Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

popodoran

popodoran
Newsletter
1 décembre 2009

L'ALPHABETISATION EN ALGERIE

Documents transmis par José Castano.

            En Algérie où durant 132 ans la France était chez elle, la haine de l’Occident n’est pas moins ressentie qu’ailleurs. Ici cependant, c’est la France qui est visée principalement et il n’est qu’à se reporter à la charte de 1985 réunissant tous les chefs du FLN et du gouvernement algérien qui avait alors condamné une nouvelle fois la France en ces termes : « … La France a ruiné l’Algérie arabe. Les méfaits de la colonisation en Algérie ont revêtu une forme d’oppression absolue confinant au génocide ». Et ces diatribes n’ont de cesse d’alimenter les journaux algériens… Ainsi 47 ans après l’indépendance, la haine n’est pas assouvie et il n’est qu’à visiter le site de notre ami Jean-Louis GRANIER : « Bab el Oued Story » (en fin de page) qui reprend fidèlement ces articles, pour s’en convaincre… Ce que l’on enseigne depuis 1962 aux jeunes générations, tant dans les écoles que dans la rue, c’est que l’œuvre colossale des premiers pionniers français et étrangers et tout ce qui fut fait ensuite par leurs enfants n’est qu’un tissu d’abominations et de crimes. Et cet enseignement là dépeint le misérable peuple musulman sous « l’occupation française » comme abêti, vivant dans  le plus dur des esclavages, courbant l’échine sous le joug de l’impérialisme (devenu le mot magique). Ainsi près d’un demi siècle après l’indépendance, fait-on croire de façon éhontée et monstrueuse aux jeunes algériens que leurs pères furent uniquement des esclaves misérables et affamés, soumis, sans droits ni recours, au bon plaisir des colons. A en croire cette nouvelle Charte, il est faux que l’œuvre française a rendu les Musulmans plus heureux. La pacification des tribus, la sécurité dans les douars et dans les chemins, la victoire sur les épidémies, l’établissement de la propriété, l’hygiène, l’assistance publique, l’enseignement, les caisses de prévoyance, les routes, les hôpitaux, les écoles et les infirmeries dans le Bled, le goût de l’effort… chansons, rengaines ridicules, abominables trompe-l’œil que tout cela !

            Avant que la France ne vienne en Algérie, celle-ci jouissait-elle de toutes ces choses ? Les Algériens les avaient-ils réalisées ? La France les en-a-t-elle privés ? Et ce qu’ils n’ont pas su faire eux-mêmes en tant de siècles, voici qu’ils accusent depuis des décennies la France de n’avoir rien fait pour eux durant « son occupation »…

            Avoir donné la vie à un néant minéral, est-ce un méfait de la colonisation ? Avoir chassé la famine, la peste et le choléra, est-ce de l’oppression ? Avoir fait jaillir du sable du désert un pétrole et un gaz qui permettent à l’Algérie d’aujourd’hui de ne pas sombrer dans la misère, est-ce la ruine ? A cela, qu’ont opposé ceux qui se pavanent aujourd’hui dans les ministères et ceux qui écrivent de telles abjections ?... La révolte… le terrorisme… l’abomination. Et pourtant, ce colonialisme si décrié n’est rien d’autre que ce phénomène qui a poussé l’Occident à partager l’essentiel de son avance technique avec le reste du monde qui ne l’avait même pas entrevue. L’entreprise s’est, en bien des cas, accompagnée de souffrances, certes, mais il n’est pas d’aventure humaine qui ne s’accompagne de ce douloureux cortège… Il est le prix de sueur et de sang qu’il faut payer, mais le bilan est positif. Pourtant, on ne l’entend pas ainsi en Algérie et voici comment elle participe à l’éducation de ses enfants : « L’école, c’est la Révolution qui continue » ; le journal « Révolution Africaine » nous donne un aperçu de cette éducation… Mais ouvrons quelques pages du livre édité par la Commission Nationale d’Alphabétisation, livre obligatoire dans toutes les écoles algériennes. Sa lecture y est édifiante :

« Pas d’autre Dieu qu’Allah » … « L’Arabe est notre langue et l’Islam notre religion. » … « La colonisation a mangé tous nos biens. » … « Notre pays a été ruiné par la colonisation : vengeance du peuple par la guerre sainte. » … « La colonisation a procédé au sabotage de notre pays dans plusieurs domaines : dans l’industrie, dans l’enseignement et dans l’agriculture. » … « En Algérie, avec le socialisme, il n’y a plus d’hommes agenouillés… » … « Le socialisme fait le bonheur du peuple ! Le socialisme met fin à la misère du peuple… »

            Il est intéressant également de relever (dans les textes arabes) le texte d’explication réservé au maître : « Le maître, dans ce texte, doit lire et faire répéter à ses élèves la phrase « la colonisation a mangé nos biens » et il doit expliquer fortement comment, « parmi les pays où la colonisation a mangé leurs biens, il y a notre pays à nous, Algériens ». On appelle cela l’alphabétisation… Cela ressemble plutôt à de l’endoctrinement politique !

            Cependant, cette haine si elle s’adresse en priorité à la France, n’épargne pas les harkis contraints d’avoir fuit le génocide de 1962. C’est ainsi qu’en réponse à une campagne de sensibilisation organisée en 1986 par une association de Français originaires d’Algérie : Jeune Pied-Noir (1), sur le thème : « Hommage aux Harkis », le quotidien officiel du gouvernement algérien « El Moudjaid » titrait en gros caractères : « VIEILLES HAINES ET NOUVEAUX HARKIS » présentant ces « traîtres » de « harkis de l’ère de l’indépendance, pires que leurs prédécesseurs de la guerre de la libération ». Assimilant ces hommes parmi « l’ennemi extérieur », le quotidien poursuivait : « Si méprisables qu’ils soient, ces traîtres existent pourtant, et ils se pavanent dans les studios de télévision et de radio outre-méditerranée, dans les rédactions parisiennes pour, aux côtés des bourreaux d’hier, dénigrer leur pays et outrager leur peuple » … « L’ennemi extérieur,  ce sont aussi tous ceux qui depuis trente ans croupissent dans la haine de la révolution algérienne, tous ceux qui, dans leur mentalité nostalgique rétrograde, ont voulu et veulent rester à l’heure coloniale du « raton », à l’image de l’Algérien, « sous-homme » et ceux de cette sorte-là continuent de subsister outre méditerranée ».

            Les « moralistes » et « humanistes » au « cœur sur la main » que sont la LICRA, SOS Racisme, le MRAP, la Ligue des Droits de l’Homme, la Halde et toute la gauche politique française devraient lire « El Moudjaid » ; ils se rendraient vite compte de quel côté se trouvent les véritables racistes !... Cependant, ces adeptes de la « repentance » et de l’anticolonialisme, devraient s’inspirer de cette cinglante leçon d’histoire que nous donne Walter Williams, Africain-Américain et professeur d’économie à l’université George Mason de Virginie (Etats-Unis) : « Peut-être que votre professeur d’économie vous a enseigné que la pauvreté du Tiers-Monde est l’héritage de la colonisation. Quel non-sens ! Le Canada a été une colonie, comme l’Australie, la Nouvelle-Zélande ou Hong-Kong. En fait le pays le plus riche du monde, les Etats-Unis, fut jadis une colonie. Par contraste, l’Ethiopie, le Liberia, le Tibet, le Sikkim, le Népal et le Bhoutan ne furent jamais colonisés et pourtant ils abritent les populations les plus pauvres du monde… » Mortifiant sujet de réflexion…

José CASTANO joseph.castano0508@orange.fr 

Retour à tous les articles de JOSEPH CASTANO 

Publicité
Publicité
29 novembre 2009

LE SEL DES ANDALOUSES

Documents transmis par Maurice Calmein.

 


         Dans le cadre des Mardis du Musée paysan de Niaux (Haute Ariège) Maurice Calmein dédicacera son livre « Le sel des Andalouses le mardi 17 août de 15h à 18h30 Préfacé par l’écrivain algérien Boualem

 

 

Couverture__2_

« Le sel des Andalouses » est le premier roman de Maurice Calmein.

 

         Publié par l’éditeur Atlantis et préfacé par l’écrivain algérien Boualem Sansal, ce roman met en scène le parcours initiatique d’un homme ordinaire que le destin va extraire de sa morne existence parisienne de journaliste politiquement correct pour le conduire de l’autre côté de la Méditerranée, et en particulier à Oran, à la rencontre de ses origines.

 

Plongé au cœur d’événements qui secouent la Kabylie, Marc, fils de Pied Noir, tombe amoureux de Myriam la Kabyle et leurs destins s’en trouveront bouleversés.

 

         Un livre sur l’Algérie enfin libéré des tentations idéologiques, qui offre une approche originale, non conventionnelle, et devrait faire réfléchir des deux côtés de la Méditerranée.

 

Pour preuve, cet extrait de la préface de Boualem Sansal :

 

                    « C’est ainsi que j’ai lu le livre de mon ami Maurice Calmein « Le sel des Andalouses » : comme un conte et comme un livre d’histoire, une histoire revisitée avec précision et une merveilleuse humilité. Il m’a intensément fait ressentir cette Algérie plurielle et mystérieuse qui est la nôtre, et a su réveiller en moi plein de choses que j’avais oubliées, occultées peut-être… »

 

Le sel des Andalouses, Ed Atlantis (www.editionatlantis.de), 215 p., Oct. 2009, 20 € En librairie ou sur le site www.librairie-pied-noir.com

 

Retour Maurice Calmein

 

27 novembre 2009

ORAN - LE CHATEAU NEUF

14 novembre 2009

JE SUIS POUR

Le_h_risson_jaune_FN

Les principes gouvernent les gens honnêtes, les lois gouvernent les gens méchants

Les horribles attentats de toute nature contre d’innocentes victimes ne laissent personne au monde, indifférent mais touchent surtout les familles proches, parents ou grands parents que nous sommes tous.

Leurs ignobles assassins doivent payer. Non, par la réclusion criminelle à perpétuité qui  leur assurera le gîte, le couvert et la couverture maladie pendant quelques années, mais par la peine de mort.

Car autrement avec le temps,  leur souvenir s’estompera dans l’opinion publique et  leurs avocats pourront demander au nom de je ne sais quelle humanité,  une révision de leur procès en vue d’une réduction de peine, laquelle si elle est acceptée, les remettra au service du vice et de leurs pulsions coupables qui les conduiront inévitablement à une récidive certaine.

Qu’importe si les proches de leurs victimes, restent marqués à vie.

La peine capitale s’impose parce qu’elle est dissuasive pour les assassins, les violeurs et flétrisseurs d’innocence

Elle prévient le retour des dangereux criminels dans la société et ainsi d'éventuelles récidives

Elle décourage les proches des victimes à " rendre justice " en marge des tribunaux.

La peine de mort est populaire dans les 78 pays où elle est encore en vigueur et appliquée.

La France est l’un des rares pays où elle a été abolie, au nom de je ne sais quel humanisme à la mord-moi l’…..oeil.

C’est pourtant un moyen radical de dissuasion et de diminution de la surpopulation des prisons, qui est devenue un véritable problème dans les pays occidentaux.

Dans les autres pays et surtout en pays islamiques, on applique la loi du talion prévue dans la charia et ce sont les parents des victimes qui décident du sort de l’assassin.

Cela est juste, ainsi peu d’assassins échapperaient au bourreau et on verrait immédiatement baisser la courbe des viols, assassinats sexuels, crapuleux ou autres


Leurs auteurs doi
vent payer de leur vie et ce ne sera pas cher payé en regard des souffrances qu’ils infligent à des innocents et de la détresse dans laquelle ils plongent pour la vie ceux dont ils étaient la joie de vivre.

Comment ne pas évoquer les paroles de « JE SUIS POUR » une chanson célèbre de notre Michel Sardou national, qui reflètent si besoin était l’état d’esprit d’un papa ou d’une maman auxquels on a retiré pour toujours le «  fruit de leurs entrailles »

En voici quelques extraits à méditer :

Tu as volé mon enfant
Versé le sang de mon sang
Aucun Dieu ne m'apaisera….

Tu as tué l'enfant d'un amour
Je veux ta mort
Je suis pour….

Les philosophes les imbéciles
Parc'que ton père était débile
Te pardonneront mais pas moi….


Tu as volé mon enfant
Versé le sang de mon sang
Aucun Dieu ne m'apaisera
C'est trop facile et trop beau
Il est sous terre tu es au chaud
Tu peux prier qui tu voudras
Je suis pour

Ces paroles, Messieurs les Jurés, méditez-les, pensez-y à chaque instant de votre journée, et si comme je l’espère, vous êtes chargés de famille, ne condamnez pas à perpétuité des bêtes immondes qui ne méritent pas de vivre, mais demandez que par dérogation spéciale, ce genre de crimes soit passible de la peine de mort

Mais malheureusement, il existe aussi une volonté de donner satisfaction à des associations qui s’élèvent contre la peine de mort.

Or toute personne équilibrée et aimant les siens, ne peut penser autrement.

Demandez la sanction suprême et définitive et battez-vous pour l’obtenir, malgré ces associations contre la peine de mort, malgré ceux qui ne se sentent pas conçernés

(Parce que sans enfants, ou alors ce serait à désespérer de tout) et c’est bien heureux pour eux, car dans le cas contraire, ils changeraient très vite d’opinion.

Avant tout, il n'est pas inutile de rappeler que beaucoup, parmi ceux qui crient au scandale, ne réagissent pas devant des crimes d'une autre nature.

Personne ne s’est élevé contre l'extermination des Tchétchènes, avec son cortège de meurtres et de mutilations.

Personne ne se soucie du sort des enfants handicapés à vie en Palestine et ailleurs dans le monde, fruit de la terreur et de la lâcheté de la communauté internationale.

Il est vrai que c’est moins dangereux de manifester à Paris que d’aller manifester à Groznyï ou à Jérusalem.

Chez nous en Algérie, nous n’avons jamais connu çà, tant le respect qu’Algériens ou pieds-noirs de toutes confessions portaient à la famille et était grand et sacré.

Mais pas un jour ne se passe sans que de nouvelles victimes innocentes ne soient le jouet d’une brute sanguinaire. On appelle çà pudiquement un fait divers.

Réagissons et mettons ces bêtes immondes hors d’état de nuire définitivement et que Dieu bénisse leurs victimes et les reçoive en son sein, là- haut.

la vengeance est une chose juste, fondée sur ce principe qu'il faut rendre à chacun ce qui lui appartient. (Aristote)

"LE HERISSON"

RETOUR COUPS DE COEUR

6 novembre 2009

LE HERISSON - PAUVRE FRANCE -

Le_h_risson_jaune_FN

PAUVRE FRANCE 

Quelques 2000 ans avant notre ère chrétienne, les villes de Sodome et Gomorrhe situées quelque part dans la vallée du Jourdain (Jordanie) réputées pour la débauche qui existait, furent détruites, selon la légende, par le feu de la colère divine (de Dieu ou d’Allah, suivant les religions qui concordent toutes sur ce point).

La réalité est semble-t-il toute autre, car des scientifiques ont découvert qu’à l’emplacement supposé de ces cités bibliques, existait un volcan souterrain lequel, entrant soudain en éruption, fit en même temps jaillir de ses entrailles le pétrole caché dont regorge ce pays, lequel tomba en flammèches sur un rayon imposant anéantissant ainsi plusieurs cités qui conserveraient leurs secret au fond de la mer morte. D’autres scientifiques pensent qu’il s’agissait d’une pluie de météorites.

Ceci n’est énoncé qu’en préambule à mon coup de gueule.

Personnellement je m’en fous totalement des homos et des lesbiennes, du moment qu’ils vivent leur vie entre eux et m’ignorent tout comme je le fais moi-même. Chacun a droit à sa vie et à ses phantasmes aussi profondément ancrés soient-ils, du moment qu’ils ne cherchent pas à imposer aux gens normaux leur mode de vie, par des parades contraires à la foi religieuse et que la morale réprouve

D’ailleurs ce genre de comportement existe depuis la nuit des temps.

Mais je trouve indécent de voir les gens tomber en pamoison devant ce triste spectacle qui fait la une sur toutes nos medias et est encouragé par le silence complice d’éminentes personnalités du monde des arts, de la culture et de la politique. Pauvre France, où allons-nous ?

Pour information, quelques jours avant le prix Eurovision de la chanson, à Moscou, la police moscovite avait dispersé à coup de « tonfa (kharawa chez les ceusses qui sont multilingues) une manifestation gay pride sur la place rouge, souhaitant se faire voir sur les écrans du monde entier. En moins de 20 minutes ... « la place rouge était.... blanche »

         

Vous les personnes, soit disant bien- pensantes, vous allez me tomber dessus à bras raccourcis en me reprochant mon sectarisme et mon homophobie. Je vous ai écrit ci-dessus que me foutais totalement cette catégorie de personnages et je rajouterai de votre opinion sur moi. Je persiste et signe.

Mais ce qui m’interpelle et interpelle la morale, c’est que vous osiez demander que l’on vous accorde le droit d’adoption.

Je comprends et admire les attitudes de notre Johnny national et de son épouse, la belle Laetitia qui en sont à leur 2° adoption, parce qu’ils ne peuvent les avoir naturellement. Heureusement qu’il existe chez nous des gens de cette qualité qui  prennent en mains des petits orphelins et cela quelle que soit la couleur de leur peau.

Mais si Dieu créa Adam à son image avec de l’argile et Eve, à partir d’une côte d’Adam justement. C’est pour qu’ils initient une descendance. Il ne créa pas deux hommes ou deux femmes à cet effet, non ?

Alors si vous arrivez à convaincre les âmes sensibles de vous donner cette faculté d’adoption et que vous réussissiez, ce que je ne vous souhaite pas, posez-vous une seule question. Comment vont réagir les enfants adoptés qui diront à leurs petits copains et ceci dés la Maternelle « Moi, j’ai deux papas ou moi j’ai deux mamans, pourquoi toi as-tu un papa et une maman ? »

C’est à mon sens, prendre ces enfants en otages, car ils n’ont aucun moyen étant en bas age, de s’opposer à votre bassesse et à vos turpitudes.

Et quelques années plus tard (sauf s’ils suivent votre exemple), vous allez leur devoir des comptes. Nous verrons bien comment vous vous en tirerez.

En attendant, je vous souhaite bien du plaisir.

"LE HERISSON" 

Retour coups de cœur.

Publicité
Publicité
1 novembre 2009

BÔNE

BÔNE 2009

         Tous ne sont pas ainsi, mais l'état de la plupart des cimetières est encore pire....Malgré le courage et l'abnégation d'Associations œuvrant pour la restauration et l'entretien des cimetières d'A.F.N, utilisant les subventions que chichement, l'état réserve à ce qui devrait être du ressort de sa Mémoire, de sa Dignité et en parfait accord avec le souvenirs des valeurs Chrétiennes, fondatrices de son Histoire, le manque de moyens, le manque de volonté politique, l'absence de la vision globale et de l'importance du problème des cimetières d'A.F.N, font que l'on laisse au temps, et aux vandales, le soin de gommer la trace que les Pionniers ont imprimé sur ces terres d'A.F.N.

         Les ruines de Tipasa, attestent de la présence, de l'œuvre Romaine. Elles font partie de cette histoire de l'Afrique du Nord que doivent s'approprier les générations suivantes. Que n'en est-il pas de même pour nos monuments?

P1020092_2

P1020096_2

P1020098_2

P1020099_2

P1020104_2

CIMETIERE ANGLAIS (cherchez l'erreur)

Ici, le gazon est bien vert, les stèles bien droites et alignées, les croix sur ces stèles n'offensent personnes, et l'ensemble bien propre et arboré.

Ainsi donc, avec quelques efforts financiers, et une exigence politique, on peut sans rougir de honte, se dire que les morts reposent en paix, sur la terre qui les a vu s'endormir.

C'est ce que, nous demandons, tout simplement pour tous.

ALGERIE_JUIN_2009_247_2

ALGERIE_JUIN_2009_283_2

ALGERIE_JUIN_2009_284_2

ALGERIE_JUIN_2009_285_2

Retour à tous les cimetières.

1 novembre 2009

DIVISION DE LA COMMUNAUTE PN

Chers compatriotes


         Ce type d'appel bénéficie d'une audience plus ou moins large selon son auteur, selon les inimités ou selon les amitiés. Car le problème de notre communauté reste la division, le débat général ramené à un problème de personnes (des personnalités plus ou moins illusoires) persuadées de détenir la bonne méthode et restant sourdes aux autres.

         Nous sommes nombreux à avoir reçu un appel du CSCO concernant l'état de plus en plus dégradé de nos cimetières. Peu de réactions.

         Je ne connais aucune société qui accepterait que ses cimetières soient ainsi détruits, dégradés. C'est le propre de l'homme que d'honorer ses morts. Quelques tombes profanées dans un cimetière en France et cela fait la une de tous les journaux. De l'autre côté de la Méditerranée nos cimetières sont méticuleusement détruits ou transformés en décharges et cela ne semble émouvoir personne. Et pourtant des associations spécifiques se démènent... mais que peuvent-elles faire sans notre soutien MASSIF.

         Nous avons TOUS nos familles enterrées en Algérie. Je ne sais pas vous, mais moi je ne peux pas dormir sereinement en imaginant les restes des miens dispersés aux 4 vents, leurs tombes recouvertes de sacs d'ordures, leurs cercueils éventrés etc etc Qui accepterait cela ? Quel pays n'en ferait pas une priorité ? Même les sociétés les plus primitives faisaient des lieux de sépultures des lieux sacrés. Mais dans notre grande majorité nous restons fatalistes. Nous disons "veremos"... et bien nous sommes co-responsables de cet état de fait, excusez-moi d'être aussi direct.

         J'entends des "je ne fais pas de politique" (quel rapport ?????????) ou des "il faut tourner la page" (encore faut-il qu'elle soit écrite et pas de façon mensongère !). Je ne comprends pas cette frilosité. Et le silence assourdissant de "nos instances" ???
Quelques communiqués outrés pour les plus impliquées, des déclarations d'intentions et toujours le même résultat... nul ou à peu près.

         Je sais que certains reconnaîtront "ma prose" et ne diffuseront pas. Je m'en moque. Qu'ils continuent à faire cavalier seul ou à privilégier leur pseudo cercle d'influence et dans 50 ans nul ne saura plus qui étaient les PN.

         Le problème des cimetières doit dépasser toutes nos dissensions internes. Car au-delà de l'insulte faite à nos morts il s'agit d'effacer notre présence de cette terre d'Algérie. Refuser à nos morts leur histoire c'est aussi pour la France refuser d'affronter SON Histoire.

         Personnellement j'ai de plus en plus de mal à prendre comme si de rien n'était la Kémia et l'anisette en sachant que nos morts sont là-bas et qu'ils n'y ont plus droit au repos.
Je ne suis pas un mystique mais je suis certain qu'ils nous interpellent.

         Je ne comprends pas que, spontanément, 100 000 PN ne soient pas dans les rues.

Retour à tous les cimetières.

30 octobre 2009

AUTANT EN EMPORTE LE VOILE

Document transmis par José Castano.

« Un état qui ne se donne pas les moyens de se conserver est voué à sa perte » (Malaparte)

         Et l’on reparle aujourd’hui d’un phénomène qui a prit son essor… en 1988 et qui, s’il a engendré quelques réactions virulentes, à l’époque, s’est banalisé au fil du temps pour apparaître désormais comme une situation naturelle dans la société française.

         En effet, il ne se passait un  jour où le port du « tchador » à l’école et les prises de position qu’il suscitait n’étaient alors rapportées par les médias. A l’époque, ce phénomène était essentiellement localisé dans la douce France alors, qu’aujourd’hui, il a submergé l’Europe…

         En ce temps là, hormis PRESENT, RIVAROL et quelques journaux nationalistes, nul ne s’était soucié du signe très fort que nous adressait, par-delà le simple voile porté par des gamines innocentes et manipulées, les intégristes musulmans. Et pourtant, l’avertissement lancé le 10 septembre 1986 dans le journal « Le Matin » par Hussein Moussavi, premier ministre de l’Iran et chef de la branche dure des Hezbollah avait été lourd de menace : « La France, c’est sûr, deviendra une République islamique ! » Qui s’en était alors soucié ? Au contraire, les gouvernements de gauche, puis de « cohabitation », puis de droite poursuivirent leur politique d’immigration négligeant le fait que ces « nouveaux arrivants » importaient également leur religion -seul élément identitaire, avec leur langue- qu’ils pouvaient conserver de leurs origines.

         Dès lors, pour favoriser leur intégration, on leur abandonna des espaces publics pour leurs prières, on leur construisit des mosquées, on accorda des créneaux horaires aux femmes dans les piscines, on octroya aux enfants des repas spécifiques dans les cantines (notamment, bannissement du porc). Dans le quartier « Monclar », à Avignon, des parents d’élèves Musulmans des Collèges Vernet et Giera ont exigé que soit servi à leurs enfants de la viande hallal. Enfin, les différents ministres de l’Intérieur, dont Nicolas Sarkozy, ont créé, puis développé, un « Conseil des Français musulmans » pour les encadrer, espérant les contrôler et promouvoir ce cercle carré qu’ils appellent un islam de France ou « islam des Lumières », oubliant que la seule « lumière » qu’ils reconnaissent est celle du Coran. Ainsi, loin de les intégrer, la reconnaissance de ces privilèges accordée à ces « nouveaux arrivants » et aux enfants issus de cette immigration, les renforce dans leur certitude de la légitimité de leurs convictions, exaltant leur identité communautaire, leur conférant un élan pour leur prosélytisme au nom d’Allah… Ainsi, pour ne pas avoir voulu résoudre en son temps un problème qui en était à ses balbutiements (en 2004 fut cependant décrété l’interdiction du port des signes religieux ostensibles dans les établissements scolaires), pour avoir fait preuve d’une excessive tolérance et d’un laxisme fautif, pour avoir fermé les yeux sur sa cause historique, 21 ans après, le conflit entre la religion et la laïcité, entre la croix et le croissant ressurgit, plus incisif, plus menaçant, plus méprisant à l’égard de nos institutions… car il ne s’agit plus de tchador, ce voile islamique qui dissimule les cheveux et une partie du visage… mais de la burqa et du niqab, ces longs voiles noirs qui ne laissent apparaître que les yeux ; des tenues adoptées par des musulmanes et de plus en plus de converties françaises à la recherche du « Paradis éternel ».

         Face à la « levée de boucliers » qu’entraîne cette nouvelle situation et aux prises de position de bon nombre d’élus –notamment de maires- 58 députés, soit 10% des élus de l’Assemblée Nationale, ont réclamé, à l’initiative du député Maire communiste (ça ne s’invente pas) de Vénissieux, André Gérin, la création d’une commission d’enquête sur le port de la burqa et du niqab. Cette commission aurait vocation de mesurer l’ampleur du phénomène avant de proposer éventuellement l’adoption d’une mesure d’interdiction. Or, s’ils ont réclamé cette commission d’enquête, c’est qu’ils sont conscients de la gravité de la situation qu’ils déplorent aujourd’hui… fruit d’une politique de ville ouverte face à un islam conquérant et qu’ils s’en sentent responsables. Les incendiaires de la classe politique veulent maintenant devenir pompiers, comme si un décret pouvait enrayer l’islamisation de notre société après tant d’années de laxisme, voire d’encouragements ! (1) - Aujourd’hui, seconde religion dans notre pays, l’Islam poursuit inexorablement sa marche conquérante…

         Selon André Gérin, « La burqa est la pointe de l’iceberg. Dans certains quartiers, toutes les relations entre hommes et femmes sont sous surveillance. L’islamisme nous menace réellement », explique l’élu, comme pour justifier le séisme qu’il a provoqué en réclamant cette commission d’enquête parlementaire. Un pavé… un testament aussi. Après vingt-cinq ans de règne communiste sur la ville de Vénissieux, le maire a décidé de passer la main avant la fin de son mandat et, le 27 juin 2009, le poste de premier magistrat de la ville est revenu à sa collègue communiste, Michèle PICARD. Avant de partir, il a voulu alerter la République sur « l’intégrisme qui gangrène sa ville, et bien d’autres régions de France ». (2)

… car, à « Vénissieux la rebelle », symbole des « villes chaudes de banlieues », « le pays de la burqa ! » comme l’appellent les Musulmans, où plus de la moitié de la population est d’origine étrangère, principalement maghrébine selon André Gérin, l’islam est la première religion. Et, de jour en jour, la pression religieuse s’accroît, prenant dans ses filets des enfants toujours plus jeunes qui, en maternelle, selon Patricia Truong, de l’école Charles-Perrault, refusent de manger des carottes car elles n’ont pas été égorgées !

         Si certaines femmes souffrent de ce voile qui les ensevelit de la tête au pied, « la majorité a volontairement adopté cette tenue », tranche Bernard Godard, spécialiste de l'islam. « Beaucoup ont la nationalité française. Et l'on compte pas mal de converties dans leurs rangs », ajoute cet ancien du Bureau des cultes au ministère de l'Intérieur. « Elles deviennent salafistes comme on entre dans une secte », poursuit-il.

Les salafistes, tenant d'un islam radical, restent minoritaires en France. Ils seraient entre 30 000 et 50 000. Mais ils progressent régulièrement, dopés par leur opposition à l'Occident. Un fondamentalisme qui, comme le tabligh, attire justement des jeunes en mal d'absolu, dont des femmes. Partout en France, le nombre de femmes « ninja » suit une courbe ascendante, selon l’imam de Guyancourt (Yvelynes), Abdelali Mamoun. Des communautés prospèrent en région parisienne. « Il faut apporter une réponse religieuse à ces dérives, prévient-il. Même si ces salafistes ne sont pas djihadistes, ils haïssent l’Occident, ils crachent sur les koufars, « les infidèles », mais profitent de tous les avantages sociaux de la France en refusant de s’installer sur une terre musulmane comme le veut pourtant leur doctrine. Leur duplicité nuit aux Français de confession musulmane. » Et cet avis est partagé par de nombreux Musulmans de France qui n’hésitent pas à s’élever contre ces « Belphégor » d’un nouveau genre qui ne respectent pas l’Islam modéré.

Sur ce point, Mohamed Tantawi, recteur de l’Université Egyptienne d’Al-Azhar, l’institution religieuse la plus prestigieuse du monde sunnite (le Vatican pour l’Islam sunnite), vient de condamner et d’interdire le niqab dans son établissement et de déclarer : « Le niqab n’est qu’une tradition, il n’a pas de lien avec la religion ni de près ni de loin ». Par ailleurs, le Ministre de l’Enseignement supérieur égyptien, Hani Helal, a décidé d’interdire l’accès des cités universitaires aux étudiants portant ce voile intégral. Quant à Wafa SULTAN, cette courageuse femme arabe qui n’a de cesse de combattre l’Islam radical et de dénoncer son hypocrisie et son obscurantisme (sic), elle a déclaré lors d’un débat télévisé : : "Ce à quoi nous assistons aujourd'hui, ce n'est pas un choc des civilisations, mais une opposition entre des mentalités du Moyen Age et des mentalités du XXIe siècle ; entre la civilisation et l'arriération, entre la barbarie et la rationalité, entre la démocratie et la dictature, entre la liberté et la répression ; c'est un choc entre les droits de l'homme d'une part, et la violation de ces droits de l'autre. C'est un choc entre ceux qui traitent les femmes comme des bêtes et ceux qui les traitent comme des êtres humains..."

Alors ? Est-il trop tard pour intervenir ? "C'est trop tard, répond Dalil Boubakeur, l’ancien Président du Conseil Français du culte musulman de France pour qui le port du voile intégral est lié à l’influence des imans salafistes, parce qu'on a laissé beaucoup filer le problème du fondamentalisme" a-t-il déclaré, le 28 octobre, lors de son audition par la mission parlementaire présidée par le député André GERIN… et d’ajouter devant les membres éberlués de cette mission : "Il y a longtemps qu'on aurait dû être sensible à cette montée du fondamentalisme !" 

En résumé, cette affaire de la burqa et du niqab aujourd’hui, comme celle, hier, du tchador en milieu scolaire met en lumière les contradictions entre les sectaires de la laïcité et les idéologues des droits de l’homme. La fermeté s’impose. Seule l’inflexibilité de nos hommes politiques, fermement dressée sur le front mouvant des provocations et des menaces, pourrait les réduire et, probablement, en venir à bout. La France étant une terre de tradition chrétienne, l’on ne saurait y mettre sur le même plan les signes d’attachement à cette tradition et de telles manifestations de prosélytisme conquérant.

Nos aïeux ont construit ce pays sur des principes chrétiens et cela devrait être enseigné dans les écoles car Dieu fait partie de notre culture. Alors, si désormais ces valeurs millénaires offusquent les intégristes islamistes, si elles doivent irriter leur susceptibilité, si les converties françaises revendiquent leur légitimité d’apostasier leur foi chrétienne et s’adonnent à la provocation en s’accoutrant de la sorte, si notre drapeau, notre hymne national doivent entraîner leurs injures et leurs sifflets, alors qu’ils partent !

S’ils ne sont pas heureux chez nous, qu’ils cherchent une terre d’accueil islamique où ils pourront vivre à leur convenance et professer librement leur religion… mais tant qu’ils vivront en France, qu’ils la respectent !

(1) Le 18 décembre 2008, Nicolas Sarkozy déclarait à l’Ecole Polytechnique : « L’universalité de la France est basée sur le métissage » 

(2) Le Figaro – 1 Juillet 2009

                                                                                                                                                                         José CASTANO

                                                                                                                                            e-mail : joseph.castano0508@orange.fr

« Le grand drame de l’homme d’Occident, c'est qu'entre lui et son devenir historique, ne s'interpose plus ni les forces de la nature ni celle de l'amitié. Ses racines coupées, ses bras desséchés, il se confond déjà avec les potences qui lui sont promises. »   Albert Camus 

Rappel : Pour vous désabonner :  Tapez « NON »  

Retour à tous les articles de JOSEPH CASTANO 

-Ma Bibliographie – (Cliquez sur ce lien) 

24 octobre 2009

CIMETIERES EN ALGERIE

- COMMUNIQUES DU CSCO –

- DIVISION DE LA COMMUNAUTE PN -

- BÔNE –

- DJIDJELLI -


Février 2013

La France veut protéger ses cimetières chrétiens en Algérie

Un communiqué du Ministère des Affaires étrangères français appelle au regroupement des cimetières chrétiens, où se trouvent des tombes de défunts français.

Le Quai d’Orsay a décidé de prendre des initiatives pour améliorer l’entretien des cimetières chrétiens en Algérie, laissés à l’abandon, et parfois profanés. Dans un communiqué de presse, le ministère des affaires étrangères français indique que la France a choisi de regrouper plusieurs cimetières pour mutualiser les efforts visant à protéger ces lieux de sépulture. « Pour les cimetières les plus dégradés et souvent isolés, le choix du regroupement, solution plus durable assurant le respect dû aux défunts, a été retenu par les pouvoirs publics », précise le communiqué.

En effet depuis plusieurs années, de nombreux cimetières chrétiens en Algérie font souvent l’objet de dégradations de la part de vandales. En 2011, dans la région de Béjaia, 150 tombes avaient été dégradées en août 2011. Encore l’an dernier, sept tombes du cimetière chrétien de Rouïba avaient été profanées par des jeunes âgés de 19 et 26 ans.

Cimetière

 

« À ce jour, 120 cimetières ont été regroupés dans les circonscriptions consulaires d’Alger, Annaba et Oran, en plein accord avec les autorités algériennes. Une seconde phase portant sur le regroupement de 137 cimetières impliquera la poursuite d’un effort budgétaire important qui nécessitera de mobiliser collectivités territoriales, associations et particuliers », indique le Quai d’Orsay, dans son communiqué.


 

Plan du cimetière de Tamashouet 2011.
cimti_re_Oran__plan_AOBR_Robert_P_rez_

 

L’état des cimetières en Algérie en 2009.

Retour "Tous les articles"

 

23 octobre 2009

AVIS DE DECES

JOSEPH HATTAB PACHA

tonton_20jo_201

      C’est avec une grande tristesse que je viens d'apprendre que Joseph Hattab Pacha vient de décéder,  le mardi 20 Octobre 2009. Encore une grande figure de l'Algérie française, qui disparaît.

Communiqué de Véritas:
         Joseph HATTAB-PACHA était le dernier descendant du Dey Hussein, Ardent patriote il a été gravement blessé en service commandé pour la France. Il à été Maire de la Casbah d'Alger, Conseiller Général et Dernier Président du Conseil Municipal d'Alger il s'est élevé avec force contre la trahison gaulliste, ce qui lui a valu tortures et emprisonnement.
         Président du Comité VERITAS  depuis quinze ans, il a fait résonner la vérité historique devant tous les politiques et toutes les Autorités de l'Etat sans jamais être poursuivi, ni même démenti.
 
         Sa dépouille mortelle sera exposée au Funérarium Municipal 380 A rue Saint Pierre à Marseille où ses compatriotes et amis pourront lui rendre un hommage à partir de vendredi 23 octobre. Les obsèques se dérouleront le samedi 24 octobre
à 14 heures 30, à l’Abbaye Saint-Victor quartier d'Endoume, dans le 7 ième, à proximité du Bd de la Corderie pour lui rendre l’hommage qui lui est du. 

Abbaye Saint-Victor – 3, rue de l’Abbaye – 13007 Marseille – 04 96 11 22 60

Le bureau de l’ADIMAD au complet avec gerbe et drapeaux sera là pour se recueillir devant cette grande figure de l’Algérie française.
 
Venez nombreux rendre hommage au plus courageux et au plus incorruptible des Français d'Algérie. Que Dieu reçoive en son Paradis Joseph Hattab Pacha qui était un homme d'Honneur.

2 photos de la manifestation de Valence du 14 mars 2009 avec Joseph Hattab Pacha et Thierry Rolando, côte à côte.

Joseph_Hattab_Pacha_et_Thierry_Rolando__c_te___c_te____Valence_le_2_14_mars_2009

*

Joseph_Hattab_Pacha_et_Thierry_Rolando__c_te___c_te____Valence_le_14_mars_2009

J'ACCUSE 

J'accuse Charles De Gaulle d'avoir, volontairement et sciemment, violé la Constitution Française dont il était le garant. 

J'accuse Charles De Gaulle d'avoir abusé la nation française en transformant une victoire en défaite et en lui présentant les revendications d'une minorité de terroristes comme l'expression d'un peuple.

J'accuse Charles De Gaulle, Président de la République Française et Chef suprême de son Armée, d'être resté passif devant l'assassinat de milliers et de milliers de citoyens français de toutes confessions.

J'accuse Charles De Gaulle d'avoir donné l'ordre d'abandonner, après les avoir désarmés, les Harkis à la vindicte des égorgeurs du F.L.N. qui ont commis un génocide de plus de CENT CINQUANTE MILLE de ces soldats français. 

J'accuse Charles De Gaulle d'avoir donné ordre aux officiers français, témoins de meurtres en séries, (innommables boucheries comme celle d'Oran le 5 juillet 1962 qui a fait plus de TROIS MILLE morts français) de n'intervenir pour personne, même en danger de mort.

J'accuse Charles De Gaulle d'avoir porté atteinte à l'intégrité du territoire national en bradant les départements français d'Algérie à un mouvement terroriste vaincu sur le terrain et en lui abandonnant, non seulement une population qui souhaitait rester française, mais aussi des soldats français métropolitains tombés entre ses mains barbares.

J'accuse Charles De Gaulle du chaos de l'Algérie et du déclin de la France.


J'accuse également comme étant ses acolytes tous ceux qui se sont égarés avec lui dans cette impasse mortelle où souffrent et meurent, tous les jours, des hommes.

Vous, Messieurs les porteurs de valises des partis socialiste et communiste, vous qui avez aidé l'ennemi de la France à s'armer pour combattre et tuer nos jeunes soldats français, je vous accuse d'être de vulgaires collaborateurs passibles de la peine de mort.

Et vous, Monsieur le Président de la République, Messieurs les membres du Gouvernement, Messieurs les Députés, Messieurs les Sénateurs, Messieurs les membres du Conseil Constitutionnel, par votre silence, vous devenez également, face à l'Histoire, ses complices.

Quant à vous, Messieurs les journalistes, vous méritez, aussi, d'être au banc des accusés puisque vous ne respectez même pas les deux principes fondamentaux de votre charge : le respect de la démocratie et l'expression de la vérité !

En effet, Messieurs les journalistes, la France a remporté une victoire militaire écrasante sur le F.L.N. et vous l'avez tu, vous le taisez encore.
Des milliers de jeunes soldats français, des appelés de vingt ans, ont donné leur vie pour que vive l'Algérie Française et vous l'avez tu, vous le taisez encore.

Des hommes, des femmes, de jeunes enfants, des vieillards, ont été ignoblement sacrifiés, pendant des jours, des mois, des années, par des terroristes relevant d'une barbarie tellement bestiale qu'aucun mot ne saurait la décrire et vous l'avez tu, vous le taisez encore.

Messieurs les journalistes, tous les martyrs que je viens d'évoquer ont le droit d'être vengés, tout comme ceux de la Shoa, hier, et de la Palestine, aujourd'hui.. Il est temps de cesser de vous prêter à la dénaturation. Il est temps d'exprimer la vérité historique.

Charles De Gaulle mérite, même à titre posthume, d'être poursuivi devant le Tribunal de l'Histoire et condamné comme l'ont été les artisans et les complices de l'holocauste juif, comme l'est, aujourd'hui, Slobodan Milosevic devant le Tribunal Pénal International.

C'est à vous tous, Messieurs, que je lance aujourd'hui un pathétique appel. Ouvrez les yeux ! Sortez de votre égarement ! Ayez le courage de reconnaître la vérité et de stigmatiser les vrais responsables de la décadence de la France et du tohu-bohu de l'Algérie.

C'est à ce prix, et à ce prix seulement, que notre hymne national aura, à nouveau, un sens et que le drapeau tricolore pourra, désormais, flotter sans tache sur un pays en paix avec lui même.  

Joseph HATTAB-PACHA

Retour "IN MEMORIAM"

23 octobre 2009

PELERINAGE NIMES OCTOBRE 2009

18_10_2009__Don_Bosco___Nimes

Quelques photos de ce 18 octobre 2009 qui fut une belle journée avec le mistral.

2009_10_18_15_28_01

2009_10_18_15_28_02

2009_10_18_15_28_03

2009_10_18_15_28_04

2009_10_18_15_28_05

2009_10_18_15_28_06

2009_10_18_15_28_07

2009_10_18_15_28_08

2009_10_18_15_28_09

Retour à tous les pèlerinages de Santa-Cruz à Nîmes.

16 octobre 2009

UN PEUPLE ASSASSINE

         Ma mémoire aujourd'hui doit faire de gros efforts pour éclaircir la vase des ragots et des chimères qui s'épaissit avec le temps et finit par semer le doute. On éructe sur notre passé avec la technique de l'amalgame, on parle à notre place et on raconte notre histoire avec une méthode qui a toujours fait ses preuves: la calomnie. Pourtant, celle que j'ai vécue à Bab el Oued avant 1962 me semble tellement proche et semblable à celle partagée avec tous mes voisins qui étaient nés et vivaient dans le quartier depuis des lustres que je me dis:" On est nombreux à connaître l'exactitude sur cette vie humble que nous avons affrontée côte à côte; alors que le temps nous est compté, le moment n'est-il pas venu de témoigner ? Ce sont nos descendants qui en auront grand besoin un jour."
         A Bab el Oued, l'arc en ciel qui a toujours fasciné le regard des enfants, n'avait pas beaucoup de chance d'apparaître dans le ciel de Sidi Benour ou les contreforts de la Bouzaréah; en revanche, tous les jours, il illuminait nos rues avec la beauté de ses différentes couleurs: italienne, kabyle, française, espagnole, mozabite, maltaise et arabe. Il suffisait d'entendre dans les classes chaque matin l'appel du nom des élèves pour se rendre compte que l'harmonie des différences se mettait en forme sur les bancs de l'école et que le destin commun à tous ne ressemblait en rien à celui des pays d'ailleurs; ici l'addition des pluralités cimentait de belles amitiés. Notre regretté Mohamed NEMMAS écrivait le 21 septembre 2005 sur ce site:" Nous sommes comme des Astérix quelques récalcitrants qui n'arrivent pas à en démordre de cette culture ( véritable patchwork d'italiens, espagnols, maltais, crétois) et la tchatche qui coule dans les veines des purs de BEO fait que nous sommes et seront toujours un "cru" très rare." Il voulait entendre par "cru très rare": un peuple unique en son genre.
         L'échelle des valeurs qui s'imposait à tous était le dénominateur commun de toutes les cultures; qu'elle soit d'origine ouvrière, d'influence religieuse ou d'inspiration coutumière, elle attribuait le rôle essentiel à la famille. Dans ce quartier de l'époque où les métiers manuels pénibles dominaient, on percevait une grande dignité dans l'accomplissement du travail, dans le nom de famille qui se portait avec orgueil, et dans cette affirmation:" Grâce à Dieu, à la maison on ne manque de rien." Impossible de transgresser les références à l'honneur, à l'honnêteté, à la fidélité, à la politesse, au travail bien fait, au respect des anciens et de la hiérarchie, à la solidarité et à l'amitié sans que l'on se fasse traité de "falso", "d'artaille", de"falampo", ou de " ch'mata ben ch'mata". Je revois le visage des personnes qui animaient les scènes de mon quotidien,des petites gens, rien que des petites gens j'entends leur voix et j'ai l'impression qu'elles me réclament une juste étincelle de fierté en rappelant l'oeuvre modeste accomplie au cours de leur laborieuse destinée. Le film tourne en boucle avec le son d'un tango de Carlos Gardel qui déverse sa mélancolie et rappelle la rencontre des amoureux de la danse sur la piste de Matarèse à côté des bains Padovani. Combien de nos pères ont revêtu le costume cintré du dimanche avec chemise en popeline à col cassé et noeud papillon, tandis que nos mères encore jeunes filles, sortaient dans le plus bel apparat, gantées et chapeautées dans une robe longue fabriquée par leur mère, avec un col de guipure arborant une broche en or ou un camélia. C'était, avec le cinéma, et les spectacles de revues parisiennes présentaient sur la scène du Majestic, la distraction préférée du dimanche en matinée. Ils adoraient glisser leurs pas sur le parquet enfariné bercé par un air cajoleur de rumba. La fête s'installait au rythme d'un banjo effréné qui accompagnait la danse à la mode: le charleston. Puis s'enchaînait la série de valses musettes enlacés dans l'harmonie d'un accordéon qui les soûlait de virevoltes infinies autour de la piste. Et, lorsque la marche cadencée d'un paso-doble euphorisait la salle toute enti8re, c'était, avant tout, parce qu'elle leur rappelait l'Espagne de leur origine. Ils reprenaient leur souffle sur la terrasse qui surplombait la plage déserte, grillaient une dernière cigarette, le temps semblait suspendu pour l'éternité, un dernier fox-trot endiablé sonnait l'heure de la rentrée, il fallait déjà penser au travail du lendemain qui les attendait sur les chantiers dès l'aube, et renouer avec la brûlure des crevasses qui ensanglantaient leurs mains. Mais en attendant, ces jeunes filles et ces jeunes garçons transportaient d'enthousiasme se quittaient au crépuscule de la nuit qui se posait sur Bab el Oued, heureux d'avoir assouvi leur passion pour la danse à Padovani où, durant quelques heures, ils avaient mis entre parenthèses la dureté de leur quotidien. Ils se promettaient de se retrouver le dimanche suivant.
         Tous nous avons eu une enfance entourée d'affection et choyée par des parents qui trimaient pour accorder un mieux à la condition ouvrière des années d'après guerre. Eux aussi n'avaient-ils pas été en leur temps de turbulents "dimoni" gâtés et aimés par nos grands-parents, des immigrés venus de la misère des quatre coins de notre "mare nostrum" pour espérer donner un avenir meilleur à leur famille ?
         Les jours de fête religieuse, à l'occasion de l'Aïd, de Kippour ou des Rameaux, une grande liesse s'emparait du quartier où toutes les attentions se portaient sur les enfants qui avaient le rôle principal. Ils étaient habillés sur leur "trente et un" et jouaient sans le savoir la plus belle parade de l'innocence qui aurait pu s'intitulait:" Amour et Fraternité ". Avec une mimique juvénile pleine de candeur, des rubans multicolores noués dans les cheveux des filles qui ressemblaient à des poupées de collection, elles parcouraient les rues du quartier en tenant la main de leur frère en veste et culotte courte avec mi-bas, le visage dégoulinant de brillantine et de gomina. Ainsi, les rues de Bab el Oued sentaient le jasmin, le "rêve d'or" ou l'eau de cologne de la parfumerie Zaoui. Etre juif, musulman ou chrétien, la joie venait de tous et tous s'appliquaient à la répandre. L'assiette de gâteaux traditionnels offerte à ses voisins symbolisait l'esprit de famille qui nous reliait les uns aux autres. Ces souvenirs encore vivaces en moi peuvent paraître puérils, il n'en demeure pas moins qu'ils m'ont guidé toute ma vie à rester un homme fier de ce passé que nous avons vécu ensemble. J'ai toujours porté respect et reconnaissance à tous ceux, sans distinction, qui ont engendré dans l'amour les générations qui se sont succédées avec le sentiment qu'ils avaient accompli du mieux qu'ils pouvaient leur dessein: bâtir une famille et donner à leurs enfants un avenir meilleur comme leurs grands-parents l'avaient fait en leur temps pour eux-mêmes. Dans toutes les époques, lorsqu'on voulait expliquer sociologiquement BAB EL OUED, la porte de l'oued M'kacel, on y précisait:" quartier populaire et ouvrier à l'ouest d'Alger où toutes les communautés vivent ensemble du manoeuvre au technicien, du fonctionnaire au petit commerçant". Pour tous ces manoeuvres, ces techniciens, ces fonctionnaires et ces petits commerçants, qui étaient nés dans le quartier et qui ne l'ont quitté que pour aller se reposer définitivement aux cimetières d'El Khettar et de Saint Eugène, j'éprouve une grande fierté de les remettre à l'honneur un demi siècle plus tard.
         Un peuple nouveau était né de ce magnifique arc en ciel, il était unique en son genre; il a été réduit au rang de souvenir qui inéluctablement disparaîtra avec la disparition des témoins que nous sommes.


André Trives de BEO 

RETOUR ANDRE TRIVES

10 octobre 2009

GUERRE OU GUERRE CIVILE

Document transmis par J. F. Paya  

NATURE DE LA GUERRE D ALGERIE

RACINES DU TERRORISME ISLAMIQUE
         Toute la presse s'est interrogée sur les racines du terrorisme islamique dans le Figaro du 15 juillet certains vont les chercher dans la chute du mur de Berlin dans le Marianne n°430 on évoque plus opportunément des prémices Algériens avec le GIA des années 90.
         Allez ......encore un effort remontons plus avant, tout le monde oublie que le terrorisme pour la PREMIÈRE FOIS dans l'histoire fut "apparemment" vainqueur lors de la guerre d'Algérie, même s'il ne s'agissait surtout que d'une capitulation politique.
         A partir de ce fait, la Mythologie d'une victoire de l'action terroriste pris naissance dans le Monde Musulman, pour se perpétuer et se retourner aujourd'hui contre ses "sponsors" Russes, Américains, Anglais et même Espagnols (aide de tous au FLN).
         Mais personne à de rares exceptions ne s'est beaucoup préoccupé des victimes et des milliers de disparus européens et musulmans enlevés surtout après LA FIN DES HOSTILITES, exactions sanglantes que rien ne justifiait, alors qu'une amnistie réciproque (scrupuleusement respectée par la France) avait été entérinée par les accords d'Evian devenu de facto traité international (déposé à l'ONU).
         La duplicité fut patente, une des racines du mal aussi : REMEMBER

Auteur : JF Paya
------------------------------------

         Dans la tradition Française on ne commémore que la fin des guerres victorieuses et en même temps le souvenir des victimes surtout militaires ("morts pour la France") Le PCF à l'origine de la célébration du 19 Mars victoire de "la paix en Algérie" par associations interposées à voulu jouer sur ces sensibilités avec une antériorité à la loi (du 10 Juin 99) qui reconnaît la fin d'une guerre d'Algérie le 2 Juillet 62.
         En dépit de cette loi et du fait qu'il y ait 534 déclarés "Morts pour la France " du fait de la guerre d'Algérie jusqu'à décembre 1964 ! Des milliers de victimes civiles et ex supplétifs tués et disparus en dépit des accords violés du cessez le feu du 19 Mars; cette date rejetée par le président Mitterrand c'est ancrée dans la gauche parlementaire voir une partie de la droite alors que le PC est réduit à la portion congrue ! A part évidemment critiquer et combattre la célébration du 19 Mars faut il commémorer une "fin de guerre" pour l'Algérie ? S'incliner devant les victimes à des dates symboliques bien sur donner une signification tangible au mois de décembre ? Sur la base des derniers "Morts pour la France" de 1964 cités plus haut englobant les victimes civiles et harkies les précédent (récupération Loi sur le 5 Décembre).
         C'est la vie qui tranchera chacun agissant selon les circonstances et le terrain l'essentiel étant de contrer l'ignoble date de Mars 62!

Auteur : JF Paya
------------------------------------

POUR UN DEBAT HISTORIQUE SEREIN.
         Avant de commencer une étude autant que possible sereine et objective sur un aspect de la guerre d'Algérie, il conviendrait, avant d'employer des qualificatifs à base idéologique, de replacer toutes les diverses composantes de ce conflit dans leur contexte.
         L'OAS fut un des éléments inéluctables dirons certains, de ce conflit, vu les atermoiements et les roueries du pouvoir gaulliste Français mais aussi la crainte qui se révélera justifiée de se voir chassée de chez elle de la part de la minorité Européenne. Ici les sentiments rationnels n'ont plus de prises et l'action de l'OAS devient partie du contexte historique mais, pas plus que celle du FLN et de ses diverses composantes et oppositions musulmanes, pas plus aussi que celle des forces armées Françaises, car la guerre d'Algérie comme l'a démontré le professeur Pervillé fut une triple guerre civile : Franco-algérienne:/  Algéro-Algérienne/  Franco-française en une sorte de guerre de sécession à l'envers.
         On estime le nombre global des victimes entre 350.000 et 400.000 dont 105.000 après le ” cessez le feu ” du 19 Mars et l'indépendance (harkis et familles inclus) du fait du FLN et 2700 du fait de l'OAS soit entre 0,77% et 0,66% du nombre total des victimes. Certes toute victime est une victime de trop surtout lorsqu'elle survient après la fin du conflit.
         Rappelons que ce dernier prit fin officiellement pour la France le 2 Juillet 1962 à la suite d'un vote unanime du parlement de la loi du 10 Juin 1999 qui reconnu l'état de ”guerre” en Algérie et l'attribution de la carte du combattant jusqu'à la date précitée..
         L'OAS dernière venue dans le triptyque pour une analyse objective fut la résultante difficilement évitable du sentiment de trahison ressenti par les partisans de l'Algérie Française et d'abandon par la majorité des Français d'Algérie qui n'avaient aucune confiance quant aux ”garanties” proposées par le pouvoir Gaulliste et le FLN. La suite leur à donné tragiquement raison.
         Tenant compte de tous ces préalables, les qualificatifs péjoratifs en histoire deviennent des catégories idéologiques utilisées indifféremment suivant le camp dans lequel on se trouve. Mais sur le plan concret de la légalité, toutes les exactions de part et d'autre furent l'objet d'une amnistie réciproque incluse dans les ”accords d'Evian” jusqu'au 19 Mars 1962. Les actions suivantes furent ensuite amnistiées jusqu'au 2 Juillet 1962 par la France et les protagonistes même réhabilités par une loi votée en 1982 sous l'impulsion de François Mitterrand.
         Voilà tout simplement un rappel des faits utiles indispensables pour un débat historique serein .

Auteur : JF Paya le 20/12/09
------------------------------------

Réponse à Jean-Marie Bockel
                   En Mai 2009 le secrétaire d’état à la défense et aux anciens combattants Jean Marie Bockel avait fait une déclaration surprenante relative à la reconnaissance par la France de "la guerre d’Algérie" comme reconnaissance d’un Etat Algérien qui n’existait pas avant le 3 Juillet 62 ! " La Guerre d Algérie était selon lui une guerre entre 2 Nations et 2 Armées "
                   Il faudrait se demander qu’elle est cette notion de "guerre"qui admet que l’Armée d’un des deux belligérants se trouvait à l’abri de frontières voisines (Maroc Tunisie) pouvant intervenir alors que l’autre ne le pouvait pas ?  Y a t’il eu des situations similaires dans l’Histoire ? Hors cas de guerres civiles !
                   D autre part y a t’il eu en cas de guerre avec un Etat Etranger ? La tolérance de soutien ouvert à cet Etat comme ce fut le cas en France envers la rébellion Algérienne ?
En principe un "état de guerre" suppose des règles strictes et draconiennes avec la notion "d’intelligence avec l’ennemi" sévèrement réprimée !
         Dans ce cas le cessez le feu du 19 Mars 62 fut "un Armistice" avec similitudes de responsabilités  De Gaulle / Pétain sauf que ce dernier avait l’excuse de la défaite !

EN REALITE LA GUERRE DALGERIE FUT A MON AVIS MALGRE MA CARTE DU COMBATTANT UNE GUERRE CIVILE COMPLEXE A LA FOIS FRANCO/ALGERIENNE MAIS AUSSI ALGERO/ALGERIENNE ET DE PLUS FRANCO/ FRANCAISE. ON NE REFABRIQUE PAS L HISTOIRE A POSTERIORI MONSIEUR LE MINISTRE

PAR JEAN FRANCOIS PAYA   cercle Algerianiste du Poitou

RETOUR JEAN FRANCOIS PAYA ORAN 5 JUILLET 1962  

Retour vers nos lectures. 

10 octobre 2009

LA MEMOIRE QUI FLANCHE

Le_h_risson_jaune_FN

LA MEMOIRE QUI FLANCHE.

Les menteurs ne gagnent qu'une chose, c'est de ne pas être crus, même lorsqu'ils disent la vérité. " Esope

-                     C’est celle aussi de nos gouvernants bien sûr qui oublient ce que l’armée d’Afrique a apporté à la libération de la France sous tutelle Germanique.

-                     La propagande  «engagez-vous, rengagez-vous ».avec de belles affiches montrant un beau Sénégalais sous chéchia drapé d’un drapeau Français flottant aux quatre vents. Se doutait-il que quelques 20 ans plus tard, il serait abandonné sur le bord de la route et livré à lui-même ?

-                     Nous ne nous attarderons pas sur le « De Dunkerque à Tamanrasset » cela n’en vaut pas la peine et son auteur ne mérite vraiment pas que nous lui fassions l’honneur de mentionner son nom.

-                     Mr Douste- Blazy qui affirme à qui veut l’entendre « Qu’il n’y a jamais eu en France d’histoire officielle et qu’il n’y en aura jamais ! »……..Si nous comprenons bien au lieu de l’histoire de France, on nous a enseigné les contes de Perrault sur les bancs de la communale que ce soit en France ou là-bas. Heureusement une douzaine d’élus de valeur s’inscrivent en faux et condamnent l’abrogation de l’Article 4, comme il y a quelque temps à St Laurent du Var. Ils appellent cela « une dérobade piteuse » de la part de la France.

-                     En effet, la nouvelle histoire veut faire l’impasse sur le sort des Européens d’Algérie, et sur celui de nos valeureux supplétifs au service de la France, Harkis ou militaires,  au nombre de 250.000 dont seulement 90.000 rentrèrent en Métropole grâce à des chefs de valeur qui les avaient bien pendues. Les autres furent abandonnés avec leurs familles au couteau des égorgeurs benbellesques. Ces Harkis dont le Président de la République, (qui s’appelait De Gaulle…. je crois !!!) craignait que par leur nombre à leur arrivée en France, le pays ne perde son identité en recevant trop de musulmans. Chacun peut constater comme c’est réussi en 2009, n’est ce pas ?

-                     Messieurs les politiciens encore au pouvoir, vous pouvez être fiers de vous. (Fiers et inquiets aussi car ce n’est plus pour longtemps) et vos électeurs et nous, qui avons cru en vos mensonges, allons faire de telle sorte que cesse le laxisme judiciaire à propos du désordre organisé dans les banlieues, les voitures brûlées, les fillettes violées, les rackets dans les R.E.R, les express régionaux, la drogue et la peur qui s’installent dans les écoles (incroyable mais vrai) parmi les professeurs et les élèves devant  d’autres élèves vauriens (ivres de haine et dignes du karcher) impunis sous couvert de leur jeune âge. Nous aussi nous avons eu le même âge que ces salopards, mais nos pères savaient manier le berbajo (cravache pour les non initiés) et nous comprenions très vite ce qu’il fallait faire pour ne pas avoir à tremper son cul dans l’eau tiède pendant une ou deux semaines, pour atténuer la cuisson des berbajasos. (série de coups de cravache toujours pour les non initiés). Ah, si seulement cela pouvait donner des idées à notre police et à nos gendarmes.

-                     Pour ces abus de pouvoir et de confiance, soyez certains que vous allez payer au propre et au figuré et que nous réussirons en plus à vous faire rendre gorge de ce que sous couvert des accords d’Evian, les signataires malhonnêtes dont vous faites partie intégrante et que vous êtes,  nous avez volé.

" Il est encore plus facile de juger de l'esprit d'un homme par ses questions que par ses réponses. "
G. de Lévis

"LE HERISSON AMANT DE LA VERITE" 

RETOUR COUPS DE COEUR 

3 octobre 2009

LES RANGERS DE PYRENEES ORIENTALES

Par PIERRE SALAS

Les_Rangers_des_pyr_n_es_orientales

*

                 plaque_st_georges_771_apelles_fenosa                   

SAINT GEORGES, PATRON DES RANGERS

Les belles actions cachées sont souvent les plus  Estimables

Blaise Pascal

         Nous avons parfois des raisons de nous plaindre des dévoiements d’une partie de notre jeunesse, mais quand on constate qu’il existe une catégorie de jeunes gens avec un cœur gros comme çà, il est aussi de notre devoir de les mettre en exergue 

         Il est indispensable de les découvrir, de savoir ce qu’ils recherchent et les aider à nous faire partager et connaître leur amour de la nature, de leur prochain et de tout ce qui fait leur (notre) art de vivre tout simplement.

         Il existe dans notre beau Roussillon et dans une quinzaine d’autres  départements bénis des dieux par leurs reliefs montagneux et boisés de notre France éternelle, de merveilleux jeunes encadrés par d’autres merveilleux « moins jeunes » dont la vocation première est de préserver les cadeaux naturels que la nature a mis à notre disposition depuis la création de l’univers et des êtres vivants qui le composent.

L’association Départementale des rangers et des cavaliers de la nature des Pyrénées Orientales, est une association régie par la Loi du 1° Juillet 1901.

Ils ont en commun ce qui unit les « Texas rangers » aux Etats-Unis et la Police Montée, dite « les Mounties » au  Canada.

Ils en sont leurs dignes et valeureux héritiers et  les ont pris pour modèles.

procession_Paques

Procession Pâques 2009

         Ces jeunes gens, filles ou garçons, sont souvent des adolescents, cavaliers ou pas, au début. Ils nécessitent d’ailleurs l’autorisation et l’accord de leurs parents pour pouvoir apporter leur foi, leur enthousiasme, la folie de leur jeunesse, leur sens de la responsabilité qui leur incombe de s’adonner à cette noble cause qu’est la protection de notre patrimoine national.

         Ils ont souvent l’énorme avantage de connaître les lieux où ils règnent en anges gardiens. Et s’ils sont novices, leurs anciens sont présents à leurs côtés pour leur transmettre leur « savoir-faire » et les guider.

Leurs missions ?

-                      Protection des animaux de toutes espèces,

-                      Des arbres et des végétaux,

-                      Missions de recherche et de sauvetage des personnes égarées ou animaux  et des biens, en danger, malades ou blessés, mais toujours  à la demande et en liaison avec les autorités de tutelle et les services de secours concernés.(Mairies, Préfectures, Police, Gendarmerie, Protection civile, sapeurs Pompiers et autres)

-                      Secourisme

-                      Croix rouge

-                      Toutes opérations relevant de catastrophes ou cataclysmes naturels (séismes, inondations, tempêtes, incendies de forêts…etc.)

Au départ, ils seront « Aspirant rangers », mais pendant leur initiation ils suivront le même entraînement et le même rythme que les Rangers confirmés.

Ensuite, un comité de sélection décidera et tranchera pour chaque candidat, la clôture de son apprentissage et son passage au grade de « Ranger Confirmé »

Leurs récompenses ? La chance inouïe de vivre en contact étroit avec la nature, loin de la puanteur des villes.

Cette vocation ne leur apportera ni gloire, ni fortune, c’est du pur bénévolat, mais ils devront être imprégnés de leur sens du devoir et jouir d’une moralité à toute épreuve et sans failles.

En outre, ils doivent observer avec attention les déprédations des sites naturels.

On les voit souvent anonymes et discrets, quand une autorité leur demande de couvrir une manifestation sportive, lors de festivals de musique, de manifestations culturelles.

Voilà nos anges gardiens que Dieu a mis à notre disposition sur terre pour nous venir en aide en cas de besoin et dans tous les  cas d’ailleurs.

Qu’il les bénisse par l’intermédiaire de leur Saint Patron Saint Georges et qu’il les couvre à leur tour de son aile protectrice.

La chose difficile, nous la faisons immédiatement; l’impossible prend un peu plus de temps. Armée de l’Air des Etats-Unis d’Amérique

Leurs coordonnées ?

Mairie de CERET- BP 303- 66400

Président des Rangers : 06.15.20.42.08

Courriel RESPONSABLE :   lolapascal@live.fr                                                   

Courriels Secrétariat : georgia.lejaille@laposte.net

*

Rangers_2009

*

RETOUR PIERRE SALAS.

Publicité
Publicité
Publicité