, me met en boule ou qu'on me casse les c... Il (Une personne qui se reconnaîtra, si elle me lit), appréciera qu'ayant écouté ses conseils, j'use d'un langage châtié.
Enfin ceci n'est qu'un des aspects de la kyrielle de problèmes de notre société décadente sous l'œil complice et impavide des partis politiques qui nous entourent encore..... Jusqu’à Mai 1982, lesquels pensent que les apports de voix d'où qu'elles viennent, si elles leur permettent d'atteindre le bût qu’ils se sont fixé, importent peu, pourvu qu'elles soient en leur faveur.
Oh oui, les susnommés s’élèvent comme un seul homme contre les injustices, la haine raciale, ethnique ou religieuse. C’est bien et nous sommes pour, quand ces dispositions ne sont pas prises à sens unique.
Mais la réciprocité n’est pas de mise et reste une vue de leur esprit. A nos yeux, cette réciprocité devrait avoir trois sens : L'Egalite, la Liberté et la fraternité, sur fonds Bleu, Blanc, Rouge et non pas celle qui dit : Liberté, égalité, fraternité ! Paroles vaines, funestes même, depuis qu'elles sont devenues politiques ; car la politique en a fait trois mensonges.(Louis Veuillot)
Le 15/12/201, disais-je, j'avais fait un rêve qui disait à peu de choses près que les Rapatriés que nous étions, sommes, et resterons jusqu'à la fin de notre existence, des enfants de tous pays, comme le chantait si bien notre chantre Enrico, et de ce fait nous savons « tendre nos mains meurtries, semer l'amour et donner la vie » et cela quelle que soit notre ethnie ou notre confession religieuse.
Y aura-t-il un jour un politique a claouis bien en place, pour s'élever contre cette décadence ?
Mais nous avons la chance de posséder dans nos rangs, un historien authentique non pas de métier, mais de classe et bien de chez nous. Un homme qui connait notre passé sur le bout des doigt et en parle avec une authenticité émouvante, lors de ses conférences écoutées religieusement par notre communauté P.N, conférences qui démontent impitoyablement les théories des historiens de pacotille qui modifient sur ordres, venus d'en haut,, les données sacrées de notre belle histoire. Cet historien porte des initiales sacrées, les mêmes que celles de notre Seigneur Jésus Christ.
Ce gaillard ne craint que Dieu, mais pas le diable.
Allez mon J...C..., continue sur ta lancée et tu verras qu'avec ton aide précieuse qui nous montre la route à suivre pour parvenir au bout de cette revanche tant attendue et qui nous est due, notre communauté fera bloc autour de nos vaillants dirigeants d'Associations. Nous croyons encore en le jugement de Dieu qui ne manquera pas d’intervenir.
Un autre ami (Merci Edgard) me dit, je le cite : « Gardons espoir car la vérité commence à sortir pour ce fait. Il n'y a qu'à lire valeur actuelle No 3910 semaine du 3 au 9/11 » Ce journal mérite toute notre attention car il « PARLE VRAI » le FRANCAIS.
Quelques politiques de notre connaissance peuvent préparer leurs mouchoirs. Valeurs Actuelles intitule l'un de ses derniers articles : « UMP, la course au vote pied-noir ». Diable, ils savent que les PN ont voté pour Sarkozy, lors de la dernière présidentielle, ce qui explique la différence de voix entre lui et sa concurrente Ségolène.(Voir tableau plus bas).
Un membre important de l'UMP admet même que notre vote ferait basculer le résultat de la prochaine Présidentielle.
Nous avons l’obligation et le devoir de nous unir et de nous rassembler autour d’un projet de réhabilitation non plus de l'histoire que fut celle d' avant 1962, mais celle qui pourrait bien changer la vision actuelle et nous la rappeler ( car elle est chère à notre mémoire), dès le 6 Mai 2012.
Nos trois millions de voix se doivent de se porter sur celui ou celle qui nous rendra réparation et justice de ce que le vent de l'histoire, nous a volé et qui doit nous être rendu par une incontournable et juste indemnisation, et un important « pretium doloris inchiffrable » sans oublier l’acte de repentance, non envers les Bouteflika et consorts, mais envers des vrais Français pour la diaspora que nous subissons encore par notre essaimage aux quatre vents.
Je ne crois pas que ce rêve soit irréalisable ou utopique ! Nul déraciné, spolié, humilié, meurtri dans ce qu’il aimait, ne pourra admettre qu’il existe encore des dissensions, des rivalités de clocher, des situations « cloche-merlienne », ou accepter passivement que l’on continue à nous prendre pour des moutons (nous aussi) dans les hautes sphères.
Rassemblement ou ralliement pour le rétablissement de la vérité sont impératifs pour l’œuvre gigantesque que nous avons accompli, avant notre exode forcé, tant circulent dans nos veines, le sang, et les gènes de nos parents, grands-parents et arrières grands-parents et ce que nous devons faire cinquante ans après, pour rester en adéquation avec eux.
Nous apporterons notre aide totale sans hésitations ni murmures pour relever notre France et le futur de notre pays à la personnalité que nous aurons choisie et jugée digne de recevoir notre appui électoral. Et chez nous pas une de nos voix ne fera défaut à cette personne..
Je vais m'arrêter non sans rappeler le résultat final de la dernière élection présidentielle du 6 Mai 2007(source Wikipédia) laquelle doit nous faire réfléchir intensément.
|
|
Voix |
% Exprimés |
|
M. Nicolas SARKOZY |
18 983 138 |
53,06 |
|
Mme Ségolène ROYAL |
16 790 440 |
46,94 |
Différence =....2 192 598 6,12 %
L'apport et l'union de nos 3.000.000 de voix représente plus que ces 2 192 598 voix de différence entre Nicolas et Ségolène, différence qui comme dit plus haut, a permis au Président actuel de l'emporter, séduits que nous avions été par ses promesses mirifiques et fallacieuses diaboliquement préméditées de ce descendant en ligne indirecte de celui qui se prenait pour un aigle royal et n'était qu'un oiseau de mauvais augure.
Mais chats échaudés craignant l'eau froide, on ne nous y reprendra plus. Et avant de faire confiance à l'un des candidats, il nous faudra autre chose que des promesses. Ils connaissent tous le coût de nos suffrages et ce que cela pourrait leur coûter si leurs promesses n'étaient encore et une fois de plus qu'un coup d'épée dans l'eau. Et cela n'est pas une prévision, mais une VRAIE PROMESSE.
En politique internationale, les coups d'épingle répétés finissent par engendrer des coups de canon. Gustave Le Bon
LE HÉRISSON FRANCHOUILLARMENT VOUS SALUE BIEN ET TOUJOURS A VOTRE SERVICE.
CAMERONE 1863
La bataille de Camerone est un combat qui opposa une compagnie de la Légion étrangère aux troupes mexicaines le 30 avril 1863 lors de l’expédition française au Mexique.
Le 29 avril 1863, durant l’expédition mexicaine, Pierre Jean Joseph Jeanningros apprend qu’un gros convoi emportant trois millions en numéraires, du matériel de siège et des munitions est en route pour Puebla. Le capitaine Danjou, son adjudant-major, le décide à envoyer au-devant du convoi une compagnie. Le 30 avril, le colonel Jeanningros demande à la compagnie du capitaine Danjou de faire une reconnaissance près de Palo Verde, à une dizaine de kilomètres de Camerone. A ce moment, l’ennemi se montre, le combat s’engage.
Arrivé à la hauteur de l’auberge de Camerone, vaste bâtisse comportant une cour entourée d’un mur de 3 mètres de haut, il décide de s’y retrancher pour fixer l’ennemi. Le capitaine Danjou répond ainsi au militaire mexicain le sommant de se rendre : « Nous avons des cartouches et ne nous rendrons pas ». Puis, levant la main, il jure de se défendre jusqu’à la mort et fit prêter à ses hommes le même serment. Ses soixante hommes résistent à deux mille Mexicains : huit cents cavaliers, mille deux cents fantassins
A midi, le capitaine Danjou est tué d’une balle en pleine poitrine. Vient le tour du sous-lieutenant Vilain deux heures plus tard qui tombe frappé d’une balle au front. A ce moment, le colonel mexicain réussit à mettre le feu à l’auberge.
Les légionnaires persévèrent, nombre d’entre eux sont tués, si bien qu’à 5 heures, il ne reste que 12 hommes autour du sous-lieutenant Maudet.
Les Mexicains vont donner l’assaut général par les brèches qu’ils ont réussi à ouvrir, mais auparavant, le colonel Milan adresse une dernière sommation au sous-lieutenant Maudet.
La bataille terminée, il ne reste que six hommes : le sous-lieutenant Clément Maudet, le caporal Maine, les légionnaires Katau, Wensel, Constantin, Léonhart. Chacun d’eux cependant garde encore une cartouche, et, dans un coin de la cour, le dos au mur, ils font face. Le sous-lieutenant Maudet et deux légionnaires tombent frappés à mort ; Maine et ses deux camarades vont être massacrés quand un officier mexicain se précipite sur eux et les sauve; il leur crie : « Rendez-vous! » – « Nous nous rendrons si vous nous promettez de relever et de soigner nos blessés et si vous nous laissez nos armes ». Leurs baïonnettes restent menaçantes. « On ne refuse rien à des hommes comme vous! » répond l’officier …
Les soixante hommes du capitaine Danjou auront tué 300 soldats mexicains et blessé autant.
Chaque 30 avril, fête de la Légion, date anniversaire de Camerone, a lieu une cérémonie militaire à Aubagne, au cours de laquelle est lu, devant le front des troupes, le récit de Camerone, dans chaque unité de Légion, où qu’elle se trouve, et quelles que soient les circonstances. A cette occasion, un légionnaire porte sur un coussin la main de bois. Il remonte la voie sacrée qui conduit au monument aux morts rapporté morceau par morceau de Sidi-Bel-Abbès.
Départ du 1er Régiment étranger d'infanterie (REI) pour le front.(1940)
COMMÉMORATIONS CAMERONE
Un film sur la cérémonie de Camerone 2019 qui s'est déroulé au quartier Vienot le 30 avril 2019, réalisé par la Division Rayonnement et Patrimoine de la Légion étrangère.
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En complément à la remarquable description sur la légion de notre historien de 1ere Classe, MONSIEUR J.CASTANO, j'éprouve moi aussi ce soir, 26 Novembre 2012, le besoin de conforter, oh ! Bien modestement, ce qu'il décrit. Parler de ma légendaire ville de Sidi-Bel-Abbès, ma ville natale et berceau de notre glorieuse Légion Etrangère Française: NOS KEPIS BLANCS, me donne des frissons de nostalgie en réveillant mes (nos) souvenirs des jours où nous étions heureux, comme je l'ai déjà dit dans les »Feuilles mortes »
Quelques rappels complémentaires d'histoire et de géographie. Avant l'affaire du Dey d'Alger et de son coup d’'éventail à notre ambassadeur prétexte du débarquement de nos soldats le 14 Juin 1830 à Sidi-Ferruch, Il était un saint ermite, Sidi-Bel-Abbès ,vénéré et respecté de tous auquel la légende attribuait ,entre autres pouvoirs, celui de guérir par imposition de ses mains
Après sa mort, un mausolée fût dressé à sa mémoire et devint le point central d’'un cimetière dont les sépultures s' ’étalèrent autour au cours des décennies qui suivirent .On l’appela “le Marabout ”. Il se situait sur une colline de la rive gauche en amont de l'oued Mekerra, au pied de laquelle se trouvait un douar de la tribu des Beni-Ameur qui occupait cette région dans l'ouest Oranien .Cette dernière était alliée à l'Emir Abdelkader, l’adversaire coriace, loyal et indomptable de la France. Ce Saint endroit est encore de nos jours, un lieu de pèlerinage.
En Juin 1842, une colonne de légionnaires commandée, par le Général Bedeau arriva sur les lieux et installa son campement en aval sur la rive droite de l'oued Mekerra à moins d'un kilomètre de ce marabout de Sidi-Bel-Abbès.
Ce poste de guet occupait une position stratégique de premier choix, au milieu d'une plaine aride couverte de lentisques et de jujubiers, s'étendant à perte de vue, mais située sur le chemin caravanier des tribus rebelles. Ils y construisirent une redoute (sur un emplacement plus tard dénommé " vallée des jardins"), et la ville qu'ils construisirent prit le nom de ce marabout et devint la ville actuelle de Sidi-Bel-Abbès.
Dès 1847, après la reddition d'Abdelkader au général Lamoricière, grâce à la légion et à son chef de Génie le général Prudon, qui dressa les plans et traça les rues, la redoute se transforma en village puis en ville, et devint plus tard ce qui fût la perle de la Mekerra, et plus tard :"LE PETIT PARIS". Avec l'apport de ces légionnaires laboureurs et de l'immigration qui suivit leur sillage, la redoute s'étendit, prit de l'ampleur et prospéra rapidement.
Cette perle devait la pureté de son eau à ces pionniers travailleurs acharnés et persévérants parmi lesquels figuraient les ascendants de gens connus et réputés dans la région, tels les Thiedey, Alberge , Delorme, Rodriguez , De Barry , Homé , Paul André, les Bellat.. . Etc. j'en oublie malheureusement et d'aussi notoires, mais qu'ils me pardonnent car tous ont participé au bon renom et à la réputation de notre région.
Les Bellat constituèrent une véritable saga s'étendant de Claude Bellat, le premier arrivé en 1865 en passant par Lucien son fils, et Paul l'’un de ses petit-fils (qui furent tous deux des Maires de la ville unanimement respectés et estimés pour leur honnêteté ,leur probité et leur sollicitude envers leurs administrés) jusqu'à mes camarades de lycée, Claude , tragiquement disparu dans un accident de la route en 1961 et Pierre , lequel ,à l'indépendance, s'installa à Bordeaux avec sa famille et ses parents.
Le père, Paul, l'un des derniers édiles de la ville, qui honora mon mariage de sa présence fut longtemps un écrivain connu et respecté dans les milieux littéraires. Il est l'auteur de nombreux ouvrages, dont la liste serait trop longue à énumérer.
Notre ville eût un maire communiste, un bon maire également, Monsieur René Justrabo, directeur de lycée. Un autre instituteur, Monsieur Dassié du parti radical, prit les rênes de la mairie jusqu'à l'indépendance. Tous furent appréciés et estimés, car chez nous les étiquettes politiques n’avaient que le mérite d’'exister et ne voulaient rien dire et la cohabitation entre les partis n’était pas un vain mot. Parfois il y avait des polémiques à la Don Camillo, mais jamais rien de sérieux et tout se réglait vite autour d’une anisette bien fraîche et d’une bonne kémia.
Sidi-Bel-Abbès, en 1962, était un Chef-lieu d'arrondissement de plus de 100.000 habitants et situé à tout juste 80 kms à l'ouest d'Oran Elle fût surtout la capitale de notre Légion Etrangère, le quartier Viennot étant le point de rencontre de tous ses légionnaires. Près de 350.000 engagés volontaires de toutes origines et nationalités, passèrent par cette caserne et près de 40.000 d'entre eux, furent tués au champ d'honneur.
J'ai toujours eu beaucoup d'admiration et de respect pour ces hommes de qualité qui avaient pour devise "Français, non par le sang reçu, mais par le sang versé "et lorsqu'il m'arrive, aujourd'hui, d'en croiser un sur le quai d'une gare, du côté de Marseille ou d’ailleurs, je ne puis m'empêcher d'avoir un élan de sympathie à son égard. Ce ne sont pas, bien sûr, ceux que j'ai connus, mais ils ont la même allure et visiblement le même esprit. Pendant la bataille , ils avaient le courage et l'abnégation des héros d’ Homère et quand il s'agissait de faire la fête, là aussi personne ne les égalait.
Quand 120 ans plus tard , en 1962 , ils quittèrent Sidi-Bel-Abbès à jamais , c’est avec cette noble et martiale attitude qui les caractérisait, qu’ils tournèrent le dos à l’Algérie, sans un regard en arrière, les yeux fixés droit devant eux, en chantant et en immortalisant ainsi , la chanson d’Edith Piaf : “Non , rien de rien, je ne regrette rien !”
La commémoration annuelle de "Camerone" (qui est à la Légion, ce que le 14 Juillet est à la France) était pour eux et les Bel-Abbèsiens, une fête mémorable qui durait une semaine et les quartiers Viennot, Yusuf et Amilakvari, faisaient une opération "portes ouvertes", où la jeunesse locale se mêlait (ou .....s’'affrontait au cours de bagarres mémorables) à ces légionnaires tant aimés (ou détestés suivant les circonstances du moment), et de cette kermesse annuelle, débouchaient très souvent des idylles et des mariages, (ou....des plaies, des bosses et des cocards) lesquels pour contredire les historiens qui ne les situaient qu'en Gaule, généraient aussi en Algérie, de vrais petits gaulois aux cheveux blonds et aux yeux bleus, des Germains et même des petits vikings.
Mais le rapport affectif envers la Légion et ses Légionnaires prenait toujours le dessus et l'’union sacrée entre eux et les pieds noirs ne fût à aucun moment un vain mot.
La Légion Etrangère fait toujours partie du patrimoine affectif des Pieds-Noirs en général et des Bel-Abbèsiens en particulier. Que Dieu les protège et les bénissent, car ils ont toujours été des modèles de courage, d'abnégation et n'ont jamais été économes de leur sang pour leur pays: LA FRANCE. (ex : la dernière victime expiatoire de notre gouvernement actuel sur un théâtre d'opération extérieure est un jeune et glorieux légionnaire de 25 ans, puisse son sang et celui des 75 autres malheureuses victimes, retomber sur les têtes de ceux qui gèrent ce genre d'opération)
Pierre SALAS
« Obliger les méchants, c'est presque travailler au malheur des gens de bien. » Mocharrafoddin SAADI
Amazing Grace par la musique de la Légion étrangère
Voir aussi LES SEIGNEURS DE LA GUERRE
COMMEMORATION CAMERONE 2016
Camerone 2016 Aubagne par LegionEtrangereCOMLE
ACTU du 9 mars 2015
ENTRETIEN - CONFERENCE JEAN-JACQUES JORDI
Le diable porte pierre
Nos anciens, pas bêtes, employaient cette expression pour dire que l’oeuvre de Dieu passe parfois par l’entremise du malin. C’est ce que je me disais en lisant le livre de Jean-Jacques Jordi : « Un silence d’état ». Je ne sais si en défendant la mémoire des tués et disparus de l’Algérie Française, depuis quelques trente années, j’ai fait avec bien d’autres, œuvre plus ou moins divine, en tous cas œuvre pour la vérité sinon œuvre de vérité.
Je connais le travail appliqué, sourcilleux de Jean-Jacques Jordi et, je l’avoue, sa façon d’envisager la colonisation et la décolonisation ne fut pas toujours ma tasse de thé. Non que je croie que l’une fut tout miel et l’autre tout fiel, mais enfin toute une gamme de nuances me semblent de mise en cette matière. Sans doute le poète que je suis pratique l’octave du cœur plus que l’aride solfège et la rude chromatique. On ne se refait pas.
Or, Jean-Jacques Jordi navigue en professionnel dans les cartons d’archives, en extrait la substantifique moelle, et, j’en suis sûre, à sa profonde surprise, il y découvre les preuves formelles de ce que nous disons, écrivons et crions à longueur d’années depuis cinquante ans. Evidemment le reproche qu’on nous fait toujours est l’inflation des chiffres. Etait-ce évitable ? Non, naturellement. La rumeur enfle les chiffres de tout temps et en toutes circonstances, et le secret imposé favorise le gonflement de la bulle. Fut-ce nocif ? Eh ! Bien, je ne le crois pas. Evidemment les chiffres assénés sans preuve ont fait se récrier : Vous exagérez ! Bon, d’accord, alors dites-nous la vérité, ouvrez les archives, croisez les témoignages. Ce ne sera peut-être pas autant, mais au moins ce sera vrai.
Mais justement, on ne voulait pas que ce fût vrai, incontestable. Un flou artistique permettait de nier, de qualifier de fantasmes les récits. C’était un voile opaque, une burqua posée sur l’Histoire.
Lorsque j’écrivais qu’au lendemain du massacre du 5 juillet 1962 à Oran, le Père De la Parre racontait qu’on parlait de 3000 morts et disparus, on me disait : ce n’est pas possible ! Et je répondais : « alors, dites moi combien ! » Mais nul ne prenait le risque de donner un chiffre précis. C’est fait, enfin. Du moins peut-on estimer correcte l’évaluation de Jordi : 50 ans après, c’est tout de même temps, non ?
Il a fallu que cette approche scientifique soit faite non par une réac dans mon genre (Je n’en eu pas les moyens, d’ailleurs, ni la capacité) ni par un membre connu de l’OAS qu’on suspecterait aussitôt, ni même par une personne directement concernée par ce drame, mais par un homme dont les idées de gauche sont connues, qui n’en fit jamais mystère et que cette sensibilité lui ait permis d’accéder à la marmite du diable, les archives fermées, c’est signe, n’est-ce pas, que lorsque la vérité veut bien sortir toute nue de son puits, elle se sert de l’instrument adéquat.
La Comtesse de Ségur parlait d’un bon petit diable, notre compatriote est un grand gentil diable ! Merci à lui.
« Les disparus civils européens de la guerre d’Algérie », sujet tabou depuis 50 ans !
L’auteur, docteur en histoire et spécialiste de l’histoire des migrations en Méditerranée au XIX° et XX° siècles, de l’Algérie, des colonisations et décolonisations et de Marseille, s’est saisi à bras le corps de cette histoire mise sous le boisseau.
On s’aperçoit, en lisant cette étude remarquable, que bien du monde a su, savait et sait, à l’exception des familles concernées, soigneusement tenues dans l’ignorance, à l’exception aussi des nombreuses personnes de bonne volonté sans moyen, sans argent, sans influence, qui n’ont eu pour seul mérite que d’essayer d’apporter une petite lueur dans cette obscurité voulue.
Ce fut le cas du Capitaine Leclerc, du Commandant Bautista et de moi-même. Le résultat, brouillon, c’est vrai, fut tout de même que le sort de ces pauvres gens et le chagrin des familles remontaient à la surface du marécage, empêchaient qu’on les oubliât...
D’autres personnes, avec un dévouement qui ne se laissait pas rebuter par les interdictions, les clapets des archives qui s’ouvraient et se refermaient, les rebuffades parfois, s’attelèrent à ce travail : Colette Ducos-Ader, Jean Monneret et Le Général Maurice Faivre en particulier.
Jean-Jacques JORDI, en scientifique, repris tout ce qui avait été dit, écrit, publié et surtout obtint l’ouverture exceptionnelle d’archives secrètes. Il y découvrit un échantillonnage sordide de lâchetés des officiels, des démissions morales des militaires et des politiques et je pense qu’il eut souvent un haut le cœur à extraire de cette tourbe la vérité des faits que nous, simples témoins et néanmoins acteurs forcés du drame nous égosillions à clamer. Les preuves écrites étaient là.
Il fallait encore, toujours scientifiquement, les exhumer, les trier, les ranger en ordre de marche et les publier de façon claire. C’est fait et bien fait.
Il faut lire et faire lire cet ouvrage courageux. Il faut que nos enfants découvrent l’étendue des crimes commis sur des civils innocents et la duplicité autant que l’aveuglement criminel du gouvernement français.
Lisez, réfléchissez et jugez !
Geneviève de Ternant
27 novembre 2011
Après la parution du livre de Jean-Jacques Jordi, Un silence d'Etat, il nous est difficile d'attendre encore dans notre coin que se réveillent les media ou les "gens" politiques de France pour que soit dévoilée la Vérité occultée depuis un demi-siècle.
Plus personne ne pourra jamais dire qu'il ne savait pas ! Et certainement moins que quiconque, Nicolas Sarkozy.
Un de nos compatriotes, Marcel Lizon, nous proposait de lancer une pétition à l'appui de l'article publié dans les petits échos.. Cette pétition est en ligne, vous pourrez la signer en cliquant sur ce lien :
http://www.petitionenligne.fr/petition/reconnaissance-de-letat-francais/1897
J'ai déjà reçu des e mails où l'on me dit que cela ne servira à rien. Soit. Mais à ma conscience et à la vôtre (pour ceux qui signeront), certainement, oui, cela servira.
Parce qu'il ne sera pas dit que nous n'avons rien fait et, même, tout ce qui était en notre pouvoir pour réclamer inlassablement cette Vérité de malheur. Le nôtre.
Que Sarkozy ne réponde pas ? Cela ne nous étonnera pas. Il est un grand menteur devant l'Eternel. Un "diplomate". Ne s'est-il pas, déjà, renié en 2007 ?
Que des centaines - voire des milliers - de Français d'Algérie ne signent pas cette revendication ? Là, aussi, cela ne nous étonnera pas. Nous savons qu'il y a un grand fossé qui sépare les pro à gauche, les pro à droite, les pro"comme nous" et ceux qui se foutent de notre passé comme de leur première chemise.
Mais j'aime à penser que nos jeunes amis de France, ceux qui ne connaissent rien de notre histoire ou qui n'en connaissent que ce que les falsificateurs ont bien voulu leur enseigner, tous ces jeunes Français doivent connaître la vérité.
Et cette "pétition" en ligne , je l'espère, les amènera à se poser la question : Mais, alors, De Gaulle les a vraiment escroqués en 58 ? Il les a abandonnés aux mains des tueurs rebelles du FLN ? Et en plus, il les a combattus jusqu'au dernier parce qu'il voulaient que l'Algérie reste à la France ?
Cette lettre à Sarkozy, les interpellera, j'en suis certaine parce que j'ai une grande confiance en eux. Et si n'obtenons encore rien, comme nous n'avons, d'ailleurs, rien obtenu depuis un demi siècle, l'idée de la trahison de 2gol germera dans leurs jeunes esprits.
Bien sûr, nous devrions leur donner l'exemple par le nombre de signatures que celle-ci recueillera. Mais personne ne se fait d'illusions, nous les avons perdues depuis de nombreuses années.
C'est pour cette raison que je vous demande de faire circuler les liens pour que cette revendication soit diffusée à un maximum de Français et que nous ayons atteint, au moins, le but de faire réfléchir nos amis et nos détracteurs sur la grandeur du grand homme et peut-être, même, sur leur avenir, en choisissant les politiques qui tiendront la promesse de conserver la France à la France.
Merci à vous tous.
Pétition en ligne à diffuser largement pour signature de notre revendication
http://www.petitsechodoran.com/cap-sur-2012/petition-en-ligne,a2938540.html
26 novembre 2011
Jean-Jacques Jordi que nous connaissons depuis longtemps essaie, tant bien que mal, d'être honnête et surtout d'écrire en se basant sur des archives irréfutables en prenant soin de ménager (parfois trop, j'en conviens) tout le monde.
Son dernier livre semble être une véritable bombe. C'est un énorme pavé dans la mare. C'est aller contre le politiquement correct avec cependant, dans son cas, un "plus" énorme: son accès à des documents inédits souvent classés "secret défense".
D'autre part, ce pavé, qui arrive comme par hasard à quelques mois du cinquantenaire, va complètement à l'encontre des thèses des "politiquement corrects" que l'on voit arriver sur les plateaux TV avec leurs étiquettes "d'experts" entre guillemets.
Pour l'instant seul "Valeurs actuelles" et ‘‘la Provence’’ en parle.
Documents "Valeurs actuelles"
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Document transmis par José Castano
« Il est bon qu’une nation soit assez forte de tradition et d’honneur pour trouver le courage de dénoncer ses propres erreurs, mais elle ne doit pas oublier les raisons de s’estimer elle-même » (Albert Camus)
Le triple anathème « raciste-fasciste-xénophobe » est réservé de préférence à ceux qui défendent l’identité française et occidentale. La gauche internationaliste brandit cet épouvantail dans un but politico-idéologique évident : il s’agit de dévaloriser nos identités afin d’ouvrir la voie à une société « mondialisée ». La droite honteuse, quant à elle, est prête à toutes les concessions et à tous les reniements pour se laver de l’accusation. Elle croit habile de surenchérir, espérant séduire l’électorat en adoptant les valeurs de l’adversaire plutôt qu’en défendant les siennes. La diversité des ethnies, des cultures et des nations constitue pourtant une richesse irremplaçable. La construction d’un monde meilleur et plus fraternel n’impose nullement de renoncer à cette diversité pour la remplacer par une humanité grise, uniforme, standardisée, réduite à ses fonctions de consommation, de production et de reproduction, formidablement appauvrie et donc condamnée à la stagnation qui précède l’extinction des espèces.
Nous sommes, quant à nous, d’ethnie indo-européenne et de culture gréco-romaine et chrétienne dominantes. Nous avons construit notre civilisation sur ces bases, dont les valeurs ont rayonné sur le monde entier, par des méthodes qui ne furent certes pas toujours pacifiques. Pour autant, nous n’avons rien à renier, nous ne sommes redevables d’aucune « repentance » à l’égard de quiconque et n’avons de leçons d’antiracisme à recevoir de personne. Nous ne revendiquons aucune supériorité intrinsèque, ne prétendons pas appartenir à une quelconque « race des seigneurs », ni à un soi-disant « peuple choisi », et n’avons aucune vérité prophétique à imposer au monde par le sabre. Nous sommes tolérants à l’égard des autres cultures, même si cette tolérance n’est pas toujours payée de retour, y compris de la part de communautés que la France accueille sur son sol, mais attention : la « tolérance » ne doit pas servir d’alibi à la démission !
Sur le plan politique, le chantage ne date pas d’hier. Staline et ses disciples occidentaux créaient déjà chez nous, dans les années 50, des fronts antifascistes contre un fascisme qui n’existait plus. Aujourd’hui, ses héritiers ont réactivé l’« antiracisme » pour condamner toute manifestation de préférence nationale au profit des Européens dans leurs propres pays. On récupère même l’anticolonialisme, érigeant le « racisme » en repoussoir idéologique dressé contre l’ex-puissance colonisatrice, un demi-siècle après les indépendances des colonies, alors que les conséquences d’une décolonisation hâtive ensanglantent et ruinent l’Afrique sous nos yeux. Nous avons même vu un Président de la République, plutôt que de défendre l’honneur et l’œuvre de la France, « demander pardon » à tout-va et déclarer que les valeurs fondatrices de la France étaient musulmanes autant que chrétiennes ! Les mouvements qui incarnent l’antiracisme unilatéral, inquisitorial, institutionnel et subventionné, prolifèrent sur ce terreau malsain. Ils tiennent le haut du pavé dans tous les domaines de la vie publique. Souvent marqués politiquement et même ethniquement, parfois au service de communautés rivales étrangères à notre culture, ils ne se rejoignent que pour stigmatiser les « souchiens » qui osent encore réclamer le statut et le respect auxquels ils ont droit. Les Français, culpabilisés au point d’en perdre leurs réflexes élémentaires d’auto-défense, prendront-ils enfin conscience de la manipulation ?Robert SCHILLING rjp.schilling@wanadoo.fr
« Nous sommes dans une époque où le consentement au pire semble se faire fort aisément, où tout concourt à ce consentement, par passivité, aveuglement volontaire ou non, lâcheté, résignation… La marche vers l’autodestruction qui hante ce pays (la France), le mène à sa perte doit être arrêtée. » (Guy Millière)
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Conférence sur la Légion étrangère
« LES SEIGNEURS DE LA GUERRE »
- De l’Indochine à l’Algérie, la Légion étrangère au combat
- L’Odyssée et la fin tragique du 1er Régiment Etranger de Parachutistes en Algérie.
qui sera donnée par José CASTANO, le dimanche 4 décembre, à 14h30, au Fort-Carré – 06600 ANTIBES - dans le cadre du grand rassemblement organisé par le RNFAA– Entrée gratuite – (Renseignements à la suite de ce communiqué)
« De l’Indochine à l’Algérie, le conférencier évoque le vécu, l’héroïsme et les sacrifices de ces légionnaires, Fils de France non par le sang reçu mais par le sang versé. Ces soldats-loups à la démarche souple de félins, accoutumés à la chasse et au guet, infatigables dans le chaos minéral de l’Aurès, acceptaient le défi de la guerre dans les défilés étroits comme des pièges, sur les pitons enneigés ou brûlés par le soleil, dans l’enfer du désert où le monde mort a chassé celui des vivants. Ces hommes, « soldats pour mourir », constituaient le plus beau régiment du mode ; jalousés, admirés et vénérés parce qu’ils étaient capables de mourir avec panache en criant : « Vive la Légion ! »
… Puis il y eut le 22 avril 1961 et le soulèvement des meilleures unités combattantes dont le 1er REP était le « fer de lance »… sa dissolution et celle des plus belles unités parachutistes… l’émouvant adieu de la population de Zéralda à « ses » légionnaires… le « cessez-le-feu » et la fin tragique de l’Algérie française… Le génocide des harkis commençait.
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A l’aube du « cinquantenaire », le Rassemblement National des Français d’Algérie et leurs Amis entame, à ANTIBES, les 3, 4 et 5 décembre 2011, à l’espace « Fort-Carré », avenue du 11 Novembre (route du bord de mer), le cycle des commémorations. Au programme : Expositions, conférences, film. Tous les renseignements en cliquant sur :
http://infodiv.canalblog.com/archives/2011/10/20/22422270.html
(Information importante. Le programme qui apparaît est quelque peu illisible. Il suffit de cliquer dessus et le format en PDF, de meilleure qualité, apparaît)
Entrée libre – Parkings gratuits – Tel. 04.93.20.85.04 – 06.03.49.45.26 – 06.63.02.38.83 – 06.15.83.85.68 – e-mail : casalonga.jean-yves@orange.fr
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- Alors que les médias n’ont eu de cesse de rappeler durant 18 mois l’enlèvement de deux journalistes en Afghanistan et qu’un comité de soutien fut créé pour leur libération, nous rappelons également que depuis le 19 mars 1962, cela fera, au 30 septembre 2011, 18153 jours que des milliers de Français d’Algérie ont été enlevés dans la plus grande indifférence sans que les « bonnes consciences » de ce monde n’élèvent la moindre protestation.
Ne les oublions pas –
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Par ailleurs, un 76ème soldat français, âgé de 25 ans, est tombé en Afghanistan. A quoi sert sa mort. A qui profite-t-elle ? Au nom de quel droit, de quelle éthique, de quelle loi sacrosainte l’a-t-on sacrifié ?
« Prends garde de ne point oublier ce que tes yeux ont vu et tu les enseigneras à tes enfants et petits enfants » (ancien testament, deutéronome 4,9)
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Pour revoir:
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Ses conférences, cliquez sur : - Mes Conférences –
Sa biographie, cliquer sur : - Ma Biographie –
Son blog, cliquer sur : - Mon Combat -
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