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18 janvier 2018

"ALGÉRIE, L'HISTOIRE A L’ENDROIT" PAR BERNARD LUGAN

ET 60 ANS APRÈS, QUE RESTE-T-IL DE L'HISTOIRE DES PIEDS NOIRS?

le 22 avr. 2017

            Philippe Conrad reçoit l’africaniste de renom, Bernard Lugan, pour son nouvel ouvrage intitulé : «  Algérie, l’histoire à l’endroit ». Qu’est ce qu’il en est réellement de cette période algérienne au delà de la période de la colonisation ? Qu’est-ce-que l’Algérie et quelles sont ses origines historiques ? Bernard Lugan répond en 10 points précis à l’ensemble de ces questions.

Extrait de TVLibertés :  Pour prolonger : Les début de l'Histoire de l'Algérie dans ses frontières issues de la présence Française : https://youtu.be/c5Xct7eDrx8

Lettre ouverte de Bernard Lugan au président de la République Française.


ET 60 ANS APRÈS, QUE RESTE-T-IL DE L'HISTOIRE DES PIEDS NOIRS?

60 ans après, Que reste-t-il de l'histoire des pieds noirs? 

Entretien avec Alain Vincenot, journaliste et écrivain auteur du livre "Pieds-noirs les bernés de l'histoire". Et Andrée Tibika-Bachoud, témoin rapatriée d'Algérie, petite fille d'Isaac Tibika, pied noir que l'on retrouve dans le livre. C'était il y a 60 ans... L'Algérie basculait dans la guerre un 1er novembre 1954, Jour de la Toussaint. Le Front National de Libération était passé à l'offensive dans la nuit.... Plusieurs attentats sont perpétrés en Algérie et La guerre a commencé. 8 ans plus tard, plus d'un million de pieds noirs traumatisés arrivent en métropole. Les anciens colons français ne sont pas les bienvenus. A travers cet ouvrage sur les pieds noirs, mos grands témoins reviennent sur cette partie de l'histoire, la guerre en Algérie et sur le statut des pieds noirs. A découvrir dans notre Grand Angle. (TV5MONDE https://www.youtube.com/user/tv5monde )

Entretien avec Alain Vincenot, journaliste et écrivain auteur du livre

"Pieds-noirs les bernés de l'histoire".

Et Andrée Tibika-Bachoud, témoin rapatriée d'Algérie, petite fille d'Isaac Tibika, pied noir que l'on retrouve dans le livre. C'était il y a 60 ans... L'Algérie basculait dans la guerre un 1er novembre 1954, Jour de la Toussaint. Le Front National de Libération était passé à l'offensive dans la nuit.... Plusieurs attentats sont perpétrés en Algérie et La guerre a commencé. 8 ans plus tard, plus d'un million de pieds noirs traumatisés arrivent en métropole. Les anciens colons français ne sont pas les bienvenus. A travers cet ouvrage sur les pieds noirs, mos grands témoins reviennent sur cette partie de l'histoire, la guerre en Algérie et sur le statut des pieds noirs.

A découvrir dans le Grand Angle TV5MONDE

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23 décembre 2012

NOS NOËLS DE LÀ-BAS

     Noël, fête de famille par excellence,
     Nous, pieds-noirs, ne pouvons-nous empêcher
     De penser à ceux de notre enfance,
     Passés chez nous d'où nous fûmes chassés.
 
     Cette belle fête de jadis sera ancrée
     Indéfiniment dans notre mémoire.
     Depuis notre exil, nous n'avons cessé
     De penser à ces moments jubilatoires.
 
     A présent, à l'automne de notre vie,
     Nous restons plus que jamais nostalgiques
     De ces fêtes d'antan où nous étions ravis 
     Par l'ambiance chaleureuse et euphorique.
 
     Immanquablement, nous pensons à nos parents
     Qui faisaient le maximum pour nous contenter.
     Une foule de tendres images viennent nous hanter,
     Un demi-siècle après notre exode déchirant.

Jean-Paul Ruiz

RETOUR POEMES.

31 octobre 2017

A la mémoire de nos morts restés en Algérie - 1 novembre 2017

CAEN : le 1er novembre 2017 ,l’ANFANOMA et le Souvenir Français déposeront une gerbe à la stèle de l’ANFANOMA  située au cimetière St Gabriel Rendez vous à 9h15 à l’entrée du cimetière

GRASSE 1er novembre : Cérémonie organisée par l’anfanoma  RV à 10H30 cimetière Ste Brigitte devant la stèle 

MONTELIMAR : 1er novembre:   cérémonie organisée par l’anfanoma  :  RV  à 11 heures  cimetière trappistines, devant la stèle 

ANGERS : 1er novembre : Cérémonie organisée par l’anfanoma à 10H45 cimetière de l’est  rv devant la stèle  à 10H30

BOURGES : 1er novembre 10 heures  cérémonie organisée par l’anfanoma rdv devant la stèle cimetière st Lazare

BRIVE LA GAILLARDE : 1er novembre, cérémonie organisée par l’anfanoma cimetière ESTAVEL devant la stèle

TARBES : 1er novembre : Cérémonie à 11 heures, stèle située au  cimetière de la Sède

PIERRELATTE : 1er novembre : 11 heures  cérémonie stèle de l’anfanoma cimetière (nouveau)

PAU   1er novembre : 10 heures cérémonie à la stèle des rapatriés

SAINT AUGUTRE DE CHAMIERS : 1er novembre à 11 h 00, l'amicale des Pieds Noirs de la Dordogne organise une cérémonie au cimetière , au pied de la stèle des rapatriés.

Retour commémorations

30 octobre 2017

INTERVENTION DU GENERAL PIQUEMAL

le 21 octobre 2017

les dirigeants qui détruisent la France n'ont aucune légitimité (Général PIQUEMAL)

Intervention du Général Christian PIQUEMAL,  dans l'Ardèche à l'occasion des un an de "Sauvons notre pays"

Dans la carégorie actualités et politique - Licence YouTube standard

Retour à tous les communiqués

12 octobre 2017

ORAN 5 JUILLET 1962 - DERNIER TEMOIGNAGE

Par Jean François PAYA

           Selon le témoignages récents d'un ex secrétaires de Katibas l'état-major ALN du Maroc obnubilé par les enclaves Espagnoles de Ceuta et Melilla pu s'assurer que les Forces Françaises (FAF) n'interviendraient pas en cas de désordres à Oran (prémonitoires)où il était facile de créer des incidents avec prétextes "Tirs sur le défilé petits scouts musulmans" et " résidus OAS ! (pas de noms ensuite de ces "chouadas" (ni une plaque sur les murs d'Oran) voir nos enquêtes sur le site suivant Oran, juillet 1962

            Pour l'OAS d'Oran signaler que le départ de certains de ses "Commandos" fut négocié "en rapports de Force" Incendie du port par tirs au bazooka (Témoignages reçus) par la base maritime d'Arzew avec le commandement des FAF Français et Maritimes sous conditions d'aucune représailles et défense de la population civile Française (les FAF en accord avec autorités FLN trop contentes de voir partir ces perturbateurs. Parjure de tous ces interlocuteurs maudits.
Le vendredi 20 SEPT 2017 - JF PAYA à la base de Mers-El-Kébir fin 1964.

            L’ordre du jour du 5 Juillet 62 de L’ALN d’Oujda prévoyant de manière prémonitoire sa vocation de maintenir l’ordre et sa condamnation du GPRA (texte intégral volume 3 Agonie d Oran) comme le signale JF Paya le départ des éléments OAS organisés fut négocié avant l'appel du colonel Dufour pour l'arrêt des combats avec décision de ne pas se livrer à un "baroud d'honneur" pour justement éviter des représailles sur la population.

            Condition de l'autorité militaire Française qui avançait la directive 99 du 20 juin 62 du Général Katz à ces unités qui prévoyait l’intervention en cas d’agressions de nos ressortissants après l’indépendance dans la période de transition vers un pouvoir Algérien élu prévu par les accords d’Évian, document reproduit dans le livre de J Katz « l’honneur d’un général » puis document du groupe FLN de l’exécutif provisoire en date du 27 juin 62 qui indique que faute de directives « le protocole de maintien de l’ordre » ne fut pas signé, d'où risques d’interventions de l’Armée française après le 2 Juillet en cas de débordements (archives du FLN de M Harbi).

            Rétrospectivement il semble que le GPRA ne souhaitait pas livrer ce maintien de l'ordre à l’ALN surtout extérieure dont il venait de limoger l'État-major.

            On sait comment ces directives furent bafouées avec les engagements de défendre nos ressortissants par des directives supérieures la veille du 5 juillet 62 (Paris n’est pas au courant) ce qui reste à démontrer mais a notre avis un individu comme Katz n’aurait pas sollicité des directives (surprenant) et sans celles-ci justement avait un prétexte en or pour prendre des initiatives courageuses mais il ne le put car visiblement il avait des directives du plus haut niveau même selon nous pour accepter de servir de bouc émissaire et ça à réussit.

            LE PROBLÈME EST QUE SI LE MASSACRE D'ORAN NE FUT QU'UNE RÉACTION SPONTANÉE NON PRÉMÉDITÉ D'UNE FOULE (COMME L'AVANCE CERTAINS AUTEURS CE NE FUT NI UN CRIME DE GUERRE ET ENCORE MOINS UN CRIME CONTRE L'HUMANITÉ SANS RESPONSABILITÉ) VOIR LE DÉMENTI DE CETTE ÉNORMITÉ CI-DESSOUS.

Par le Groupe de recherches Oran 5 Juillet 1962 direction JF PAYA /AC Algérie classe 54/2 en archives au CDHA (centre documentation historique sur l'Algérie).

            « L’armée restera pour vous protéger » les semaines précédentes. Le pouvoir central Français est directement impliqué, Katz ne faisant que se parjurer en exécutant des "directives supérieures de non intervention" en contradiction avec celles sur la légitime défense du commandant FAF d'Alger (cité par le général Faivre) qui cependant ne le blâma pas! pour il est vrai des "incidents" très minimisés (rapport officiel de Katz)tandis que le GPRA subjugué dans un communiqué du 6 stigmatise des prétendus résidus de l'OAS (dénié par le FLN/ALN à Oran le 6 juillet).
            Mais à postériori il est plus facile d'écrire l'histoire sur le moment dans la confusion car personne ne savait ce qui pouvait se passer. Pour De Gaulle en priorité la conservation des bases d’essais du sud et de Mers El Kébir devait être assurée. En même temps cette dernière ne devait pas générer une zone de replis ni une enclave Française donc la nécessité de faire partir un maximum d'habitants Européens de la région (pour l’ALN) sans pour autant provoquer l'intervention de l'Armée Française (donc assurance de son gel) remplacée par celle de l’ALN du Maroc après en avoir créé les conditions comme la carence de la Force Locale et l’utilisation et l’exacerbation des sentiments de vengeance pour créer l'émeute RENDUE SURTOUT POSSIBLE PAR LA PARALYSIE VOULUE DES 18000 hommes de L 'ARMÉE FRANÇAISE J'AI ÉCRIT CECI IL Y A 20 ANS avec la confusion de juillet 1962.

            Ce n’est pas gagné pour Ben BELLA / BOUMÉDIÈNE. L'ALN d'Oujda est prête a tout pour jouer les "pompiers pyromanes" comme à Oran en provoquant le désordre pour prouver l'incapacité du GPRA à diriger le pays !

Jean François PAYA

Retour ORAN… 5 JUILLET 1962 - LE GÉNOCIDE
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19 septembre 2017

"LARGAGE" DE L’ALGÉRIE DÈS 1958

Par Jean François PAYA

SUR LA CONSTITUTION DE 1958

            Partie d'une présumée logique gaulliste dans l’affaire algérienne,(Recherche HC GIRAUD) où volonté d'organiser le "largage" de l'Algérie dés 1958? (supercherie et enfumage") Guerre d'Algérie Magazine No 8 Juin 2007 Par Jean-François Paya
" De Gaulle et l'Algérie " Je trouve l'analyse du professeur Pervillé très pertinente sur le fait que : Le Général ait été très tôt convaincu qu'il faudrait se séparer de l'Algérie sous une forme où sous une autre et que cela remonte avant son retour au pouvoir .
D'autres auteurs ont même avancé "que toute l'activité préalable du Général et de son cabinet privé avait été de prouver discrètement aux divers protagonistes de la rébellion et de certains milieux financiers qu'il était seul capable d'imposer à l'ensemble des Français "le délestage de l'Algérie Française".

            Et ce, dès 1956 par des contacts d'émissaires via la Suisse et l'ambassade de Tunisie. Tout ceci mérite bien sur développements / Mais une chose est certaine que le professeur Pervillé aurait pu avancer c'est que l'étude des archives de la commission qui a préparé le texte constitutionnel de 58 /consultables après 30 ans (car contrairement à la tradition Française ce ne fut pas une Assemblée Constituante qui l' a élaboré au grand jour) révèle (pour être bref) qu'on avait prévu de pouvoir changer le statut de l'Algérie par de simples lois alors que la constitution précédente ne le permettait pas (d'où certains blocages de la IV em République) sans que cela soit très explicite ! Lois législatives où référendaires avec les nouveaux pouvoirs donnés au Président .
Ainsi au" nez et à la barbe " des partisans de l'Algérie Française" qui votèrent en masse cette constitution ;sauf des " ultras" avisés d'Alger dixit le Docteur JC Pérez '(qui a parlé "du référendum mortel du 28 Septembre 1958 dans un de ses ouvrages).

            Ainsi une option "séparatiste"aurait été introduite subrepticement dans le texte sans citer le mot Algérie! avec possibilité de "sessions de territoires"! En remarquant que De Gaulle lorsqu'il parle "de Français à part entière" à propos des Musulmans après le 13 Mai 58 leur laisse le statut civil coranique contradictoire avec la laïcité Française ! (pour preuve les "rapatriés" Musulmans en 62 devront y renoncer )
En tout cas c'est ce mécanisme qui sera utilisé pour "larguer" l'Algérie et la bataille est toujours vive entre ceux qui affirment que De Gaulle à violé sa constitution et ceux qui disent le contraire /.
Curieusement au sujet de la thèse de la prémonition Gaulliste la plus part des nationalistes Algériens consultés l'ont rejetée et préfèrent croire que la lutte de l'ALN/FLN lui à" forcé la main" c'est aussi l'avis de leurs amis en France.

Jean-François Paya (voir mon article "la Constitution de 1958" dans la revue PNHA no 94 Octobre 98

                         L’ALGERIE et la Constitution de 1958
           Dans le volume qui collationne les archives du groupe de travail préparatoire au texte constitutionnel (consultable 30 ans après) il est dit à propos de l’article 72 qui n’existait pas dans le texte de 1946 (constitution précédente) « la différence importante a trait à l’adjonction de la formule : toute autre collectivité est créé par la loi »

            On passe ainsi d’une énumération « fermée » des collectivités territoriales (dont faisait partie l’Algérie) à une énumération « ouverte », le législateur se voyant ainsi doté de la possibilité de créer d’autres types de collectivités territoriales que les communes, départements et territoires d’outre-mer et donc éventuellement de rassembler autour d’une collectivité territoriale d’un type nouveau les départements algériens déjà dotés d’un statut particulier.

            De plus si l’on en croit une déclaration consignée de Monsieur TEITGEN (partisan de larguer l’Algérie) devant le Comité Constitutionnel alors que ce dernier craignait que l’Algérie soit « condamnée » à demeurer vitam -æternam départements de la République : on lui a répondu (consigné) qu’il avait été inséré dans le texte la formule déjà citée ci-dessus « qui permettra de créer une collectivité territoriale adaptée au problème algérien ».

            Dans le même sens devant la commission constitutionnelle du Conseil d’État selon les mêmes archives, le commissaire du gouvernement Mr JANOT précise que « le problème algérien évoqué pouvait trouver sa solution dans la même formule citée ». Il apparaît donc clairement que dès cette période on ait introduit dans la future constitution des éléments nouveaux en vue d’amorcer la séparation de l’Algérie et de la France, ce qui rendait très pertinente la question posée par les deux députés cités à propos de la rédaction de l’article 72.

            De plus contrairement aux allégations de Mr DEBRE un article 53 donne la possibilité de « cession, échange ou adjonction éventuelle de territoires en fonction d’une loi ratifiée par une consultation des populations intéressées ». Ainsi par la suite, sous couvert de « l’organisation des pouvoirs publics en Algérie » De Gaulle fera ratifier par le référendum du 8 janvier 1961 sa politique algérienne et promulguera une loi référendaire qui changera le statut de l’Algérie avec l’adoption du principe de l’auto détermination.

            Ce statut ayant été désormais modifié, il fera ratifier les accords d’Évian par la seule métropole lors du référendum du 8 avril 1962 ; l’Algérie étant appelée à les ratifier à son tour par la question posée lors de la consultation du 1er juillet 1962 relative au choix de l’Indépendance dans le cadre des accords d’Évian ». Il faut se souvenir que la déclaration générale d’Evian stipulait « si la solution d’indépendance et de coopération est adoptée, le contenu des dits accords s’imposera à l’État algérien ». On sait ce qui advint de cette déclaration utopiste et les drames qui s’en suivirent.

            Voilà pour l’utilisation du texte de cette constitution primitivement niée par Michel DEBRÉ. Maintenant n’étant pas juriste, il peut y avoir des avis différents mais je suis d’accord sur ce point avec le Docteur Jean- Claude PEREZ lorsqu’il qualifie « mortel » le référendum du 28 septembre 1958 auquel nous fumes peu nombreux, à part les communistes, à répondre NON.


Jean François PAYA Références et sources :
Ouvrage « Écriture de la Constitution de 58 » par l’association française des Sciences Politiques et des Constitutionnalistes (Edition Économica 1992)

Ouvrage Chapsal et Sancelo Directeurs de l’Institut d’Études Politiques et de Sciences Po « Edition PUF 1975) à propos « des pouvoirs publiés en Algérie »
Archives de la Commission préparatoire au texte constitutionnel consultables après 30 ans.
Ouvrage de Jean-Claude PEREZ « L’Islamisme dans la guerre d’Algérie »
 Retour ENQUÊTES DE JEAN-FRANCOIS PAYA

8 mars 2017

19 MARS… LA COMMÉMORATION DE LA HONTE

Par José Castano

« La mémoire n'est pas seulement un devoir, c'est aussi une quête » (Commandant Hélie de Saint-Marc - " Les champs de braises ")

               Dans quelques jours, les ennemis de la France commémoreront dans la honte et le déshonneur, les « accords d’Evian » du 19 mars 1962. Pour eux, cette date funeste représente la « victoire » du FLN -leur allié d’alors- sur « l’odieux colonialiste »… sans la moindre pensée pour ces milliers de jeunes soldats, d’Européens et de Musulmans assassinés tout au long de ces huit années de guerre.

              « Je consens que mon frère est mort ; c’est la loi commune. Ce qui me révolte, c’est l’arrogance de ses assassins » écrivait Christopher Marlowe, dans « Edouard II ».

               Ce qui me révolte, c’est cette arrogance despotique qu’affiche depuis 60 ans ce milieu gauchisant représentant l’anti-France, pour qui la colonisation française ne fut qu’« agression » et « souffrance » envers les « pauvres Musulmans marchant à coups de trique » (sic). C’est proprement odieux !

               Alors que les meilleurs soldats que la France n’ait jamais eu tombaient chaque jour dans cette sordide guerre et au moment même où leur sacrifice lui permettait de relever la tête et d’émerger d’une longue série de défaites, cette intelligentsia gauchiste -qui de tout temps a pris le parti de l’étranger- n’eut de cesse de soutenir la cause des écorcheurs du FLN. Ce sont ces mêmes souteneurs que l’on retrouve aujourd’hui sous La bannière NPA, PC, Verts, CGT, FNACA… flanqués de leurs satellites « humanistes » champions des « droits de l’homme ».

               Les âmes chagrines disent que la conscience se révolte au spectacle de certains crimes. Les images qui représentent les milliers d’hommes égorgés, les visages mutilés au couteau, les enfants déchiquetées par les bombes, les femmes violées puis éventrées, reculent les limites assignées à l’horreur. Cependant, ces atrocités, répliques de tant d’autres commises déjà en Indochine, ne révoltent pas les consciences contre les criminels mais contre les victimes. Ces milliers d’innocents versés dans la mort servent à apitoyer le monde sur le sort des bourreaux. Le réflexe n’est pas l’indignation devant la sauvagerie du crime, mais la compassion envers les assassins à qui l’on trouve toujours une excuse à leur acte « désespéré »... Et si les survivants excédés ou terrorisés prennent les armes pour sauver leur vie, dans un geste de défense aussi vieux que les âges, ils soulèvent contre eux l’unanimité des censeurs.

               La honte ne se raconte pas : elle s’encaisse !

José CASTANO e-mail : joseph.castano0508@orange.fr 

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A revoir:

- 19 MARS 1962 - LE CESSEZ LE FEU… Ou la victoire du FLN –

- 11 MARS 1963 - L'EXECUTION DU COLONEL JEAN-BASTIEN THIRY

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«  TERREUR ISLAMISTE »

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Conférence sur « ISLAM, RELIGION CONQUERANTE »

Organisée par la Fédération Nationale des Rapatriés de GRENOBLE, cette conférence sera donnée par José CASTANO, Dimanche 19 Mars 2017, à 11hprécise à l'Hôtel EUROPOLE, 29, rue Pierre Semard – 38000 GRENOBLE

- Entrée gratuite –

Un repas (sur place)-facultatif- suivra la conférence

Renseignement et inscription : FNR, Chez M. J.M. CANIE – 106, Cours Berriat - 38000 GRENOBLE -

Tél: 06 80 58 43 50  ou  04 76 54 15 34

Pour la bonne organisation merci de répondre avant le 10 mars 2017

Prix du repas : 25 euros, tout compris

Apéritif : KIR et Feuilletés

Salade de saumon et crevettes

Quasi de veau sauce morilles

Gratin dauphinois légumes

Fromage blanc

Omelette norvégienne

Vin et café compris

Cliquez sur : ISLAM… RELIGION CONQUÉRANTE

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Mes ouvrages, cliquez sur :-Ma Bibliographie – 

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REVOIR LA VERITE HISTORIQUE SUR LE 19 MARS 1962

2 septembre 2022

ET LES CLAMEURS SE SONT TUES !...

Par José Castano

Notre mémoire…

Dernier volet de la trilogie sur le soixantenaire de l’EXODE et de l’EXIL

            Il était environ onze heures en ce mois de juillet 1962. Le ciel était pur, avec de légers flocons de nuages, très espacés. Une lumière douce et éclatante baignait les immeubles du Front de Mer, à Oran. Le « Kairouan » s’était rempli en un temps record… Il y avait du monde partout, dans les cales, sur le pont, dans les entreponts et si, sur les quais, c’était la panique, à bord, les malheureux « vacanciers » (comme les avaient surnommé Robert BOULIN et Gaston DEFFERRE) ne demandaient plus rien. Ils s’affalaient, prostrés, et regardaient les contours de leur terre. Ils voulaient s’imprégner une dernière fois de cette vision qui avait été le cadre de leur enfance, se souvenir de chaque mot, de chaque geste, pour être enfin dignes de s’envelopper du linceul immuable des choses définitives. Ils entraient en exil par de honteuses poternes, traînant derrière eux, comme un fardeau et un tourment, le manteau d’apparat de leurs souvenirs rebrodés de mirages.

            L’Algérie, tant servie, tant chantée, tant aimée, c’était le passé de bonheur, d’héroïsme et d’espérance, et ce n’était plus en cet instant tragique, que le désespoir de milliers de cœurs calcinés au fond de milliers de poitrines humaines…

Il n’est pas de douleur plus grande que de se souvenir des jours de bonheur dans la misère !...

            En l’instant, tout à leur chagrin, ils ne savaient pas encore qu’une fois arrivés en France, épuisés et malheureux, ils y seraient accueillis comme des étrangers, qu’on les jugerait, qu’on les montrerait du doigt, qu’on les traiterait de parias, de pestiférés, qu’on dirait que « leur misère est un juste châtiment » et qu’on rirait de leur désespoir.

Quel douloureux instant que celui où l’on quitte sa maison, son site aimé, ses amis, sa famille, tout ce qui tient au cœur, avec la conviction, plein l’âme, que plus jamais on ne les reverra. Et l’on pense aussi, sans le dire, à toutes les profanations de tous ces êtres chers qui seront faites après le départ…

« Notre église, ce petit bijou, a été décapitée. Notre cimetière a été saccagé… Tous les cercueils ont été ouverts… J’aurais préféré être aveugle ! » C’est un prêtre français qui parle…

Aujourd’hui, il ne reste plus comme vestiges qu’un grand rêve, des souvenirs douloureux, des milliers de morts et de disparus, des milliers de déracinés dépossédés, humiliés, violés, des ruines, une odeur de sang caillé, un reniement immense, et, sous le soleil de « là-bas », une déréliction de plaines rases rendues à l’abandon et le vent de la mer dans sa morne complainte sur les vignobles et les vergers en friches…

            Cinquante cinq ans « après », les rangs se sont « éclaircis » mais des milliers d’âmes déracinées ne font, encore, que survivre loin des paysages dorés qui ont émerveillé leur enfance. De cette terre douce et triste, tombeau de leurs aïeux et nid de leurs amours, un immense vide les sépare, fait de sable, de regrets, de mirages, de promesses et de serments révolus, où s’irréalisent les oasis perdues de leurs souvenirs.

            Algérie qui leur a donné la vie et qui a pris leur cœur, rongée par le désordre,  la pauvreté, la prévarication et l’immoralité d’apparatchiks, que triste est ton sort aujourd’hui !...

De-ci de-là, les mousses recouvrant les murs joignent leur lèpre rouille à l’ombre des palmiers aux branches mutilées. Les grands arbres sous la lune, frissonnent de nostalgie et renouvellent chaque nuit leurs appels éplorés dans l’espoir que l’amour voudra bien y renaître. Et dans leurs branches désolées, les lettres qu’on déchiffre avouent aux voyageurs que d’autres en ces lieux ont connu des bonheurs dont les traces ne sont point effacées…

Le temps a pu faire son office, jouer au sacrificateur, il n’a pas eu le front de dévorer ces noms des heures familières. Pourtant à notre départ nous n’avons rien inscrit. Nous n’avons pas voulu que s’y fixent nos cœurs. Mais nous n’avons pas trahi nos secrètes tendresses afin que reste bien à nous cette gerbe de fleurs qu’on respire à genoux parmi les souvenirs de toutes nos ivresses.

Des souvenirs… Voilà ce qui reste désormais : des souvenirs merveilleux et cruels qui subsistent à jamais dans les mémoires… Avec le temps, les vagues murmureront longtemps autour de ces souvenirs là… Dans les tempêtes, elles bondiront comme pour venir lécher leurs pieds, ou les matins de printemps, quand les voiles blanches se déploieront et que l’hirondelle arrivera d’au-delà des mers, longues et douces, elles leur apporteront la volupté mélancolique des horizons et la caresse des larges brises. Et les jours ainsi s’écoulant, pendant que les flots de la grève natale iront se balançant toujours entre leur berceau et leur tombeau, le cœur de ces exilés devenu froid, lentement, s’éparpillera dans le néant, au rythme sans fin de cette musique éternelle.

 José CASTANO 

« O mes amis Pieds-Noirs, ne pleurez plus la terre et le sol tant chéris qui vous ont rejetés ; laissez les vains regrets et les larmes amères ; ce pays n’a plus d’âme, vous l’avez emportée » (Camille Bender – 1962)

60 ans après, voici ce qu’est devenue ORAN, celle que l’on surnommait « l’Andalousie française » :

https://www.youtube.com/watch?v=mOn9-6kXURg

Et aussi :

Paras, bérets bleus, verts et rouges, tous unis !

Forum pour Parachutistes et Sympathisants de par le Monde

Courriel webmestre : beajp08@sfr.fr 

oooooooooooooo

En Algérie, la mort lente des cimetières pieds-noirs

En quittant le pays, les Européens ont laissé leurs morts. Malgré le travail des associations, les nécropoles tombent en ruine....

Voir plus →

 
 
 

Mardi 6 septembre 2022, 17h30, PERPIGNAN, vernissage de l’exposition Photographies de l’exode.

Cliquer sur : Voir le message

Pour revoir tous les articles de José CASTANO, cliquer sur : - Mes Articles –

Ses ouvrages, cliquez sur :-Ma Bibliographie –

Sa biographie, cliquer sur :- Ma Biographie -

17 janvier 2017

LETTRE OUVERTE A MONSIEUR LE MINISTRE EMMANUEL MACRON

Monsieur,

Voici ma réflexion suite à vos propos tenus en Algérie.

Je vous l'accorde vous avez fait preuve d'un grand courage, en Algérie, en disant que la colonisation de ce pays avait été un crime contre l'humanité.

Personne ne nie que cette conquête a généré son lots de crimes, d'exactions, sachant que les valeurs de l'époque ne correspondent en rien à celles en vigueur de nos jours.

Tout comme votre prédécesseur, avant d'être élu, vous avez voulu vous attirer les grâces de certains électeurs!

En effet, monsieur Hollande s'était rendu sur les lieux où le 17 octobre 1961, ont été tués, par la police Française, des centaines de Musulmans. En fait, des enquêtes sérieuses ont abouti à dire qu'il n'y avait pas eu plus de 10 morts dont certains étaient des européens, et que cette manifestation était interdite car en temps de guerre.

Libre au futur (probable) président, tout comme vous, de se rendre où il veut.

Mais pourquoi ne pas avoir honoré les 47 morts (19 égorgés) de la Force de Police Auxiliaire Harkis de Paris, ainsi que les 219 Européens tués dont 16 militaires et 53 policiers...?

Et encore sur notre sol, vous auriez pu parler des 4000 Musulmans qui ont été assassinés et souvent mutilés par le FLN France, que le double a été blessé toujours selon des méthodes atroces.

Le courage aidant, vous auriez pu, sur votre lancée, évoquer les 150.000 Harkis et sympathisants morts après le cessez le feu du 19 mars 1962, respecté uniquement par l'état Français.

Des 8 à 12000 d'entre eux qui ont été envoyés déminer, souvent à mains nues, sur les frontières.

Vous auriez pu parler également du massacre de plus de 6000 Pieds-Noirs, après cette date. En sachant que, ce chiffre rapporté à celui des habitants Français, serait de 300.000 morts. Soit plus que de civils tués en France pendant le 2ème conflit mondial.

Quel pays pourrait accepter cela?  La France, bien sûr! Mais CHUT!! En France, « ON », les politiques, préfèrent parler des morts d'en face!

Ce sont leurs choix. C'est votre choix! Pas le mien. Je ne suis pas un homme politique. Je suis un simple citoyen!

Et pourquoi ne pas parler du massacre de Melouza en 1957 où 374 Musulmans ont été massacrés par le FLN, qui a voulu, entre autre, attribuer celui-ci à l'armée Française?

Et encore, cet autre, atroce, d'El Halia en 1955 où ce sont principalement des femmes et des enfants au nombre de 140 qui ont été impitoyablement abattus! Ou alors, des MILLE CINQ CENTS morts en UN JOUR le 5 juillet 1962 à Oran, 2 fois plus qu’à Oradour sur Glane, 642 personnes tuées par les hommes de la Panzer division Das Reich en 1944. Ce, dans des conditions affreuses, comme dans ce village martyr Français.

Un centre de la mémoire y a été édifié en 1999. Y a-t-il en France un mémorial, une plaque, une commémoration nationale pour « NOUS », rien, serions nous les pestiférés de l’histoire…

D’un côté, et à juste titre, notre pays honore ses victimes et de l’autre les ignore totalement. Est-ce digne de la France, qui proclame à tout va, être le pays des droits de l’homme et du citoyen.

Puisque vous aviez décidé d'évoquer le passé, pourquoi n'avez-vous pas parlé des pirates barbaresques du Maghreb qui ont écumé nos côtes pendant plusieurs siècles sous l'emprise des Turcs, réduisant ainsi en esclavage plus d'UN MILLION d'Européens.

Alger, à elle seule, se répartissant plus du tiers des esclaves!

Vous n'êtes pas sans ignorer que c'est pour ce motif que, ce qui sera appelé l'ALGÉRIE, a été envahie!

Vous défendez les valeurs universelles de la gauche et prétendez détenir la vérité, voulant imposer celles-ci, soit, mais vous le reprochez à nos ancêtres, qui ont appliqué ce même principe en Algérie.

A tort ou à raison, dans les deux cas, l'histoire jugera!

Vous savez sans doute aussi, que dès le début de la conquête, de nombreuses tribus se sont rangées à nos côtés, telles les Zouaouas, qui ont donné le nom aux futurs Zouaves, ou les Douaïrs et les Smélahs dont le chef, le général Mustapha Ben-Ismaïl, a été tué au combat en 1843...

A vouloir étaler l'histoire, il faut aller jusqu'au bout et ne pas s'en tenir à quelques bribes! Vous faîtes preuve d'un tel acharnement à vous en prendre à VOS ancêtres, parce-que ce sont MES ancêtres, mais aussi les VÔTRES!

Les premiers arrivants sur cette terre ont été des soldats commandés par le gouvernement Français de l'époque.

Comment considérez-vous les premiers colons qui ont suivi, sont-ils des assassins, ou sont-ils des militaires?

Vous savez très bien que les règles de l'époque n'étaient pas les mêmes en matière guerrière. Les conventions de Genève n'existaient pas et les troupes au combat se payaient sur le terrain.

Ne faîtes-vous pas preuve d'hémiplégie comme vous le faites remarquer à certains de vos interlocuteurs?

A la même époque, en France, la troupe dispersait des manifestants en tirant « dans le tas », des enfants de 7 ans travaillaient dans les mines et les femmes ont dû attendre 1945 pour avoir le droit de vote.

En 1830, devant des grévistes et des émeutiers, l'armée alignait 20.000 hommes et 150 canons!

En 1848, on relève 4000 morts parmi les insurgés et 1600 parmi les forces de l'ordre.

Le gouvernement républicain arrête 25.000 personnes, lourdement condamnées (15.000 déportées et emprisonnées sans jugement). Certains de ces déportés, dits les « Communards », seront de futurs Pieds-Noirs.

Il n'est pas possible qu'un futur (probable) président de la République Française, jette l'opprobre sur les siens ainsi!

Pourquoi, monsieur Macron, pourquoi?

Il n'est pas possible, ni même pensable que votre attitude ne soit pas dictée par un calcul électoraliste!

En effet, la communauté d'origine Algérienne, vivant en France, est très importante et pèse sur le vote, sachant qu'aux dernières élections, celle-ci a voté massivement à gauche.

Vous saviez pertinemment en tant qu'homme avisé et bien conseillé, quelles répercutions auraient vos propos tenus dans un pays dont les dirigeants nous méprisent profondément et où son histoire est falsifiée depuis 55 ans maintenant!

Savez-vous que l'hymne algérien est le seul au monde à citer, en termes peu élogieux, un pays étranger? Bien sûr, ce pays c'est la France!

Vous saviez que les Pieds-Noirs et les Harkis seraient vent debout suite à vos déclarations mais vous n'en aviez que cure!

Vous saviez que notre communauté, les anciens, était composée de personnes encore écorchées-vives, 55 ans après notre exode!

Vous saviez que vos propos provoqueraient des réactions dures, emportées, voire violentes! Cela, pour soit disant, rétablir une vérité, alors que, comme je l'ai dit, lorsqu'on veut agir ainsi, il faut aller jusqu'au bout et ne pas se contenter de dénoncer une partie de l'histoire et de plus dans un pays étranger!

Ce pays, l'Algérie, ne vous a pas attendu, monsieur Macron, pour traîner la France dans la fange.

Il forge l'histoire à sa guise, modifiant honteusement les chiffres comme pour les émeutes de Sétif, où sont annoncés 45.000 morts lors de la répression, alors que la réalité dénombre entre 1500 et 3000 victimes.

L’Algérie, avec à sa tête, les mêmes depuis 55 ans, trouve pratique de rejeter sur l'ancien colonisateur les maux du présent, comme pour s'exonérer de la gestion calamiteuse de ses dirigeants.

Ensuite, bravo! Vous vous êtes excusé et avez même regretté d'avoir blessé notre communauté!

En fait, je pense que tout cela était mûri et que c'est en conscience que vous avez tenu ces propos!

En tant que futur (probable) chef de l'état, si vos regrets sont sincères, c'est tout à votre honneur, mais il ne fallait, tout simplement, pas (nous) blesser pour formuler ensuite des excuses!

C'est trop facile après cela de venir discuter avec des Pieds-Noirs ou Harkis et de maintenir vos dires! Vous saviez parfaitement que ce serait insuffisant.

En rajoutant à Toulon « je vous ai compris » vous avez été loin, beaucoup trop loin...en réveillant la traîtrise du chef de l'état d'alors, Charles De Gaulle.

Il est sûr que le vote de notre communauté, Harkis compris, n'est pas homogène et en conséquence ne pèse pas assez ou moins que celui des Français d'origine Maghrébine. Nous en sommes conscients.

Je ne suis pas un stratège en matière politique, et loin de là, mais cette analyse n'est peut-être pas loin de la vérité que sais-je?

Vous avez fait, à mon avis, un grand faux pas.

Certains Pieds-Noirs ou Harkis, étaient prêts à voter pour vous car vous représentiez pour eux, la jeunesse et une nouvelle génération d'hommes politiques affranchis de certains archaïsmes.

Pour terminer, il semble que vous voulez, comme notre Président, réconcilier les mémoires. Mais vous le savez bien, l'Algérie ne le veut pas et en joue depuis 55 ans maintenant!

Ses demandes sont à sens unique. Ce pays ne veut que, et toujours plus, de visas pour ses ressortissants.

La réciprocité ne sera jamais appliquée par l'état algérien.

Cela a commencé dès le 19 mars 1962, jour où le non-respect des « Accords d' Évian » a débuté!

La réciprocité, mais quelle réciprocité, quand vous voyez que dans notre pays, une place porte le nom « Nadia Gendouze », infirmière, poétesse du FLN alors que cette personne était poseuse de bombes. C'est sa bombe qui, au Milk-bar à Alger, en 1956, a fait 3 morts et 50 blessés dont 12 amputés!

Alors, à quand en Algérie une place ou rue Marcel Bigeard ou général Massu? Cela indique que nous sommes uniquement dans la repentance!

De même, lorsque notre Président officialise la date du 19 mars 1962, alors que nous savons très bien, qu'il y a eu plus de morts après le cessez-le-feu qu'au cours de toute la guerre d'Algérie.

Je tenais à vous signifier que vos propos m'ont profondément choqué ainsi qu'un grand nombre de Pieds-Noirs et Harkis.

Monsieur Macron, sachez que les Français d’Algérie, Pieds Noirs et Harkis confondus ne sont pas que des Français de « papier ». Ils ont la France dans leurs cœurs et dans leurs tripes.

Regardez leurs manifestations, y avez-vous vu des drapeaux étrangers, que voyez-vous, les 3 couleurs de notre Patrie, le bleu, le blanc et le rouge.

« Soyez-en paix avec votre conscience »! Je vous le souhaite.

Un simple citoyen Français, Pieds-Noirs et fier de ses ancêtres, des Corses et des Alsaciens, vous savez, ceux qui ont libéré le pays en 1945 et qui étaient de toutes les guerres Françaises depuis 1830 avec nos frères Musulmans.

Bien à vous.

Guy du pays des Chaouias


 

Mon père était agriculteur à côté du village de Lutaud (7 km) qui se situait lui-même à 30 km de Batna. Notre ferme a été détruite au début de la fin.

Il a essayé de rester au village et d'aller travailler la journée mais, cela devenait de plus en plus risqué. Il est rentré dans les UT et lorsqu’elles ont été dissoutes en 59, il est rentré travailler à la S.A.S de Batna jusqu'à la fin. J'ai donc vécu le désarmement et ensuite l'abandon des Moghaznis dont la plupart ont été tués ainsi que leurs familles. Seules 3 ont réussi à regagner la France en passant par le Maroc. Je les ai retrouvées en 2005 à Rouen.

En rentrant, nous avons atterris par hasard à Corbeil Essonne car un oncle avait été muté au commissariat de cette ville. 18 dans 2 pièces cuisine en hiver, nous pouvions nous passer de chauffage. Puis nous avons acheté une ferme à côté de Bergerac vendues au prix fort, c'était par compassion pour ceux qui étaient venus libérer la France en 14/ 18 et en 39/ 45... 

De façon très brève, voilà une parcelle de vie d'un petit Pieds Noirs qui est fier de ses racines ainsi que de ses ancêtres Corses/ Grecs du côté de mon père et Corso/ Alsaciens du côté de ma mère.

Guy

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15 juin 2017

LETTRE OUVERTE AUX PIEDS-NOIRS ET A LEURS AMIS QUI NE MARCHENT PAS MAIS QUI ROULENT...

Par Jacques Villard

Cher(e)s Ami(e)s,
Je pars par la route vers Nice. Le premier pas...
Il le fallait, contre vents et marées, car il faut évangéliser en dehors du Languedoc Roussillon. Faute de ce faire, nous sclérosons notre initiative.
Après Nice, il y aura Marseille, après Marseille, Toulon, Narbonne et Perpignan... tout l'arc méditerranéen de la France.
Je pensais faire une marche comme d'autres...
Je fais une route et je refais la route de 1973, au début du Cercle Algérianiste.
Nous ne sommes pas des marcheurs mais des routards.
C'est la suite et l'aboutissement du rêve algérianiste : la Patrie retrouvée.
Ce n''est pas simple car il faut recommencer à expliquer.
Aux premiers jours du Cercle, nous avions l'hostilité des grandes associations qui ne comprenaient pas l'utilité d'une nouvelle structure associant au corps de l'indemnisation, l'esprit de la mémoire.
A ce jour, ni les grandes associations, ni le Cercle nous sont franchement hostiles, mais ils sont indifférents pour certains et plus pour d'autres.
L'exaltation s'est abimée dans les déceptions, l'amertume parfois, le cholestérol spirituel pour d'autres.
Notre trace est déjà inscrite dans l'Histoire.
Mais dans le livre de « la mémoire Pied-Noir », il fallait une dernière page : la plus belle, celle du rassemblement sur une terre nouvelle, bien à nous.
C'est une espèce de paquebot en Méditerranée que nous lançons, alors que l'orage gronde de toutes parts.
Nous partons, sans un sou, pour construire un palais que nous lèguerons à nos descendants afin qu'ils puissent conserver cet esprit pionnier qui est en nous.
Ils sont fous, diront certains.
Leur ambition n'a pas de limite diront d'autres.
Que disaient ceux qui voyaient nos ancêtres partir en Algérie ?
Je ne sais pas où se trouvent la folie et l'ambition.
Ce que je sais, c’est que vous vous rassemblez, que vous combattez à nouveau et que je suis fier d'être parmi vous.
Nous avons gagné avant même d'avoir combattu.
Nous entrons dans l'Histoire comme les derniers des Mohicans.
Je pars totalement vers l'inconnu.
Lorsque j'avais accepté cette mission d'évangélisation des premiers temps en compagnie de Maurice Calmein, de Gérard Garcia, de Max Teste, d'Hervé Cadot, d'Yvon Ferrandis, de Jean Tiburce et de tant d'autres, je ne savais pas où nous allions.
Il y a des voies impénétrables qu'il faut découvrir pour faire avancer l'humanité.
C'est une longue route que nous entreprenons.
« Les routards pieds-noirs » ... une belle affiche ! ...
Il y aura beaucoup d'obstacles et de critiques, mais le résultat sera au rendez-vous.
Je n'ignore pas que certains sont hostiles.
Les grands marcheurs comme le Mahatma Gandhi ou le Pasteur Martin Luther King avaient un objectif précis.
Nous aussi !
Eux ont fini avec une balle dans la tête.
Ils faisaient un rêve !
I am a dream !
Ils avaient le courage et l'espérance.
Nous aussi !
Nous ne finirons pas mal bien au contraire.
Sursum corda comme disaient les Anciens.
Il faut démontrer, dans l'honneur et la dignité, dans la simplicité et la détermination, dans la sérénité et la foi, que nous sommes tous restés des femmes et des hommes capables du meilleur alors que les insultes pleuvent encore.
Les malheurs du monde sont les nôtres.
Nous avons une solution et nous y croyons : « l'amour fraternel, celui du deuxième commandement ».
Sachant que pour beaucoup d'entre nous, il y a aussi le premier !
Allons, comme Moïse, vers les bons vents de notre destinée.
Je vous embrasse fraternellement à toutes et à tous.
Merci pour votre enthousiasme et votre générosité.
Grâce à vous, je le redis, je suis fier d'être « Pied-Noir ».
Mes plus chaleureux remerciements vont à ceux qui ne le sont pas et qui nous suivent, voire qui nous précèdent.
« C'est nous les Africains », n'est pas qu'une belle chanson ! C'est une réalité et nous la vivons.
Je pense à nos pères de toutes les ethnies, de toutes les confessions, de toutes les couleurs qui sont tombés, serrés les uns contre les autres dans les tranchées de l'horreur, loin du pays natal, pour que vive la France.
Le combat n'est plus le même, fort heureusement, mais leurs descendants sont encore ensemble contre d'autres barbares.
C'est beau, c'est bon et c'est réconfortant d'être sur cette route.
Merci.
Jacques VILLARD
Porte-Parole du Gouvernement Provisoire Pied-Noir en Exil « GPPNE »

COMMUNIQUÉS ET DÉCLARATIONS OFFICIELLES

6 mars 2017

LIEUTENANT-COLONEL JEAN-BASTIEN THIRY NOVEMBRE 2017

Ci joint le carton d'invitation aux cérémonies du 54ème anniversaire de la mort de notre père.
Hélène Bastien-Thiry

Pour le 54ème anniversaire de la mort du

Colonel Jean Bastien-Thiry

fusillé le 11 mars 1963 au Fort d’Ivry,

le Cercle Jean Bastien-Thiry vous invite

à participer à la messe célébrée à Paris

le samedi 11 mars 2017 à 11h30

en l’église Sainte-Odile (2, av. Stéphane Mallarmé, 75017)

et à venir au cimetière de Bourg-la-Reine (92)

(27 rue de la Bièvre)

le dimanche 12 mars 2017 à 15 heures

pour un dépôt de gerbes et une prière.

Cercle Jean Bastien-Thiry – B.P. 50070 – 78170 La Celle St Cloud

 

Se garer à Bourg-la-Reine :

Si vous venez en voiture à Bourg-la-Reine, différents parkings sont possibles :

- le plateau du Gymnase de la Faïencerie, 30 rue Jean-Roger Thorelle, situé à côté de l'autre entrée du cimetière (à l'autre bout de la grande allée centrale). On y accède par la RN20 vers Paris, en tournant à droite juste après avoir dépassé la rue de la Bièvre. (gratuit) - Le parking Condorcet, payant, au 69 avenue du Général Leclerc (400m du cimetière) - Le parking du Centre-Ville, payant, 66 bld du maréchal Joffre, sur la RN 20 vers la province avant la gare du RER. (700m du cimetière)

Venir en transports en commun :

La gare RER de Bourg-la-Reine est située à 800 m du cimetière. Elle est desservie par la ligne B du RER.

Cercle Jean BASTIEN-THIRY - B.P. 50070 - 78170 La Celle Saint Cloud

basthiry@aol.com

Télécharger l'invitation complète au format PDF 

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5 septembre 2017

LA BATAILLE DE BAZEILLES

Par José Castano

" L’arme de tous les héroïsmes et de toutes les abnégations, j’ai nommé l’Infanterie de Marine " (Maréchal LYAUTEY – 1854 – 1934)

            Après l’héroïque sacrifice de la Légion étrangère à Camerone, le 30 avril 1863, où les soixante hommes du capitaine Danjou avaient tenu jusqu’au bout leur serment « de se défendre jusqu’à la mort » face à deux mille mexicains, sept ans et quatre mois plus tard, les 31 août et 1er septembre 1870,  l’infanterie de marine allait écrire à son tour, à Bazeilles, sa plus glorieuse page d’Histoire.

            La guerre franco-allemande oppose, du 19 juillet 1870 au 29 janvier 1871, la France de Napoléon III à la Prusse de Guillaume Ier. Commencée en Alsace et en Lorraine, elle voit l’armée allemande prendre l’avantage sur l’armée française du Rhin qui, commandée par le Maréchal Bazaine,est refoulée et assiégée dans la ville de Metz. Une deuxième Armée (12ème Corps d’Armée),  sous les ordres du Maréchal Mac-Mahon-comprenant la Division d’Infanterie de Marine- est aussitôt formée pour lui porter secours et dégager la ville.

            Cependant, lors de sa difficile progression vers Metz, elle se heurte au gros des forces allemandes et doit se replier en direction de Sedan qu’elle atteint le 31 août. C’est alors que le général de Vassoigne, qui commande la division d’infanterie de Marine dite « Division Bleue », reçoit l’ordre d’attaquer, de conquérir et de tenir avec la 2ème brigade le village de Bazeilles, occupé par les Allemands, situé dans le département des Ardennes en région Champagne-Ardenne, qui verrouille les accès sud-est de Sedan, La « Division Bleue »avait la particularité de réunir, pour la première fois dans l'histoire des troupes de marine, des Marsouins (quatre régiments de marche) et des Bigors (un régiment  d’artillerie). Elle était composée de :

- La 1ère brigade du général Reboul, formée du 1er Régiment d'Infanterie de Marine de Cherbourg et du 4e de Toulon,

- La 2ème brigade du général Martin des Pallières, formée du 2e Régiment d'Infanterie de Marine de Brest, du 3e de Rochefort et du 1er Régiment d'Artillerie de Marine de Lorient qui fournissait 3 batteries.

            Le 31 août vers midi, c'est l'attaque. Le général Martin des Pallières commande l’assaut. L'ennemi est refoulé, mais sa supériorité en nombre et en artillerie lui permet, en multipliant ses attaques, de reprendre pied dans la localité. La mêlée est acharnée ; les pertes sont sévères des deux côtés ; le général Martin des Pallières est blessé et le village en feu. Néanmoins, au prix de multiples assauts héroïques et de sacrifices, les Troupes de Marine reprennent le contrôle d’une partie de la localité, sur la frontière nord. La 1ère brigade arrivée en renfort en fin de journée permet la reprise totale de Bazeilles à la tombée de la nuit.

            Le 1er septembre, les forces bavaroises du général Von der Tann investissent à l’aube la localité désertée par les Français. Ce n’était qu’un piège tendu par le Commandant Lambert, sous-chef d'état-major de la division, qui ordonna aussitôt une contre-attaque victorieuse menée par 150 marsouins survoltés. Bazeilles est de nouveau française.

            À ce moment survient un coup de théâtre. Le général Ducrot, qui vient de remplacer Mac Mahon blessé, veut regrouper l'armée et l'ordre est donné d'abandonner Bazeilles. Ce que l'ennemi n'a pas réussi, la discipline et la bêtise l'obtiennent : Bazeilles est évacué. Mais le général de Wimpffen, porteur d'une lettre de service, revendique le commandement et, prenant le contrepied des dispositions de son prédécesseur, ordonne que soient réoccupées les positions abandonnées.

            Il faut donc reprendre Bazeilles dont les Bavarois n'ont pas manqué de s'emparer entretemps. De Vassoigne n'hésite pas et, en dépit de la colère et de la rancœur légitime de ses hommes, sa division, bien que fourbue et meurtrie, s'empare une nouvelle fois du village malgré la défense acharnée de l'adversaire.

            Le 1er Corps d'armée Bavarois, renforcé d'une division supplémentaire et appuyé par une artillerie de plus en plus nombreuse, reprend son pilonnage intensif et ses attaques meurtrières qu'il combine avec des manœuvres d'encerclement, tandis que dans le village se multiplient les incendies.

            Luttant à un contre dix, les soldats français, malgré les obus qui les écrasent, les incendies qui les brûlent et les suffoquent, la faim et la soif, défendent pied à pied chaque rue, chaque maison et chaque pan de mur. Ils ne cèdent le terrain que peu à peu infligeant à l'ennemi des pertes sévères. Cependant, cette résistance acharnée, cette action désespérée ne peuvent que réduire de minute en minute leur effectif… aggravé par le fait que les munitions commencent à manquer cruellement.

            Vers 11 heures, la 2ème Brigade de la « Division Bleue », submergée par l’adversaire, doit se replier sur les hauteurs de la Moncelle. Pour protéger leur repli, des Marsouins au nombre d’une centaine se regroupent à la sortie nord du village, dans l’auberge de la Bourgerie que le Commandant Lambert a commencé à transformer en fortin. Comme leurs camarades légionnaires, à Camérone, ils jurent de ne pas faillir à leur mission et résistent pendant plus de trois heures à un ennemi supérieur en nombre. Les munitions venant désormais à faire défaut, c’est à la baïonnette qu’ils défendent âprement leur position. Vers 15h, les officiers encore en vie estimant que le sacrifice de ces quelques hommes d’exception serait vain, ils ordonnent l’arrêt des combats et revendiquent par la voix du Capitaine Aubert, de tirer les onze dernières cartouches, d'où le nom de « Maison des dernières cartouches », qui fit l'objet d'une popularisation comme un des hauts-faits de la guerre.

            La bataille est terminée. Les Bavarois, impressionnés par le courage de ces quelques hommes fourbus, épuisés mais vaillants ne peuvent que les épargner et laissent aux Officiers leur sabre, ultime marque de respect et d’admiration. La « Division Bleue » a perdu 2655 hommes au cours de ce seul affrontement. Quarante civils Bazeillais trouvèrent la mort au cours des combats des 31 août et 1er septembre. Cent cinquante autres moururent des suites de leurs blessures dans les six mois qui suivirent la bataille. L'ennemi, pour sa part, avait laissé sur le terrain 7 000 tués dont plus de 200 officiers Ce moment d'histoire a été illustré par le célèbre tableau d’Alphonse-Marie-Adolphe de Neuville, peint en 1873, représentant la défense de l'auberge Bourgerie : « Les dernières cartouches » et conservé à Bazeilles à la Maison de la dernière cartouche.

           Bazeilles est resté depuis, un haut-lieu et un symbole des troupes de marine. L’anniversaire de cette bataille est commémoré chaque année dans tous les corps de troupe de France et d’Outre-mer et sur les lieux mêmes où se produisit cet événement.

            Le 2 septembre 1870, Napoléon III signa la capitulation de Sedan. Cette reddition se solda par la perte des territoires d’Alsace et de Lorraine, entraîna la chute du Second Empire, l’exil de Napoléon III, l’avènement de la Troisième République et pérennisa l’établissement définitif du régime républicain en France.

José CASTANO  e-mail : joseph.castano0508@orange.fr

            « Il y a une sublimation du sens de la discipline où la contrainte devient acceptation où la soumission devient don […] qui libère l’homme, le grandit et le mène aux portes de l’héroïsme » (Général d’armée Olié – discours à l’occasion du baptême de la promotion de l’Ecole spéciale militaire de Saint Cyr)

-       Visitez le musée « Maison de la dernière cartouche » à BAZEILLES :

Courriel : contact@maisondeladernierecartouche.com

- « Marsouins » et « Bigors »

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Conférence : « ISLAM… D’hier à aujourd’hui »

Cette conférence, organisée par le Cercle algérianiste de TOULOUSE, sera donnée par José CASTANO, Samedi 21 Octobre 2017, à 15h30, au CEFANOM, 1, rue des Pénitents blancs – 31000 TOULOUSE - Entrée gratuite –

Un repas (facultatif) est prévu à 12h au restaurant La Gourmandine, 17, Place Victor Hugo – Toulouse (inscription obligatoire).

Pour tout renseignement : Hervé CORTES Tel. 05.61.15.45.98 ou 06.40.38.69.06 - Courriel : cortes.famille@wanadoo.fr

Note de lecture: "TERREUR ISLAMISTE"

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Conférence sur : « LES SEIGNEURS DE LA GUERRE » 

- De l’Indochine à l’Algérie, la Légion étrangère au combat

- L’Odyssée et la fin tragique du 1er Régiment Etranger de Parachutistes en Algérie.

            « De l’Indochine à l’Algérie, le conférencier évoque le vécu, l’héroïsme et les sacrifices de ces légionnaires, Fils de France non par le sang reçu mais par le sang versé. Ces soldats-loups à la démarche souple de félins, accoutumés à la chasse et au guet, infatigables dans le chaos minéral de l’Aurès, acceptaient le défi de la guerre dans les défilés étroits comme des pièges, sur les pitons enneigés ou brûlés par le soleil et dans l’enfer du désert où le monde mort a chassé celui des vivants. Ces hommes, « soldats pour mourir », constituaient le plus beau régiment du mode ; jalousés, admirés et vénérés parce qu’ils étaient capables de mourir avec panache en criant : « Vive la Légion ! »

            … Puis il y eut le 22 avril 1961 et le soulèvement des meilleures unités combattantes dont le 1er REP était le « fer de lance »… sa dissolution et celle des plus belles unités parachutistes… l’émouvant adieu de la population de Zéralda à « leurs » légionnaires… le « cessez-le-feu » et la fin tragique de l’Algérie française… Le génocide des harkis commençait. »

            Cette conférence, organisée par la « Délégation Vauclusienne de l’Association de Soutien à l’Armée Française », sera donnée par José CASTANO, Samedi 4 Novembre 2017, à 15h, salle Bouscarle, 95, Avenue Charles Vidau, 84300 CAVAILLON- Entrée gratuite –

Pour tout renseignement : Gilles ROUSSSET - Tel. 06 75 54 12 91

Courriel : gilles.rousset@dartybox.com

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16 février 2017

LA REPENTANCE

Par José Castano

« En un siècle, à force de bras, les colons ont, d’un marécage infernal, mitonné un paradis lumineux. Seul, l’amour pouvait oser pareil défi… Quarante ans est un temps honnête, ce nous semble, pour reconnaître que ces foutus colons ont plus chéri cette terre que nous, qui sommes ses enfants »(Boualem Sansal – 2002)

            Au fil des générations, nos hommes politiques et les médias qui les soutiennent, n’ont eu de cesse de cultiver le mythe de la culpabilité nationale : Colonisation… Repentance… Soumission… ignorant, comme le disait Charles Péguy, « qu’il y a des contritions plus sales que les péchés ». C’est pourquoi, le « remords » aidant, ils s’interdisent (et nos magistrats avec eux) toute action systématique de reconduite à la frontière qui pourrait être interprétée par le lobby pro-immigrationniste comme un acte raciste… Et de cette façon, la misère s’ajoute à la misère… et déjà dans ce pays, la démocratie ipso facto repose sur la cosmopolite reconnaissance du peuple français à disparaître inéluctablement.

            Ainsi, inexorablement, toutes les traditions historiques qui ont fait la grandeur de la France sont en train de se dissoudre dans un pluralisme qui admet tout et comprend tout et qui n’est que trop voisin de la lâcheté pure et simple. Elle agit, cette France-là, comme si elle n’était plus intéressée à maintenir sa position dans le monde. Elle s’accuse elle-même et se déclare honteuse de son passé guerrier, impérialiste et colonialiste, oubliant toutefois que le passé des autres nations n’est ni plus paisible, ni plus vertueux…

            Dénigrer l’histoire de son pays, de son passé, sa grandeur et le sacrifice de ses aînés est un acte criminel. Nous n’avons pas à tronquer notre histoire pour faire plaisir à telle minorité, telle association au « cœur sur la main » ou tel parti politique. « Dans cette rumination morose, les nations européennes oublient qu’elles, et elles seules, ont fait l’effort de surmonter leur barbarie pour la penser et s’en affranchir » écrivait Pascal Bruckner. Que ceux qui s’adonnent à ce type d’autoflagellation jouissive n’oublient pas cette mise en garde de Henri de Montherlant : « Qui a ouvert l’égout périra par l’égout. »

Ce dénigrement perpétuel de la France et de son passé colonial par nos « bien pensants », martyrocrates de profession, faussaires de l’antiracisme, est le pire danger auquel elle est confrontée. L’historien Max Gallo, dans son essai « Fier d’être Français », déclare : « Il faut bien que quelqu’un monte sur le ring et dise : “Je suis fier d’être français”. Qu’il réponde à ceux qui condamnent la France pour ce qu’elle fut, ce qu’elle est, ce qu’elle sera : une criminelle devenue vieillerie décadente. […] Ils exigent que la France reconnaisse qu'elle les opprime, qu'elle les torture, qu'elle les massacre. Seule coupable ! Pas de héros dans ce pays ! Renversons les statues, déchirons les légendes. Célébrons Trafalgar et Waterloo et renions Austerlitz ! Ils veulent que la France s’agenouille, baisse la tête, avoue, fasse repentance, reconnaisse ses crimes et, tondue, en robe de bure, se laisse couvrir d’insultes, de crachats, heureuse qu’on ne la “nique” qu’en chanson et qu’on ne la brûle que symboliquement chaque nuit !

Il est temps de redresser la tête, de hausser la voix, de monter sur le ring… et de boxer à la française !»

            Et Malika Sorel, française d’origine algérienne, de renchérir : «Au Maghreb, les gens sont consternés par ce qui se passe en France. Pour eux, la situation est liée à cette « repentance » et la responsabilité en incombe aux adultes français qui passent leur temps à se prosterner et être à genoux…»

- Repentance ! C’est un mot que les Français commencent à connaître tant ils l’entendent ! Celui-ci désigne la manifestation publique du sentiment personnel qu’est le repentir pour une faute que l’on affirme avoir commise et dont on demande le pardon.

- Pardon !  Mais quelle faute a bien pu commettre la France pour demander pardon ? Et à qui ? Pardon d’avoir un passé colonial ?

             Mais, Messieurs les détracteurs, le colonialisme que vous décriez, la main sur le cœur aujourd’hui, n’est rien d’autre que ce phénomène qui a poussé l’Occident à partager l’essentiel de son avance technique avec le reste du monde qui ne l’avait même pas entrevue. L’entreprise s’est accompagnée de souffrances, certes, mais il n’est pas d’aventure humaine qui ne s’accompagne de ce douloureux cortège… Il est le prix de sueur et de sang qu’il faut payer, mais le bilan est positif. J’en appelle à tous ceux qui ont atterri dans une colonie soumise à la loi et aux méthodes de l’Occident. Le changement de tableau est subit. Des récifs, elle a fait des ports ; de la poussière et des marais, elle a édifié des villes ; dans cet air embrasé, elle a fait pousser des feuillages et des jardins. Quand un contraste crie, il faut l’entendre, et ce serait être apocryphe en nature humaine, en morale pure, que de ne pas comprendre la puissance occidentale.

            Voyez donc, en exemple, ce qu’est devenue l’Algérie en un siècle seulement de colonisation... Au départ des Européens en 1962, les terres arables et fertiles ont été gagnées sur le désert et sur les marais au prix de tant de tombes qui jalonnent l’Afrique du Nord que le terme même de « colonisation » est aujourd’hui dépassé. Comment oublier que ce sont les premiers Européens (les pères de ces enfants qui ont été chassés) qui ont asséché les marais, ensemencé les maquis, transformé les douars, les casbahs, les repaires de pirates en paisibles villages, en cités prospères, en ports dignes de ce nom, bâti les écoles, les universités et les hôpitaux, tracé les routes et édifié les ponts, chassé la maladie, la famine, fait jaillir des pierres la vigne généreuse et les orangers ? Comment oublier que c’est la France, et elle seule, qui a fait gicler du sable du désert le pétrole et le gaz ? Et c’est pour toutes ces réalisations qu’il faudrait demander pardon ? A cela, qu’ont opposé les révolutionnaires ?... La révolte, le terrorisme, l’abomination et pour finir, la dilapidation de l’héritage « colonial ».


            Avant que la France ne vienne dans ce pays, les autochtones jouissaient-ils de toutes ces réalisations ? Les avaient-ils réalisées ? La France les en avait-t-elle privées ? La réponse est NON ! Et ce qu’ils n’ont pas su faire eux-mêmes en tant de siècles, voici qu’ils se l’approprient aujourd’hui et qu’ils accusent la France de n’avoir rien fait pour eux en 132 ans… Dès lors, les voix des apparatchiks du FLN, au pouvoir depuis 1962, conscients de leur responsabilité dans la misère qui frappe le peuple, n’ont de cesse de façonner les esprits en utilisant invariablement ce même refrain, vieux d’un demi siècle, qui répète sans cesse que les Français sont des ravisseurs et des bourreaux, qu’ils ont dévasté par le fer et par le feu la patrie algérienne en pillant ses richesses et exigent aujourd’hui réparation et repentance.

            Dans les livres d’histoire, écoliers et étudiants retiennent de l’armée française, qu’elle ne s’est strictement et uniquement livrée qu’à des exactions envers la population civile algérienne. C’est proprement odieux ! A l’inverse, rien n’apparaît sur les bienfaits de la Pacification et sur le bien-être que cette armée-là a apporté à l’homme du Bled. Sur les réalisations précitées, rien n’est mentionné. L’Histoire de l’Algérie rapportée par les livres est une Histoire tronquée, falsifiée, vide de toute vérité vraie et injurieuse vis-à-vis de ces milliers d’hommes et de femmes, Européens et Musulmans, qui ont œuvré de concert pour sortir ce pays du cadre moyenâgeux qui était le sien en 1830. Et il se trouve des Français pour soutenir les thèses diffamatoires du FLN !... des nigauds de naissance, champions des « droits de l’homme », de « l’antiracisme » et de « l’antifrance » qui demandent à grands cris la « révision des livres d’histoire ».

« Rien n’est plus dangereux au monde que la véritable ignorance et la stupidité consciencieuse »  a écrit Martin Luther King…

            Dès lors, que peuvent bien retenir les jeunes enfants dès leur scolarité ? Une histoire de France faite d’intolérance, d’inégalités, de compassion excessive, de récriminations et d’accusations qui ne manqueront pas de marquer à jamais leur esprit et d’entacher durablement l’image qu’ils se feront désormais de leur pays. « Vous tenez en vos mains, l’intelligence et l’âme des enfants. Vous êtes responsables de la Patrie. Les enfants qui vous sont confiés… ils sont Français et ils doivent connaître la France, sa géographie, son histoire : son corps et son âme »,  déclarait Jean Jaurès… ce que dénia Jacques Chirac en interdisant les cérémonies en mémoire de l’Empereur Napoléon Bonaparte au nom du complexe des conquêtes des siècles passés…

            Quant aux immigrés, comment les encourager à s’intégrer à une nation qui n’a de cesse de culpabiliser et de se mépriser elle-même ? Dans le journal « Le Monde » du 21 janvier 1992, Michel Serres suppliait les journalistes : « Si vous pouviez… de temps en temps dire un peu de bien de la France ! » Et en 1947, déjà, Raymond Aron déclarait : « La vanité française consiste à se reprocher toutes les fautes sauf la faute décisive : La paresse de la pensée ».

            « Je vous laisse deviner ce qui se passe lorsqu’un peuple estime que ses élites ne le représentent plus, ne défendent plus son identité, ne défendent plus ce qu’il est, eh bien l’étape suivante, c’est que le peuple reprend son destin en main » a lancé, en guise d’avertissement, Malika Sorel.

            Quant aux adeptes de la « repentance » et de l’anticolonialisme, ils devraient s’inspirer de cette cinglante leçon d’histoire que nous donne Walter Williams, Africain-Américain et professeur d’économie à l’université George Mason de Virginie (Etats-Unis) : « Peut-être que votre professeur d’économie vous a enseigné que la pauvreté du Tiers-Monde est l’héritage de la colonisation. Quel non-sens ! Le Canada a été une colonie, comme l’Australie, la Nouvelle-Zélande ou Hong-Kong. En fait le pays le plus riche du monde, les Etats-Unis, fut jadis une colonie. Par contraste, l’Ethiopie, le Liberia, le Tibet, le Sikkim, le Népal et le Bhoutan ne furent jamais colonisés et pourtant ils abritent les populations les plus pauvres du monde… » Mortifiant sujet de réflexion…

José CASTANO e-mail : joseph.castano0508@orange.fr

- « Je n'ai jamais entendu un musulman présenter ses excuses pour avoir occupé l'Espagne pendant huit siècles » (José-Maria Aznar, ancien chef du gouvernement espagnol – Journal « Jeune Afrique » du 1er octobre 2006)

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«  TERREUR ISLAMISTE »

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Conférence sur « ISLAM, RELIGION CONQUERANTE »

Organisée par la Fédération Nationale des Rapatriés de GRENOBLE, cette conférence sera donnée par José CASTANO, Dimanche 19 Mars 2017, à 11hprécise à l'Hôtel EUROPOLE, 29, rue Pierre Semard – 38000 GRENOBLE

- Entrée gratuite –

Un repas (sur place)-facultatif- suivra la conférence

Renseignement et inscription : FNR, Chez M. J.M. CANIE – 106, Cours Berriat - 38000 GRENOBLE -

Tél: 06 80 58 43 50  ou  04 76 54 15 34

Pour la bonne organisation merci de répondre avant le 10 mars 2017

Prix du repas : 25 euros, tout compris

Apéritif : KIR et Feuilletés

Salade de saumon et crevettes

Quasi de veau sauce morilles

Gratin dauphinois légumes

Fromage blanc

Omelette norvégienne

Vin et café compris

Cliquez sur : ISLAM… RELIGION CONQUÉRANTE

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15 septembre 2015

BULLETIN D'HUMEUR N° 166

Libre propos citoyen

Document transmis par

LE PHAREFOUILLEUR  le Lundi 21 septembre 2015.

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen - Article XI - 1789

Immigrés (pardon…Migrants),

le Général GOMART, patron du Renseignement militaire,affirme que l’invasion n’avance pas au hasard !

Madame, Monsieur, cher(e)s ami(e)s et compatriotes,

         Encore une révélation qui a dû surprendre certains de nos compatriotes sauf ceux qui n’allument leur télévision que pour regarder…« Les feux de l’amour » ou « Plus belle la vie » !

         Quant à l’ersatz-qui-nous-sert-de-Président, il sait (bien sûr) mais n’en pas dit un mot, emporté par le lyrisme de ses discours mondialistes reflétant l’état déliquescent de ses neurones !

         Autant il me plaît de vous livrer, suivant mes humeurs, une analyse personnelle plus ou moins pertinente, autant il me paraît nécessaire d’évoquer, à l’occasion du présent Phare, une preuve irréfutable qui nous révèle une réalité catastrophique et insoupçonnée de la plupart d’entre nous.

         L’article qui suit a été rédigé le 15 septembre par Emilie DUFRESNE, du site Medias-Presse-Info.

         Il est reproduit, ci-dessous, dans sa rédaction d’origine.


L’INVASION N’AVANCE PAS AU HASARD, LE GENERAL Christophe GOMART, PATRON DU RENSEIGNEMENT MILITAIRE L’EXPLIQUE.

Rien du trafic migratoire en Méditerranée n’est ignoré des autorités françaises, militaires et civiles. Le Général de corps d’armée (quatre étoiles) Christophe GOMART, patron de la DRM (Direction du Renseignement Militaire) est chargé de recueillir toutes les informations susceptibles d’aider la France à prendre ses décisions d’ordre militaire.

Le Général a expliqué,  en ouverture du colloque Geoint, qui s’est tenu à la Société de géographie, à Paris, les 11 et 12 septembre derniers, comment rien du trafic migratoire au Moyen-Orient et en Méditerranée n’échappe au Renseignement français. 

La DRM, qui est leader en France sur le renseignement d’origine imagerie (ROIM) fourni par les satellites-espions militaires, a inauguré le 19 janvier dernier un très discret centre d’expertise, le CRGI (Centre de renseignement géospatial interarmées).

Pluridisciplinaire, il intègre une trentaine de spécialistes civils, militaires et réservistes de haut niveau dont la principale fonction consiste à fusionner le renseignement recueilli par la DRM à partir d’une multitude de capteurs (interceptions, satellites, sources ouvertes, cybersurveillance, etc.). 

C’est ainsi que la DRM peut aujourd’hui présenter aux dirigeants français une situation précise de la présence des migrants subsahariens en Libye, ainsi que les identités exactes, les modes opératoires et les stratégies des passeurs de migrants. 

Ces informations sont transmises par la France à l’état-major de la mission européenne en Méditerranée Eunavfor Med, lancée en mai dernier.

Le Général Gomart a ainsi pu confier lors du colloque que les militaires français ont repéré les principaux points d’entrée des filières de trafic humain sur le territoire libyen, notamment à partir de la zone des trois frontières (Libye, Soudan, Égypte).

Le Renseignement français sait où les passeurs échangent leurs cargaisons humaines, où ils les hébergent. Il les voit également préparer les départs vers l’Europe depuis les plages de Tripolitaine et de Cyrénaïque, imposant aux migrants un processus immuable. (Source)

Avant tout départ en mer les passeurs appellent le Centre de Coordination Italien des Secours Maritimes, explique-t-il, et c’est ainsi que les bateaux européens vont recueillir directement en mer les masses d’immigrés, pour les transporter à bon port, de crainte qu’ils ne s’égarent sur les côtes africaines (NB : j’ajoute simplement…!!!!!!!!!!!!).

le Geoint est devenu « l’outil idéal pour valoriser des données massives géolocalisées. Il joue le rôle d’un accélérateur de prises de décisions en donnant une vision claire et complète aux chefs militaires et aux décideurs politiques », précise le général. (Source)

L’invasion est donc une affaire qui n’avance pas au hasard !

Voilà, il n’y a aucun mystère. Lorsque les passeurs vont acheter un zodiac au siège du Consulat honoraire de Bodrum, chez Madame le Consul Françoise Olcay, les renseignements français le savent… !

Sans le reportage de France 2, le Consul serait toujours en poste. Il est à noter que Madame Olcay a perdu son poste de Consul,  mais qu’elle continue d’alimenter le trafic vers la France en poursuivant son commerce illégal et que les autorités françaises le savent, de même qu’elles savent que la Turquie délivre de faux passeports, que les capitaineries ferment les yeux etc.

Et si le Renseignement français est capable de voir le trafic migratoire en Afrique jusque dans ses détails, comment ne pourrait-il pas le voir en Europe et plus encore en France ? Mais qui sait sur qui la surveillance s’exerce en France ? Sur les opposants à l’immigration ?

Cette invasion est voulue !


 

         Fin de l’article. N’hésitez pas à vous inscrire sur le site M.P.I. (Médias-Presse-Infos) qui diffuse, chaque jour « l’information sans concession ».

         Je tiens à mentionner le lien qui identifie cette information, à toutes fins utiles (NB : s’il ne s’ouvre pas en cliquant dessus, sélectionnez-le pour le copier, puis collez-le dans votre navigateur, et faites envoyer) :

http://www.medias-presse.info/linvasion-navance-pas-au-hasard-le-general-gomart-patron-du-renseignement-militaire-lexplique/38823

         Précision : les phrases en rouge relèvent de mon initiative.

         Mes compliments à Emilie DUFRESNE et au site M.P.I. : ça c’est de l’info que l’on reçoit en pleine poire et qui ouvre les paupières…enfin, celles de ceux qui veulent bien les ouvrir !

 LE GRAND REMPLACEMENT EST BIEN EN MARCHE… IL SERA URGENT DE L’ARRETER PAR NOS VOTES EN 2017 !

Merci de votre aimable considération. Bien cordialement.

Michel Salanon...de l'Hôtel Saint Maurice d'Aïn-el-Turck 

Retour le phare fouilleur

23 septembre 2016

BULLETIN D'HUMEUR N° 227

Libre propos citoyen

Document transmis par

LE PHAREFOUILLEUR  le Mardi 3 janvier 2017.

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen - Article XI - 1789

LE « PHARE » NE CLIGNOTERA PLUS !

Madame, Monsieur, cher(e)s ami(e)s et compatriotes,

         C’est avec un réel pincement au cœur que je vous annonce l’extinction du « Phare fouilleur » !

         Voilà cinq années que je me suis investi dans la recherche et la tentative de compréhension d’une certaine pensée politique française.

         Quelques constats majeurs me choquent terriblement :

les Français, pour la plupart, sont des êtres peu patriotes et plutôt insensibles à la protection de leur Nation mise en danger par une gauche favorable aux étrangers et une droite émasculée,

les responsables politiques de notre époque, pour la plupart, sont des arrivistes, des magouilleurs, des profiteurs et des menteurs,

les prêtres copinent effrontément avec les imams salafistes,

- ni les Français ni les responsables politiques ni les prêtres, en grande majorité, n’osent affronter le défi du siècle : l’islamisation galopante qui met notre Nation et le monde en très grand péril !

Alors, comme la France fera son lit... Elle se couchera !

       Faut-il tout expliquer ? Je ne le crois plus : on ne fait pas boire un âne qui n’a pas soif.

Une certitude : j’ai eu grand plaisir à rédiger mes articles, les diffuser et échanger avec beaucoup d’entre vous.

       A vous qui avez accepté de me lire, aux sites qui m’ont fait l’honneur de faire paraître certains de mes articles, à tous pour votre amicale considération et vos appréciables encouragements….MERCI ! Qu’il me soit permis d’aller « cultiver les fleurs de mon jardin ».

       Heureuse année 2017dans la paix du cœur et la joie de voir sur le départ un ersatz de Président, particulièrement incompétent.

Et comme l’a écrit Roger HOLEINDRE, grand patriote : que Dieu protège la France !

Merci de votre aimable considération. Bien cordialement.

Michel Salanon...de l'Hôtel Saint Maurice d'Aïn-el-Turck 

Retour le phare fouilleur

14 septembre 2016

BULLETIN D'HUMEUR N° 218

Libre propos citoyen

Document transmis par

LE PHAREFOUILLEUR  le Vendredi 14 octobre 2016.

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen - Article XI - 1789

 

Primaire de la droite molle et du centre : 1er tour, 7 candidats au trône de calife !

Madame, Monsieur, cher(e)s ami(e)s et compatriotes,

         Voilà longtemps qu’ils piaffaient dans leur écurie respective, anticipant les senteurs des foins nouveaux de l’alternance et rêvant de contempler à nouveau les dorures des bureaux somptueux desquels ils furent lamentablement chassés en 2012 par les socialistes pourtant incompétents.

         Premier tour, hier, 13 octobre. Tous bien mis de leur personne, un air sérieux mais pas trop, un sourire crispé pour certains, une allure décontractée pour d’autres, un regard déjà dans les urnes, des intonations de voix très BCBG et une gestuelle mesurée sauf pour le calife déchu, toujours très excité !

         Avec un titre de chanson pour chacun, je n’évoquerai pas leurs programmes mais plutôt leurs expressions comportementales révélatrices et certaines omissions (volontaires). Point commun : les sept étaient sur le registre on a changé, maintenant on sait faire !

Nicolas SARKOZY, alias Nicolas-du-Fouquet’s, intervint sur l’air de j’aurais voulu être un artiste. Toujours aussi sûr de lui, il avait réponse à tout -comme d’habitude- et savait ce qu’il fallait faire pour….sauver la France ! Il parla pour faire oublier qu’il fut éjecté de la présidence de la République en 2012, avec une voix cachant mal l’excès d’autorité qu’on lui connaît, le regard dur, les sourcils froncés à en avoir des crampes, quelques tics habituels et une gestuelle toujours spectaculaire.

Oubliés le dépassement des comptes de sa campagne présidentielle, son pote feu Mouammar KHADAFI, le Karcher introuvable, la promesse de vérifier automatiquement les papiers de tout véhicule occupé par des petites frappes, la réduction des fonctionnaires de Police, l’immigration absolument pas maîtrisée, son arrogance néfaste à l’image de marque de son camp.

Oublié le discours de Constantine prononcé le 5 décembre 2007, à l’Université de Mentouri, à l’occasion duquel il déclara avec emphase : « Le système colonial était injuste par nature et il ne pouvait être vécu autrement que comme une entreprise d’asservissement de d’exploitation ». Circulez, il n’y a rien à voir.

Je laisse les Pieds-Noirs et les Harkis apprécier ce léchage des babouches d’Abdelaziz BOUTEFLIKA !

Oubliée la reconnaissance de l’abandon des Harkis par la France, évoquée quelques jours avant la fin de son quinquennat. Mais…. le Nicolas-nouveau -comme le Beaujolais- était arrivé !

Alain JUPPE, m’a rappelé le titre non, rien de rien, non je ne regrette rien! Ancien Premier Ministre de Jacques CHIRAC (de mai 1997 à décembre 2004), il était selon ce dernier « le meilleur d’entre nous ». Il fut plusieurs fois ministre. Toujours aussi figé avec un sourire calculé, Il afficha une décontraction de circonstance, avec même un air de joueur de golf satisfait (syndrome OBAMA).

Avec un aplomb à couper le souffle il évoqua l’absence de prise d’intérêt dans l’occupation d’appartements pour son fils et pour lui-même, dans des conditions financières anormalement privilégiées ce qui constitue une évidente forme de prise d’intérêt.

La rosette au revers de sa veste pour bien rappeler qu’il a été un homme digne malgré son implication dans le financement occulte d’emplois au sein du RPR (Rassemblement Pour la République), financés par la mairie de Paris, à l’époque où il était secrétaire général du RPR et Adjoint aux Finances à la mairie de Paris !

Rappel : cette lamentable affaire se termina par un arrêt de la Cour d’appel de Versailles, le 1er décembre 2004, statuant d’une peine réduite à 14 mois de prison avec sursis et un an d’inéligibilité !!!

Question : comment ose-t-il être candidat à l’élection présidentielle ? S’il gagne le 2e tour des présidentielles la France sera dirigée par un repris de Justice ! Une nouvelle élite en somme. Avec une diction de professeur, il n’oublia pas d’affirmer que malgré son âge (71 ans), il était rejoint par les jeunes (bien sûr, pardi). Pas un mot sur la remise de la Légion d’honneur à son copain Tareq OUBROU, imam de la mosquée de Bordeaux et membre de l’U.O.I.F. (Union des Organisations Islamiques de France). Anecdotique !

On se souvient que lors d’un entretien télévisé avec le philosophe Michel ONFRAY, il lui promit de lire le Coran, qu’il n’avait jamais lu car « c’est illisible » déclara-t-il (si vous croisez Tarek, pas un mot) !

François FILLON, qui veut « tout casser pour reconstruire » m’a fait penser au titre si j’avais un marteau. Affable, posé, rassurant dans ses propositions, catholique avéré, raisonnablement libéral, son programme est fiable.

Certes, sous Nicolas-du-Fouquet’s il a avoué, en tant que Premier Ministre, avoir gouverné « un pays en faillite », mais il n’était que l’exécutant nécessairement aux ordres du Président en place. On s’en  souvient d’autant plus qu’après la faillite avancée survenue sous le règne de Nicolas, la France est carrément menacée de dépôt de bilan après un quinquennat socialiste littéralement destructeur.

Beaucoup de propositions sérieuses, réfléchies, crédibles, dont un gouvernement composé de 15 ministres. Si j’avais été un adhérent LR, c’est pour lui que j’aurais voté.

Bruno LEMAIRE, sans cravate (!), m’a fait penser au refrain ce soir nous allons danser sans chemise et sans pantalon. Il commença très bien son intervention en affirmant quelque chose comme « il y a sur ce plateau (les représentants de) tout ce qu’il ne   faut pas faire »…. voilà du panache ou je ne m’y connais pas !

Mais son timbre de voix monocorde le priva de toute envolée pertinente, hélas pour ceux qui espéraient qu’une nouvelle tête émergerait du groupe des éléphants du parti LR (Les Républicains). Sincère et même sympathique mais doit mieux faire. Cela dit je le verrais bien ministre de François FILLON.

Jean-François COPE, décomplexé, nous a chanté allo maman bobo. Après s’être tiré une balle dans le pied avec l’affaire Bygmalion dont il ne savait rien (encore une victime du syndrome CAHUZAC), « on lui a fait du mal » mais il s’est refait une santé. Vertement remis en place par Nicolas-du-Fouquet’s il ne se sentit pas très bien pendant de lourdes secondes.

On retiendra qu’il souhaite une « droite décomplexée », intention louable mais tardive : on va choisir l’original…. incarné par Marine !

Nathalie KOCIUSKO-MORIZET, attendrissante par son sourire angélique et ses doigts de pianiste, me fit penser au titre pauvre petite fille riche. Trop tendre (?), un sourire à faire pâlir une marque de dentifrice, elle tenta de se faire une place au milieu des 6 machos en recherche d’emploi mais ne la trouva pas vraiment.

Jean-Frédéric POISSON, ne me fit penser à aucun refrain! Représentant du Parti Chrétien Démocrate, inconnu pour une grande majorité de Français, il essaya de formuler ses intentions mais ne se montra pas assez convaincant. C’est bien dommage car, sans l’avoir dit à cette occasion, il n’exclut pas de voter Marine LE PEN au 2e tour. Respect !

En fin de débat, un rapide sondage (organisme ?) effectué sur un échantillon d’environ 900 téléspectateurs, donna les résultats suivants :

                       Le meilleur                             Le plus convaincant

                   JUPPE        34 %                            JUPPE        32 %

                   SARKOZY   32 %                            SARKOZY   27 %

                   LEMAIRE    15 %                            FILLON       17 %

                   FILLON       13 %                            LEMAIRE    14 %

L’échantillon des sondés semble réduit mais il permet de constater qu’à la suite de ce premier tour, deux candidats font la course en tête : Alain et Nicolas-du-Fouquet’s.

Vrai dilemme : si Alain arrive en tête de cette primaire de la droite molle et du centre, il n’aura aucune peine à bénéficier des votes de gauche et tout particulièrement ceux du PS. Ainsi le front Herpès (LR+PS) se reformerait beaucoup plus facilement car ce célèbre repris de Justice est un pur « gaulliste de gauche ». Il faut qu’il soit battu.

Par ailleurs si les adhérents LR veulent changer leurs dirigeants, il faut battre Alain et Nicolas-du-Fouquet’s. Votez François FILLON !

Alors Marine LE PEN garderait toutes ses chances pour gagner au 2e tour de l’élection présidentielle !

Merci de votre aimable considération. Bien cordialement.

Michel Salanon...de l'Hôtel Saint Maurice d'Aïn-el-Turck 

Retour le phare fouilleur

27 janvier 2016

ORAN LE 5 JUILLET 62 - CONCLUSIONS DU GROUPE DE RECHERCHES

Maj du mercredi 27 janvier 2016

Document transmis par J. F. Paya

RÉSUMÉ DES CONCLUSIONS

G Pervillé explique l'événement par ce qui s’est passé avant (combats de l’OAS mais aussi du FLN et pourquoi pas de l'armée Française !) mais c’est toujours ainsi en Histoire, mais après il y a la volonté des hommes d'utiliser les circonstances et de les manipuler et les massacres du 5 juillet n'étaient pas inéluctables sans une certaine provocation préméditée et la paralysie connue de l'armée française et une fausse "neutralité" qui en réalité favorisait un camp le plus militairement fort et, celui qui ne devait pas être au pouvoir ALN D’OUJDA.

Mais nous trouvons G Pervillé assez naïf en lisant les citations ci-dessous

"Enfin, certains veulent croire que le général de Gaulle aurait décidé, dès cette date, de favoriser Ben Bella en laissant ses troupes rétablir l’ordre à Oran, mais cette affirmation est démentie par de très nombreux documents officiels qui prouvent qu’à cette date précise, la politique française était fondée sur une stricte neutralité entre les diverses factions algériennes pour éviter le risque de recommencer la guerre."

Nous pensons qu'il aurait été irresponsable et impensable pour tout pouvoir politique" ex colonial" de ne pas essayer (même sous peine d'erreurs) d'influencer la prise de pouvoir dans "l'ex colonie" à fortiori lorsque le sort de la force de dissuasion va s'y jouer et nous demeurons convaincus que le pouvoir Gaulliste habile en double jeu n'a pas pu rester indifférent et "non acteur" dans la prise de pouvoir en 1962 en Algérie.

Il n’y aurait donc pas eu de responsabilité directe du gouvernement français dans ce qui s’est passé le 5 juillet 1962 à Oran.

VOUS AVEZ BIEN LU, AUCUNE RESPONSABILITÉ DU GOUVERNEMENT FRANÇAIS CAR CE SONT LES CIRCONSTANCES QUI EN SONT LES CAUSES !

Guy Pervillé dit encore:

"La question que je me pose est celle-ci : ai-je eu raison de terminer mon introduction. Cette stratégie du pire, poursuivie jusqu’au 28 juin alors même que l’OAS d’Alger avait déposé les armes (et justifiée par l’idée folle de pouvoir conserver au moins un « réduit oranais ») aboutit, une semaine plus tard, à la catastrophe du 5 juillet ». Mais je maintiens que la guerre de l’OAS menée contre le FLN dans les quartiers musulmans tenus par celui-ci ne pouvait manquer de susciter des désirs de vengeance, non seulement chez les combattants et terroristes du FLN-ALN, mais aussi chez les civils qui partageaient les mêmes risques. Leur formulation est sans doute un peu trop abrupte, mais leur fond est-il ou non valable ?"(Suite .......)

"C’est là un point capital sur lequel insistent également tous les auteurs algériens, Karim Rouina, Fouad Soufi, ainsi que Saddek Benkada et les autres témoins interrogés par Pierre Daum.(évidemment) Il paraît largement négligé ou sous-estimé par la plupart des auteurs français, mais Jean Monneret reconnaît très justement les effets négatifs des attentats de l’OAS visant les quartiers musulmans. Ainsi, le harcèlement des quartiers musulmans d’Oran par l’OAS durant la période allant de la mi-février au 28 juin 1962 paraît bien être, sinon la cause directe, au moins la cause profonde du massacre du 5 juillet."(Fin de citation).

A notre avis non valable comme raisonnement trop simpliste, l'apparence n'étant pas la réalité (la terre est plate et le soleil tourne autour) et pour le moins un point de vue subjectif qui aurait pu s'appliquer dans d’autres régions de l’Algérie.

Bien sur les circonstances ont été habilement utilisées par les comploteurs, mais si les forces Françaises connaissant ces circonstances avaient signifié haut et fort qu'elles protégeraient leurs ressortissants comme c’était leur devoir le massacre n’aurait certainement pas eu lieu, et Pervillé à tort de dédouaner trop facilement les autorités Françaises et de sous-estimer l'élément déclencheur organisé et mis en route par les partisans FLN / ALN d'Oujda.
Posté par R Aresky/groupe de travail Oran 5 juillet 62.

MAIS D'AUTRE PART IL FAUT AUSSI FAIRE PART D'AUTRES DÉCLARATIONS CONTRADICTOIRES DE L'HISTORIEN

Sur un compte rendu de livres paru dans la revue Outre-mer, revue d’histoire, n° 380-381, 2ème trimestre 2013, Par l'Historien Guy Pervillé :

" Mais depuis quelques années, l’hypothèse d’une provocation menée par l’ALN du colonel Boumédiène pour discréditer le GPRA et aider à porter Ben Bella au pouvoir, soutenue depuis longtemps par l’un des principaux contributeurs de L’agonie d’Oran, Jean-François Paya,(PRÉCURSEUR THÈSE ET ENQUÊTE DEPUIS PLUS DE 40ANS ) contre le scepticisme de Jean Monneret, a reçu le soutien des historiens Gilbert Meynier (auteur d’une importante histoire du FLN) et Jean-Jacques Jordi.(ON PEUT AJOUTER LE TÉMOIGNAGE JP LLEDO Cinéaste ). Le livre de Guillaume Zeller permet au lecteur une bonne initiation à ces questions très complexes, mais il a aussi contribué à m’inspirer le projet de chercher à y voir encore plus clair.

Pervillé et la Préméditation ? Contradictions ?  Hésitations ?

Guy Pervillé dit après avoir mis en doute la provocation à l'émeute et aux massacres commandités par les services de l'ALN d'Oujda (Ben-Bella étant un comparse) dit et écrit plusieurs fois (Et on est d'accord!) " Les témoignages donnent l’impression très nette que le massacre des Européens avait été PRÉMÉDITÉ par au moins une partie des chefs du FLN d’Oran, que la plus grande partie de leurs troupes a participé à la chasse aux Européens".

Puis message suivant : réponse à Viviane Ezagouri (familles de disparus)

"D'après ce que j'ai lu, il me paraît logique de supposer une volonté de vengeance venant d'une partie des chefs FLN de la zone autonome d'Oran qui auraient ORGANISES LA PROVOCATION initiale en l'attribuant faussement à l'OAS, mais aussi une participation de la majorité des Algériens armés .." BON ET ALORS!! on est aussi dans la théorie du "complot" (CONSTANTE DANS TOUTE L'HISTOIRE DU FLN/ALN) abhorrée par J Monneret en sachant que la partie du FLN d'Oran "légaliste" c’est a dire suivant les consignes du GPRA d'Alger était avec les scouts Musulmans et le syndicat UGTA (témoignages fournis)) organisateurs du défilé qui se voulait pacifique et sensé démontrer la maitrise et "faire valoir ce gouvernement de l'Algérie nouvelle. L'autre tendance partisane de l'État-Major d'Oujda (et donc provocatrice) y avait envoyé un émissaire dès le 1er Juillet  sachant qu'à l'origine cet État-Major dans son communiqué ne parle que de la "date historique" 1er Juillet et qu'il a fait célébrer l'Indépendance en Oranie qu'il contrôle le 3 Juillet et donc prêt à saboter la manifestation du GPRA à Oran le 5 Juillet en vue de démontrer sa prééminence.

Une provocation semblant finalement être entrevue par Guy Pervillé qui reste dubitatif sur un "DEAL" ALN extérieur / Pouvoir Gaulliste mais nous avions précisé "de Facto" en hypothèse seulement difficile de prouver le deal mais tout se passe comme si ! Les effets justifiant la cause comme souvent en Histoire : il n'y aura jamais d'archives.

(L'ordre de consigner les troupes arrive la veille alors que Katz avait prévu dans la directive 99 du 20 Juin l'intervention possible des troupes "en cas de légitime défense de nos ressortissants" après l'indépendance (document cité) Besoin de l 'accord des putschistes d'Oujda opposés à certaines clauses d’Évian, mais présumés "plus à l'ouest" moins influencés par les soviétiques pour garder les bases militaires et d'essais. Jean Monneret et d'autres ne donnent aucune raisons spécifiques pour Oran, si non des généralités valables pour toute l 'Algérie pour un massacre "spontané" (alors que le film de JP Lledo et les études du docteur Vétillard nous apprennent qu'aucun ne le fut.)

Sur des questions ponctuelles ou il ne répond pas, aucun texte n'est valable dans ses annexes et ne sont pas clair, il suggère la responsabilité des Oranais provoqués par des musulmans qui posent leurs drapeaux et qui à leur tour les provoqueraient. Le serpent se mord la queue et on est hors sujet du moment

Posté par Garcia M /groupe de travail Oran 5 Juillet 62

Dans l'extrait de son livre "Une Ténébreuse Affaire " J-Monneret est plus enclin à admettre "la théorie du complot" que pour le 5 juillet  il nous dit : Le 26 mars 1962 à Alger, une foule de Français d’Algérie manifesta contre l’action des forces de l’ordre dans le quartier périphérique de Bâb-El-Oued. Plusieurs sections du 4ème RT leur faisaient face et leurs tirs firent plusieurs dizaines de morts dans leurs rangs.

Cet événement dramatique sans aucun équivalent dans l’histoire récente de la France a précipité l’exode des Européens d’Algérie vers la France métropolitaine non souhaité par le pouvoir (à priori). Peu d’ouvrages ont tenté de faire la lumière sur cet incident gravissime (à voir).

Un silence quasi complet continue tout au contraire de régner tandis que la presse bien-pensante se tait sans vergogne. (Affaire Fr/Fr plus connue que le massacre d’Oran).

Dans ce livre nous avons tenté d’éclairer les épisodes qui sont à la source du drame tout en analysant la tortueuse machination qui est à l’origine de ce massacre délibérément ignoré par la France officielle."  (J M)

SUITE DE NOS CONCLUSIONS INTERNES :

Pour la période transitoire dans l'attente d'un gouvernement Algérien il est facile de dire à postériori que l’ALN du Maroc n'avait pas besoin d'un prétexte pour prendre le pouvoir à Oran sans connaitre les réactions de la France. D'autre part il fallait éviter une trop grande concentration d'Européens à Oran qui leur faire peur pour s'affirmer comme force d'intervention devant l'armée Française (mais cela nous l'avons dit mille fois!) Quant à la division du FLN à Oran une délégation s’était même rendue à Alger pour contacter le GPRA (colloque de Jussieu par F Soufi et d'autres).

Extrait "les règles énoncées par la déclaration d’Évian générale et les déclarations jointes entreront en même temps en vigueur. L'Exécutif provisoire organisera, dans un délai de trois semaines, des élections pour la désignation de l'Assemblée nationale algérienne à laquelle il remettra ses pouvoirs " mais ce délai dura plus de deux mois à la vue des luttes Algériennes internes qui théoriquement rallongeait les pouvoirs de l'exécutif et le statut prévu en matière de maintien de l'ordre (possibilité pour les autorités Françaises "non utilisée" de défendre leurs ressortissants et supplétifs)

LES GARANTIES ÉTAIENT LA ET IL FALLAIT LES PRENDRE SANS OUBLIER LE ROBINET FINANCIER.

Du 18 août 2016 SUITE DES CONCLUSIONS DU GROUPE DE RECHERCHES A LA FIN JUILLET 2016

Du 20 septembre 2016 POINT DE VUE SUR L'OUVRAGE DE PERVILLE "ORAN 5 JUILLET 62"

Retour listes de tous les dossiers 5 juillet 1962

17 novembre 2016

RÉPONDEZ, MONSIEUR DUPONT !

Par José Castano

« La tolérance est la vertu du faible » (Marquis de Sade).

            Lors de la commémoration nationale qui eut lieu le 13 novembre 2016 devant les divers sites où les barbares islamistes ont frappé, la bêtise humaine s’est exprimée ce jour-là en la personne de Michael Dias, fils du Portugais Manuel Dias, tué devant le Stade de France un an auparavant.

            Dans le seul discours prononcé durant tout l’hommage –ce qui laisse supposer qu’il avait soigneusement été sélectionné- ce « fils humaniste » choisit de faire l’apologie de la tolérance et de l’intégration en déclarant : « Nous devons nous efforcer de combattre la stigmatisation et la division ; l’intégration est la solution » avant de conclurepar un vibrant : « Vive la tolérance ! »… négligeant ainsi cette suprême mise en garde d’Aristote « Tolérance et apathie sont les dernières vertus d'une société mourante ».

            Au moment où sur tout le territoire national les cœurs battaient à l’unisson en mémoire des 130 morts et des 400 blessés de cette tragédie, cet hymne à la tolérance est apparu quelque peu déplacé… voire, outrancier.

            Jean Rostand disait « qu’il est dans la tolérance un degré qui confine à l’injure ». Ce 13 novembre 2016, Michael Dias, par excès de zèle ou par souci de s’attirer les bonnes grâces du « politiquement correct », a injurié sans le moindre état d’âme des centaines de familles recluses dans leur douleur et leur souvenir.

            …Depuis la guerre d’Indochine, les drapeaux français n’ont eu de cesse de s’incliner devant ceux de l’ennemi. D’abandon en abandon, de largesse en munificence, de discours en référendums, la France est arrivée, aujourd’hui, aux concessions suprêmes : à l’abdication de sa volonté, de son prestige, de sa force, de sa dignité… à la fin !

            Voir une police qui se fait régulièrement « karchériser » par une racaille plutôt sympathique dès lors que le Ministre de l’Intérieur la qualifie de « sauvageonne »… Voir une unité prestigieuse de Légion étrangère privée de défiler un 11 Novembre sous la menace de… 13 activistes gauchistes et rebrousser chemin sur ordre de chefs indignes et de pleutres représentants de l’État

(Le 11 novembre 2016 la 13e demi brigade de la légion étrangère privée de défilé à cause de 13 activistes),un constat, dès lors, s’impose : la France a perdu la notion même de l’honneur !

            Revivre les instants tragiques du 13 novembre 2015 et du 14 juillet 2016, cela est bouleversant, cela est atroce… Faire en de pareilles circonstances l’apologie de la tolérance et du vivre ensemble, cela est scandaleux, cela est insupportable…  Voir des policiers s’enflammer dans leur véhicule, cela est ignoble, cela est révoltant… Assister au spectacle d’une armée en déroute face à une bande de malfrats, cela est humiliant, cela est désespérant. Et pourtant, cela n’est peut-être pas le pire. Il y a l’âme française qui « en a pris un coup »… Il y a la conscience française qui gémit et se révolte… Car tout cela, depuis un demi-siècle, nous l’avons voulu, nous l’avons accepté ou nous l’avons toléré.

            Par infantilisme politique, par perversion de l’esprit, par démission du cœur, par indifférence ou par égoïsme, par aveuglément ou par lâcheté, par esprit grégaire ou par goût du confort, nous sommes tous, Français, peu ou prou, responsables de ces crimes, de ces méfaits, de cette situation : la mise à mort de la France. On a livré à la racaille et aux hordes barbares ce territoire, et nous n’avons rien dit. On a assassiné ces pauvres gens, et nous n’avons rien fait. On assiste à la destruction de nos forces armées et de police, et nous observons, impassibles. Et notre âme en est déchirée. Toute la France est-elle en état de haute trahison ? Toute la France est-elle coupable de non-assistance à ses concitoyens en danger de mort ? À vous de répondre, Monsieur Dupont !

José CASTANO e-mail : joseph.castano0508@orange.fr

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Cliquez sur ce lien :  «  TERREUR ISLAMISTE »

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Conférence sur « L’ISLAM, RELIGION CONQUERANTE »

Organisée par l’Association Culturelle des Français d’Algérie de MARSEILLE, cette conférence sera donnée par José CASTANO, Mardi 24 Janvier 2017, à 11h,  au  Yachting Club de la Pointe Rouge - Port de la Pointe Rouge – 13000 MARSEILLE - Entrée gratuite – Parking -

Un repas (sur place) suivra la conférence Renseignement et inscription : André MOLINES – Tel. 06 22 73 04 05 - 04 86 77 35 14

Courriel : daniellemolines@laposte.net

(Inscription repas, impérativement 3 jours avant)

Venir au YCPR : En métro / bus :

Prendre la ligne 2 du métro jusqu'à la station « Métro rond-point du Prado »
Puis prendre le bus N°19 jusqu'à l'arrêt « Pointe Rouge »

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28 juillet 2016

218

LE  PHARE  FOUILLEUR

 

Bulletin d’humeur n° 218 - Vendredi 14 octobre 2016 

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« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ».

                                            Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen - Article XI - 1789

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Primaire de la droite molle et du centre :

1er tour, 7 candidats au trône de calife !

 

Madame, Monsieur, cher(e)s ami(e)s et compatriotes,

 

         Voilà longtemps qu’ils piaffaient dans leur écurie respective, anticipant les senteurs des foins nouveaux de l’alternance et rêvant de contempler à nouveau les dorures des bureaux somptueux desquels ils furent lamentablement chassés en 2012 par les socialistes pourtant incompétents.

 

         Premier tour, hier, 13 octobre. Tous bien mis de leur personne, un air sérieux mais pas trop, un sourire crispé pour certains, une allure décontractée pour d’autres, un regard déjà dans les urnes, des intonations de voix très BCBG et une gestuelle mesurée sauf pour le calife déchu, toujours très excité !

 

         Avec un titre de chanson pour chacun, je n’évoquerai pas leurs programmes mais plutôt leurs expressions comportementales révélatrices et certaines omissions (volontaires). Point commun : les sept étaient sur le registre on a changé, maintenant on sait faire !

 

Nicolas SARKOZY, alias Nicolas-du-Fouquet’s, intervint sur l’air de

  j’aurais voulu être un artiste.

  Toujours aussi sûr de lui, il avait réponse à tout -comme d’habitude-

  et savait ce qu’il fallait faire pour….sauver la France !

  Il parla pour faire oublier qu’il fut éjecté de la présidence de la

  République en 2012, avec une voix cachant mal l’excès d’autorité

  qu’on lui connaît, le regard dur, les sourcils froncés à en avoir des

  crampes, quelques tics habituels et une gestuelle toujours

  spectaculaire.

 

 

 

  Oubliés le dépassement des comptes de sa campagne présidentielle,

  son pote feu Mouammar KHADAFI, le Karcher introuvable,

  la promesse de vérifier automatiquement les papiers de tout

  véhicule occupé par des petites frappes, la réduction des  

  fonctionnaires de Police, l’immigration absolument pas maîtrisée,

  son arrogance néfaste à l’image de marque de son camp.

  Oublié le discours de Constantine prononcé le 5 décembre 2007, à

  l’Université de Mentouri, à l’occasion duquel il déclara avec

  emphase : « Le système colonial était injuste par nature et il ne

  pouvait être vécu autrement que comme une entreprise

  d’asservissement de d’exploitation ». Circulez il n’y a rien à voir.

  Je laisse les Pieds-Noirs et les Harkis apprécier ce léchage des

  babouches d’Abdelaziz BOUTEFLIKA !

  Oubliée la reconnaissance de l’abandon des Harkis par la France,

  évoquée quelques jours avant la fin de son quinquennat

  Mais…. le Nicolas-nouveau -comme le Beaujolais- était arrivé !

 

Ali JUPPE, m’a rappelé le titre non, rien de rien, non je ne regrette

  rien !

  Ancien Premier Ministre de Jacques CHIRAC (de mai 1997 à

  décembre 2004), il était selon ce dernier « le meilleur d’entre

  nous ». Il fut plusieurs fois ministre. Toujours aussi figé avec un

  sourire calculé, Il afficha une décontraction de circonstance, avec

  même un air de joueur de golf satisfait (syndrome OBAMA).

  Avec un aplomb à couper le souffle il évoqua l’absence de prise

  d’intérêt dans l’occupation d’appartements pour son fils et pour

  lui-même, dans des conditions financières anormalement

  privilégiées ce qui constitue une évidente forme de prise d’intérêt.

  La rosette au revers de sa veste pour bien rappeler qu’il a été

  un homme digne malgré son implication dans le financement

  occulte d’emplois au sein du RPR (Rassemblement Pour la

  République), financés par la mairie de Paris, à l’époque où il était

  Secrétaire général du RPR et Adjoint aux Finances à la mairie de Paris !

  Rappel : cette lamentable affaire se termina par un arrêt de la Cour

  d’appel de Versailles, le 1er décembre 2004, statuant d’une peine  

  réduite à 14 mois de prison avec sursis et un an d’inéligibilité !!!

  Question : comment ose-t-il être candidat à l’élection présidentielle ?

  S’il gagne le 2e tour des présidentielles la France sera dirigée par un

  repris de Justice ! Une nouvelle élite en somme.

  Avec une diction de professeur, il n’oublia pas d’affirmer que malgré

 

 

  son âge (71 ans), il était rejoint par les jeunes (bien sûr, pardi). 

  Pas un mot sur la remise de la Légion d’honneur à son copain Tareq

  OUBROU, imam de la mosquée de Bordeaux et membre de l’UOIF

  (Union des Organisations Islamiques de France). Anecdotique !

  On se souvient que lors d’un entretien télévisé avec le philosophe

  Michel ONFRAY, il lui promit de lire le Coran, qu’il n’avait jamais lu

  car « c’est illisible » déclara-t-il (si vous croisez Tarek, pas un mot) !

 

François FILLON, qui veut « tout casser pour reconstruire » m’a fait  

  penser au titre si j’avais un marteau.

  Affable, posé, rassurant dans ses propositions, catholique avéré,

  raisonnablement libéral, son programme est fiable.

  Certes, sous Nicolas-du-Fouquet’s il a avoué, en tant que Premier

  Ministre, avoir gouverné « un pays en faillite », mais il n’était que

  l’exécutant nécessairement aux ordres du Président en place.

  On s’en  souvient d’autant plus qu’après la faillite avancée survenue

  sous le règne de Nicolas, la France est carrément menacée de dépôt

  de bilan après un quinquennat socialiste littéralement destructeur.

  Beaucoup de propositions sérieuses, réfléchies, crédibles, dont un

  gouvernement composé de 15 ministres.

  Si j’avais été un adhérent LR, c’est pour lui que j’aurais voté.

 

Bruno LEMAIRE, sans cravate (!), m’a fait penser au refrain  

  ce soir nous allons danser sans chemise et sans pantalon.

  Il commença très bien son intervention en affirmant quelque chose

  comme « il y a sur ce plateau (les représentants de) tout ce qu’il ne

  faut pas faire »…. voilà du panache ou je ne m’y connais pas !

  Mais son timbre de voix monocorde le priva de toute envolée

  pertinente, hélas pour ceux qui espéraient qu’une nouvelle tête

  émergerait du groupe des éléphants du parti LR (Les Républicains).  

  Sincère et même sympathique mais doit mieux faire. Cela dit je le

  verrais bien ministre de François FILLON.

 

Jean-François COPE, décomplexé, nous a chanté allo maman bobo.

  Après s’être tiré une balle dans le pied avec l’affaire Bygmalion dont

  il ne savait rien (encore une victime du syndrome CAHUZAC),

  « on lui a fait du mal » mais il s’est refait une santé.

  Vertement remis en place par Nicolas-du-Fouquet’s il ne se sentit

  pas très bien pendant de lourdes secondes.

  On retiendra qu’il souhaite une « droite décomplexée », intention

  louable mais tardive : on va choisir l’original…. incarné par Marine !

 

 

Nathalie KOCIUSKO-MORIZET, attendrissante par son sourire  

  angélique et ses doigts de pianiste, me fit penser au titre pauvre

  petite fille riche.

  Trop tendre (?), un sourire à faire pâlir une marque de dentifrice,

  elle tenta de se faire une place au milieu des 6 machos en recherche

  d’emploi mais ne la trouva pas vraiment.

 

Jean-Frédéric POISSON, ne me fit penser à aucun refrain !

  Représentant du Parti Chrétien Démocrate, inconnu pour une

  grande majorité de Français, il essaya de formuler ses intentions

  mais ne se montra pas assez convaincant.

  C’est bien dommage car, sans l’avoir dit à cette occasion, il n’exclut

  pas de voter Marine LE PEN au 2e tour. Respect !

 

         En fin de débat, un rapide sondage (organisme ?) effectué sur un échantillon d’environ 900 téléspectateurs, donna les résultats suivants :

                       le meilleur                             le plus convaincant

                   JUPPE        34 %                            JUPPE        32 %

                   SARKOZY   32 %                            SARKOZY   27 %

                   LEMAIRE    15 %                            FILLON       17 %

                   FILLON       13 %                            LEMAIRE    14 %

 

         L’échantillon des sondés semble réduit mais il permet de constater qu’à la suite de ce premier tour, deux candidats font la course en tête : Ali et Nicolas-du-Fouquet’s.

 

         Vrai dilemme : si Ali arrive en tête de cette primaire de la droite molle et du centre, il aura aucune peine à bénéficier des votes de gauche et tout particulièrement ceux du PS. Ainsi le front Herpès (LR+PS) se reformerait beaucoup plus facilement car ce célèbre repris de Justice est un pur « gaulliste de gauche ». Il faut qu’il soit battu. 

 

         Par ailleurs si les adhérents LR veulent changer leurs dirigeants,

il faut battre Ali et Nicolas-du-Fouquet’s. Votez François FILLON !

        

         Alors Marine LE PEN garderait toutes ses chances pour gagner au 2e tour de l’élection présidentielle !                                  

 

Merci de votre aimable considération. Bien cordialement.

 

                                                                    Michel SALANON

                                                                    largosalan@hotmail.fr

7 novembre 2016

1er NOVEMBRE 2016 - BALARUC LES BAINS

Journée organisée par Jean-Michel ILLAM  Président de l’amicale des Pieds-Noirs de Balaruc les Bains (34)

(Cimetière/couscous/conférence) 04.67.48.20.37 et 06.65.48.82.18 

Courriel : jeanmichel.illam@hotmail.fr

            Notre Toussaint. Eux, les Pieds-Noirs d'Algérie, d'un peu partout, ils sont venus par petits groupes se recueillir sur les tombes de leurs proches. Un long moment au cimetière, le regard perdu et songeur au milieu des allées, ils ont dû laisser souvenirs, regrets, nostalgie et leurs petits bouquets de fleurs. Ils sont donc partis certains chez eux, d'autres, la plupart pour se rendre aussitôt à Frontignan déjeuner, rire un peu de leurs retrouvailles et surtout écouter leur conférencier préféré José Castano. Ce dernier saura leur parler de ce qui leur tient toujours à cœur, de leur pays avec conviction, savoir et passion. Une passion non feinte: fougue et verve confondues lorsqu'il s'agit de ces temps révolus.
            Plus qu'un autre, ils apprécient donc l’écrivain et ses ouvrages qui ne sont aucunement démagogiques mais reflètent seulement la vérité. D'abord, ils savent qu’il est bon de se référer à son parcours personnel, à ses engagements constants pour ne pas douter de ses dires et de ses écrits. José Castano saura évoquer comme toujours avec intelligence et en toute connaissance ce qu'il sait de tous ces événements. Ils savent qu'il a participé à cette guerre, et qu'il n'ignore rien du martyre des civils et surtout du désarroi des militaires perdus dans les ordres contradictoires au moment de l'indépendance du pays. Un pays qu'ils allaient devoir abandonner et pour lequel ils avaient pourtant tant combattu. L'homme qui a beaucoup de charisme n'hésite pas à parler des sacrifices de certains d'entre eux. Ils iront donc assister à cette conférence et en sauront davantage sur le dernier ouvrage de José Castano. C'est un livre qui traite de la barbarie islamique actuelle et cela ne manquera pas assurément de les captiver et de les intéresser au plus haut point ce jour-là.

Jean-Marc SROUSSI Tel. Mob: 06 24 26 93  / Fixe: 09 54 07 59 96

Mail : citecomvideo@yahoo.fr et jeanmarc.sroussi@gmail.com

Voir le film concernant la journée du 1er novembre 2016  réalisé par Jean-Marc SROUSSI

mail : citecomvideo@yahoo.fr

LA DERNIÈRE CITADELLE RESTAIT A PRENDRE SUR Dailymotion

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10 septembre 2015

BULLETIN D'HUMEUR N° 165

Libre propos citoyen

Document transmis par

LE PHAREFOUILLEUR  le Jeudi 17 septembre 2015.

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen - Article XI - 1789

Capitaine Marcel RONDA, décès d’un Homme d’Honneur !

Madame, Monsieur, cher(e)s ami(e)s et compatriotes,

         C’est avec une vive émotion que nous avons appris, le décès à Nice, dimanche 13 septembre à 20h00, du Capitaine Marcel RONDA, 93 ans, à la Serena maison de repos de la Clinique Saint George.

         Le parcours de vie de cet Homme de grande conviction, s’inscrit dans un contexte politico-historique portant sur plusieurs années. Afin de bien le situer dans ce cycle, il m’a semblé nécessaire d’évoquer les évènements variés qui ont jalonné et marqué sa vie de combattant et de militant infatigable en faveur de l’Algérie française.

         Voilà qui a allongé mon évocation, mais j’y tenais pour une meilleure compréhension du parcours et de l’engagement de cet Homme qui laisse un grand vide parmi ses amis et compatriotes d’Algérie, mais aussi ses amis niçois de souche.

        Né à Alger, en mars 1922, dans une famille d’origine espagnole il fit ses études au Lycée Bugeaud d’Alger, et devait succéder à son père pour gérer les biens familiaux.

         La deuxième guerre mondiale l’en empêcha. Il fut affecté au 1er R.T.A. (Régiment de Tirailleurs Algériens) qui débarqua en Europe pour attaquer les Allemands et les refouler, en Italie, en France, en Allemagne et en Autriche. Il fut décoré de la croix de guerre.

         Il fit partie de ces soldats Pieds-Noirs venus délivrer la France au sein de l’armée d’Afrique. Les livres d’histoire les ont tragiquement oubliés !

         Il revint à Alger en septembre 1945. Lieutenant de réserve il devint Capitaine en décembre 1955. En juillet 1956 il commanda une compagnie d’U.T. (Unités Territoriales), chargées de patrouiller dans Alger en proie au terrorisme du FLN algérien. Il se rapprocha alors de Joseph (dit Jo) ORTIZ, responsable poujadiste bien connu à Alger.

         Pour mémoire, le poujadisme est un mouvement politique et syndical créé par Pierre POUJADE, en 1953, qui défendait les petits artisans et commerçants, tout en dénonçant l’inefficacité des parlementaires de la Quatrième République.

         On aurait bien besoin d’un tel mouvement en ce moment !

         Le 13 mai 1958, le Capitaine RONDA participe avec ses hommes à la prise du bâtiment du Gouvernement Général à Alger et y assure l’ordre au profit du Comité de Salut Public, présidé par le Général Jacques MASSU. Le 4 juin 1958, avec son unité, il est présent lors du  discours de Charles-le-Félon.

         Il doutera très vite, de l’efficacité de la politique menée par les gaullistes en Algérie. Comme lui, sur ce point précis, ils furent très peu nombreux. Tout le monde, ou presque, fut roulé dans la farine par des promesses non tenues d’un Charles-le-Félon au sommet de sa forfaiture, ce 13 mai 1958 !

         A la tête de sa compagnie des U.T. (Unités Territoriales), il prit une part très active le 24 janvier 1960 lors de la « journée des barricades »à Alger, pour protester contre la trop rapide mutation en France du Général MASSU, ordonnée par Charles-le-Félon.

         Deux emplacements furent barricadés :

- l’un par les hommes de Pierre LAGAILLARDE (Député d’Alger et ancien parachutiste), à l’Université, quartier des facultés, où il établit son poste de commandement dénommé « Alcazar »,

- l’autre par les hommes de Jo ORTIZ qui voulut occuper le bâtiment du Gouvernement général, mais qui se replia sur celui de la Compagnie algérienne, bâtiment protégé par les partisans armés du F.N.F. (Front National Français), son mouvement.

         C’est alors qu’un certain Philippe DEBROSSE, Colonel de Gendarmerie, reçu l’ordre directement de Charles-le-Félon, de faire intervenir des Gendarmes Mobiles pour casser la manifestation algéroise.

         Le tir sur les patriotes barricadés et la foule fut autorisé….méthode gaulliste oblige !

         Le bilan à mettre au débit du gaullisme fait état de :

- 22 morts : 14 parmi les gendarmes, 8 parmi les civils,

- 147 blessés : 123 parmi les gendarmes, 24 parmi les civils.

         Ultérieurement et probablement en remerciement des services rendus (…), DEBROSSE, toujours sous les ordres directs du Président-dictateur, commandera l’Ecole de Police d’Hussein-Dey et la caserne des Tagarins (où étaientstationnés les Gardes Mobiles), centres de détention des partisans de l’Algérie Française -hommes et femmes- enlevés par les services de la Police officielle mais surtout par les barbouzes.

         Dans ces deux centres, de sinistre mémoire, DEBROSSE «… torturait lui-même ses victimes, qu’elles soient femmes ou hommes » (Extrait du livre de Jean-Jacques SUSINI, « Histoire de l’OAS », aux Editions La Table Ronde, 1963).

         J’attire l’attention des partisans contre la torture qui auraient bien fait de se manifester à cette période-là, qui vit…des Français torturer des Français, dans des conditions qui rappellent les procédés de la Gestapo !

         A ceux et celles qui marquent une incrédulité totale sur ce sujet précis, je recommande la lecture du recueil de feu Sauveur COSTAGLIOLA, patriote et membre de la Résistance Française en Algérie (O.A.S.), intitulé « Nous qui avons été de ceux-là », rédigé en mai 1997. Il fut torturé, avec d’autres compagnons de combat, par les sbires de DEBROSSE.

         A la suite de ce soulèvement, les U.T. (Unités territoriales) créées en 1955, furent dissoutes. Les volontaires purent s’engager dans le « commando Alcazar », spécialement créé pour se battre au sein des 1er et 2e R.E.P. (Régiments Etrangers de Parachutistes) de la Légion, dans la région de Collo (ville portuaire à 70 kms de Philippeville et à 100 kms de Constantine) où sévissaient les fellaghas de la Wilaya 2.

         Le Capitaine RONDA est alors inculpé et incarcéré à la prison de la Santé. Le « procès des Barricades » s’ouvre le 3 novembre 1960, à Paris.

         Mis en liberté provisoire pendant le procès, début décembre 1960 il part pour l’Espagne, en compagnie de Pierre LAGAILLARDE, Jean-Maurice DEMARQUET et Jean-Jacques  SUSINI, sans attendre le verdict du 3 mars 1961 qui le condamne à trois ans de prison et le prive de son grade.

         A Madrid, tous retrouvent le Général Raoul SALAN, exilé volontairement en Espagne depuis octobre 1960.

         Le 30 décembre 1960, avec le Général SALAN, LAGAILLARDE et SUSINI, le Capitaine RONDA signe une déclaration destinée aux Français d’Algérie, qui est l’acte de naissance de l’ultime Résistance Française en Algérie.

         Le 8 janvier 1961, à l’occasion du référendum sur l’autodétermination en Algérie :

-  l’UNR (Union pour la Nouvelle République, parti fondé le 1er octobre 1958 et destiné à soutenir l’action de Charles-le-Félon),

- le MRP (Mouvement Républicain Populaire, constitué à l’automne 1944, il est présenté comme un parti démocrate-chrétien non

   Confessionnel),

- la SFIO (Section Française de l’Internationale Ouvrière, parti socialiste français de l’époque, qui deviendra le PS -Parti socialiste-

   en 1969), appellent à voter favorablement, à l’inverse des partis :

- PCF (Parti Communiste Français, fondé en 1920) et,

- PSU (Parti Socialiste Unifié, fondé le 3 avril 1960 et auto-dissous en novembre 1989) qui préconisent le non ou le vote nul,

- le FLN (Front de Libération Nationale) algérien invite à s’abstenir.

         Le 14 janvier 1961, le Conseil Constitutionnel proclama les résultats définitifs (source : Wikipédia) :

- le taux de participation fut de 76 % en métropole et de 59 % en Algérie,

en métropole 75 % des votants votèrent oui (!),

- pour l’Algérie 70 % des votants votèrent oui (pour 39 % d’inscrits), et 31 % votèrent non (pour 17 % des inscrits).

         Précisions complémentaires :

- l’abstention fut élevée : 42 %,

- en Algérie elle a surtout touché les villes dans lesquelles les musulmans ont appliqué les consignes d’abstention du FLN algérien,

- Alger, où résident de nombreux Européens, a voté « non » à 72 %.

         Ce référendum donne toute la légitimité au Chef de l’Etat, obtenue par le meilleur moyen : le suffrage universel. Il s’est qu’il pourra pousser plus loin son projet de « République algérienne » (allocution radiotélévisée du 4 novembre 1960). D’autant plus qu’il a reçu le soutien de l’UNR, du MRP et des socialistes.

         Les réactions des partisans de l’Algérie française sont immédiates : en février 1961, l’O.A.S. publie ses premiers tracts et commence une campagne d’attentats et de plastiquage (les stroungas, comme on disait !).

         Avant le 21 avril 1961, le Général SALAN, le Capitaine Jean FERRANDI (brillant officier qui s’est illustré dans différentes campagnes en Indochine, et a vécu la bataille de Bien-Bien-Phu), et SUSINI, se rendirent à Alger, sans le Capitaine RONDA qui ne put se joindre à eux, contre son gré.

         Une partie des cadres de l’armée française en Algérie, qui avait mené sept années de durs combats, se sentit trahie par Charles-le-Félon, et voulut s’opposer à lui par la force.

         Le 21 avril 1961, eut lieu un coup de force militaire mené par les quatre Généraux Raoul SALAN, Edmond JOUHAUD, Maurice CHALLE et André ZELLER. Cette journée de révolte est connue sous les appellations de « Putsch des Généraux » ou « Putsch d’Alger », menée en réaction à la politique d’abandon de l’Algérie Française par Charles-le-Félon.

         Jusqu’en novembre 1961, resté en liaison avec le Général Raoul SALAN, qui est entré dans la clandestinité et a pris la direction de l’O.A.S., le Capitaine RONDA, resta en contact avec la branche madrilène de l’O.A.S..

         Le 30 novembre 1961, il rejoignit Alger sur un petit voilier et vécut dans la clandestinité, dans l’entourage proche du Général SALAN. Ce dernier se fera arrêté à Alger le 20 avril 1962.

         Le Capitaine RONDA, échappant de justesse à l’arrestation restera en poste à Alger. Ce n’est qu’après l’indépendance, le 8 juillet 1962, qu’il quittera l’Algérie pour se rendre en Espagne, où des amis sûrs le feront travailler pour se refaire une vie.

         En juin 1969, amnistié de plein droit, il revint en France, à Nice, où il participa à la phase finale de construction et d’installation de la Clinique Saint George, créée à Nice par des médecins Pieds-Noirs. Il en sera l’Econome, sous la direction de Monsieur André BRINCA, jusqu’en 1985, année de sa retraite…bien méritée !

         Depuis il n’a jamais cessé de témoigner de ce que fut son engagement en faveur de la France et de l’Algérie française au cours de différents colloques, débats et réunions.

         J’eus maintes fois l’immense plaisir de le rencontrer, à l’époque où nous habitions Nice, tous les deux. Il me fit l’honneur d’être toujours disponible pour bavarder, parfois longuement. J’en garde le souvenir d’un Homme droit, d’une humanité exemplaire, éminemment discret, courtois et jovial. En bref, un Homme remarquable !

         Il était Président d’honneur du Cercle Algérianiste de Nice, (présidé depuis 1995 par l’infatigable Michèle SOLER, dont l’amitié et la complicité me sont chères), mais aussi des associations « Mémorial de Notre Dame d’Afrique » et « Souvenir du 26 mars 1962 ».

         Capitaine Marcel RONDA, depuis le 13 septembre à 20h00…vous nous manquez terriblement ! Reposez en paix.

         A sa famille je présente mes très sincères condoléances.

Les obsèques seront célébrées, vendredi 18 septembre, à 15h00, à la chapelle du Monastère de Cimiez, à Nice.

         Amis Pieds-Noirs et sympathisants, de Nice et des Alpes-Maritimes, soyez nombreux pour lui rendre un dernier hommage, en vous rendant à la chapelle du Monastère de Cimiez, demain à 15h00.

Merci de votre aimable considération. Bien cordialement.

Michel Salanon...de l'Hôtel Saint Maurice d'Aïn-el-Turck 

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14 septembre 2015

BULLETIN D'HUMEUR N° 164

Libre propos citoyen

Document transmis par

LE PHAREFOUILLEUR  le Samedi 12 septembre 2015.

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen - Article XI - 1789

Robert MENARD, le courage de dire non aux  migrants logés illégalement à Béziers !

Madame, Monsieur, cher(e)s ami(e)s et compatriotes,

         Comme si les vingt-huit pays membres de l’Union Européenne (U.E.) n’avaient pas un mal fou à gérer la crise économique, sociale et politique qui met l’Europe en très grande difficulté, les principaux dirigeants européens se sont mis d’accord en quelques heures (!), au garde-à-vous derrière Angela MERKEL, Chancelière allemande en quête de main d’œuvre bon marché, pour accueillir des centaines de milliers d’immigrés musulmans !

         Comment ne pas être sidérés par la décision de laisser entrer sur le sol des nations de l’Union Européenne, des centaines de milliers de clandestins musulmans (ne l’oublions pas) baptisés migrants (vocable très gôche) qui sont, de fait, des immigrés clandestins devenus des demandeurs d’asile politique…par la magie du verbe des princes qui nous gouvernent !

         Pour faire court, l’actuel gouvernement socialiste a demandé aux dirigeants des communes de France (pas aux populations des dites communes !) d’organiser leur accueil. C’est ainsi que sur plus de 36.600 communes françaises (36.658 au 1er janvier 2015), environ 700 d’entre elles envisagent d’accueillir un certain nombre de ces immigrés clandestins devenus des demandeurs d’asile politique.

         Mais la situation est grave car certaines associations "droit de l'hommistes" n’ont pas attendu la décision de certaines mairies, et ont déjà facilité l’installation illégale de ces immigrés clandestins, dans des logements sociaux vides, à Béziers notamment et depuis deux mois.

         Une fois de plus, Robert MENARD, Maire de Béziers, a eu le courage de ne pas accepter une telle situation, totalement illégale !

         Il s’est rendu, le 11 septembre 2015, accompagné de policiers et de certains Conseillers municipaux, auprès de ces immigrés clandestins Syriens, transportés par des filières organisées et installés illégalement avec la participation d’associations droitdelhommistes, dans des logements de type HLM du quartier dit La Devèze, pour leur dire qu’ils n’étaient pas les bienvenus à Béziers, et qu’ils devaient quitter ces logements occupés illégalement !

         Vous pouvez en juger en ouvrant le lien suivant :

https://www.youtube.com/watch?v=c5eIJzzYJvM&app=desktop.

         Note : si le lien ne s’ouvre pas par un clic, copiez-le, placez-le dans le champ de votre navigateur et appuyez sur la touche entrer.

         Enumération non exhaustive des propos essentiels tenus de Robert MENARD, Maire de Béziers :

- vous n’êtes pas les bienvenus dans ma ville,

- vous êtes rentrés en fracturant cette porte,

- vous volez l’eau et l’électricité,

- vous n’avez pas à occuper ces logements,

- on est les bienvenus lorsqu’on se comporte comme des gens corrects,

- on ne rentre pas en fracturant les portes, en ne payant pas l’eau et l’électricité,

- (…) vous ne respectez rien du tout,

- je ne respecte pas des gens qui ne respectent pas ma ville,

- et donc, vous devez partir,

- si vous ne partez pas la police vous fera partir !

         Mon impression est claire et nette :

POUR ARRÊTER LE DÉCLIN DE NOTRE NATION IL NOUS FAUT UN MAIRE COMME Robert MENARD … DANS CHAQUE VILLE DE FRANCE !!!

Merci de votre aimable considération. Bien cordialement.

Michel Salanon...de l'Hôtel Saint Maurice d'Aïn-el-Turck 

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24 octobre 2016

PRO-MIGRANTS AUJOURD’HUI / ANTI-RAPATRIÉS HIER

HARKIS 68

Transmis par Maurice Calmein

Colmar, le 21 octobre 2016  

          Pour la traditionnelle commémoration aux Invalides en l’honneur des harkis du 25 septembre 2016, François HOLLANDE a décidé de remplacer au pied levé son Secrétaire d’État aux Anciens Combattants, son nom ne figurait même pas sur les cartons d’invitation !

         N’empêche, il a réalisé, certes, en fin de mandat, sa promesse de 2012 de reconnaître officiellement « la responsabilité des gouvernements français dans l’abandon des harkis, des massacres de ceux restés en Algérie et des conditions d’accueil inhumaines des familles transférées dans des camps en France ».

         Très peu d’observateurs ont daigné approfondir le dossier « harki » suite à cette déclaration censée être historique.

         Seule dans Présent du 27 septembre 2016, la journaliste et ancienne directrice de Rivarol  Camille GALIC a osé dénoncer les responsables de cette ignominie qui constitue une tache indélébile sur notre drapeau à savoir de Gaulle et l’exécuteur de ses basses œuvres, son âme damnée, Louis JOXE, au demeurant géniteur d’un des barons du socialisme, Pierre JOXE.

         N’oublions pas cependant que le crime s’est réalisé grâce à la passivité de bon nombre d’acteurs politiques et des ligues des droits de l’homme qui ont failli gravement. Où étaient donc ces belles âmes dont les figures de proue étaient Jean-Paul SARTRE et Simone de BEAUVOIR qui auraient dû contribuer au sauvetage de milliers de pauvres hères et de leurs familles ?

         Mais il y eut encore pire à une époque où l’extrême-gauche était représentée essentiellement par le Parti communiste et certains socialistes tel Gaston DEFERRE qui voulaient jeter les rapatriés à la mer, les harkis étant tout autant visés que les pieds-noirs.

         Reportons-nous à un passage du livre de Dalila KERCHOUCHE (Mon père ce harki, Éditions du Seuil, 2003, p. 64-65) qui cite une coupure d’un quotidien communiste de l’époque, Le Travailleur catalan : « Nous avions prévu il y a quelques mois, que notre camp Joffre servirait de refuge à tous ces harkis et autres épaves dont ne voulait pas l’Algérie nouvelle, indépendante et libre. C’est à plusieurs milliers qu’ils sont logés dans ce vaste emplacement, et on en attend d’autres, ils arrivent par trains entiers ». Et le torchon stalinien de l’époque de poursuivre : « Et nous nous demandons si, devant cet afflux d’indésirables, nous ne devons pas redoubler de vigilance pour éviter les provocations… ».

         Les victimes deviennent les coupables selon une technique bien éprouvée de la propagande bolchévique qui sévira quinze ans plus tard pour stigmatiser les Indochinois anti-communistes, ces derniers étant cette-fois-ci soutenus par ARON, GLUCKSMANN et SARTRE !

         Eh bien aujourd’hui, les mêmes haineux (j’allais écrire Hyèneux) ou leurs héritiers, ceux qui accablaient ces malheureux harkis, je le rappelle, nos compatriotes, sont les mêmes qui appellent à l’accueil des « migrants » qui, eux, n’ont guère de liens avec la France.

         Anti-harkis en 1962, pro-migrants en 2016 !

         On lit dans L’Humanité du 26 septembre 2016 (le lendemain de la contrition ou pseudo-contrition de François HOLLANDE) sous la plume d’une certaine Laure HANGGI et sous la rubrique « Solidarité », le témoignage de Pascal et Béatrice qui hébergent chez eux deux jeunes « migrants ». A la fin de l’article, il est précisé que, cet été, la ministre du Logement a lancé le projet pour développer « l’expérimentation de dispositifs d’hébergement de réfugiés chez les particuliers ».

         Sacrée gauche plurielle, elle en vient même à « Ubériser » le droit d’asile !

         Mais revenons-en à Béatrice et Pascal aux petits soins pour un Pakistanais censé être « contraint de quitter son pays ». Ce jeune homme s’est pourtant vu refuser sa demande d’asile par l’Office français de protection des réfugiés et apatrides. Pour nous attendrir, la journaliste écrit qu’il arbore « un sourire toujours pendu aux lèvres et témoigne d’un optimisme qui force le respect ».

Jouez violons !

         Il ne me paraît pas indifférent de relever l’origine de ces migrants : Afghanistan, Pakistan, Soudan, Syrie … Des migrants qui seront des renforts pour les rangs de ceux que Jean-Pierre CHEVÈNEMENT invite, selon ses termes, « à la table de la République ». Assurément des clients pour la constitution d’un Islam français !

         Ce même Jean-Pierre CHEVÈNEMENT qu’à ce jour, l’on n’a guère vu participer aux cérémonies annuelles d’hommage aux harkis. Cela doit certainement lui rappeler de mauvais souvenirs, lui, qui en tant qu’officier de S.A.S., a assisté le 19 mars 1962, sans aucunement broncher, au massacre de ses moghaznis à Saint-Denis-du-Sig.

Jean-Michel WEISSGERBER

Post-scriptum :

         Dans l’édition du 27 septembre 2016 de L’Humanité, sous le titre (cette fois-ci bienvenu) « Harkis, le mea culpa si tardif », le journaliste Aurélien SOUCHEYRE avance le chiffre de 65 000 tués après le cessez-le-feu du 19 mars 1962. Deux observations s’imposent :

Et d’une :

Ne sont jamais évoqués les enfants, les femmes et les vieillards disparus dans la tourmente (une manière sûrement de compatir a minima !)

Et de deux :

Il n’est pas non plus question de relever que de nombreux messalistes et certainement leurs familles, furent victimes d’horribles représailles à cette époque…

Dans ces conditions, plutôt que de se référer aux élucubrations complaisamment reprises par la presse aux ordres, il me paraît plus judicieux d’invoquer l’autorité d’un historien d’une toute autre stature, Marc FERRO qui sous le titre Les Harkis et autres victimes du FLN, Éditions Odile Jacob Poche, p. 986-987, estime « qu’au moins cent mille furent massacrés durant les années qui suivirent l’indépendance ». Il s’agit évidemment de ceux que la France aurait dû protéger, « question d’honneur » dixit FERRO.

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18 avril 2016

BULLETIN D'HUMEUR N°198

Libre propos citoyen

Document transmis par

LE PHAREFOUILLEUR  le Lundi 18 avril 2016.

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen - Article XI - 1789

Les députés européens Ripoux-blicains trahissent les Français !

Madame, Monsieur, cher(e)s ami(e)s et compatriotes,

         Une fois de plus… la Presse écrite française, dans son ensemble et sous perfusion financière du pouvoir socialiste pro-islamiste (comment appeler ça autrement ?) actuellement en place, ne nous dit pas tout !

Les dernières nouvelles en provenance du parlement européen sont carrément affligeantes, à savoir :

les députés européens Ripoux-blicains, toujours aussi soumis au mondialisme pro-islamiste ont presque tous voté favorablement pour la poursuite des négociations sur l’entrée de la Turquie dans l’UE et pour le maintien de l’immigration massive.

Puisqu’ils n’ont pas honte, moi non plus :

leur conduite irresponsable est dégueulasse !  

         Il n’a échappé à personne que la France est littéralement saignée par des facteurs sociaux, économiques et politiques, dont tout le monde admet qu’ils sont très préoccupants, à savoir :

- la dette abyssale de l’Etat,

- la gestion déficitaire alarmante des finances publiques,

- la participation excessive au financement de l’U.E. qui lui coûte plus de milliards d’euros qu’elle n’en reçoit,

- le fameux « espace Schengen » qui s’avère être une fumisterie de politicien(ne)s mondialistes en mal d’idée novatrice, 

- l’abandon des agriculteurs français à leur mort lente organisée par les lobbies anti-France, qui gravitent autour du Parlement européen,

- un niveau de chômage jamais atteint, malgré les promesses mensongères de Moi-Président, avec à la clé un appauvrissement    grandissant des Français,

- les PME étouffées par les papiers, coûts d’exploitation et taxes,

- un envahissement jamais vu de produits étrangers fabriqués dans des pays où les normes techniques et sociales sont bafouées,

- une invasion migratoire dévastatrice, provoquée par un abus de pouvoir des dirigeants allemands et français en mal de communication, qui coûte terriblement cher aux pays européens.

Il est bon de rappeler quelques tartufferies des Ripoux-blicains, qui osent encore se prétendre « de droite » :

cette fois ils ont compris, c’est juré ils savent, croyons-les ils ont changé, ils ont entendu le message de toutes les élections dites intermédiaires, ils ont promis de ne pas refaire les mêmes erreurs (…).

Et pour nous le prouver :

A STRASBOURG, ILS VOTENT FAVORABLEMENT POUR CONTINUER A NEGOCIER L’ENTREE DE LA TURQUIE DANS l’U.E.,

ET POUR CONTINUER A ACCEPTER L’INVASION MIGRATOIRE !

Quelques un(e)s d’entre vous ont pu penser qu’ils avaient compris et qu’ils allaient changer, eh bien…

NON SEULEMENT ILS N’ONT PAS CHANGE MAIS ILS MENTENT ET NOUS PRENNENT POUR DES CONS !

Ils ont même « oublié » que certains membres de leur parti sont en délicatesse (terme faible) avec la Justice française.

Dans une démocratie républicaine qui se respecte la liberté d’opinion et d’expression doit régner. Je peux donc penser et écrire que ces députés trahissent la volonté de la majorité des Français.

Et puisque la Presse-aux-ordres ne fait pas son travail, qu’elle désinforme et intoxique, le FN nous informe clairement par un communiqué de presse du 16 avril, du comportement lamentable des Ripoux-blicains, qui veulent laver plus blanc en 2017 !

Voici ce communiqué du FN, du 16 avril, mot pour mot, extrêmement révélateur… sauf pour les sourds et les aveugles en politique, fort nombreux à notre époque :

Au parlement européen, les Républicains prennent position pour l’entrée de la Turquie et pour l’immigration de masse

Communiqués / 16 avril 2016 / Étiquettes : ImmigrationTurquie 

Communiqué de presse du Front National

Lors de la session parlementaire de cette semaine à Strasbourg, les députés européens des Républicains se sont prononcés pour l’immigration de masse vers l’Europe et pour la poursuite des négociations devant mener à l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne.

Les députés des Républicains, à quelques exceptions près, ont voté en faveur du rapport Metsola-Kyenge sur « la situation en Méditerranée et nécessité d’une approche globale de la question des migrations de la part de l’Union européenne », rapport immigrationniste à l’extrême.

Les élus LR ont notamment voté contre l’amendement 1 du groupe Europe des Nations et des Libertés (ENL) qui souligne l’efficacité de la politique australienne en matière d’immigration illégale.

Ils ont voté contre l’amendement 2 du groupe ENL qui dénonce les frontières ouvertes de l’Union européenne.

Ils ont voté pour le paragraphe 23 du texte, en faveur de la participation obligatoire des États membres à la réinstallation de réfugiés. Idem pour le paragraphe 46, qui souligne le « droit » des bénéficiaires d’une protection internationale de s’installer dans l’État membre de leur choix.

Ils ont voté contre l’amendement 6 ENL qui souligne la souveraineté des États membres en matière de mesures contre l’immigration illégale (sauf Arnaud Muselier qui a voté pour, et Nadine Morano qui s’est abstenue).

L’amendement 7 ENL vise à arrêter les négociations en vue de l’adhésion de la Turquie à l’UE. Les Républicains ont voté contre.

Les élus LR ont également voté contre l’amendement 8 ENL qui souligne que l’immigration de masse n’est pas une solution aux problèmes démographiques.

Quant au rapport annuel sur la Turquie, les députés LR (à l’exception d’Alain Cadec) ont voté contre l’amendement 1 du groupe ENL qui rejette la reprise des négociations en vue de l’adhésion de la Turquie.

Ils ont voté contre l’amendement 10 ENL exigeant la reconnaissance du génocide arménien par la Turquie (encore à l’exception de Cadec), alors que certains élus de gauche et d’extrême gauche ont soutenu cet amendement, comme Jean-Luc Mélenchon, José Bové et Eva Joly.

Ils ont voté contre l’amendement 15 ENL qui s’oppose à la libéralisation des visas pour les 80 millions de citoyens turcs. Ils ont voté contre l’amendement 17 ENL qui s’oppose à ce que le turc devienne une des langues officielles de l’Union européenne.

Sur des thèmes fondamentaux comme l’immigration et l’adhésion de la Turquie, les députés européens LR votent avec la gauche de façon quasi-systématique. Ils trompent les Français en leur faisant croire qu’ils offrent une alternative au gouvernement socialiste.

Le Front National est la seule force d’opposition réelle au service des Français, à l’Assemblée nationale comme au Parlement européen.

Mes lecteurs/trices ne pourront pas dire « je ne savais pas ».

A ne pas oublier en 2017, car il faudra nettoyer les écuries politiques : dehors les menteurs et les incapables.

MARINE VITE, TRES VITE !

Merci de votre aimable considération. Bien cordialement.

Michel Salanon...de l'Hôtel Saint Maurice d'Aïn-el-Turck 

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27 février 2016

BULLETIN D'HUMEUR N°194

Libre propos citoyen

Document transmis par

LE PHAREFOUILLEUR  le Samedi 27 février 2016.

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen - Article XI - 1789

HOLLANDE hué au Salon de l’Agriculture :  « connard…voyou…dégage… » !

Madame, Monsieur, cher(e)s ami(e)s et compatriotes,

         Voilà des dizaines d’années que l’agriculture française est sacrifiée par  les gouvernements de droite comme de gauche !

         Aucun Président de la République, aucun Premier Ministre, aucun Ministre de l’Agriculture, n’a eu la force de caractère (j’aurais pu être plus vulgaire) de dire aux technocrates de Bruxelles :

STOP, LES NORMES EUROPEENNES TUENT LES AGRICULTEURS FRANÇAIS !

         A l’arrière de leur voiture avec chauffeur, nos dirigeants savent se faire conduire au Salon de l’Agriculture, pour se faire prendre en photo avec un verre de vin dans une main et une tranche de saucisson dans l’autre, et….se faire raccompagner dans leurs bureaux somptueux, avec des motards pour leur ouvrir la route !

         Ils parlent quelques petites minutes avec un agriculteur ou une agricultrice, sans voir leur détresse au fond des yeux, engendrée par des conditions générales d’élevage de porcs ou de bovins, de production de lait ou de culture de certaines céréales réellement ruineuses.

         Combien faudra-t-il de temps encore pour que ces Ministres, ces élu(e)s beaux parleurs, cumulards de mandats avec des revenus en très grande partie non imposables, prennent la mesure de la terrible détresse de ces travailleurs de la terre qui crèvent de faim alors qu’ils nourrissent les Français(e)s ? S’il y avait des bouses de vaches dans leur bureau….ils comprendraient mieux et plus vite !

         Que savent-ils ces planqués du système ? Réalisent-ils ce qu’est une vie d’agriculteur : 12 h de travail par jour, 7 jours sur 7, des coûts de production exagérément élevés, des tarifs de vente cassés par le monopole de la grande distribution, des factures impossibles à payer par manque de trésorerie, des pertes financières de plusieurs dizaines de milliers d’euros chaque année d’exploitation, des formulaires en surnombre et inutiles à remplir, conçus par les technocrates de Bruxelles grassement payés. Le réalisent-ils ? Non, bien sûr !

         Cela fait de nombreuses années que les agriculteurs français attirent l’attention de nos gouvernants sur le fait hautement scandaleux que « ça coûte de plus en plus cher de produire et les ventes ne couvrent pas les frais de production ».

         Tout est dit clairement, mais rien ne change.

         Voilà des années que les exploitations agricoles diminuent chaque année par centaines et que les suicides d’agriculteurs augmentent (on évoque un suicide par jour, en moyenne)….ce qui n’est pas le cas des Ministres ni des Députés !

         Stéphane LE FOLL, Ministre de l’Agriculture français, ne cesse de déclarer qu’il fait son travail (!) en expliquant tout cela à Bruxelles, depuis des mois. Il ne change rien, il est donc incompétent !

         Le Nain-de-l’Elysée déguisé en Président de la République, qui s’est présenté à 6h00 ce matin au Salon de l’Agriculture (Porte de Versailles) pour assister à la traite des vaches (plus has been que ça….tu meurs !), il a eu le culot de dire à un agriculteur : « si je suis là c’est qu’il y a une solidarité nationale…. », puis à un autre agriculteur : « je ne vous laisse pas tomber sinon je ne serais pas là…. ».

         Il parle mais ne change rien, il est donc incompétent !

         Depuis le 6 mai 2012, soir du 2e tour des dernières élections présidentielles, je me demande tous les jours COMMENT 51,64 %

DES VOTANTS ONT PU ELIRE UN PRESIDENT AUSSI NUL Je pense aussi et j’écris : CONARD, VOYOU, DEGAGE !

Merci de votre aimable considération. Bien cordialement.

Michel Salanon...de l'Hôtel Saint Maurice d'Aïn-el-Turck 

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