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10 novembre 2012

BILLET D'HUMEUR N°19

Document transmis par

LE  PHARE  FOUILLEUR  le mercredi 24 octobre 2012.

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen - Article XI - 1789

19 mars 1962

non au vote par le sénat, demain, de la loi officialisant cette date comme étant la fin de la guerre d'Algérie ! 

Cher(e)s ami(e)s,

         Les socialistes sont prêts à tout pour salir la mémoire des Français d’Algérie, des Harkis et des militaires sauvagement massacrés après cette funèbre date du 19 mars 1962, censée marquer la fin de la guerre d’Algérie.

         Les quelques éléments de réflexion ci-après, permettront de mieux comprendre l’outrage insupportable que représente l’examen d’une telle loi.

         Les  « Accords d’Evian » mettant fin à la guerre d’Algérie, ont fixé un « cessez-le-feu » dès le 19 mars 1962, par lequel «…il sera mis fin aux opérations militaires et à la lutte armée sur l’ensemble du territoire algérien ».

         Cette décision prise par Charles-le-Félon et ses sbires déguisés en ministres sans état d’âme, est toujours perçu, 50 ans après, comme une capitulation honteuse qui permit aux égorgeurs du FLN algérien, d’organiser le massacre des populations favorables à la France restées sur place.

         Et le pire se produisit : le « cessez-le-feu » ne fût pas respecté, et le génocide dura plusieurs mois : d’abord les enlèvements des Français, civils (plusieurs milliers) et militaires (plusieurs centaines), mais surtout des Harkis (près de 150.000 ?), tous impitoyablement torturés et assassinés avec une barbarie révoltante.

         Manifestement cette date ne fixa pas « l’arrêt de la guerre d’Algérie », mais autorisa le FLN algérien à tuer….en toute liberté !

         Charles-le-Félon pouvait être satisfait : on tuait à sa place.

         Dans un élan de cynisme mémorable il confia un jour à Alain PEYREFITTE, qui fût plusieurs fois ministre, au sujet des conditions de l’abandon des Pieds-Noirs et des Harkis, le fameux : « …eh bien ils souffriront » !

         Il n’a pas fait que faire souffrir les Pieds-Noirs et les Harkis, il les a mis à mort avec froideur et détermination.

         Deux circonstances particulièrement odieuses ont intensifié la tragédie de cette terrible époque :

  • - le 26 mars 1962, à Alger, le mitraillage d’une foule de civils provoque près de 80 morts et 200 blessés,
  • - le 5 juillet 1962, dans les rues d’Oran, la population algérienne, fanatisée et armée par le FLN, se déchaîne contre les Français et les musulmans favorables à la France, qui sont enlevés en masse, hommes, femmes et enfants de toutes confessions, pour être torturés et assassinés, provoquant la mort d’environ 2000 personnes, probablement plus.

         Voilà pourquoi il est indigne que les Sénateurs actuels acceptent l’examen de cette loi, demain, qui ne peut que diviser les Français si elle est votée. Alors qu’il est urgent de faire régner la paix sociale cette discussion risque de dresser des Français les uns contre les autres. Bravo la gauche !

         Il est bien regrettable que les Sénateurs, réunis demain, ne puissent entendre les hurlements de douleur des êtres qui ont subi le supplice après ce tragique 19 mars 1962.

         Ils furent égorgés comme des animaux, crucifiés sur des portes, émasculés, pendus à des crochets de boucherie, et même plongés dans des marmites d’eau bouillante pour certains. Il n’y eût aucune commission d’enquête…nous n’étions pas en Bosnie !

         Il aurait été tellement plus digne de la part de ce gouvernementcomposé de dhimmis de faire respecter le décret du 26 septembre 2003, qui fixe le 5 décembre comme date de commémoration de la fin de la guerre d’Algérie, et de renoncer ainsi à salir la mémoire des Français d’Algérie, civils et militaires, et celle des valeureux Harkis. Bravo la gauche !

Merci de votre aimable considération. Bien cordialement.

Michel Salanon...de l'Hôtel Saint Maurice d'Aïn-el-Turck 

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10 novembre 2012

QUE LA VERITÉ SOIT DITE !

Par José CASTANO

« Penche-toi toujours sur ceux contre lesquels certains rameutent les foules et brandissent les mots d’où déteint l’infamie. Tu peux être assuré que quelque chose dort en eux qu’ils n’osent pas affronter, une vérité dont ils ont peur et qu’ils tentent d’éteindre sous la cagoule des calomnies et des injures » (Jean Brune)

      « La valise ou le cercueil » Face à l’obstination des médias dans leur refus de diffuser cette œuvre cinématographique d’une qualité exceptionnelle, c’est désormais, par ce sous-titre : « Le film qui fait peur aux télévisions » que Charly et Marie CASSAN ont décidé de s’opposer à l’omerta imposée par les chaînes télévisées en reprenant ce cri de Charles Péguy : « Celui qui sait la vérité et qui ne gueule pas la vérité, se fait le complice des escrocs et des faussaires ! »

            Bien que plébiscité par une communauté meurtrie et par l’ensemble des associations patriotiques, projeté à l’Assemblée Nationale, soutenu par de nombreux parlementaires, traduit en trois langues, ce film qui a permis à son réalisateur d’être nominé Chevalier dans l’ordre des Palmes Académiques, relate deux heures durant, dans une charge émotionnelle intense, la véritable histoire des Français d’Algérie. Alors, pourquoi les chaînes télévisées s’obstinent-elles à occulter cette œuvre pédagogique d’une incommensurable portée historique ? La réponse est simple : « Politiquement incorrect ! »

            Pour le commun des médias, ce film ne correspond en rien à l’archétype du « pauvre petit fellagha martyrisé » qu’ils idéalisent depuis un demi-siècle ; il ne met pas en exergue la « souffrance d’un peuple colonisé et opprimé » telle qu’ils le conçoivent et, comble d’inconvenance, il renonce à évoquer toute « repentance ». Voilà un acte criminel qu’il faut réprimer par la loi du silence !... Mais, au fait ; se repentir de quoi ? Quelle faute a bien pu commettre la France en Algérie pour qu’elle ait à se repentir ? A demander pardon ? Et à qui ?  

Or voilà que ce film vient briser tous les tabous, toutes les idées préconçues… Et c’est, précisément, parce qu’il n’entre pas dans cette « logique » du « repentir » -oh, sacrilège !- qu’il s’attire l’unanimité des censeurs.

 

 « La valise ou le cercueil » démontre, documents officiels à l’appui, qu’au départ des Européens en 1962, les terres arables et fertiles ont été gagnées sur le désert et sur les marais au prix de tant de tombes qui jalonnent l’Afrique du Nord que le terme même de « colonisation » est aujourd’hui dépassé. Les images qui défilent dans un silence de cathédrale, rompu seulement par des sanglots mal contenus, dévoilent ces premiers Européens (les pères de ces enfants qui ont été chassés) asséchant les marais, ensemençant les maquis, transformant les douars, les casbahs, les repaires de pirates en paisibles villages, en cités prospères, en ports dignes de ce nom, bâtissant les écoles, les universités et les hôpitaux, traçant les routes et édifiant les ponts, chassant la maladie, la famine, faisant jaillir des pierres la vigne généreuse et les orangers… Comment oublier que c’est la France, et elle seule, qui a fait gicler du sable du désert le pétrole et le gaz ? Et c’est pour toutes ces réalisations qu’il faudrait demander pardon ? A cela, qu’ont opposé les révolutionnaires ?... Les images le démontrent parfaitement : La révolte, le terrorisme, l’abomination et pour finir, la dilapidation de l’héritage « colonial ». A cet effet, il serait bon de rappeler cette déclaration d’Hocine Aït Ahmed, l’ancien leader du FLN, parue en juin 2005 dans la revue « Ensemble » éditée  par l’Association Culturelle d’Education Populaire : « Avec les Pieds-noirs et leur dynamisme, l’Algérie serait aujourd’hui une grande puissance africaine, méditerranéenne ».

  C’est la presse (4ème Pouvoir) qui tient l’opinion et elle sait bien ce qu’il faut dire et ce qu’il vaut mieux réserver ; elle ne désire, en réalité, nullement affronter une vérité dont elle a peur et qu’elle cherche à étouffer sous la cagoule des calomnies et des injures… Et ce film la gêne terriblement car il bat en brèche 50 années d’éhontés mensonges.

Victor Hugo se plaisait à dire qu’ « une calomnie dans les journaux c’est de l’herbe dans un pré. Cela pousse tout seul. Les journaux sont d’un beau vert. »

Au temps de la guerre d’Indochine, le général Giap, chef de l’armée vietminh, disait après des combats perdus face aux soldats français : « Quand j’avais des doutes sur l’issue de nos combats, je lisais la presse parisienne… J’étais rassuré ». Les responsables du FLN, en Algérie, en firent autant et les Musulmans du Bled, rivés à leurs transistors, écoutaient « la voix de Paris » qui leur tenait un langage différent de celui des officiers français…

Ainsi, inexorablement, encouragées par les médias aux ordres, toutes les traditions historiques qui ont fait la grandeur de la France sont en train de se dissoudre dans un pluralisme qui admet tout et comprend tout et qui n’est que trop voisin de la lâcheté pure et simple. Elle agit, cette France-là, comme si elle n’était plus intéressée à maintenir sa position dans le monde. Elle s’accuse elle-même et se déclare honteuse de son passé guerrier, impérialiste et colonialiste, oubliant toutefois que le passé des autres nations n’est ni plus paisible, ni plus vertueux…

Dénigrer l’histoire de son pays, de son passé, sa grandeur et le sacrifice de ses aînés est un acte criminel. Nous n’avons pas à tronquer notre histoire –celle de l’Algérie française en fait partie- pour faire plaisir à telle minorité, telle association au « cœur sur la main » ou tel parti politique. Que ceux qui s’adonnent à ce type d’autoflagellation jouissive n’oublient pas cette mise en garde de Henri de Montherlant : « Qui a ouvert l’égout périra par l’égout. »

Ce dénigrement perpétuel de la France et de son passé colonial par nos « bien pensants », martyrocrates de profession, faussaires de l’antiracisme, est le pire danger auquel elle est confrontée. Et Malika Sorel, française d’origine algérienne, de prévenir : « Au Maghreb, les gens sont consternés par ce qui se passe en France. Pour eux, la situation est liée à cette « repentance » et la responsabilité en incombe aux adultes français qui passent leur temps à se prosterner et être à genoux…»

Dans le journal « Le Monde » du 21 janvier 1992, Michel Serres suppliait les journalistes : « Si vous pouviez… de temps en temps dire un peu de bien de la France ! » Et en 1947, déjà, Raymond Aron déclarait : « La vanité française consiste à se reprocher toutes les fautes sauf la faute décisive : La paresse de la pensée ».

Il est certain toutefois que beaucoup de Français, égarés par d’effrontés mensonges, écouteraient la voix de la vérité et du bon sens si on prenait la peine de la leur faire entendre. Mais, concernant l’histoire de l’Algérie française, c’est toujours -dans le monde audiovisuel en tout cas- une entreprise d’obscurantisme et d’abrutissement collectif au profit d’une dégradante tyrannie démagogique : le peuple de France ignore la vérité, n’a pas droit à la vérité et plus qu’un perpétuel outrage à cette vérité, c’est un crime contre la patrie, puisqu’on tue l’âme d’une nation lorsqu’on parvient à faire perdre à ses enfants la conscience de ses traditions fondamentales. « Dites à plusieurs reprises un mensonge et il deviendra une vérité » confiait le ministre de la propagande du IIIe Reich…

Dans les livres d’histoire, écoliers et étudiants retiennent de l’armée française, qu’elle ne s’est strictement et uniquement livrée qu’à des exactions envers la population civile algérienne, tandis que rien n’est dit sur les atrocités commises par le FLN. C’est proprement odieux !... Et c’est encore Hocine Aït Ahmed qui rétablira la vérité en déclarant dans la revue « Ensemble » : « Il y a eu envers les Pieds-noirs des fautes inadmissibles, des crimes de guerre envers des civils innocents et dont l’Algérie devra répondre au même titre que la Turquie envers les Arméniens. » Ainsi, en comparant le destin des Pieds-noirs et celui des Arméniens, l’ex leader du FLN accuse implicitement le FLN d’avoir commis un génocide à l’encontre de la population européenne d’Algérie ! Par ailleurs, dans ces mêmes livres d’histoire, rien n’apparaît, non plus, sur les bienfaits de la Pacification et sur le bien-être que cette l’armée française a apporté à l’homme du Bled. Sur les réalisations précitées, rien n’est mentionné. L’Histoire de l’Algérie rapportée par les livres est une Histoire tronquée, falsifiée, vide de toute vérité vraie et injurieuse vis-à-vis de ces milliers d’hommes et de femmes, Européens et Musulmans, qui ont œuvré de concert pour sortir ce pays du cadre moyenâgeux qui était le sien en 1830.

 Dès lors, que peuvent bien retenir les jeunes enfants dès leur scolarité ? Une histoire de France et d’Algérie faites d’intolérance, d’inégalités, de compassion excessive, de récriminations et d’accusations qui ne manqueront pas de marquer à jamais leur esprit et d’entacher durablement l’image qu’ils se feront désormais de leur pays. « Vous tenez en vos mains, l’intelligence et l’âme des enfants. Vous êtes responsables de la Patrie. Les enfants qui vous sont confiés… ils sont Français et ils doivent connaître la France, sa géographie, son histoire : son corps et son âme »,  déclarait Jean Jaurès… ce que dénia Jacques Chirac en interdisant les cérémonies en mémoire de l’Empereur Napoléon Bonaparte au nom du complexe des conquêtes des siècles passés…

C’est dans ce cadre là, que le film « La valise ou le cercueil » aurait tout son rôle pédagogique en comblant par ses images d’archives, ses commentaires et ses témoignages auprès de nos écoliers et étudiants, le vide désespérant qui n’a de cesse de les appauvrir. C’est, par ailleurs, l’histoire d’un peuple, d’une passion pour la vie, une forme de cet insatiable amour d’une vie pleine de merveilles que Charly et Marie CASSAN racontent et ressuscitent à travers les larmes. C’est aussi une histoire faite de mensonges, d’ironies, de farces, de bouffonneries, un amoncellement de massacres et de cris de douleurs, de triomphes inutiles, de victoires perdues, d’espoirs trahis, de reniements et de palinodies, ces efforts vers un avenir qui se dérobe sans fin et qui ne relâche rien de ses exigences sanguinaires, cette roue qui tourne et qui amène le perpétuel recommencement, donne une image de l’homme dont on ne saura jamais si elle exprime sa grandeur ou au contraire sa misère.

 

José CASTANO E-mail : joseph.castano0508@orange.fr

« Le courage, c’est de chercher la vérité et de la dire, c’est de ne pas subir la loi du mensonge triomphant qui passe et de ne pas faire écho, de notre âme, de notre bouche et de nos mains aux applaudissements imbéciles et aux huées fanatiques » (Jean Jaurès)

Pour revoir: 

Tous les articles : - Mes Articles - 

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Sa biographie :- Ma Biographie – 

Son blog : - Mon Blog - 

1 novembre 2012

LA TOUSSAINT

Par René Mancho

Lorsque les chrysanthèmes fleurissent sur les tombes

Et que les bonnes gens honorent leurs défunts

Du lever du soleil jusqu’à c’que la nuit tombe

Me reviennent en mon âme odeurs et parfums

De mon pays, la bas ou je ne pourrais pas

Un bouquet à la main, une prière sur les lèvres

Rendre hommage à mes morts, non je ne pourrai pas

Alors monte en moi la rage et puis la fièvre.

Sous une humble photo, maigre consolation

J’allume une veilleuse et la petite flamme

Permet vers vous mes morts toute ma dévotion

Ma tristesse, ma peine et c’est la mort dans l’âme

Que mon esprit s’en va, vers les marbres ternis

De cet havre de paix qu’était Tamashouet

Où désormais, hélas, il ne m’est plus permis

De prier mes défunts sous le chant des mouettes.

Les larmes qui circulent sur les rides de mes joues

Me disent que peut être mon tour d’aller vers vous

N’est déjà plus très loin et qu’enfin finira

Cette séparation que des fous ont voulu.

 René Mancho http://oran1954.over-blog.com/

Retour Poèmes.

6 octobre 2012

BULLETIN D'HUMEUR N°18

Document transmis par

LE  PHARE  FOUILLEUR  le mardi 25 septembre 2012.

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen - Article XI - 1789

Harkis : vous êtes dans nos coeurs de Pieds-Noirs !

Cher (e) s ami (e) s,

          En cette journée du 25 septembre, dite « Journée nationale des Harkis », je pense à votre engagement militaire pour que flotte le drapeau français en Algérie, à votre totale fidélité à la France, et à votre génocide froidement programmé par Charles-le-Félon.

          En cette journée de commémoration, je ne ferai que reproduire la très belle préface du livre « Mon pays la France », écrit par l’inoubliable Bachaga BOUALAM, qui fût le Vice-Président de notre Assemblée Nationale et un illustre soldat de France.

          Le Bachaga BOUALAM perdit un fils, dix-sept membres de sa famille, et deux mille hommes dans la région des Beni-Boudouane….pour la France !

          Quelles sont les pertes de la famille de Charles-le-Félon pour que vive l’Algérie Française ?

          Quant aux Harkis, lâchement abandonnés sur place par l’armée française, ils furent massacrés par dizaines de milliers : égorgés comme des animaux, crucifiés sur des portes, émasculés, pendus à des crochets de boucherie, et même plongés dans des marmites d’eau bouillante. La générosité de l’islam sans doute.

          Cette préface, volontairement et intégralement reproduite, fût écrite par son fils, Ali BOUALAM, que je salue fraternellement. La voici :

          « Pour vous : Oumelklir, Faouzi, Aouda, Djazia, qui l’avez connu et aimé. Pour vous qui êtes venus au monde après qu’il l’ait quitté : toi, ma petite Linda, toi mon fils Vivien. Pour vous tous, ses petits-enfants, je vous le dis : n’oubliez jamais ces paroles qu’écrivait votre grand-père en post-face de son livre « Mon pays la France » :

« UN BOUALAM NE MANQUE JAMAIS A SES ENGAGEMENTS ».

          Et il poursuivait, parlant de ses fidèles Harkis : « Le gouvernement avait prévu le rapatriement de 3.000 d’entre eux, j’ai réussi à en faire rapatrier 35.000, MAIS ENCORE FAUT-IL LES PROTEGER ».

        Pour assurer cette protection, il engagea toute sa vie, et sa vie ne fût qu’un perpétuel offertoire. Il galope à présent, sur son blanc coursier, dans une autre dimension. Je sais que là où il est, il est près de nous et son esprit nous anime.

          Car après lui, nous ses fils, nous avons repris le flambeau, si le sort des Harkis n’a guère été amélioré, nous sommes décidés, résolus à faire rendre justice, à ces hommes, qui, simplement comme l’avaient fait leurs pères en 14-18, en 39-45, de 56 à 62, ont fait leur devoir.

          Et leurs enfants sont là, avec nos enfants, et vous tous êtes, sachez-le, l’amour de votre « PAYS LA FRANCE », et votre présence nous dit : « CONTINUEZ ». 

          OUI BACHAGA, COMPTEZ SUR NOUS, NOUS CONTINUONS VOTRE ŒUVRE ».

          Ainsi s’achève cette préface. Aux GHM (gauchistes-humanistes-mondialistes) qui préfèrent s’intéresser aux crottes Made-in-China plutôt qu’à l’histoire de France, je recommande de lire ce livre, paru aux Editions France-Empire, en 1987.

          Que les Harkis morts pour la France reposent en paix, ils sont à jamais dans nos cœurs de Pieds-Noirs (les vrais, pas les Pieds-Rouges !).

Merci de votre aimable considération. Bien cordialement.

Michel Salanon...de l'Hôtel Saint Maurice d'Aïn-el-Turck 

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6 octobre 2012

BULLETIN D'HUMEUR N°17

Document transmis par

LE  PHARE  FOUILLEUR  le VENDREDI 21 septembre 2012.

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen - Article XI - 1789

Religion : Les extrémiste de l'Islam hors de France !

Cher (e) s ami (e) s,

          Certes les siècles passés nous ont apporté à la France leur lot d’extrémisme religieux, rappelons-nous le traitement Cathares, mais, Dieu merci, nous en sommes sortis. Pour nous c’est du passé (triste), mais pas pour les « barbus » qui veulent faire régner la charia sur le monde non musulman !

          Et nous pouvons compter sur les GHM (gauchistes-humanistes-mondialistes) pour baisser leur pantalon devant les agressions inadmissibles des islamistes à l’égard des chrétiens et des juifs, en particulier. Il est facile de constater que les islamistes, sous-développés de la pensée religieuse, tuent les représentants de ces deux religions quotidiennement à travers le monde !

          L’actuel gouvernement français, avec Dhimmi 1er à sa tête, élu en grande majorité par les Français musulmans (c’est un comble), laisse à penser qu’il baisse les bras devant la menace islamiste qui met l’Occident en danger face au nombre croissant de ces extrémistes minables !

          Ce que nous avons pu voir, samedi dernier, devant l’ambassade américaine, à Paris, est un scandale : des jeunes islamistes, accompagnés de femmes entièrement voilées (la loi l’interdit) ont craché leur venin sur les chrétiens et les juifs de France et des USA, puis ont prié parterre….devant des forces de l’ordre (du désordre en fait) sans réaction : lamentable !

          Qu’on en finisse avec ces sous-développés improductifs et dangereux :

chassons-les de France : L’Islam oui….les extrémistes de l’Islam non !

Merci de votre aimable considération. Bien cordialement.

Michel Salanon...de l'Hôtel Saint Maurice d'Aïn-el-Turck 

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15 septembre 2012

BULLETIN D'HUMEUR N°14

Document transmis par

LE  PHARE  FOUILLEUR  le jeudi 6 septembre 2012.

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen - Article XI - 1789

Délinquance et drogue : toute la France en ZSP !

Cher (e) s ami (e) s,

          Dans la série « encore des mots, toujours des mots… » (une pensée pour Dalida) voilà un sigle qui doit nous interpeller : ZSP, pour Zone de Sécurité Prioritaire.

          Nul doute que ce sigle et cette appellation sont le fruit du brainstorming animé par un responsable politique passé par l’ENA (vous savez cette Ecole qui forme pour toucher un gros salaire sans être efficace).

          Après l’usage des chiffres faussés sur la délinquance (nombreuses plaintes non enregistrées : « désolés, Madame, vous avez été menacée par quelqu’un qui voulait voler votre sac, en vous menaçant avec un couteau, mais vous avez toujours votre sac et vous ne pouvez pas décrire votre agresseur ») pour mieux nous endormir, et les promesses non tenues sur le nettoyage au karcher (dommage que cet engin n’ait jamais été retrouvé), ils ont inventé la ZSP.

          Nous pouvons enfin dormir en paix : la délinquance est sous contrôle.

          Marseille : 2e ville de France, environ 240 kilomètres carrés, 860.000 habitants, 3.000 policiers, 170 cités paraît-il, dont La Castellane située dans  le 15e arrondissement où se trouvent les célèbres « quartiers nord », infestés de trafiquants armés jusqu’aux dents (comme dans les favélas de Rio-de-Janeiro).

          Le trafic de drogue : c’est une véritable économie sous-terraine, qui génèrerait environ un milliard d’euros de chiffre d’affaires en cannabis.

          Le cannabis (essentiellement en provenance du Maroc, qui manifeste sans doute ainsi sa reconnaissance de voir s’implanter sur son sol certaines sociétés françaises) se vendrait 5.000 € le  kg, en l’espace d’une heure ou deux.

          Les trafiquants roulent en berline allemande : ne soyons plus étonnés de voir que certains jeunes de ces cités (mon vocabulaire s’améliore) roulent en modèles BMW et AUDI haut de gamme (pensée émue pour M. Nicolas SARKOZY qui avait promis que ces chauffeurs particuliers seraient contrôlés strictement, avec enquête financière à la clé pour vérifier l’origine de l’argent).

          Pas d’affolement : ils sont connus des services de Police.

          Les morts de la drogue à Marseille : 19 morts depuis le début de l’année, le dernier connu a été ramassé la semaine dernière, les victimes sont le plus souvent abattues à l’arme de guerre. Combien de corps disparus ?

          La Kalachnikov : depuis la chute de notre ex-ami Mouamar KHADAFI (vous savez celui qui dormit sous sa tente bédouine dans un célèbre jardin parisien), ce type d’arme coûterait 500 € pièce et circulerait partout en France, en particulier à Marseille.

          Bravo M. Jean-Claude GAUDIN : continuez à fêter le Ramadan avec vos amis maghrébins de Marseille en vous affublant d’une calotte musulmane blanche, continuez à faire construire des mosquées (pendant que nos églises ferment), continuez à recevoir les tueurs de FLN algérien, comme Zohra DRIFF que vous avez osé embrasser (attitude indigne d’un représentant de la France).

          Peut-être que si vous arrêtiez de leur envoyer ces signaux qui les conforte dans leur intouchabilité et signent votre inconditionnelle soumission à leur communauté envahissante, que les Français supportent de moins en moins (à cause de l’attitude de politiciens comme vous), ils se comporteraient autrement et Marseille ne serait plus considérée comme une ville arabe en France.

          Bravo M. Emmanuel VALLS : continuez à tenter de nous faire croire que la délinquance n’est pas liée à l’immigration, continuez à limiter les moyens efficaces des courageux agents de la BAC (Brigade Anti Criminalité) de Marseille, qui rentrent de leurs missions avec des véhicules caillassés.   

          Peut-être que les maghrébins de Marseille, et de France, se tiendraient un peu mieux si vous les caressiez un peu moins dans le sens du poil pour les remercier d’avoir voté pour le PS aux dernières élections présidentielles.

          Au cas où vous manqueriez d’idées, permettez-moi trois suggestions :

- faire intervenir la Légion Etrangère, pour fouiller tous les appartements sans exception, reprendre les armes de guerre, ramasser les sacs de drogue, menotter ces faux caïds et les faire défiler en tenue à bandes horizontales noire et blanche dans les rues de Marseille (attention : ça pourrait être efficace),

- proposer un CDI au Sheriff Joe ARPAIO, très  apprécié dans le comté de Maricopa, état de l’Arizona (USA) pour ces méthodes efficaces approuvées par la population(un Sheriff est élu tous les 4 ans par la population pour son programme de mesures, Joe ARPAIO l’est depuis 1992) : les vauriens sont enfermés dans une prison de tentes dressées dans le désert, hiver comme été, avec des rations réduites de nourriture, ils se déplacent avec des chaînes aux pieds et lorsqu’ils sortent nettoyer les rues et les routes, encadrés par des gardes armés, ils ne pensent qu’à une chose : ne plus faire les cons (attention : c’est très efficace, seulement 1 ou 2% de récidive par an dans tout l’état d’Arizona),

- que Dhimmi 1er mette toute la France en ZSP !

Merci de votre aimable considération. Bien cordialement.

Michel Salanon...de l'Hôtel Saint Maurice d'Aïn-el-Turck 

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4 septembre 2012

BULLETIN D'HUMEUR N°13

Document transmis par

LE  PHARE  FOUILLEUR  le mercredi 31 août 2012.

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler

BEN LADEN : l’essentiel est qu’il soit mort !

Cher(e)s ami(e)s,

          C’est à se demander si certains journalistes, ne sont pas à court d’idée, pour subitement mettre la pression sur un fait anodin qui laisse le monde non musulman indifférent, sauf eux.

          Exemple : (ce pauvre) Oussama BEN LADEN s’est-il défendu ou non avant d’être abattu par les forces d’élite américaines dites Navy Seal ?

          Vous réalisez (je le sens), comme c’est important de le savoir. Combien il est vital, au travers de cette révélation inutile, de faire un véritable travail d’écoute, d’analyse, de compréhension, pour laisser s’exprimer notre doute, notre compassion, et dans les larmes (de crocodile), notre sentiment de culpabilité, ou mieux encore…..de repentance (très à la mode) !

          Se pourrait-il que ces journalistes en mal de sujets sérieux (il y en a pourtant), pensent avoir une conscience et une morale au-dessus de celles des populations auxquelles ils s’adressent avec une voix aux accents tragiques ? Ont-ils oublié les rivières de sang qu’à fait couler ce fanatique sanguinaire, déguisé en religieux, qui eût tant de fois les honneurs du premier sujet dans nos JT ? Oui, c’est certain !

          Sont- ils victimes d’une mémoire sélective très fortement influencée par la pensée unique et le politiquement correcte (vérifiable chaque jour lors des JT), avec l’accord de certains cercles de réflexions ? Oui, c’est sûr !

          Ils ont juste oublié qu’en laissant sous-entendre qu’il n’aurait pas pu se défendre, ils donnent le beau rôle à ce barbare d’une grande cruauté, qui n’a été qu’un ersatz de religieux, d’une nocivité peu égalée et dont le seul but était de mettre le monde non musulman à feu et à sang, au nom d’Allah !

          C’est de très mauvais goût de poser cette question en ces termes car cela peut faire passer au deuxième plan les catastrophes et les drames qui ébranlèrent le monde non musulman que ce fou voulait détruire :

- le financement et l’organisation des camps d’entraînement des taliban, fanatiques de théologie islamiste formés au Pakistan (frontière commune avec l’Afghanistan),

- la destruction totale des deux statues des Bouddhas géants (53 et 38 m) dits de Bâmiyan, dans la vallée du même nom, au centre-est de l’Afghanistan, jugées idolâtres par la doctrine Wahhabite, et bombardées pendant un mois à l’artillerie lourde (vous avez bien lu),

- l’assassinat du Commandant Ahmed Shah MASSOUD, le 9 septembre 2001, par deux islamistes missionnés par lui et déguisés en faux journalistes, afin d’enrayer la guerre menée par MASSOUD contre les taliban.

- la destruction totale des deux tours emblématiques de 110 étages du World Trade Center, à New York, le 11 septembre 2001 à 8h46, tours attaquées par deux avions détournés et pilotés par des islamistes, qui provoqua 2750 morts,

- la guerre sainte (djihad) déclarée au monde occidental (peuplé d’impures c’est bien connu) et aux Américains en particulier,

- la lâcheté des attentats terroristes déchiquetant les civils afghans qui ne demandent qu’à survivre dans cette région ingrate,

- l’interdiction faite aux fillettes afghanes d’aller à l’école,

- l’obligation faite aux femmes afghanes de se déplacer enfouies sous une burka avec un grillage de toile devant les yeux,

- la lapidation des femmes afghanes soupçonnées d’adultère, ou refusant un mariage forcé. Entre autres faits..

          En souvenir de tout cela il aurait été de bon goût de ne pas se demander si cet individu s’était défendu ou non avant d’être abattu par le commando d’élite Navy Seal. Car le monde non musulman s’en fiche !!!

          Félicitons-nous que M. Barack OBAMA, Président des USA, ait eu l’audace d’ordonner cette mission militaire très risquée, et remercions les membres du commando Navy Seal qui a supprimé ce fanatique.

          Quant à Mark OWEN (pseudonyme du soldat) qui a co-écrit le livre « No Easy Day » avec Kevin MAURER (Ed. Dutton) sur cet acte de bravoure et qui paraîtra sous peu, je leur souhaite d’en vendre des millions d’exemplaires.

écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen - Article XI - 1789

Merci de votre aimable considération. Bien cordialement.

Michel Salanon...de l'Hôtel Saint Maurice d'Aïn-el-Turck 

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25 août 2012

ORAN D'EST EN OUEST AVRIL 1962

Production
producteur ou co-producteur:
Office national de radiodiffusion télévision française
SUJET ORAN
NON DIFFUSE - 01/04/1962 - 23min21s
Reportage muet sur ORAN consistant en de très longs plans de la ville et de ces principaux monuments.

- Immeubles modernes: bord de mer avec petites tentes sur la plage et baigneurs dans l'eau.

- Longs plans de la ville/ Port et bateaux de pêche. PANO sur la ville et le bord de mer pris d'un point de vue.PL sur le port.

- Panneau indicateur : Aéroport de ORAN LA SENIA. Avion sur piste. Bâtiment de l'aéroport.

- Mosquée avec minaret. Monuments aux morts. CPL sur statues de soldats. Bas relief. PL sur ville. Gare et trains sur voies ferrées. Façade opéra. Groupe de statues allégorique au fronton. Lions de chaque côté de l'entrée de l'hotel de ville.

- Façade de la Maison de l'agriculture de l'Oranie. peinture allégorique.

- Cathédrale. Monuments aux morts. Façade du Conseil général. Façade de la Chambre de commerce (très bel immeuble en pierre de taille style 1900). Port, port de pêche.

- Marché en ville : étals et chalands. Femme voilée. Plaque Rue de la Bastille. Etal de poisson.

- Badauds choisissant cartes postales sur un tourniquet. Vente de journaux posés en piles sur un trottoir. GP Sur "L'Echo D'oran" et "Oran républicain".

- Rue avec voiture. Ville européenne. Piétons traversant la rue. Façade de la banque de l'Algérie. Population regardant journaux. PL sur hôtel des Postes. Pl sur rue étroite dans laquelle passent des piétons. Marché dans cette même rue : étals de fruits : poires, melons. marchand pesant du raision. Marchand emballant du poisson.

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22 août 2012

HOCINE - LE COMBAT D'UNE VIE

LES CAMPS DE LA HONTE

            En 1975, quatre hommes cagoulés et armés pénètrent dans la mairie de Saint Laurent des arbres, dans le département du Gard. Sous la menace de tout faire sauter à la dynamite, ils obtiennent après 24 heures de négociations la dissolution du camp de harkis proche du village. À l'époque, depuis 13 ans, ce camp de Saint Maurice l'Ardoise, ceinturé de barbelés et de miradors, accueillait 1200 harkis et leurs familles. Une discipline militaire, des conditions hygiéniques minimales, violence et répression, 40 malades mentaux qui errent désœuvrés et l’isolement total de la société française. Sur les quatre membres du commando anonyme des cagoulés, un seul aujourd'hui se décide à parler.

            35 ans après Hocine raconte comment il a risqué sa vie pour faire raser le camp de la honte. Nous sommes retournés avec lui sur les lieux, ce 14 juillet 2011. Anne Gromaire, Jean-Claude Honnorat.

            Sur radio-alpes.net - Audio -France-Algérie : Le combat de ma vie (2012-03-26 17:55:13) - Écoutez: Hocine Louanchi joint au téléphone...émotions et voile de censure levé ! Les Accords d'Évian n'effacent pas le passé, mais l'avenir pourra apaiser les blessures. (H.Louanchi)

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4 juillet 2012

BULLETIN D'HUMEUR N°12

Document transmis par

LE  PHARE  FOUILLEUR  le mercredi 4 juillet 2012.

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen - Article XI - 1789

Football français : des sanctions fortes pour les joueurs arrogants !

Cher(e)s ami(e)s,

          Vous vous souvenez avec émotion, sans doute, du fiasco de l’équipe de France de Football, à l’occasion de la coupe du monde de Football de 2010, dont les matchs se sont déroulés à Johannesburg, en Afrique du Sud, en juin et juillet.   

           Nous les avions vu sortir de l’avion avec un air toujours aussi idiot : chewing gum mâchouillé sans arrêt, lunettes noires, écouteurs sur les oreilles, sourire laissé dans la soute de l’avion, bonjour inaudible à cause de leur bouche pleine, bref.…la joie de participer à la coupe du monde ne se lisait pas sur leur visage pâle de gamin mal élevé et couvert de primes non méritées !

          Bien sûr ils jouèrent sans conviction, puis il y eut les engueulades avec ce brave Raymond DOMENECH, entraîneur national de l’équipe de France à cette époque, grand professionnel des commentaires laconiques avec un air de détresse totalement incontrôlée.

          C’est alors que se produisit l’impensable : une mutinerie suivie d’une grève des footballeurs français ! Oui, nous n’avons pas rêvé : les footballeurs français ont osé faire grève, lors de la coupe du monde 2010 !

          Du jamais vu sur la planète !!!!!!

          La France était déjà, à l’époque, traînée dans la boue par son équipe de football, dont les meneurs au comportement outrancier s’appelaient : ABIDAL, ANELKA, EVRA, RIBERY (dont l’épouse portait une robe aux couleurs du drapeau algérien….), et GALLAS, sauf erreur.

          De plus, au fond des vestiaires, une senteur puante d’islamisme s’était même répandue….allez savoir : et si c’était vrai ?!

          Deux années après cet inqualifiable comportement, à l’occasion du Championnat d’Europe des nations de Football, dit Euro 2012, qui vient de se dérouler en Pologne et en Ukraine, nos petits « fouteux » arrogants remettent le couvert et provoquent un autre fiasco : match sans âme perdu contre l’Espagne (0 à 2), actions inefficaces, absence totale d’esprit d’équipe, puis l’élimination  prévisible et….obtenue !

          Et voici les noms des « fouteux » arrogants qui ont terni, une fois encore, l’image de la France et du Football français :

- Hatem BEN ARFA s’est copieusement engueulé avec Laurent BLANC, l’entraîneur incompris de ses joueurs,

- Jérémy MENEZ a eu un geste d’humeur envers le capitaine de l’équipe d’Espagne,

- Yann MVILA n’a pas serré la main du sélectionneur lors de son remplacement contre l’Espagne,

- Samir NASRI a insulté la Presse, au début et à la fin du tournoi (à lui le pompon et de loin !).

          Il est grand temps que Noël LE GRAET, actuel Président de la Fédération Française de Football, demande à la commission de discipline de la FFF, de sanctionner lourdement des joueurs aussi effrontés.

          Au risque de bousculer les convictions sportives des inconditionnels du Football français, je pense que chacun de ces quatre « fouteux » arrogants devrait :

- recevoir un blâme,

- être privé de terrain pendant plusieurs matchs,

- ne jamais toucher leur prime individuelle de 100.000 € (bonjour la crise !),

- payer une amende importante, versée à la recherche contre le cancer,

- prendre des cours obligatoires pour apprendre à chanter La Marseillaise,

- présenter des excuses de vive voix à la télévision !

          Sans ces mesures je ne regarderai plus jouer cette équipe de Football, dite de France, qui, une fois encore, ternit lamentablement l’image du sport français en général, et du Football français en particulier. Vive le Rugby !

          Merci de votre aimable considération. Bien cordialement.

 

Michel Salanon...de l'Hôtel Saint Maurice d'Aïn-el-Turck 

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4 juillet 2012

BULLETIN D'HUMEUR N°11

Document transmis par

LE  PHARE  FOUILLEUR  du mardi 26 juin 2012.

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen - Article XI - 1789

 

Immigration : les familles des criminels hors de France !

Cher(e)s ami(e)s,

 

          Quelques jours après avoir appris l’exécution de deux femmes gendarmes, par un Français d’origine maghrébine, nous avons appris avec le même effroi,

qu’un jeune lycéen Français a été battu et étranglé jusqu’à l’étouffement avec perte de connaissance, par un autre jeune lycéen récemment francisé, originaire de Tchétchénie. 

Non…. nous ne rêvons pas !

          Les faits : vendredi 22 juin, au collège de Cleunay (Académie de Rennes), Souleymane, jeune lycéen baraqué de 16 ans pour 1,80 m, élève de 3e, pratiquant des cours de boxe, croise le regard de Killian, enfant frêle de 15 ans, élève de 5e. Le regard de Killian ne lui plaît pas et une altercation s’ensuit, aux toilettes. Puis, dans la cour du collège, la bagarre éclate : Souleymane agresse Killian en le frappant à coups de poings, le met à terre et….l’étrangle ! Killian s’étouffe et perd connaissance. Dans un état de coma avéré, il est transporté à l’hôpital, où il décédera dans la nuit de vendredi à samedi.

          Non, il ne s’agit pas d’une série télévisée malsaine, dont les chaînes nous régalent, mais bien d’une scène qui s’est déroulée dans une cour d’Ecole de notre République : depuis quelques années, on insulte, on frappe, on menace, on échange des doses de drogue, on tue des professeurs à coups de couteau, et certains élèves n’hésitent pas à s’entretuer par différents moyens.

Jules FERRY, reviens….ils sont devenus fous !

          Au cas où cela vous aurait échappé :

- un élève d’origine tchétchène est un lycéen comme les autres et ne mérite pas qu’on l’encadre psychologiquement (la Tchétchénie est un pays calme…),

- les professeurs du collège de Cleunay n’ont jamais pensé que ce jeune tchétchène baraqué était capable de faire ça (ils nous la sortent souvent cette phrase…),

- la directrice d’établissement, tout de suite après que Killian ait été emmené à l’hôpital, alors qu’il n’était pas encore décédé, aurait osé qualifier l’agression de petit incident, et a interdit aux professeurs de faire toute déclaration aux médias,

- J-Yves BESSOL, Inspecteur d’Académie d’Ille-et-Vilaine, avant le décès de Killian, aurait qualifié cette affrontement tragique de bagarre opposant deux élèves ordinaires,

- de nombreux journalistes, aussi bien de la Presse écrite que de l’information télévisuelle, ont osé qualifier Souleymane de camarade de classe, en oubliant de préciser son nom de famille (ils oublient souvent certains noms…),

- ce Souleymane est membre d’une famille originaire de Tchétchénie, accueillie récemment en France, tous considérés comme des réfugiés politiques.

Rassurez-vous : Vincent PEILLON, Ministre de l’Education, venu le samedi, a exprimé la solidarité du gouvernement….sans préciser si les parents de Souleymane allaient être rapatriés en Tchétchénie !

Dès lundi une cellule psychologique a été mise en place…nous voilà rassurés. 

          Au risque de bousculer les convictions humanistes de certain(e)s d’entre vous, je pense ceci :

- les immigrés, ou enfants d’immigrés, condamnés pour crime par les tribunaux français, devraient être emprisonnés à vie,

- toute leur famille, à plus forte raison lorsqu’il s’agit de réfugiés politiques, devrait être expulsée de France, avec interdiction d’y revenir, y compris dans l’espace Schengen.

          Avec une telle mesure l’Europe me deviendrait plus sympathique. Aux parents de Killian, je présente mes sincères condoléances. 

          Merci de votre aimable considération. Bien cordialement. 

Michel Salanon...de l'Hôtel Saint Maurice d'Aïn-el-Turck 

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2 juillet 2012

Le marché de Chartres

          À la mémoire de mon père, grand blessé de guerre en 1915, et en mémoire de son frère, l’oncle Semaoun, tué à la bataille de la Somme;

          Je voulais être acteur, je fus professeur. Pour moi c’est du pareil au même, et quand je fus dans ma classe, sans attendre de voir les pirouettes de Robin Williams dans Le cercle des poètes disparus, j’étais déjà capable de sauter sur les tables, de gesticuler et déclamer, de galvaniser quelque peu mon public. Mais nous n’en sommes pas encore là, même si j’occupai mon premier poste au lycée Bugeaud le 1er octobre 1960. L’Indépendance de l’Algérie ne tourbillonnait pas encore dans l’air comme un coup de vent (en revanche du coup d’éventail de 1830 par quoi tout avait commencé) nous poussant vers la mer.

          J’avais trois lieux de vie : notre maison, qui était située au pied du Télemly, dans cette rue Danton où s’ouvrait la grille supérieure de ce qu’on appelait pompeusement le Palais de l’Université, et donc installée dans le chic et le verbe haut ; nos synagogues qui gravitaient autour et dans la Casbah ; et enfin le lycée, qui fut pour moi d’abord Gautier, puis Bugeaud, où j’appris à accéder à la culture, à me forger un esprit français (et critique), et aussi à me séparer, sans me couper tout à fait, de la civilisation de mes parents. Qui, dans l’intimité, parlaient encore arabe et n’avaient rien oublié ou renié de ce passé judéo-berbéro-arabe qui composait naguère la vivifiante Algérie. Alors, quand je sortais de mes deux heures de cours au Grand Lycée, le samedi matin, j’allais à la synagogue en remontant la rampe derrière Bugeaud qui me menait au jardin Marengo, et de là, descendant en douceur car c’était pour moi jour de Chabbat et de pas lents, j’atteignais la rue Randon et cette place du grand-rabbin Abraham Bloch où trônait la majestueuse architecture du Grand-Temple, avec un dôme altier comme je n’en vis qu’à Constantinople. Mon père était déjà là, depuis l’aurore, car il était homme de piété et de prière, alternant avec le père Bittoun, qui entamait toujours seul la prière de Hannah, les versets des psaumes. J’arrivais, en fait, juste pour la ‘Amida, ou sur la fin, et ne manquais donc jamais la lecture de la paracha, que nous administrait la voix de stentor du rabbin Layani, qui balançait toujours ses larges épaules de droite et de gauche sur ses pieds claudicants en scandant la parole divine. Le moment clé, à mes yeux, était ensuite le Moussaf s’achevant sur la bénédiction des Cohanim : là, mon père soulevait son vaste talit et en recouvrait tout mon corps ; mais j’étais parfois jaloux des voisins de stalles qui se précipitaient sous ses mains bénissantes, mon oncle Coco, le peintre Attias, l’inspecteur Mamane, voire m’sieur Staouchrène (comme on l’appelait), que sais-je encore ? afin de recevoir, comme une eau lustrale, un pan de sa piété et de ce ’hessed qui fut la vertu première d’Abraham Abinou. Voilà, nous étions purs quand mon père, sur la phrase terminale « et moi je vous bénirai », relevait son immense châle de laine et nous faisait remonter à la surface. Chabbat Chalom lékoulam, Le’h besim’ha, la paix et la joie pour tous, et nous voilà partis sur les trois kilomètres qui, de la Lyre aux tournants Rovigo, et de la rue Dupuch au chemin des Aqueducs, nous mèneraient enfin chez nous, ce Foyer des Mutilés qui fut construit en 1930 pour abriter les anciens Poilus et Zouaves que la Grande Guerre avait marqués dans leur chair.

          Or ce n’est pas de cela que je voulais parler, mais du marché de Chartres. Le samedi après-midi, invariablement, nous changions de lieu de prière et mon père me menait rue Sainte, ce très joli oratoire avec ses lampes à huile accrochées au plafond et ses faïences vernissées, auquel on accédait en montant un étroit escalier, et qui s’ouvrait sur l’assourdissant marché de Chartres – tout comme le Grand-Temple donnait sur le tonitruant marché Randon. La prière s’accommodait fort bien de cette rumeur mercantile, car notre ferveur était bruyante et gesticulante. C’est là qu’officiait le samedi le rabbin Zabulon Sebban, que papa avait connu enfant prodige que l’on hissait sur une chaise pour chanter de sa voix d’ange les versets de Moïse, plus tard remplacé par le rabbin Achouche (dont le fils me précéda dans le cœur de Nelly Bensaïd, cette belle Juive qui me fila entre les doigts). Au Temple de la rue Sainte, la bien nommée, nous faisions min’ha et séouda shlishi en mangeant des cacahuètes, pour finir par ‘arbit et la havdala, et nous écoutions attentivement le dvar Torah de m’sieur Cohen-Bacri qui, sans être rabbin, en connaissait un brin. J’aimais ce rituel, la richesse de notre culte, nos promenades à travers toute la ville, le front de mer sabbatique, et nos synagogues.

          Mais nous voilà maintenant au marché de Chartres qui, toute la semaine, ouvrait ses portes et d’ailleurs il n’y en avait pas sur cette esplanade offerte aux quatre vents où chacun dressait son établi ou son stand sans les chipoteries administratives d’aujourd’hui. Qui avait quelque chose à vendre, et de nombreuses bouches à nourrir, s’installait là et étalait ses richesses. C’était ce qu’on appellerait aujourd’hui un vide-grenier, mais permanent, prolixe et fascinant.

          En ce temps-là, je travaillais à l’Opéra, qui donnait par derrière sur la place de la Lyre, et il suffisait de descendre pour gagner le marché de Chartres ; ou alors, face à l’imposant Opéra construit en 1853, s’ouvrait sur la droite l’artère nommée autrefois rue de Chartres, puis rue du docteur Charles-Aboulker, père fondateur de la plus illustre dynastie de médecins juifs d’Alger (dont le fils Marcel fit partie — aux côtés de l’autre Aboulker, José, fils de Henri Aboulker — du complot qui, en 1942, renversa en Algérie le régime de Vichy). Eh bien, c’est par Charles Aboulker qu’on accédait au marché de Chartres. Là s’ouvraient les sept merveilles de la brocante, ou, si l’on veut, la caverne d’Ali-Baba. C’est là que j’achetais mes disques, de vieux soixante-dix-huit tours qu’il fallait entendre sur cet ancien appareil à tête et aiguille qu’on appelait le phonographe. Je sais que j’avais acquis là de précieuses gravures : un enregistrement historique de Caruso, des interprétations de Paderewski, une Tosca de Giuseppe Lugo, Samson et Dalila chanté par José Luccioni, qui venait d’interpréter à l’Opéra de chez nous un mémorable Othello, bon, je ne vais pas tous les énumérer. Mais c’était en professionnel que j’acquérais ces « documents » sonores, car, voyez-vous, en ce temps-là je travaillais à l’Opéra, puisque je me voulais acteur et artiste.

          C’est Sylvain, qui était manutentionnaire aux établissements Zabulon Sebban dont papa, retraité des CFA (Chemins de Fer Algériens), assurait la comptabilité et arrondissait ses fins de mois en assumant à l’Opéra la charge de chef des figurants, qui m’avait contacté. Sylvain, dont la célébrité reconnue venait de certaines initiatives, comme d’avoir fait monter sur scène, au 4ème acte de Carmen, un de ces bourriquots qui promenaient les enfants au square Bresson, en face du Théâtre Municipal, me fit donc l’honneur de me proposer de « figurer » sur scène quand l’horaire de mes études me le permettait : deux ans durant je fus figurant du jeudi et du dimanche, passant d’un chulo de corrida dans Carmen à un peloton d’exécution (réduit à un seul fantassin le jeudi) fusillant Mario au dernier acte de la Tosca, débarrassant les tables au cabaret de Rêve de valse, ou donnant le bras aux danseuses venues égayer le salon de Manon. Ah ! les danseuses, que n’ai-je eu la tête tournée par elle, chantonnant comme dans l’opérette de Francis Lopez : « Ça fait tourner la tête, mieux que tous les fandangos »… ! Que de rêves envolés ! que de plaisirs ravis ! Eh oui ! toutes mes richesse sont restées là-bas, les disques, les images, les effluves.

          Après mars 1962, où tout s’écroula, chacun gagna la mer et les nefs salvatrices avec juste un petit bagage. On se rappellera ce slogan de survie : « la valise ou le cercueil ». Et donc, pour presque tous, ce fut la valise. À quoi bon énumérer nos pertes ? le piano où je « massacrais » les mazurkas de Chopin, le violon avec lequel papa animait le bal dans ce temps si lointain du jeune couple à Berkane (au Maroc), les tableaux et les cartes que j’épinglais aux murs, la psyché où maman chaque matin contemplait sa beauté, tous les ouvrages hébraïques qui ne tenaient plus dans la malle, mon phonographe avec ses aiguilles de rechange, la bibliothèque aux nombreux dictionnaires, et les encyclopédies qui fondèrent notre savoir, et toute cette littérature française à jamais prisonnière des sables… En vérité, rien ne résiste au temps… sauf la mémoire.

Pr. Albert Bensoussan

Retour coups de cœur.

21 juin 2012

BULLETIN D'HUMEUR N°7

Document transmis par

LE  PHARE  FOUILLEUR  - mardi 24 avril 2012

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen - Article XI - 1789

Premier tour : pour Marine….sans aucune souffrance !

Cher(e)s ami(e)s,

          Il n’aura pas fallu 48h après le premier tour de l’actuelle élection présidentielle, pour que l’usage d’un vocabulaire décadent fleurisse à nouveau sur les lèvres des professionnels du mensonge et de la désinformation !

          Rendez-vous compte combien le vocabulaire démocratique est développé dans notre beau pays : pour avoir voté avec un plaisir non dissimulé en faveur de Marine LE PEN, me voilà « déçu, égaré, rejeté, bref….en souffrance » !!!

Qui dit mieux ? 

Plusieurs critères ont influencé mon vote :

- sa personnalité hors pair.

- la fibre patriotique qui l’anime continuellement.

- le choix de la plupart des thèmes de son programme qui reflète les véritables préoccupations des Français : chômage, délocalisation, patriotisme économique, immigration, tolérance zéro en matière de sécurité, laïcité, Europe des nations, entre autres.

- la priorité donnée à la réduction de la dette publique par tous les moyens.

- la volonté de restaurer la morale publique et l’autorité à l’école.

          A l’attention de la plupart des responsables politiques et de nombreux journalistes qui affichent une méthode de pensée unique sans vergogne, je confie ceci : j’ai effectué un vote d’adhésion au programme du FN….sans souffrir !

          Rappel des résultats officiels (voir « Le Figaro.fr ») des trois premiers candidats :

- François HOLLANDE 28,63 %,

- Nicolas SARKOZY 27,18 %,

- Marine LE PEN 17,90 % (soit environ 6,4 millions d’électeurs !).                                                                                       

          Oui, comme le dit Gilbert COLLARD, nous assistons à l’émergence d’une « nouvelle droite », porteuse d’espérance pour les Français patriotes et souverainistes.

          Si l’actuel Président de la République souhaite rester au pouvoir et continuer à gouverner la France avec des valeurs de droite, il ne lui reste qu’à faire le nécessaire pour s’allier politiquement avec Marine LE PEN.

          Quelque chose me dit qu’il n’en aura pas l’audace et qu’il sera donc responsable de sa chute politique.

          Si cela se confirme la droite gaulliste restera la plus bête du monde !

          Merci de votre aimable considération. Bien cordialement.

Michel Salamon de l'Hôtel Saint Maurice d'Aïn-El-Turck

Retour le phare fouilleur

24 juin 2012

BULLETIN D'HUMEUR N°9

Document transmis par

LE  PHARE  FOUILLEUR  - Jeudi 7 juin 2012

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen - Article XI - 1789

Elections législatives : il faut une Assemblée Nationale à droite !

Cher(e)s ami(e)s,

          Permettez-moi de rappeler simplement, sans tambour ni trompette, que j’ai voté pour Nicolas SARKOZY, pensant comme bon nombre d’entre vous, éviter à notre pays d’être gouverné par des socialo-communistes (leurs parents ou eux ont été des « porteurs de valises ») partisans de l’indépendance de l’Algérie, fascinés par l’islamisation de la France et par le mondialisme.

          Plusieurs facteurs prévisibles ont permis cette lamentable alternance :

- les promesses importantes faites en 2007 par le candidat SARKOZY, non tenues cinq années après, constat évident d’un mensonge programmé,

- le zèle manifesté par ce  même personnage dans des attitudes, des actions et des discours reflétant un insupportable arrivisme, bien peu conforme aux habitudes de la société française et donc très mal ressenti, 

- la culture d’un centralisme excessif, visible au quotidien au sein d’un   gouvernement manifestement tenu en laisse ;

- les médias toujours aussi virulents, devenus maîtres en matière d’interprétation de la pensée unique, gauchisante bien sûr.

- les discours lénifiants sur la nécessité de sauver la Grèce à coups de milliards d’Euros, dont on nous a fait croire qu’ils seraient remboursés (c’est fort !),

- l’allusion permanente à un gaullisme social dépassé qui ne flatte que les statuts de l’idole jetée à terre à l’occasion d’un référendum salvateur.

- les fermetures d’usines et les décentralisations opérées par les grandes sociétés françaises, qui mettent leur personnel au chômage et appauvrissent notre pays.

- l’augmentation dramatique de la dette nationale et des dépenses inconsidérées de l’Etat en faillite, suivant l’expression réaliste de François FILLON.

- le mépris caractérisé envers les Français d’Algérie, et les descendants des Harkis massacrés en 1962, sans qu’aucune commission internationale ne se pose de question sur ce génocide caractérisé qui reste une tache indélébile dans l’histoire de France.

- la montée de l’islamisme extrémiste, déviation dangereuse de l’Islam.

- l’incapacité d’unir les droites françaises, alors que le PS s’accorde sans vergogne depuis des années, avec les communistes et les anarchistes.

- la diabolisation du FN, savamment entretenue par les ténors de l’UMP qui ne supportent pas que 6,4 millions d’électeurs leur échappe, et ont trouvé ce seul moyen pour masquer leur échec politique patent, etc.

          Après tout ça on se demande pourquoi Marine LE PEN a réalisé un score proche de 18 % ! Permettez-moi d’écrire : il est grand temps, et j’ajoute pourvu que son combat se renforce afin que ce parti réunisse des patriotes de tous bords et s’installe définitivement dans le paysage politique français.

          Je ne peux m’empêcher de repenser avec colère aux grands esprits qui ont prétendu qu’il ne fallait pas voter pour Nicolas SARKOZY, et à ceux qui se sont découvert un progressisme de dernière minute en votant pour François HOLLANDE, non par conviction mais parce qu’ils détestaient le Président sortant ! Les voilà bien avancés avec des mondialistes utopistes au pouvoir.

          Au lendemain de la récente élection présidentielle, si une vérité a été dite c’est bien par Nicolas SARKOZY : « je porte toute la responsabilité de cette défaite ». Adieu donc, pas au revoir, et disparaissez de la scène politique : notre Nation n’aime pas ceux qui se tirent une balle dans le pied !

          Oui, j’ai mal à ma France car, à l’approche des élections législatives j’entends les thuriféraires de l’UMP soutenir l’idée ringarde qu’il ne faut pas d’alliance politique avec le FN, et qu’en cas de triangulaire il faudra voter pour le PS ! Honte à eux et bravo à ceux comme Roland CHASSAIN, Député UMP des Bouches du Rhône,  décidé à voter pour le FN si son candidat est devant lui.

          La droite gaulliste décadente est bien la plus stupide du monde ! Vive la nouvelle droite, vive Marine LE PEN !  Mobilisons-nous pour que la gauche n’ait pas la majorité à l’Assemblée Nationale. Les Présidents passent….la France reste !

          Merci de votre aimable considération. Bien cordialement. Et bon vote !

Michel....de l'Hôtel Saint Maurice d'Aïn-el-Turck 

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21 juin 2012

BULLETIN D'HUMEUR N°8

Document transmis par

LE  PHARE  FOUILLEUR  - Samedi 5 mai 2012

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen - Article XI - 1789

Deuxième tour : contre HOLLANDE, donc…. pour SARKOZY ! 

Cher(e)s ami(e)s,

          Il est facile d’estimer qu’au premier tour d’une élection présidentielle, on vote pour son/sa candidat(e) préféré(e), on peut alors parler de  « vote de cœur ».

          Lorsque celui/celle-ci arrive troisième au premier tour, et n’est plus présent(e) au second tour, il faut bien se résigner à voter pour celui des deux finalistes que l’on estime le moins mauvais, on peut alors parler de « vote de raison ». Ce jour-là, hélas, la raison… n’a pas de cœur !

          Chacun sait que les bulletins dits blancs et/ou nuls ne sont pas comptabilisés, et que l’abstention ne fait parler que les journalistes car les deux candidats finalistes s’en moquent, quoiqu’ils en disent.

          Statistiquement, ce jour-là, s’abstenir et/ou voter blanc ne fait rien avancer et j’ai souvent envie de dire aux personnes qui revendiquent ce choix : vous n’avez rien à dire puisque vous n’avez rien voté !

          A l’approche du deuxième tour des élections présidentielles, demain, nous aurons à choisir non pas un homme mais un programme, et pour tout dire un choix de société. Par choix de société, j’entends une façon de vivre, qui peut influencer notre façon de penser, en France mais aussi dans nos relations avec les pays d’Europe et du monde. Les conséquences du choix d’un homme plutôt qu’un autre impacteront notre quotidien mais aussi l’image de la France.

          En cette période de grandes tensions intérieures et extérieures, de toutes les natures que l’on sait, il n’est pas permis de fragiliser la France, en nommant Président un candidat sans expérience gouvernementale, obsédé par la seule ouverture des vannes d’un progressisme imprégné d’une tendance mondialiste irresponsable.

          Alors, en ce qui me concerne, je ne peux fermer les yeux sur les maux qui minent chaque jour davantage notre société :

- l’existence d’une dette nationale inadmissible,

- la mort programmée de l’industrie française,

- les délocalisations scandaleuses des sociétés françaises qui par ce biais s’enrichissent en payant à moindre coût des employés étrangers alors que les nôtres pointent au Pole-Emploi,

- l’augmentation du nombre des chômeurs,

- la présence sur notre sol de dizaines de milliers de sans-papiers,

- le déséquilibre abyssal de nos régimes sociaux,

- le maintien d’une immigration officielle et/ou clandestine, essentiellement

   maghrébine, qui met en risque notre culture et nos valeurs républicaines,

- le traitement méprisant des Français d’Algérie et des Harkis,

- la tenue en France de colloques favorables au FLN algérien,

- le concept du mariage homosexuel, qui déstabilise un peu plus la famille,

- la dépénalisation du cannabis….et j’en passe !!!

          Voilà ce que je ne souhaite pas en France ! Et ça n’est pas en m’abstenant de voter que je vais aider à y remédier.

          A tort ou à raison : j’envisage de voter contre François HOLLANDE, donc…je voterai pour Nicolas SARKOZY ! Je le ferai dans l’espoir de préserver mon avenir de retraité et l’avenir professionnel de mes enfants.

           Un ami m’en a convaincu par ces quelques mots pleins de réalisme voire de sagesse : « si celui que je considère comme le plus opposé à mes opinions politiques est élu, au moins n’aurais-je rien fait pour qu’il soit élu ».

          Comme c’est vrai ! Merci cher ami.

          Dernière observation : en 2007 on a fait en sorte que Royale reste le nom d’une pizza, en 2012 faisons en sorte que Hollande reste le nom d’un fromage !

          Merci de votre aimable considération. Bien cordialement. Et de grâce… mourrons pour des idées, d’accord, mais de mort lente !

Michel....de l'Hôtel Saint Maurice d'Aïn-el-Turck

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21 juin 2012

COMMEMORATION DU CINQUANTENAIRE DE L'EXODE A NÎMES

Samedi 23 JUIN

ESPLANADE – ATRIA 5, Bd de Pragues – 30000 NIMES

9h30

Square du 11 novembre  Accueil des personnalités

10h

Square du 11 novembre Monument aux morts - Cérémonie de commémoration et dépôt de gerbes

10h15

ESPLANADE CHARLES DE GAULLE Moment de convivialité offert sur l’Esplanade

11h

AUDITORIUM DE L’HÔTEL ATRIA - Inauguration de l’Espace Culturel - Dédicaces de livres.

11h30

Inauguration des expositions photos présentées par les associations de rapatriés du Gard et de l’exposition « Les Harkis dans la colonisation et ses suites ».

Salle le Foyer

Superbe exposition de tableaux en 3D réalisées par Francine PARRA, née CASTANO

Espace Sainte Perpétue (patio de l’hôtel Atria)

Inauguration de l’exposition de peintures orientalistes de Josette Spaggia.

Fermeture des expositions à 21 heures

14h

 « L’agonie de l’Algérie ». Conférence de Guy Tudury, écrivain.

15h

« Il y a 50 ans … l’Exode ». Conférence de José Castano, écrivain.

17h

Projection Film « la Valise ou le Cercueil » de Charly Cassan et Marie Havenel suivie d’une discussion avec les réalisateurs.

21h30

JARDINS DE LA FONTAINE

Concert d’Alain Rattier et son big Band qui interprèteront des airs des années 1950 et 1960.

Billetterie : FNAC et points habituels

Dimanche 24 Juin

10h

Cérémonie interreligieuse - Dépôt de gerbes. Sanctuaire de Santa Cruz.

11h30 ESPLANADE CHARLES DE GAULLE

Séance de dédicaces par les écrivains présents. Espace Culturel. Moment de convivialité.

11h30 AUDITORIUM DE L’HÔTEL ATRIA

Expositions Photos

Salle le Foyer, hôtel Atria.

Exposition de peintures orientalistes de Josette Spaggia.

Espace Sainte-Perpétue, patio de l’hôtel.

Superbe exposition de tableaux en 3D réalisées par Francine PARRA, née CASTANO

Fermeture des expositions à 21 heures.

14h30

« Fondements du traumatisme identitaire des rapatriés » - « La construction de la mémoire des pieds-noirs et sa mise en conflit dans l'espace public français ». Conférence de Quentin Lajus, étudiant à l’Institut d'Etudes Politiques de Bordeaux.

15h30

Projection du film « Le Choix de mon Père » de Rabah Zanoun.

17h

« Les Harkis, de la guerre d'Algérie à nos jours » Conférence d’Abderahmen Moumen, Docteur en Histoire.

18h15

Projection du film « Algérie, Histoires à ne pas dire » de Jean-Pierre Lledo.

ESPLANADE CHARLES DE GAULLE

19h45

Clôture du 50e anniversaire

Renseignements : Magalie DAUDET – Tel. 04.66.27.76.80

e-mail : magalie.daudet@ville-nimes.fr

 

6 juin 2012

A MES COMPATRIOTES PIEDS-NOIRS

Le choix d’un vote…

 Document transmis par José Castano

« Entre le passé où sont nos souvenirs et l’avenir où sont nos espérances, il y a le présent où sont nos devoirs » (Antoine de Saint Exupery)

 

                 1962… 2012 ! 50 ans !… déjà… et nous en sommes toujours à regarder derrière nous comme si c’était hier… 50 ans de rêves évanouis, d’espérance trompées, de souffrances imméritées et de morts prématurées. Nous ne demandions pas grand-chose pourtant, seulement un peu de justice… et on nous l’a toujours refusée. Pendant 50 ans, nous avons attendu ; pendant 50 ans nous avons vu partir bien des nôtres écœurés de tant de mensonges et de lâcheté, désespérés d’un destin abominable qu’ils ne pouvaient prévoir parce qu’ils ne le méritaient pas. Et le temps passe… et nos rangs s’amenuisent…

                  Bientôt, il ne restera plus personne pour rappeler la honte de la France qui, un jour, laissa massacrer ses enfants pour on ne sait quelle satisfaction d’un mégalomane sanglant gangréné par la rancune. Car il ne suffisait pas de mettre fin à 132 années d’une histoire sublime, unique au monde, dont une France moins corrompue par le mensonge et la lâcheté pouvait tirer quelque fierté ; il ne suffisait pas de replonger un pays dans le chaos et dans la misère une population qui, pendant plus d’un siècle avait partagé nos joies et nos peines, il fallait que ce crime –car c’en était un- fut encore marqué du sang de Français.

            Ah !… Le temps efface le passé avec une telle rigueur que l’on se demande, aujourd’hui encore, si ces crimes horribles, minutieusement préparés, ont bien été commis…

            Notre malheur n’est pas un mythe. Nous ne nous y complaisons pas et durant 50 ans nous n’avons eu de cesse de vouloir nous en sortir ; mais, quel que soit le résultat de nos efforts, nous ne pouvons rien oublier… ni personne. Il est des responsabilités qui demeurent. Plongés dans notre désastre, nous n’avons cessé de nous débattre pendant toutes ces années et, bien souvent, c’est vrai, nous avons tendu nos bras vers de chimériques épaves. Les affamés rêvent toujours de brioches et les naufragés de sol ferme. Mais, de même qu’on pense toujours à ses parents disparus et qu’on parle d’eux très souvent sans, pour autant perdre de vue l’avenir de ses enfants et cesser d’œuvrer pour leur bonheur, de même nous évoquerons –jusqu’à ce que nos yeux ne se ferment- notre infortune et nous dénoncerons sans trêve nos bourreaux sans nous méprendre sur les responsabilités des hommes politiques français au pouvoir en 1962.

            Jaurès s’est écrié un jour : « Le courage, c’est de chercher la vérité et de la dire, c’est de ne pas subir la loi la loi du mensonge triomphant qui passe. » Alors, au nom de ceux qui vivent toujours (pour les familles de disparus) dans le drame et pour d’autres dans la douleur du souvenir, nous nous devons de crier la vérité –principalement aux sourds et aux aveugles- et de nous investir totalement dans ces élections qui se présentent à nous et qui sont la dernière chance de voir aboutir nos revendication.

            Voilà un demi-siècle que sous couvert de l’ignorance, on s’interdit en France d’affronter la réalité des faits. Ainsi, les fausses doctrines et les idées fantaisistes sur tout ce qui concerne la colonisation française en Algérie et la tragédie qui s’en suivit, se sont introduites dans les cœurs et combien nombreux sont, encore aujourd’hui, ceux qui continuent à écarter, l’un après l’autre, tous les principes de la vérité, et finissent par tomber dans l’incrédulité. Et cette vérité bafouée, tronquée, nous la retrouvons, au quotidien, dans cette France malade de la « crise », minée par le chômage, l’insécurité et l’immigration.

            Descartes soutenait que « pour atteindre à la vérité, il fallait une fois dans sa vie se défaire de toutes les opinions que l’on avait reçues et reconstruire de nouveau et dès le fondement, tous les systèmes de ses connaissances » et Georges Bataille a écrit à ce sujet : « La vérité, je crois, n’a qu’un visage : celui d’un démenti violent ».

            On ne peut espérer des Princes qui nous gouvernent depuis 50 ans qu’ils rétablissent la vérité ni qu’ils se fassent les avocats de la colère. Ce serait d’ailleurs inopérant et les promesses électorales non tenues du candidat Sarkozy en 2007 sont là pour nous le rappeler… Ce que nous attendons, ce que nous espérons, c’est la victoire, non seulement de Marine, mais aussi de Louis Aliot, N° 2 du FN dont la maman est native de Bab-el-Oued et de celle de nombreux autres candidats issus de notre communauté, dont votre serviteur.

Alors, mes chers compatriotes, une chance inespérée nous est offerte : A nous de la saisir ! L’épilogue de cette victoire, au-delà de l’impact qu’elle créera dans le concert des médias, sera le procès en révision devant le Haut-Tribunal de l’Avenir que nous engagerons, cela, afin que les Français connaissent « enfin » la vérité, que les victimes en gardent le souvenir vivace, et que les coupables ressentent à tout jamais l’aiguillon du remords.

D’autres vaincus du moment ont, avant nous, gagné leur procès en appel devant l’Histoire : les Chevaliers du Temple –en dépit de leurs excès-, les solitaires de Port-Royal et les émeutiers de 1871. Les tyrans passent, les martyrs succombent, les idées restent ; elles sont semées, elles germent, l’avenir s’enrichit de leurs fruits.

Mes chers compatriotes, les événements ont toujours été le fait d’une minorité agissante. A nous, Pieds-Noirs, qui avons été témoins et victimes en Algérie, qui avons connu les affres du terrorisme, de la guerre civile, l’exode et l’exil, échoit la responsabilité d’être, ou du moins d’étoffer la minorité qui peut et doit empêcher le fatal processus d’aboutir : Celui de l’oubli, de la falsification de notre Histoire et de l’effacement de notre Mémoire. Il y va de notre propre salut. Et à ceux qui doutent de leurs possibilités et de leur force, je leur rappelle tout simplement qu’il eut suffit de dix justes pour que Sodome fût sauvée.

Joseph CASTANO  e-mail : joseph.castano0508@orange.fr

… Petit fils d’immigrés espagnols ; natif d’Oranie, candidat FN et « Rassemblement Bleu Marine » aux législatives dans la 9ème circonscription de l’Hérault.

Cliquez sur : - Ma Biographie -

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Pour une reconnaissance et pour en finir avec la repentance française à propos de l'Algérie...

     Voilà près de 50 ans que la Droite et la Gauche françaises trimbalent, sans vergogne, les Pieds-noirs et les Harkis!...   

    Dans des discours clinquants et prometteurs, elles nous assurent reconnaître officiellement les crimes qui ont frappé ces communautés de Français d' Algérie, à partir du cessez-le feu du 19 mars 1962.

    Elles nous promettent de rétablir la vérité historique quant à cette œuvre civilisatrice, humaine de la France qui transforma un pays inculte -dénommé la Barbarie en 1830, sous domination turque- en un pays moderne, exportateur, ayant accru sa population indigène, qui passa de 3 millions d'habitants (en 1830) à plus de 9 millions en 1962.
    Marine Le Pen, dans le discours détaillé et argumenté, ci-joint, prononcé, le 27 août dernier, rappelle quelques éléments chiffrés de la participation patriotique des Pieds-noirs et des Harkis, parmi les troupes indigènes et les sacrifices auxquels ils ont été soumis, entre autres, durant les deux Grandes guerres et lors de la période, qui succéda au cessez-le-feu du 19 mars 1962.

    Elle promet de réhabiliter, enfin, l'histoire de la France en Algérie : citant la déclaration d'un des chefs de la rébellion, Hocine Aït Ahmed (entre autres) elle tient à en finir avec cette repentance honteuse, que certains Français, de droite ou de gauche, continuent de manifester pour mieux justifier leurs trahisons durant le conflit algérien : car c'est bien de cela qu' il s'agit pour les gaullistes voulant minimiser les tromperies, les mensonges et l'ignoble abandon, par le général De Gaulle, d'un territoire français et de ses populations à une armée du FLN exsangue et avide de vengeance.
    Quant  aux socialo-communistes, leur repentance, toujours actuelle, n'est que le credo "larmoyant", visant à justifier leurs trahisons envers notre Patrie (celles des ''porteurs de valises'', des désertions, du refus de défendre des départements français)...

    Que devons-nous penser de ces promesses nouvelles de Marine Le Pen, après tant de tromperies de la part de nos différents hommes politiques?... C'est une question, qui nous vient à l'esprit, nous qui n'avons cessé de croire aux beaux discours de nos hommes politiques...

    Pour y répondre, je vous renverrai au texte du fameux "Pari de Pascal" s' adressant aux "incroyants", quant à l' existence ou non de Dieu : en résumé, après avoir pesé le pour et le contre, Pascal conclut que nous sommes « embarqués » pour croire en l'existence de Dieu, dans la logique de ce qu' on peut gagner ou perdre (en n' y croyant pas).

    A ceux qui n'ont pas lu ce texte philosophique, je propose d'appliquer le même cheminement rationnel, à propos des engagements politiques de Marine Le Pen. Nous sommes « embarqués » :

    « Nous n'avons rien à perdre en continuant de croire que la Vérité sur l'Algérie française sera rétablie par cette femme courageuse...  Car après 50 années de tromperies politiques, nous pouvons logiquement déduire, que nous avons sûrement tout à perdre en espérant que les gaullistes et les socialo-communistes repentants reconnaîtront les parjures et trahisons de leur conduite passée...

Professeur Louis ALBERTELLI

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C’était le 27 août 2011, Marine Le Pen s’adressait, au Barcarès, à la communauté des Français d’Algérie.

- Pour lire le discours intégral, cliquez sur : http://infodiv.canalblog.com/archives/2011/09/18/22074684.html

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12 mai 2012

POUR QUI SONNE LE GLAS ?...

« L’Occident n’a pas encore compris que les Blancs, dans un monde devenu trop petit pour ses habitants, sont maintenant une minorité et que la prolifération des autres races condamne notre race, ma race, irrémédiablement à l’extinction dans le siècle à venir, si nous nous en tenons à nos actuels principes moraux » (Jean Raspail)

            Maurras disait que « la république », « c’est en France, le règne de l’étranger ». Les conséquences sont là d’une démographie que nous subissons, d’une décolonisation qui a réduit les pays du Tiers-monde à la misère et contraint le pauvre à s’exiler vers les pays riches pour y trouver du pain et de la sécurité… entraînant par là même l’insécurité et la déstabilisation de ces pays. Cependant, les hommes du Tiers-monde découvrent peu à peu qu’ils détiennent une arme terrible dont ils n’avaient jamais soupçonné l’existence. Leur force réside dans leur nombre et devant cette marée gigantesque, tout pliera un jour.

            L’Occident atterré recevra alors la révélation de sa faiblesse et de son laxisme et sera balayé, submergé, rasé, anéanti comme un fétu emporté par une tempête. Partout montent déjà les clameurs des peuples abusés qui le menacent et le vouent à une mort certaine, rendant actuelle la prophétie émise par le président algérien Boumediene à la tribune de l’O.N.U : « Un jour, des millions d’hommes quitteront les partis méridionales pauvres du monde, pour faire irruption dans les espaces relativement accessibles de l’hémisphère Nord, à la recherche de leur propre survie. » Ces propos remontent à 1974. C’était hier. Mais c’est aujourd’hui qu’ils deviennent réalité sous nos yeux…

            Nous avons dans l’Histoire des exemples qui montrent la décadence puis la destruction d’une civilisation par l’entrée massive de barbares en son sein. L’empire de Byzance et l’Empire Romain ont décliné puis disparu, victimes de ces invasions. L’entrée massive des palestiniens au Liban a fait de ce pays une terre de désolation. Cela devrait faire réfléchir nos idéologues partisans d’une société multiraciale. Jamais la boutade de Maurras n’a été de plus d’actualité : « Quand Syracuse est prise, Archimède est égorgé, et tant pis pour le théorème ».

            En 1962, le prétexte fallacieux invoqué pour l’abandon de l’Algérie était, selon les propres termes de De Gaulle « qu’elle coûtait plus chère qu’elle ne rapportait ». On a vu ce que cette indépendance entraîna pour la France de conséquences néfastes…

            Aujourd’hui, nouvelle édition revue et corrigée par bon nombre de nos illustres « têtes pensantes ». « L’Histoire, comme une idiote, mécaniquement se répète », disait Paul Morand. Rien n’est moins vrai car, comme en 1962, apparaissent les ambitions à court terme de gouvernements veules, d’hommes politiques, de chefs de partis aveuglés par de maigres illusions et d’usuriers aux aguets du bénéfice qu’ils réalisent en exploitant « l’antiracisme » à leur profit. Pour exemple, on estime à plus de trois millions d’euros, le produit de la vente des badges de SOS Racisme « Touche pas à mon pote ! », depuis leur création. Seul le prétexte a changé : Il s’agit désormais de « la lutte contre le nationalisme français » baptisé racisme.

            C’est donc l’identité française qui est menacée au nom d’un cosmopolitisme qui a ses racines dans toutes les classes de la société et, force est de constater, qu’en période électorale, notamment, une littérature foisonnante et pullulante se développe dans une certaine presse, qui se propose d’une part de casser l’idée nationale et d’autre part d’utiliser ces masses flottantes d’immigrés comme une légion étrangère de la Révolution. Un machiavélisme féroce et irréfléchi préside à l’élaboration du grand crime qui se prépare. La vérité est altérée par des récits orientés à l’excès et par omission systématique de tout ce qui conviendrait le mieux de mettre en lumière, tout cela afin de convaincre l’opinion publique que vouloir sauvegarder l’identité de sa patrie et de la civilisation dont elle fut le creuset n’est rien d’autre que du racisme. Robert Menard, dans un livre : « La censure des bien-pensants » chez Albin Michel, dénonce cette force obscure et gauchisante, à contresens de l’esprit pluraliste dont la France et nous, le peuple, avons besoin.

            Faut-il attribuer ce mal à l’acharnement que nous mettons entre Français, non seulement à nous entre-déchirer, mais même à donner un effet rétroactif à nos divisions du moment ? Ces causes se rendent-elles compte du mal qu’elles distillent autour d’elles ? Ne semblerait-il pas plutôt qu’elles aient été enrôlées au service d’une entreprise voulue, calculée, facilitée par ces divisions chroniques que la France traîne comme un boulet depuis des siècles ? « La France est le seul pays du monde où, si vous ajoutez dix citoyens à dix autres, vous ne faites pas une addition, mais vingt divisions » écrivait Pierre Daninos dans « Les carnets du major Thompson ».

            Il est certain toutefois que bon nombre de Français égarés par d’effrontés mensonges écouteraient la voix de la vérité et du bon sens si on prenait la peine de la leur faire entendre. Victor Hugo se plaisait à dire qu’« une calomnie dans les journaux c’est de l’herbe dans un pré. Cela pousse tout seul. Les journaux sont d’un beau vert ». Mais il appartient à tous ceux qui se réclament du monde libre de réagir. Rien n’est jamais achevé dans un temps qui se poursuit. La vérité –que bon nombre entrevoient déjà- et la justice mettent toujours longtemps à se lever sur le monde ; malheureusement quand elles sont enfin là, il est souvent trop tard !... Et Charles Péguy de nous avertir à ce sujet : « Le triomphe des démagogies est passager, mais les ruines sont éternelles »…

            Jaurès s’est écrié un jour : « Le courage c’est de chercher la vérité et de la dire, c’est de ne pas subir la loi du mensonge triomphant qui passe ! »

            Aujourd’hui, après des années de lutte, maints écrits, maintes interventions et conférences sur les dangers que nous encourons face à l’immigration massive et incontrôlée, à la montée du fondamentalisme islamique et à l’islamisation inéluctable de la France, j’ai conscience d’avoir dit la vérité, même si celle-ci a parfois choqué les adeptes d’une tolérance irréfléchie, stupide et suicidaire entraînant à mon endroit les pires insultes. « Dire la vérité est utile à celui à qui on la dit, mais désavantageux à ceux qui la disent, parce qu'ils se font haïr » soutenait Blaise Pascal... Cependant, pour avoir connu les affres du terrorisme, de la guerre civile, l’exode et l’exil, l’expérience du passé m’incite à conclure dans ce qui, aujourd’hui, est mon ultime article, que, comme en Algérie, la tactique, dite du « salami » est utilisée en France et il se trouve, toujours des responsables politiques de tous bords, des usuriers, ou simplement des opportunistes du « show biz » pour faire digérer chaque tranche à une opinion publique assoupie depuis des lustres. « Ce peuple que tu as trahi, il oubliera jusqu'à ton nom » écrivait le poète Arnulf Overland… Seulement, ces gens là seront, à leur tour, défenestrés et l’Histoire traînera leurs noms dans la fange. Mais ce sera une piètre consolation pour un peuple enchaîné. Jamais la prophétie de Lénine n’a été aussi véridique et sur le point de se réaliser : « L’Occident nous vendra la corde pour le pendre ».

"Si vous ne changez pas en vous-même, ne demandez pas que le monde change" 

PEUPLE DE FRANCE…     REVEILLE-TOI !

José CASTANO (petit fils d’immigrés espagnols)

E-mail : joseph.castano0508@orange.fr 

Retour Joseph Castano. 

candidat FN et « Rassemblement Bleu Marine » aux législatives dans la 9ème circonscription de l’Hérault

« Nous sommes dans une époque où le consentement au pire semble se faire fort aisément, où tout concourt à ce consentement, par passivité, aveuglement volontaire ou non, lâcheté, résignation…La marche vers l’autodestruction qui hante ce pays (la France) le mène à sa perte doit être arrêtée » (Guy Millière)

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            Avec la gauche au Pouvoir, l’avenir s’annonce désormais difficile pour la France. Nos institutions vont probablement connaître un changement radical. Seul le Mouvement national incarné par Marine Le Pen sera en mesure de créer un « pare-feu » afin d’éviter que la totalité des Pouvoirs ne soit concentrée au sein d’un même parti à l’Assemblée Nationale et de s’opposer avec fermeté à la régularisation des clandestins, au droit de vote accordé aux étrangers, à l’immigration, aux zones de non-droits, à l’insécurité et, par-dessus-tout, à l’islamisation inéluctable de la France… Au-delà des clivages et des attaches partisanes, Marine sera la seule à pouvoir fédérer sous sa bannière –comme le fit, jadis, Jeanne- tous les patriotes français autour du seul Mouvement national à même de faire entendre leurs voix : Le Rassemblement Bleu Marine ! » 

             Désormais, le vote « utile », si employé au bénéfice de l’UMP, sera celui en faveur du FN et Marine Le Pen de s’adresser en ces termes aux électeurs de l’UMP : « Il faut une opposition qui tranche politiquement, digne de confiance et sûre d’elle. A ceux qui veulent aujourd’hui construire une opposition nouvelle dans ce pays, il faut faire entrer des députés patriotes à l’Assemblée nationale. » 

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            Puisque l’UMP a appelé à voter en juin socialiste, de quoi se plaint-elle puisqu’elle a désormais les socialistes au pouvoir !

- http://rutube.ru/tracks/5599318.html 

- http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=JbHqJGI96ws#!

- Comme lors des cantonales, des élus UMP appellent, d’ores et déjà pour les législatives, à « faire barrage aux candidats du FN ». Ainsi, la victoire de la gauche sera totale… « On veut bien les voix du FN, mais pas leurs gueules ! » : Cliquez sur : http://www.nationspresse.info/?p=169505 

- Sénatrice UMP de Paris et ex-ministre des Sports, Chantal JOUANNO déclare, le 7 Mai 2012, au journal « Marianne » : « Il faut, et cela se passe maintenant, avant les législatives, être clair sur le front républicain : donc le réaffirmer. Si un second tour oppose un socialiste à un candidat du Front national, nous devrons faire élire le socialiste. Il faut le dire clairement, trancher cette question, et ne plus admettre d’ambiguïté... » 

Comme le disait Einstein, "la définition de la folie, c’est de faire à chaque fois la même chose en espérant un résultat différent à chaque fois".

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Sur la terre imprégnée du sang des légionnaires, le soleil ne se couche jamais 

Dans le cadre du « cinquantenaire » de la fin de la guerre d’Algérie, hommage aux « Seigneurs de la guerre » des unités dissoutes : 1er Régiment Etranger de Parachutistes, 14ème et 18ème Régiment de Chasseurs Parachutistes, Commandos de l’Air, Groupement des Commandos Parachutistes, 10ème et 25ème Division de Parachutistes

 Conférences données par Joseph CASTANO : 

« LES SEIGNEURS DE LA GUERRE » 

- De l’Indochine à l’Algérie, la Légion étrangère au combat

- L’Odyssée et la fin tragique du 1er Régiment Etranger de Parachutistes en Algérie. 

- Samedi 19 Mai, 16h, Espace Vauban, salle Vauban - 207, av gen de Gaulle (1ère impasse après la gendarmerie) – 34400 LUNEL (Mémoire de l’Armée d’Afrique et ANFANOMA)

- Samedi 26 Mai, 16h, Salle polyvalente – Bd de la démocratie (près de la Police Municipale) – 34130 MAUGUIO (Mémoire de l’Armée d’Afrique) 

 Entrée gratuite - Renseignements au 04.67.17.15.58 et 06.84.66.80.07 

            « De l’Indochine à l’Algérie, le conférencier évoque le vécu, l’héroïsme et les sacrifices de ces légionnaires, Fils de France non par le sang reçu mais par le sang versé. Ces soldats-loups à la démarche souple de félins, accoutumés à la chasse et au guet, infatigables dans le chaos minéral de l’Aurès, acceptaient le défi de la guerre dans  les défilés étroits comme des pièges, sur les pitons enneigés ou brûlés par le soleil, dans l’enfer du désert où le monde mort a chassé celui des vivants. Ces hommes, « soldats pour mourir », constituaient le plus beau régiment du mode ; jalousés, admirés et vénérés parce qu’ils étaient capables de mourir avec panache en criant : « Vive la Légion ! »

            … Puis il y eut le 22 avril 1961 et le soulèvement des meilleures unités combattantes dont le 1er REP était le « fer de lance »… sa dissolution et celle des plus belles unités parachutistes… l’émouvant adieu de la population de Zéralda à « ses » légionnaires… le « cessez-le-feu » et la fin tragique de l’Algérie française… Le génocide des harkis commençait.

… Et aussi :

- Samedi 2 Juin, 16h, Centre de vacances AZUREVA, 4, av de la Butte – 34300 CAP D’AGDE - Thème : « Il y a 50 ans… L’Exode »  (Amicale des Anciens Koubéens) Tel. 05.67.00.32.78

- Samedi 23 Juin, 15h, Auditorium hôtel Novotel ATRIA (à proximité des arènes) – 5, bd de Prague – 30000 NIMES – Thème : « Il y a 50 ans… L’Exode » - Conférence donnée dans le cadre du cinquantenaire organisé par la ville de Nîmes – Entrée gratuite – Renseignements : 04.66.27.76.80

 

Pour revoir: 

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Vous pouvez vous rayer de cette diffusion à tout moment :  Tapez « NON »   

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Article 19 de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme : "Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit"

 

 

25 mars 2012

LE SCANDALE DES DISPARUS D'ALGERIE

            Des archives révèlent le sort atroce réservé aux Européens d’Algérie après le cessez-le-feu du 19 mars 1962. Je demeure engagé dans notre entreprise commune visant à traduire dans un traité d’amitié notre partenariat d’exception. Il y va de l’avenir de notre pays et de nos deux peuples.
            Ces lignes ont été adressées par Jacques Chirac, début janvier, à Abdelaziz Bouteflika. Plus que jamais, le chef de l’État souhaite la signature d’un traité d’amitié entre les deux pays. À quel prix ? Le président algérien n’a cessé, l’an dernier, d’appeler la France à faire repentance : « L’occupation (française) a adopté la voie de l’extermination et du génocide qui s’est inlassablement répété durant son règne funeste », accusait-il le 8 mai 2005 à Sétif…
            Or, dans le même temps, la France lève le voile sur des archives effrayantes : elles concernent les enlèvements d’Européens et les sévices infligés aux harkis après le cessez-le-feu du 19 mars 1962. Il s’agit de documents du 2e Bureau conservés au Service historique de l’armée de terre : procès-verbaux de gendarmerie, dépêches et analyses du 2e Bureau, listes, photographies…
            Sous la pression des familles de victimes et de la Mission interministérielle aux rapatriés, le Quai d’Orsay a autorisé en juillet 2004 l’accès aux dossiers des Européens disparus en 1962 : 2 281 dossiers contenant les correspondances des ambassades et des consulats de France en Algérie, ainsi que des fiches individuelles d’enquête établies par le Comité international de la Croix-Rouge (CICR). Ce qu’y découvrent les familles des disparus confine à l’horreur. « Probablement égorgé, cadavre jeté dans le four d’un bain maure (témoin européen anonyme). » Viviane Ezagouri-Pinto a lu ces mots le 24 août 2004, quarante-deux ans après la disparition de son père dans les émeutes du 5 juillet 1962 à Oran. « Pendant un an, j’ai perdu le sommeil, je ne pouvais plus m’approcher d’une source de chaleur sans pleurer », raconte cette Oranaise de 60 ans, anéantie par la brutalité de la nouvelle. Sans un mot de condoléances, le ministère des Affaires étrangères lui a envoyé le rapport établi le 21 août 1963 par la Croix-Rouge suisse, indiquant les circonstances terribles de la mort de Joseph Pinto. « Nous voulons savoir pourquoi la France a caché pendant quarante-deux ans qu’elle savait ce qu’étaient devenus ces gens », dit Jocelyne Quesada, vice-présidente de l’association des Oraniens.
            Joseph Pinto était représentant de commerce. Il a disparu le 5 juillet 1962, date choisie par le FLN pour fêter l’indépendance nouvellement acquise. La veille, les voitures de l’armée ont sillonné les rues d’Oran pour inciter les pieds-noirs, apeurés, à sortir de chez eux : « L’armée française garantit la sécurité des Européens. Vous ne courez aucun danger ! » Vers dix heures, Joseph Pinto décide d’aller “sentir l’atmosphère”. Le rapport de la Croix-Rouge précise : « L’enlèvement a eu lieu à 15 h 30, rue Léon-Djéan, à hauteur du n° 18… » Sa fille sort elle aussi rejoindre son fiancé. Tous deux sont arrêtés, mais rapidement libérés par un commandant de l’Armée de libération nationale qui la connaissait de vue.
            Vers onze heures et demie, après un tir de rafale, civils et militaires musulmans de l’ALN entament une chasse à l’Européen. « On rafale, on égorge, on entasse les otages dans des camions qui les emmènent en direction de l’aéroport ou derrière le commissariat central. C’est la boucherie », raconte Geneviève de Ternant dans l’Agonie d’Oran.
            Le général Katz, alors commandant du secteur autonome d’Oran, accuse l’OAS d’être à l’origine du coup de feu initial. Le journal de marche du 4e zouave parle d’une rafale tirée par « un individu musulman (vêtu d’une robe verte) ».

            Le 6 août 1962, les Pinto, en Algérie depuis cent dix ans, partent définitivement sur le bateau des rescapés du 5 juillet, l’Exodus. Jean de Broglie, secrétaire d’État aux Affaires étrangères, leur envoie un courrier le 19 septembre 1963. Il parle de « forte présomption de décès », expliquant sans plus de précisions qu’« il n’y a malheureusement plus d’espoir de retrouver en vie Joseph Pinto ».
            Une lettre type envoyée à un très grand nombre de familles. En 1967, les Pinto reçoivent un certificat de décès, délivré automatiquement au bout de cinq ans. À chaque fois, il leur est répété que le gouvernement met tout en œuvre pour le retrouver…
          Plus de nouvelles jusqu’en 2004. Informée de l’ouverture des archives, Viviane remplit un formulaire sur le site Internet du ministère des Affaires étrangères. Un mois plus tard, elle lit la formule habituelle, « Ci-joint copie des documents conservés à Paris » avant de découvrir la terrible vérité : « Probablement égorgé ». « Je connais enfin le sort de mon père, mais à quel prix ! », déplore Viviane. Elle repense aux journées passées à chercher son père, dans les bureaux, les hôpitaux, les morgues, à la mairie, sans pouvoir accéder au stade où étaient parqués des centaines de prisonniers. Elle se souvient des photos des massacres prises par les gendarmes, sur l’une desquelles elle avait reconnu une marchande de loterie. « Les photos des cadavres existent, nous demandons à les consulter : nous avons le droit de savoir où ont été enterrés les corps de nos proches. »
            Depuis août 1963, l’Algérie et la France étaient en possession des résultats de l’enquête concernant les disparus européens, résultats que les deux pays ont décidé de ne pas rendre publics. « Ils ont voulu étouffer l’affaire ! », clament les associations de rapatriés. Pour elles, le gouvernement de l’époque a empêché les militaires présents à Oran d’intervenir pour arrêter le massacre, se rendant complice des assassins. « L’armée est intervenue sur-le-champ », rétorque le général Katz.
            Une affirmation en contradiction avec le journal de marche et d’opérations (JMO) manuscrit de l’armée française, sur lequel figure, après la fusillade, cette indication : « Les troupes restent consignées. » Il y a eu cependant quelques actions individuelles, notamment celles des 2e et 4e zouaves ou du 8e Rima, qui ont permis de sauver un grand nombre de civils européens. « Il ne s’agit pas d’une intervention générale de l’armée française (…), mais de la décision de se soustraire partiellement à la rigueur des directives de l’état-major français, devant l’ampleur et la gravité inattendues des troubles », explique l’historien Jean Monneret dans la Phase finale de la guerre d’Algérie.

            Abdelaziz Bouteflika veut que la France fasse repentance et la France veut son traité d’amitié. Le 17 octobre 2001, le maire de Paris, Bertrand Delanoë, a déposé sur le boulevard Saint-Michel une plaque « à la mémoire des nombreux Algériens tués lors de la sanglante répression de la manifestation pacifique du 17 octobre 1962 ».
Le gouvernement a demandé pardon pour les événements du 8 mai 1945 à Sétif. Oublier les victimes de la fusillade de la rue d’Isly à Alger le 26 mars 1962 ou les massacres du 5 juillet serait une injustice.

L’administration a fait preuve d’une froideur choquante.

            Le 22 septembre 1995, Jacques Chirac avait reconnu la responsabilité du gouvernement de l’époque, affirmant : « La France, en quittant le sol algérien, n’a pas su sauver ses enfants… Il faut réparer aujourd’hui les erreurs qui ont été commises. » Dix ans après, Bernard Coll, secrétaire général de l’association Jeune pied-noir, demande « la reconnaissance officielle de la responsabilité de l’État, à travers l’abandon et l’absence de protection, la non-évacuation ou non-récupération des Français d’Algérie de toutes origines, harkis, pieds-noirs et amis, dans les massacres et disparitions » postérieurs au 19 mars.
            L’administration française, en envoyant d’une manière aussi brutale le rapport de la Croix-Rouge, a fait preuve d’une froideur choquante. « Ils ne se sont pas rendu compte combien ça pouvait faire mal », explique Viviane.
            Depuis, les choses ont évolué, et le ministère a changé d’attitude : les formulations se sont affinées. Au rapport envoyé à M. Fulgencio, dont la mère et le frère ont disparu, a été joint ce message de condoléances : « Dans cette douloureuse circonstance, soyez assurés que les plus hautes instances de la République sont sensibles à votre peine. »
Avant d’envoyer le rapport, le Quai d’Orsay propose désormais un psychologue et vérifie que les familles sont soutenues et préparées au choc. La campagne réduisant la présence française en Algérie à cent trente ans de violences et de morts est loin d’être terminée.
            Mais l’ouverture de ces nouveaux fonds d’archives laisse espérer une approche des faits plus objective et surtout plus historique, fondée sur des preuves tangibles.
Agnès Lacombe  LECRI.NET

            Si les archives ne s’ouvrent pas, c’est peut-être parce qu’on apprendra les vrais ressorts de la non-intervention de la France, et qu’on n’en a pas envie.» Les archives militaires peuvent rester closes cent ans. «On ne pourrait pas porter un avis définitif avant 2060 ? C’est complètement absurde, juge Jordi. Ces familles qui ont perdu un proche ont besoin de savoir.» Ce printemps, Viviane a beaucoup apprécié Algérie, histoires à ne pas dire, le documentaire de Jean-Pierre Lledo qui revient sur cette période. Le cinéma, comme exutoire ? Viviane, qui fut sténodactylo et aide-comptable, a deux fils, de 42 et 37 ans, et un petit-fils de 20 ans qui est dans le cinéma. «Il m’a dit : “Je te ferai un film, Mamie.”»

VIVIANE EZAGOURI en 4 dates

5 juillet 1962 Elle a 17 ans, son père disparaît à Oran (Algérie).

Août 1962 Part pour la France.

2004 Reçoit un avis de la Croix-Rouge.

2007 Ecrit à Nicolas Sarkozy. Toujours pas de nouvelles.

Retour Viviane Ezagouri


 

22 mars 2012

LA BETE EST MORTE

Document transmis par José Castano

"Nous, les Patriotes Français de souche nord-africaine, aimons trop la France pour permettre à quiconque de l'insulter ou de cracher sur son drapeau pour lequel nous avons versé tant de sang, donné notre jeunesse et la vie de beaucoup des nôtres. Alors la France qui a accueilli des étrangers de toutes origines et nationalités, doit être respectée chez elle, et ceux qui ne l'aiment pas doivent avoir la décence de ne pas manger son pain et de ne pas cracher dans la soupe qu'elle leur sert." Capitaine Rabah Kellif, Officier Français qui s’opposa aux ordres du sinistre general Katz, à Oran, en 1962 (1933 – 2003)

            Voilà, nous savons tout à présent et si un soulagement certain se lit sur le visage du plus grand nombre de Français, il en est cependant qui ne peuvent cacher leur déception. Rendez-vous compte ! L’ignoble assassin, tueur d’enfants et de soldats, ne provient pas des mouvances néo-nazis, ni celles de l’extrême droite… même pas du FN, non ! C’est un islamiste ! Et, chose aggravante, pour nos gouvernants qui demeurent silencieux sur ce point, ce Mohamed Merah, 23 ans, chantre d’Al-Qaïda, bénéficie de la double nationalité algérienne et française… ce qu’a toujours combattu, précisément, le FN. Quelle déception disais-je et quel désaveu pour la clique Mélanchoniste, communistes, syndicalistes, champions des « droits de l’homme », pyromanes de l’identité française, adeptes de la diversité ethnique… On imaginait déjà, de gigantesques rassemblements dans toute la France, un grand défilé républicain qui aurait submergé les Champs Elysées, des centaines de milliers de manifestants qui auraient dénoncé, à l’unisson, la montée du fascisme et du racisme. On y aurait vu tous les ténors de la politique de droite et de gauche, bras dessus, bras dessous –comme en 2002- dénoncer avec emphase le retour de la « bête immonde » et vouer le FN aux gémonies… Quelle occasion sublime d’abattre, là, Marine Le Pen, de voir son électorat lui tourner subitement le dos ! Les journalistes, comme pour l’affaire de Carpentras, en auraient fait leurs choux gras et la diabolisation aurait repris de plus belle… Malheureusement, pour ces champions de la morale, rien de tout cela ! Au contraire, les Français, amorphes jusque là, anesthésiés par tant de discours démagogiques, ont pris subitement conscience de la gravité de la situation. Le danger est là, réel, latent. Leurs enfants risquent, demain, au hasard d’une rue, d’être la cible des « fous de Dieu » car des Mohamed Merah –dont le cheminement criminel supplémentaire était programmé- il y en a des milliers qui attendent leur tour, formés dans les camps d’Al-Qaïda ou simplement conditionnés, fanatisés par les agents recruteurs, prêts à frapper, n’importe où, n’importe quand et sur n’importe qui.

            Cependant, il y a une morale navrante à tirer de ce drame épouvantable. Ce triste individu, connu des services de police pour sa dangerosité et sa radicalité, surveillé de surcroit par la DCRI (Direction Centrale du Renseignement Intérieur), aurait dû être déchu de sa nationalité française et extradé vers son pays d’origine, l’Algérie, après ses 18 faits de violence précédents. On a négligé ce point crucial et nos gouvernants –comme leurs prédécesseurs- devraient faire profil bas et s’interroger sur leur laxisme, leur responsabilité –voire leur lâcheté- car si une décision élémentaire de justice avait été appliquée à l’endroit de ce monstre, trois enfants connaîtraient encore aujourd’hui l’amour de leurs parents et quatre de nos soldats continueraient avec fierté à servir leur pays, la France.

José CASTANO

E-mail : joseph.castano0508@orange.fr 

Retour Joseph Castano. 

 

- Samedi 24 Mars, « grand oral » des présidentiables à Nîmes, face à la communauté des Français d’AFN avec la présence de Jean-Marie LE PEN à 10h45

 

Programme de la réunion à l’intention des candidats à l’élection Présidentielle :

 

Cliquez sur : http://infodiv.canalblog.com/archives/2012/03/16/23777411.html

 

Renseignements et réservations au déjeuner : 04.94.33.68.38 - 06.09.78.58.92 – 06.82.22.75.65

Réservation hébergement sur place : 06.82.22.75.65 

 

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Sur la terre imprégnée du sang des légionnaires, le soleil ne se couche jamais

 

Dans le cadre du « cinquantenaire » de la fin de la guerre d’Algérie, hommage aux « Seigneurs de la guerre » des unités dissoutes : 1er Régiment Etranger de Parachutistes, 14ème et 18ème Régiment de Chasseurs Parachutistes, Commandos de l’Air et Groupement des Commandos Parachutistes. Conférences et interventions diverses assurées par Joseph CASTANO :

 

« LES SEIGNEURS DE LA GUERRE »

 

- De l’Indochine à l’Algérie, la Légion étrangère au combat

- L’Odyssée et la fin tragique du 1er Régiment Etranger de Parachutistes en Algérie. 

 

1) Samedi 14 Avril, 10h, Hôtel restaurant « Le Campanile », 30 rue Ratacas – ZI de Plaisance – 11100 NARBONNE (Tel. 04.68.33.24.40). Un déjeuner suivra. Inscriptions au 04.68.32.70.07 (le matin) (Cercle algérianiste)

 

2) Mercredi 18 Avril, 18h, Maison pour tous Mélina Mercoury – 842, rue de la Vieille Poste, (Zone du Millénaire, face à IBM) - 34000 MONTPELLIER (Asso « Mémoire de 4) Samedi 28 avril, 16h, Centre culturel, Place du 1er Octobre 1974 (près de la Mairie) – 34280 LA GRANDE MOTTE (Mémoire de l’Armée d’Afrique et Amicale des PN de la GM)

 

3) Samedi 19 Mai, 16h, Espace Vauban, salle Vauban - 207, av gen de Gaulle (1ère impasse après la gendarmerie) – 34400 LUNEL (Mémoire de l’Armée d’Afrique et ANFANOMA)

 

4) Samedi 26 Mai, 16h, Salle polyvalente – Bd de la démocratie (près de la Police Municipale) – 34130 MAUGUIO (Mémoire de l’Armée d’Afrique)

 

            Toutes ces entrées sont gratuites - Renseignements au 04.67.17.15.58 et 06.84.66.80.07

            « De l’Indochine à l’Algérie, le conférencier évoque le vécu, l’héroïsme et les sacrifices de ces légionnaires, Fils de France non par le sang reçu mais par le sang versé. Ces soldats-loups à la démarche souple de félins, accoutumés à la chasse et au guet, infatigables dans le chaos minéral de l’Aurès, acceptaient le défi de la guerre dans  les défilés étroits comme des pièges, sur les pitons enneigés ou brûlés par le soleil, dans l’enfer du désert où le monde mort a chassé celui des vivants. Ces hommes, « soldats pour mourir », constituaient le plus beau régiment du mode ; jalousés, admirés et vénérés parce qu’ils étaient capables de mourir avec panache en criant : « Vive la Légion ! »

 

… Puis il y eut le 22 avril 1961 et le soulèvement des meilleures unités combattantes dont le 1er REP était le « fer de lance »… sa dissolution et celle des plus belles unités parachutistes… l’émouvant adieu de la population de Zéralda à « ses » légionnaires… le « cessez-le-feu » et la fin tragique de l’Algérie française… Le génocide des harkis commençait.

 

- Cliquer sur : LE BOUDIN puis sur le logo de la fenêtre qui s’affiche en bas à gauche.

 

Et aussi : 

 

5) Jeudi 12 Avril, 18h30 – Restaurant « LE FLAMAN AND CO » - 4, Centre commercial Les Boutiques du Couchant II - 34280 LA GRANDE MOTTE – Grand débat sur « le droit de vote des étrangers » avec l’association « Nous les Francs » et intervention sur le thème « L’Islam et la conquête de l’Occident » - Dîner obligatoire – Renseignements et inscriptions au 06.77.51.66.08 et 06.68.60.20.37

 

6) Lundi 14 Mai, 19h30, Hôtel Mercure - 34280 LA GRANDE MOTTE (Cercle Européen) – Thème : « Islam… Religion conquérante » - Dîner obligatoire – Inscriptions au 04.67.69.06.38 et 06.26.06.86.62

 

7) Samedi 2 Juin, 16h, Centre de vacances AZUREVA, 4, av de la Butte – 34300 CAP D’AGDE - Thème : « Il y a 50 ans… L’Exode »  (Amicale des Anciens Koubéens) Tel. 05.67.00.32.78

 

8) Samedi 23 Juin, 15h, Auditorium hôtel Novotel ATRIA (à proximité des arènes) – 5, bd de Prague – 30000 NIMES – Thème : « Il y a 50 ans… L’Exode » - Conférence donnée dans le cadre du cinquantenaire organisé par la ville de Nîmes – Entrée gratuite – Renseignements : 04.66.27.76.80

 

 

 

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18 mars 2012

NON AUX COMMEMORATIONS DU 19 MARS 1962 - L'IMPOSTURE

ASSOCIATION DES FAMILLES DES VICTIMES DU 26 MARS 1962

BP 20027 95321 ST LEU LA FORET CEDEX

Isly26mars@wanadoo.fr

NON AUX COMMEMORATIONS DU 19 MARS 1962

L'Association des Familles des Victimes  de la fusillade du 26 mars 1962  à Alger, juge insultante la prétention de la F.N.A.C.A. à vouloir imposer la commémoration officielle  d'un cessez-le feu qui marquerait, selon elle, la fin de la guerre d'Algérie.

Cette association veut oublier et, par-là, faire passer à la trappe de l’histoire les massacres tout au long des mois qui ont suivi : le drame de la rue d'Isly à Alger,  quelques jours seulement après le « cessez-le-feu », les enlèvements, disparitions, tortures et assassinats d'Européens, de  Harkis et de Musulmans pro-français, la tragédie d'Oran, le 5 juillet…

Ces Anciens combattants, heureusement minoritaires, oublient ce faisant leurs propres camarades, morts ou disparus après le 19 mars 1962. Ils méprisent aussi l'exode imposé à plus d’un million de français d’Algérie. 

Nous, Familles des Victimes du 26 mars 1962, sommes les premières hélas à pouvoir en témoigner… Non, le Feu n'a pas Cessé en Algérie, voici 50 ans!

Le prétendre est une imposture!

Nicole Ferrandis Présidente de l’association des familles des victimes du 26 mars 1962

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11 février 2012

L’ISLAM… D’HIER A AUJOURD’HUI

 

« Le temps des mille ans s’achève. Voilà que sortent les nations qui sont aux quatre coins de la terre et qui égalent en nombre le sable de la mer. Elles partiront en expédition sur la surface de la terre, elles investiront le camp des saints et la ville bien-aimée » (XXe chant de l’Apocalypse)

 

            Rappelez-vous que, quand nous serons indépendants et dans un minimum de temps, nous combattrons les trois cents kilomètres que nos ancêtres ont envahis en France. Voici les limites, Poitiers, Saint-Etienne, Lyon, les environs des Alpes et les Pyrénées. Toutes ces terres et ces villes sont celles de nos ancêtres. Après la guerre d’Afrique du Nord, nous allons envahir les trois cents kilomètres qui nous appartiennent et les ports de Toulon, Marseille, Bordeaux. Nous sommes les fils de Mohamed, fils de l’Islam.

            Cinquante six ans après la diffusion de ce tract, la prophétie est en voie de se réaliser…

            Aujourd’hui, le monde arabe, sous l’emprise des faux prophètes que sont les religieux, est obsédé par les souvenirs de grandeur, le tumulte des épopées oubliées, les magnificences des siècles révolus. A leurs fidèles, contemplatifs, crédules et soumis, ils annoncent l’arrivée du Madhi, de l’Envoyé, qui plierait les infidèles sous la loi du cimeterre, comme aux siècles de gloire… Ils font de cette effrayante prédiction leur principal thème de combat dénombrant au passage les millions d’hommes entassés dans les deltas des fleuves d’Asie, les fourmilières humaines qui grouillent aux confins du Gange, celles qui piétinent aux marches des déserts d’Arabie. Ils y ajoutent les peuples du Caucase et de l’Oural, ceux du Moyen-Orient et du Maghreb, ceux du Soudan, du Sénégal et du Niger. Et serrant l’Afrique et l’Asie dans leurs doigts, ils expliquent que rien désormais ne pourrait plus résister à l’avalanche, que c’est le nombre –c’est-à-dire eux- qui fera désormais la loi, que l’Histoire est en marche, que nul ne saurait plus jamais l’arrêter, que les signes qui annoncent la victoire sont évidents et que la fin de l’Occident est déjà écrite quelque part sur les livres de l’Eternel. Le monde arabe est ainsi devenu une gigantesque bouilloire où surgissent de toute part les faux prophètes comme des silhouettes d’apocalypse. Ils ne poussent plus leurs « fidèles » à la bataille… ils les convient à la curée.

            C’est ainsi que ces hommes ont imaginé de mobiliser au profit de leurs calculs, la force de bélier de ces masses en mouvement et, couvrant d’un faux sens les mots qui les fascinent, ils leur ont donné des étendards sur lesquels sont peints les symboles éblouissants, mais qui ne dissimulent, en réalité, que de sauvages appétits de conquête, et un goût du meurtre et du sang hérité des âges barbares.

            On peut se demander comment ces faux prophètes que sont les Oulémas et les Imans –des religieux !- peuvent allier les commandements de Dieu et les crimes atroces que perpétuent en son nom de par le monde les terroristes islamiques. Eux s’étonnent que l’on ose compromettre ou ralentir la résurrection de l’Islam avec des scrupules de ce genre. La guerre révolutionnaire que ces fanatiques ont entreprise a des exigences… et la terreur qu’ils font peser sur le monde en a d’autres plus cruelles encore. Et pour mieux inculquer à leurs troupes fanatisées cette nécessaire terreur, ils ont recours au miracle du verbe, sacrifiant des foules, offrant des hommes au moloch dans le creux de leurs paumes ouvertes, brassant des vivants inutiles, balayant des millions de morts du revers de leurs mains, et reconstruisant dans les transes de l’extase, un avenir qui n’a plus de sens puisque ne se levant que sur des charniers et des déserts.

            En 1968, Abdallah Ghochach, juge suprême du Royaume hachémite de Jordanie s’exprimait en ces termes : « Le Djihad a été légiféré afin de devenir un moyen de propagation de l’Islam. En conséquence, les non-musulmans doivent venir à l’Islam soit de leur plein gré, soit de force par la lutte et le Djihad… La guerre est la base des relations entre les musulmans et leurs adversaires. »

            Et voilà qu’aujourd’hui, la haine de l’Occident ramène les arabes vers l’Islam, un Islam farouche, fanatique comme aux premiers âges… Tous les pays arabes ont lancé en leur temps la guerre au nom de la « démocratie » et de la « liberté »… Nous avons connu cela en Algérie. Ils la prolongent dans cette croisade qui s’appelle la guerre sainte et que l’Occident aveuglé par l’obstination chrétienne, la conscience humaine et la morale ne perçoit même pas. Mais on ne la livre plus au nom des Evangiles ou des Philosophies, on se bat pour de chimériques recettes de bonheur, des fictions dangereuses, des illusions puériles. On bourre la cartouchière des terroristes de munitions mais on leur donne aussi une musette gonflée de mensonges qui entretiennent leur colère. On incite les peuples à la haine en indiquant aux uns qu’ils se battent toujours pour les mêmes misères et aux autres que les temps sont venus de recommencer l’épopée. Et du Gange à l’Atlantique, l’Islam renoue des forces irrésistibles… Il faut préparer la grande fête de la guerre pour chasser les infidèles et, fusil au poing et bombes dans les valises, bâtir de nouveaux empires plus étonnants encore que ceux de la légende. Reviendront ainsi les terribles images, celles que nous avons connues en Algérie : Les hommes égorgés, émasculés, pendus aux arbres des bois, les enfants cloués aux portes des masures et les femmes attachées à la queue des chevaux emballés. Enfin, des stratèges diaboliques ont compris le parti que l’on pouvait tirer des colères allumées par les mensonges dans le cœur des naïfs et des crédules. Ils ont cessé de faire la guerre eux-mêmes. Ils y ont poussé les peuples abusés. Ils payent ces mercenaires d’un nouveau genre avec des mots et pour exciter leur ardeur au suicide, ils leur ont insufflé le pire des poisons : La haine.

            Partout montent les clameurs de ces peuples qui rêvent de revivre enfin la prodigieuse épopée scandée par le choc des cimeterres et dont les fastes illuminent encore la nuit des temps… Partout ces cris qui menacent l’Occident, l’invectivent et le vouent à la mort. La vieille prédiction de Kipling devient une réalité redoutable : « Voici que montent les multitudes à l’assaut de la passe de Khaybar… » Et pendant ce temps, pendant que s’accélère cette frénésie des peuples acharnés à assassiner l’Occident comme pour se venger d’avoir reçu de lui la vérité qui prête une force gigantesque à leur faiblesse millénaire, l’Occident se bat contre lui-même pour une définition puérile de la liberté.

José CASTANO (petit fils d’immigrés espagnols)

E-mail : joseph.castano0508@orange.fr 

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« Tout au long de l’Histoire, l’immense expansion musulmane s’est effectuée par la guerre sainte, les massacres, l’intolérance, la volonté de conquérir, de diriger, de s’imposer, par la colonisation… » (Jean-Paul Roux, historien français spécialiste du monde turc) 

André Malraux et bien avant lui Charles Maurras, ont fait un constat.
Charles Maurras en 1926 : « Nous venons de transgresser les justes bornes de la tolérance, du respect et de l'amitié. » André Malraux en 1956 : « Peut-être des solutions partielles auraient-elles suffi à endiguer le courant de l'islam, si elles avaient été appliquées à temps. Actuellement, il est trop tard ! » 

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- L'ISLAM ET L'OCCIDENT par José CASTANO – Cliquez sur : Lire la suite 

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Islam, religion d’amour et de paix

             « Qui êtes-vous pour oser critiquer la religion de l’islam ? » me demande t-on en me traitant régulièrement de « raciste ».

            Je ne critique pas l'islam, je critique la barbarie de l'islam. Présentez-moi un islam paisible et bienfaiteur qui ne commet aucun acte de barbarie, qui n'est pas engagé dans le Jihad, qui ne forme pas des terroristes, qui n'envoie pas des femmes et des hommes se faire exploser dans des lieux publics… Un islam qui n'incite pas à la haine, qui n’appelle pas à la « guerre sainte », qui traite l'homosexuel, la femme adultère, l'apostat, le chrétien, le juif, aussi bien que nous les traitons, et je le saluerai.

            Quelle est cette religion qui méprise la femme, pur instrument de plaisir, et la déchoit de sa dignité humaine ? Esclavage, enfance dominée, mariages forcés, lapidations, enfermement à vie, humiliations, soumission, exclusion... La liste est longue, tout aussi longue que les interdits qui pèsent, aujourd’hui dans le monde, sur des millions de femmes dépourvues de tout droit.

            La loi de Jésus est généreuse ; elle ordonne le pardon, l’oubli de soi, le sacrifice, tandis que la loi de Mahomet prescrit le talion dans la vie sociale, et néglige les commandements suprêmes : « Tu travailleras ; tu ne tueras point. » Or le verset de la condamnation indique clairement que « Les chrétiens, les juifs et les idolâtres seront jetés dans les brasiers. Ils sont les plus pervers des hommes ».

            Voilà pourquoi nous voyons ici et là commettre tous ces crimes chaque jour avec une férocité inouïe sans que jamais ces âmes éprouvent une inquiétude. Les pires criminels ne perdent même pas l’estime de leurs coreligionnaires.

            Mais comment peut-il se trouver des hommes politiques, des catholiques instruits, des prêtres et des évêques qui en parlent comme d’une religion respectable, qu’on met sur le même pied que le christianisme parce qu’il est monothéiste ? Quelle aberration et quelle sottise !

            Voici la vidéo d’un homme empalé, lentement, patiemment, sous les chants, les rires et les applaudissements de ses coreligionnaires...

           Est-ce que je critique l’islam lorsque je publie cette vidéo ? Je montre cette facette de l’islam que nous, occidentaux, aurions du mal à concevoir si nous ne le voyions pas. Suis-je « raciste » pour autant ?

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- La France et le monde occidental en danger de mort. Cliquez sur : http://www.youtube.com/watch?v=U--MMeTJPto&feature=youtu.be 

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- Drapeau de la France outragé, honneur bafoué, non-assistance à pays en danger (cliquez sur ce lien) 

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26 janvier 2012

ISLAM ET INSÉCURITÉ

« Le droit du sol c'est cette aberration qui équivaut à prétendre qu’un cheval né dans une étable serait une vache... » (Alain Sanders, journal « PRESENT »)

 

« Le monde est dangereux à vivre ! Non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire » (Albert Einstein)

 

          Parmi toutes les décisions gouvernementales qui ne cessent d’affaiblir notre pays, il en est une qui mérite l’oscar de l’incompétence et de la sottise… Le 29 avril 1976, l’un de nos illustres Présidents, Giscard d’Estaing, flanqué de son inénarrable Premier Ministre, son « ennemi intime » Jacques Chirac, s’étaient érigés en « sauveur de la France » en imposant par décret l’une de leurs idées géniales qui firent leur notoriété : Le « regroupement familial des immigrés », prélude à « l’invasion » qui allait, très vite, permettre de dépasser le seuil de 7% de la population –préjudiciable, selon Giscard- à l’Unité nationale. Le fait de permettre aux immigrés non-européens installés en France de faire venir leurs familles transformait une immigration de travail en immigration de peuplement, ouvrant ainsi grandes les portes à cette invasion qui allait très vite devenir une catastrophe pour la France.

          Ainsi, pour avoir voulu faire de ce regroupement un moyen d’intégration basé sur la conviction irénique que des communautés raciales diverses pouvaient cohabiter harmonieusement sur un même territoire, on en a favorisé une cohabitation d’origines diverses, de mœurs différents, de cultures, de croyances qui ont immanquablement entraîné des frictions, des conflits, et il faut bien le dire, un sentiment de frustration de la part des populations autochtones. Ce multiculturalisme s’est traduit par un échec retentissant, tant en France que dans le reste de l’Europe, échec reconnu par ailleurs, tant par le Premier Ministre britannique David Cameron, que par la chancelière allemande Angela Merckel.

 A cela s’est ajouté un afflux de naturalisations qui ont permis à bon nombre de ces « Français de papier » –considérant la France comme une vache à lait- de bénéficier amplement de notre Sécurité Sociale, des Allocations familiales, des Allocations logement et naturellement des indemnités de chômage. Ces naturalisations anarchiques ont également eu pour conséquence de contourner l’opposition des Français au droit de vote des immigrés et d’altérer, ainsi, la sincérité des scrutins au détriment des mouvements nationaux. Et le pire reste à venir quand on pense qu’Eric Besson s’est prononcé, le 10 janvier 2010, dans le cadre du débat sur l’identité nationale, en faveur de l’octroi du droit de vote aux étrangers « dans les dix ans à venir »…

          Par ailleurs, usant et abusant des largesses de l’Administration française, les familles polygames –sous couvert de coutumes ineptes- se multiplient et aggravent les déficits. Il y en aurait plus de trente mille actuellement en France… « Quel bon pays est la France, à tous les escrocs, les aventuriers et les fripons ! » s’était déjà exclamé en son temps le duc de Saint-Simon.

          Aujourd’hui, le « regroupement familial » a contribué à travestir bon nombre de villes françaises ou tout au moins de quartiers, en colonies africaines et maghrébines : Montreuil est, désormais, la deuxième ville du Mali au bord de la Seine ; Vénissieux le deuxième centre du Maghreb… Et aussi : rue Très Cloître et le quartier de la Villeneuve à Grenoble ; le quartier des « explorateurs » du Val-Fourré situé à Mantes-la-Jolie ; le XIe arrondissement, l’ilôt de Châlon, Barbès et Clichy à Paris ; la cité des 4000 à La Courneuve ; celle des Merisiers à Tremblay et celle de la cité de Sevran (Seine-Saint-Denis) ; la cité des Bosquets à Montfermeil et celle des Moulins à Nice ; le quartier des Tarterêts à Corbeil-Essonnes ; Les Mureaux (Yvelines) ;  les Minguettes à Lyon-Vénissieux ; la cité des Bleuets, celle du Clos de la Rose, La Cayolle et Bassins à Marseille… en attendant la célèbre Cannebière qui se « maghrébise » inexorablement… sont les plus célèbres, mais non les seuls ; elles prolifèrent désormais… Ce sont de véritables enclaves, des ghettos d’immigration, où non seulement les Français n’ont plus le droit de pénétrer, mais où les autorités étatiques : police, pompiers, médecins, services publics ne peuvent exercer normalement leur mission et où les bus sont régulièrement caillassés… quand ils ne sont pas incendiés. « En France, la frontière passe désormais au milieu de certaines banlieues ! » écrivait Salomé Zourabichvili, femme politique et diplomate ayant la double nationalité française et géorgienne. De cela, tout le monde est convaincu. Tout le monde… sauf Martine Aubry qui, le 16 juin 2011, au JT de 20h sur TF1, répondait sans vergogne à Laurence Ferrari « qu’il n’existait pas, en France, de zones de non-droit ». Pour une candidate présidentiable briguant à cette époque la magistrature suprême, il y avait vraiment de quoi s’inquiéter quant au devenir de la France…

          Ce ne sont désormais plus des manifestations revendicatrices qui ont lieu… mais de véritables scènes de guérilla urbaine, préludes à une inévitable guerre civile que les plus avertis prophétisent déjà et qui se généralisent dans toute la France, sous l’œil désabusé des forces de l’ordre… dont l’action est le plus souvent neutralisée par celle de la magistrature qui devrait s’inspirer de cet avertissement de Léon Trotski : « Celui qui s’incline devant des règles établies par l’ennemi ne vaincra jamais ».

          Ainsi, régulièrement, des jeunes gens cagoulés se livrent au pillage, aux incendies et aux destructions et quand, enfin, l’ordre est donné aux forces de l’ordre d’intervenir après moult saccages, elles sont accueillies avec des jets de pierre, des barres de fer, des battes de base-ball, des cocktails Molotov et, désormais, avec des armes à feu à balles réelles, ce qui constitue un degré supplémentaire dans la transgression sociale et pénale. Voilà où nous a conduit l’immigration-invasion dont sont responsables nos politiques de tous bords ainsi que toutes ces associations adeptes de la tartufferie des droits de l’homme et de l’antiracisme. Et si le citoyen français, las de ces insubordinations, de ces dégradations et de ces violences quotidiennes, dénonce et clame son aversion envers les auteurs et les complices de tant de méfaits, il est aussitôt traité de raciste et de fasciste. C’est ainsi que quand un Sénégalais tue un Mauritanien ; quand un Algérien tue un Ivoirien ou vice-versa, les médias  parlent de « luttes interethniques » ; quand un Européen tue un Maghrébin, les médias nous parlent de « crime raciste » mais quand un Maghrébin tue un Européen, les médias ne nous en parlent pas ou le font en taisant l’origine ethnique du meurtrier. « En France on punit ceux qui sonnent le tocsin et on laisse en liberté ceux qui allument l’incendie » aimait à dire ce grand Français qu’était le Bachaga Boualam…

          Par opposition, le nombre des immigrés asiatiques est assez important en France, notamment à Paris… mais on ne les entend pas. Ils travaillent, ne représentent aucune charge pour la société et appliquent les règles élémentaires de la bienséance, de l’honorabilité et de la respectabilité.

          Le couloir de l’insécurité, aujourd’hui, du Havre à Marseille, en passant par Paris et Lyon est aussi celui de l’immigration ; les statistiques pénales et pénitentiaires montrent d’ailleurs, de manière incontestable, l’existence d’une très forte sur-délinquance maghrébine et africaine, qui joue un rôle moteur dans le développement de l’insécurité. Car lorsqu’ils apparaissent, le vandalisme et la délinquance créent les conditions de leur propre développement par la contagion de l’exemple.

          Dans un dossier spécial consacré à la délinquance étrangère, le journal Marianne, que l’on ne peut soupçonner de complaisance envers le FN, indique dans son édition du 9 janvier 2012, que d’après les statistiques officielles, les étrangers sont sur-représentés dans la délinquance. C’est ainsi qu’en 2010, 12,64% des condamnés pour crimes (punissables de plus de 10 ans de prison) étaient des étrangers, cette proportion étant de 12,58% pour les délits. Pour indication, en 2008, on comptait 5,8% d’étrangers dans la population active totale. 

          Désormais, dans bon nombre de cités, forts de leur impunité et de la terreur qu’ils font régner, les caïds font la loi considérant appartenir à un autre territoire que celui de la République : Le leur !  C’est ainsi que selon le journal « Le Monde » du 6 mai 2010, le crime et la délinquance ont coûté 115 milliards d’euros de juillet 2008 à juin 2009, soit 5,6% du PIB de la France, autant que l’éducation nationale ou le système hospitalier et que, selon « Le Cri du Contribuable » du 1 juin 2010, le coût annuel pour les finances publiques de la politique migratoire (immigration/émigration) de l’Etat est de 38,3 milliards d’euros, dont 30,4 milliards pour la seule immigration. Que de réalisations pourrions-nous accomplir avec cet argent !... Que d’avancées dans les domaines de la science et de la médecine pourrions-nous obtenir !... Que de misère pourrions-nous soulager !... «Les personnes issues de l’immigration renvoient une image épouvantable au reste de la population. Les Français ont une mémoire. Ils ont accueilli de nombreux flux migratoires. Ils n’ont jamais assisté à un tel déchaînement de violence, une telle haine…» a déclaré à ce sujet Malika Sorel, écrivain-journaliste d’origine algérienne.

      Et l’ultime Crédo du général Marcel Bigeard  nous incite à la réflexion quand il déclare en guise d’adieu : « Adieu ma France... Tu n’es plus celle que j’ai connue, le pays du respect des valeurs, de l’hymne et du drapeau, le pays de la fierté d’être français. Adieu ma France des trafics en tous genres, du chômage, de l’islamisme, de la polygamie, du laxisme, de la permissivité, de la famille décomposée... Adieu ma France réduite à l’état d’urgence, ma France déconstruite, en guerre avec elle-même. Je veux, néanmoins, demeurer optimiste et croire en ton sursaut. Mais qui te sauvera ? »

Oui, mon général, qui sauvera la France ?

José CASTANO (petit fils d’immigrés espagnols)

E-mail : joseph.castano0508@orange.fr 

Retour Joseph Castano. 

"A force de tout voir on finit par tout supporter...
 A force de tout supporter on finit par tout tolérer...
A force de tout tolérer on finit par tout accepter...
A force de tout accepter on finit par tout approuver"(Saint Augustin)

 

Et ces vers prémonitoires qui datent du XVIème siècle…

« France de ton malheur tu es cause en partie,
Je t'en ai, par mes vers, mille fois avertie.
Tu es marâtre aux tiens, et mère aux étrangers
Qui se moquent de toi quand tu es en danger,
Car la plus grande part des étrangers obtiennent
Les biens, qui à tes fils, justement appartiennent »
(Pierre de Ronsard - 1524 -1585)

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"L’islam n’est plus à considérer comme une simple religion mais comme un fait politique majeur de notre temps (…) C’est un phénomène absolument socio-politique, c’est une idéologie de lutte, c’est une idéologie d’agression."  (Dalil Boubakeur, recteur de la grande mosquée de Paris)

Voir la vidéo sur BFM TV / RMC au cas où certains seraient sceptiques :

http://www.defrancisation.com/dalil-boubakeur-islam-est-une-ideologie-agression/ 

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- A Paris, scène de la vie quotidienne… (Vidéo tournée sur la ligne 1 du métro : Château de Vincennes / La défense) – Cliquez sur :

    http://www.nationspresse.info/?p=124099 

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INSECURITÉ : La France devient un pays qui abrite toute la « racaille » du monde ! La racaille fait la loi dans nos rues, les pouvoirs publics sont dépassés car police et justice ont baissé les bras ! Cliquez sur : Lire la suite 

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Cliquez sur : Délinquance étrangère : les chiffres qui dérangent tout le monde                                  

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Et quatre de plus !... 82 soldats français morts depuis 2001

 

Après les deux légionnaires tués, le 29 décembre 2011, par « le tir délibéré d'un soldat afghan de l'ANA », l'Armée nationale afghane, quatre autres soldats français ont été tués, vendredi 20 janvier 2012, par un homme relevant de cette même armée afghane dans l'est de l'Afghanistan. Selon la sécurité afghane, 17 soldats français ont par ailleurs été blessés. Quatre-vingt-deux soldats français sont morts en Afghanistan depuis le début du déploiement de la force internationale sous l'égide de l'ONU, fin 2001. Désormais l’ennemi n’est plus seulement le taliban… mais « l’allié » afghan, celui que l’on est censé aider.

Monsieur le Président, où conduira votre orgueilleuse intransigeance ? Combien  de nos garçons devront encore se faire tuer avant que vous décidiez, enfin, de les rapatrier ? Que retiendra l’Histoire, dans ce domaine, de votre quinquennat ?

http://www.defense.gouv.fr/terre/bloc-a-la-une/afghanistan-4-militaires-francais-tues-par-un-soldat-afghan

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Conférence sur : « LA KAHENA »

(La fabuleuse épopée de cette reine berbère qui s’opposa au VIIe siècle à l’invasion arabe de l’AFN)

 

          « Quinze ans après la mort du Prophète Mahomet, les armées arabes abordaient l’Afrique du Nord. Ce pays, jadis transformé par la civilisation romaine, en partie conquis à la foi chrétienne, va entrer dans l’ensemble, de jour en jour agrandi du monde musulman. C’est alors, que pour faire face à l’envahisseur, une femme va organiser la résistance berbère, réaliser la difficile unité du Maghreb et infliger aux cavaliers arabes de cuisantes défaites. Celle-ci, connue dans l’histoire sous le nom de La Kahéna, avait un caractère sacré. Il signifiait, la sorcière, la prêtresse, la devineresse. Elle possédait en effet un don prophétique et était vénérée de son peuple. Mais ses succès mêmes causeront sa chute…

          Durcie par ses victoires dans une orgueilleuse intransigeance, ne vivant plus que pour son clan, cette femme, si longtemps écoutée et obéie, ne pourra maintenir l’unité berbère et juguler les séculaires rivalités entre tribus. Dès lors, elle prédira son propre destin et, cernée par la trahison, verra dans un ultime baroud d’honneur tomber les meilleurs de ses compagnons. L’islamisation de l’Afrique du Nord était en marche… »

          C’est en s’appuyant sur les travaux des plus éminents historiens que le conférencier retrace avec l’émotion, l’amour et la passion qu’on lui connaît pour sa défunte terre française d’Algérie, l’extraordinaire épopée de cette « Jeanne d’Arc berbère » qui incarna avec tant de grandeur la folie d’indépendance et la fierté passionnée d’un peuple.

 

- Cette conférence, organisée par l’association culturelle « Lettres de Sable », sera donnée par José CASTANO, lundi 27 Février, 20h, à la Maison du Combattant, 14, quai du Chapitre (rive droite) – 34250 PALAVAS LES FLOTS - Contact : 04.67.75.30.57 – e-mail : lettresdesable@gmail.com - Blog: http://lettres.de.sabl.over-blog.com

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15 janvier 2012

L’IMMIGRATION ET LA MAUVAISE CONSCIENCE EUROPEENNE

« Nous courons sans souci dans le précipice, après que nous avons mis quelque chose devant nous pour nous empêcher de le voir » (Blaise PASCAL)

          Dès lors qu’il s’agit des relations entre pays développés et tiers-monde, l’Occident, et principalement la France, sont atteints d’un sentiment de culpabilité qu’entretient une classe intellectuelle et médiatique inspirée par l’idéologie mondialiste et le rejet du passé colonial présenté comme honteux. L’esclavage, le colonialisme, le capitalisme, l’exploitation sous toutes ses formes, que nous aurions infligés aux peuples du Sud, nous rendraient coupables à leur égard d’une faute  irrémissible et leur confèreraient sur nous des droits : devoir de repentance pour les uns, pour les autres droit aux compensations, à l’ouverture des frontières, et demain bien sûr droit à une revanche méritée.  Alors que sont  expulsées ou dépossédées les dernières minorités européennes des pays ex-colonisés et notamment  d’Afrique, il nous faudrait, au nom de ces « péchés » historiques, accepter et entretenir sur notre sol des flots de migrants venant de ces mêmes pays, y compris lorsqu’ils s’imposent chez nous en violant nos frontières et nos lois. Dans cette vision des choses, les coupables ne sont plus ceux qui renoncent à défendre nos valeurs, notre identité et notre territoire, mais ceux, qualifiés de « xénophobes », qui prétendent résister à un déferlement migratoire de plus en plus envahissant et arrogant. La manipulation idéologique s’appuie sur un arsenal législatif de jour en jour plus répressif.

          Accueillir des migrants en surnombre auxquels nous n’avons à proposer que l’assistanat, l’économie parallèle et la délinquance, au nom de la compassion et du rachat de nos fautes présumées, est un faux argument auquel nos compatriotes cèdent trop facilement. L’alibi de la solidarité et de l’aide au tiers-monde ne tient pas : Les pays qui voient partir les migrants n’ont rien à y gagner sur le long terme. Le coût social d’un seul immigré africain en France permettrait d’en faire vivre et travailler utilement plusieurs dizaines chez eux. Aider les tricheurs attirés par le mirage de l’Eldorado français ne fait qu’enfoncer un peu plus leurs pays dans un sous-développement devenu chronique, car structurel. L’argent qu’ils envoient à leurs parents est investi dans l’immobilier de prestige (Bamako et Kayes, au Mali, sont entourées d’une ceinture de carcasses de béton abandonnées) ou sert à acquérir des biens de consommation importés au détriment de l’économie locale. Le « bon pain blanc », fabriqué avec de la farine de blé d’origine étrangère acheté avec l’argent des immigrés, a  ruiné les producteurs de vivriers locaux, mil, sorgho et manioc. Les politiques dites d’aide alimentaire aboutissent d’ailleurs aux mêmes conséquences, déstabilisant des économies fragiles et poussant les agriculteurs à émigrer, dans un premier temps dans les mégapoles africaines devenues ingérables, puis en Europe. Les « transferts de technologie », autre argument souvent invoqué en faveur de l’immigration, sont de très faible amplitude car les retours au pays sont de plus en plus exceptionnels et les savoir-faire acquis en France par une main-d’œuvre non qualifiée au départ  trouvent rarement un débouché en Afrique. Un éboueur parisien aura du mal à exercer ses talents dans la vallée du fleuve Sénégal, où, par contre, l’agriculture manque désormais de bras et surtout de débouchés rentables. L’immigration des cadres, dite à tort immigration « choisie » car elle n’est pas davantage maîtrisée que l’autre, est tout autant pernicieuse car elle prive l’Afrique de l’élite professionnelle dont elle aurait besoin pour enfin sortir de l’ornière.

          L’immigration, conséquence du sous-développement et d’une décolonisation ratée, ne saurait en constituer le remède. Faire appel aux bons sentiments d’une opinion publique manipulée, mal informée et indûment culpabilisée, pour lui faire accepter l’intrusion sur son territoire d’une immigration envahissante qui tend à ruiner notre économie et à détruire notre identité, sans bénéfice décelable pour les pays d’origine des migrants, constitue une supercherie mortelle. Ce n’est pas en encourageant les comportements de fuite que nous contribuerons au développement des pays du Sud, bien au contraireL’émigration est un choix personnel, qui ne confère aux migrants aucun droit. Les intellectuels, politiques, magistrats, gens d’église, de media, de lettres et du spectacle, belles âmes en quête de valorisation personnelle ou électorale, qui jouent de la corde sensible pour instrumentaliser la pitié des Français, se trompent ou nous trompent. A l’époque coloniale et après, alors que la France constituait encore aux yeux des Africains authentiques un modèle et un partenaire respecté, beaucoup d’entre nous avons participé, sur un terrain difficile, à la construction d’une Afrique  prospère et  digne. Nous n’avons, à ce titre, aucune leçon de générosité à recevoir d’apprentis sorciers et d’idéologues toujours prêts à dénigrer la France, pour soigner leur image politique et promouvoir leur vision d’une humanité hors-sol, grise, déculturée et amnésique.

Robert SCHILLING rjp.schilling@wanadoo.fr 

"La France est un pays qui s'est construit sur la diversité et sur l'immigration. Ça doit continuer." (Nicolas SARKOZY, alors Ministre de l'Intérieur, le Monde 08/04/2003)

          « L'absence de communauté nationale est facteur de guerre civile, tant que les citoyens ne partagent pas les mêmes valeurs de civilisation. Une cité ne se forme pas à partir de gens pris au hasard, et elle a besoin de temps pour se coaguler. C'est pourquoi, parmi ceux qui ont accepté des étrangers pour fonder une cité avec eux, et pour les intégrer à la cité, la plupart ont connu des guerres civiles. Par exemple, les tyrans de Syracuse, en ayant naturalisé les immigrés, ont dû subir des révoltes. Citoyens et étrangers en sont venus à se combattre »  (Aristote, Politique, Livre V)

          « Nous devons être fous, littéralement fous à lier dans ce pays, pour autoriser chaque année l’entrée de 50.000 personnes, qui seront à l’origine de la future augmentation de la population d’origine immigrée. J’ai l’impression de regarder ce pays construire frénétiquement son propre bûcher funéraire » (Enoch Powell – 20 avril 1968)

          Sous le titre « Stopper l’immigration, renforcer l’identité française », Marine Le Pen prévoit ceci dans son programme : « L’immigration non contrôlée est source de tensions dans une République qui ne parvient plus à assimiler les nouveaux Français. Les ghettos, les conflits interethniques, les revendications communautaires et les provocations politico-religieuses sont les conséquences directes d’une immigration massive qui met à mal notre identité nationale et amène avec elle une islamisation de plus en plus visible, avec son cortège de revendications. Le communautarisme est un poison contre la cohésion nationale. »

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- Cliquez sur : SCOOP : Parrainages pour la « Présidentielle 2012 » - par Marc NOÉ

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- Cliquez sur ce lien : ¤ Immigration : dossier brûlant

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- Appel à soulèvement des immigrés musulmans contre la France
http://www.petitsechodoran.com/flash-info/la-france-en-grand-danger-de-printemps-arabe,a3005645.html

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Conférence sur : « LA KAHENA »

(La fabuleuse épopée de cette reine berbère qui s’opposa au VIIe siècle à l’invasion arabe de l’AFN)

 

          « Quinze ans après la mort du Prophète Mahomet, les armées arabes abordaient l’Afrique du Nord. Ce pays, jadis transformé par la civilisation romaine, en partie conquis à la foi chrétienne, va entrer dans l’ensemble, de jour en jour agrandi du monde musulman. C’est alors, que pour faire face à l’envahisseur, une femme va organiser la résistance berbère, réaliser la difficile unité du Maghreb et infliger aux cavaliers arabes de cuisantes défaites. Celle-ci, connue dans l’histoire sous le nom de La Kahéna, avait un caractère sacré. Il signifiait, la sorcière, la prêtresse, la devineresse. Elle possédait en effet un don prophétique et était vénérée de son peuple. Mais ses succès mêmes causeront sa chute…

          Durcie par ses victoires dans une orgueilleuse intransigeance, ne vivant plus que pour son clan, cette femme, si longtemps écoutée et obéie, ne pourra maintenir l’unité berbère et juguler les séculaires rivalités entre tribus. Dès lors, elle prédira son propre destin et, cernée par la trahison, verra dans un ultime baroud d’honneur tomber les meilleurs de ses compagnons. L’islamisation de l’Afrique du Nord était en marche… »

          C’est en s’appuyant sur les travaux des plus éminents historiens que le conférencier retrace avec l’émotion, l’amour et la passion qu’on lui connaît pour sa défunte terre française d’Algérie, l’extraordinaire épopée de cette « Jeanne d’Arc berbère » qui incarna avec tant de grandeur la folie d’indépendance et la fierté passionnée d’un peuple.

 

- Cette conférence, organisée par l’association culturelle « Lettres de Sable », sera donnée par José CASTANO, lundi 27 Février, 20h, à la Maison du Combattant, 14, quai du Chapitre (rive droite) – 34250 PALAVAS LES FLOTS - Contact : 04.67.75.30.57 – e-mail : lettresdesable@gmail.com - Blog: http://lettres.de.sable.over-blog.com/

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          Deux légionnaires français ont été tués, jeudi 29 décembre, en Afghanistan par « le tir délibéré d'un soldat afghan de l'ANA », l'Armée nationale afghane, ce qui porte désormais à 78 le nombre de soldats français tués en Afghanistan depuis fin 2001 (il y a également plus de 500 blessés dont certains ont été amputés). Le président de la République a « présenté à leurs familles et à leurs proches ses plus sincères condoléances en s’associant à leur douleur » tout en « exprimant, à nouveau, la détermination de la France à continuer d'œuvrer au sein de la Force internationale d'assistance à la sécurité pour rétablir paix et stabilité dans ce pays et contribuer à son développement ». Dans un communiqué séparé, François Fillon a « salué solennellement le courage, le dévouement et le professionnalisme sans faille de nos militaires agissant aux côtés de leurs camarades afghans ». Et pendant que ces Messieurs « s’associent à la douleur des familles », nos soldats continuent de se faire tuer pour une cause qui n’est pas la leur, dans un pays soumis aux lois et coutumes féodale, hostile et étranger, et qui retournera aux talibans quand l’OTAN se sera retirée. A quoi auront donc servi tous ces morts ? Au nom de quel droit, de quelle éthique, de quelle loi sacro-sainte les aura-t-on sacrifiés ?

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16 décembre 2011

ISLAM ET IMMIGRATION

 « C’est très bien qu’il y ait des Français jaunes, des Français noirs ; des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu’elle a une vocation universelle. Mais à condition qu’ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. Qu’on ne se raconte pas d’histoire ! Les musulmans, vous êtes allés les voir ? Vous les avez regardés avec leurs turbans et leurs djellabas ? Vous voyez bien que ce ne sont pas des Français. Ceux qui prônent l’intégration ont une cervelle de colibri, même s’ils sont très savants. Essayez d’intégrer de l’huile et du vinaigre. Agitez la bouteille. Au bout d’un moment, ils se sépareront de nouveau. Les Arabes sont des Arabes, les Français sont des Français. Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de musulmans, qui demain seront vingt millions et après-demain quarante ? Si nous faisions l’intégration, si tous les Arabes et les Berbères d’Algérie étaient considérés comme Français, comment les empêcheriez-vous de venir s’installer en métropole, alors que le niveau de vie y est tellement plus élevé ? Mon village ne s’appellerait plus Colombey-les-Deux-Eglises, mais Colombey-les-deux-Mosquées » (Charles de Gaulle, 5 mars 1959 – Propos rapportés par Alain Peyrefitte)

 

            Contrairement aux affirmations fantaisistes de de Gaulle évoquant le nombre croissant d’Algériens qui viendraient s’installer en Métropole si l’Algérie demeurait française transformant ainsi Colombey-Les-Deux-Eglises en « Colombey les deux mosquées », c’est, précisément, l’indépendance de l’Algérie qui a entraîné la situation actuelle de l’immigration des Nord-Africains en France…

            Si l’enfantement de la nouvelle République algérienne entraîna l’hystérie collective, amalgame de réjouissances, de meurtres et de pillages tels le génocide dont furent victimes les Musulmans fidèles à la France et les assassinats d’Européens du 5 juillet 1962 à Oran, les Algériens ivres d’indépendance allaient, très vite, danser une tout autre danse en tournant en rond devant un buffet vide… C’est ainsi qu’après la mise à sac du pays en 1962, après la frénésie sanguinaire et destructrice des premiers mois de l’indépendance, après l’incurie des chefs du FLN désormais aux commandes de l’Etat, après les premières années de chaos forcené, il ne restait plus rien de l’équipement technique du pays. Les immeubles tombaient en ruine, l’agriculture était moribonde, les rouages précieux mis en place par la France rouillaient au soleil de midi et les ingénieurs venus de l’Est dès la proclamation de l’indépendance levaient les bras au ciel en contemplant d’un œil désespéré l’ampleur des dégâts. C’est alors que craignant la colère du peuple que l’on avait savamment gavé durant huit ans de promesses démagogiques et fallacieuses, le gouvernement algérien, incapable de fournir du travail à sa population, exigea « la libre circulation des personnes » avec la France et « leur libre résidence de Dunkerque à Marseille » en menaçant de Gaulle d’une rupture qui eût contrarié sa « grande politique » arabe. Aussitôt, sur l’injonction formelle du « Guide », satisfaction sera donnée aux nouveaux maîtres de l’Algérie et la décision d’ouvrir, pratiquement sans contrôle, nos frontières à l’immigration algérienne fut appliquée.

            Dans son ouvrage « Les immigrés maghrébins entre le passé et l’avenir », M. Mohamed Harbi, l’un des dirigeants du FLN de cette époque en apporte la confirmation : « Une discussion collective sur l’émigration a eu lieu dans le cadre de la commission de préparation du congrès du FLN. Je dois dire que nombre de dirigeants avaient sur cette question une « attitude de type magique ». Faute de solution crédible à proposer, ils avaient tendance à considérer que l’exportation de main-d’œuvre était une sorte de dédommagement pour les préjudices causés à l’Algérie par la colonisation, un droit qui les confortait dans leur nationalisme et en même temps leur « permettait d’échapper au spectre de la question sociale ».

Il ajoute plus loin : « les préoccupations de la gauche du FLN ont été prises en compte dans les programmes du FLN d’avril 1964. La charte d’Alger stipulait donc : « Les causes de l’émigration sont étroitement liées au niveau de développement du pays. (Elle) peut être atténuée ou freinée mais « ne cessera qu’avec la disparition de ses causes principales ».

            Les inquiétudes que les plus avisés avaient alors émises sur ce rapport quand on connaissait, déjà à cette époque, les problèmes d’ordre économique et social que rencontrait l’Algérie, ne furent pas prises en compte et pourtant, il était illusoire de croire que le gouvernement algérien encouragerait ses ressortissants à « demeurer au pays ». A cet effet, il est bon de citer un extrait du rapport rédigé en 1966 par l’Amicale des Algériens en France (qui, ne l’oublions pas, incarnait le FLN durant le conflit), concernant l’émigration : « L’émigration, cette solution imposée par la pression démographique est, à notre sens, la solution complémentaire au développement agricole et industriel. Car l’émigration a toujours des conséquences démographiques, même lorsqu’elle consiste en une migration temporaire de travailleurs ; elle sépare alors les couples mariés, retarde le mariage des célibataires et réduit la natalité. La dimension finale moyenne d’une famille algérienne est de 7 à 8 enfants nés vivants ; celle d’un émigré marié, périodiquement séparé de son épouse pour des durées plus ou moins longues, est 2 à 3 fois plus petite (2 à 4 enfants) ».

            Ainsi, lorsqu’en 1966 un accord officiel autorisait l’entrée de 8 000 travailleurs algériens entre le 1er janvier et le 1er septembre, ce furent en réalité, d’après les statistiques officielles, 15 732 « travailleurs », plus 23 228 « touristes », plus 25 000 « parents », soit au total plus de 60 000 immigrés réels (pour 8 000 autorisés) qui vinrent s’installer en France en huit mois… et il ne s’agissait là que d’Algériens !... Cette situation était d’autant plus grave que, grâce à l’immigration clandestine, le nombre des Algériens résidant en France s’élevait déjà à un million en 1968. Bien que nombre de journaux –dits « nationalistes »- poussèrent un cri d’alarme, ils ne furent pas entendus et l’hebdomadaire « Minute », dans son édition du 7 novembre 1968, résuma alors avec lucidité et clairvoyance -et de façon prémonitoire- l’état des lieux : « De véritables villes arabes surgiront peu à peu dans nos grandes cités comme Harlem à New-York. Or, ces villes arabes deviendront les fiefs d’une communauté étrangère inaccessible car… l’indépendance algérienne a sonné le glas de toute assimilation d’ensemble de la communauté nord africaine de France. A quelques heureuses exceptions près, les arabes forment sur notre sol un monde clos et non perméable… « L’inadaptation, la misère, la réaction instinctive d’autodéfense de la population française ne feront qu’exacerber le particularisme de la minorité algérienne de France et transformer ses médinas en places fortes révolutionnaires… »

« Le Back Power menace aujourd’hui l’existence même de l’Amérique. Nous risquons de voir dans vingt ans quatre millions d’Algériens revendiquer chez nous le pouvoir arabe ».

Cela fut écrit il y a 43 ans ; qui eut la bienveillance de l’entendre ? Aujourd’hui la prophétie se réalise rendant vivants ces vers de Théophile de Viau dans « Elégie » :

            « Dans ce climat barbare où le destin me range,

              Me rendant mon pays comme un pays étrange. »

            De nos jours, compte tenu des milliers de naturalisations effectuées depuis 1962, du nombre important de Maghrébins séjournant en France et de l’importance des clandestins, nul n’est en mesure de chiffrer avec exactitude leur nombre. Néanmoins, selon Yves-Marie Laulun, directeur de l’Institut de géopolitique des populations (Monde et Vie du 16 juillet 2011), la population immigrée née sur le sol français (donc « française de papier ») représente 7 à 8 millions de personnes, soit plus du dixième de la population française. Ces personnes sont originaires, pour l’essentiel, de l’Afrique noire, du Maghreb et un peu de Turquie et représentent politiquement un vivier électoral très intéressant, ce qui explique l’attitude du parti socialiste, par exemple, qui souhaiterait capter ces suffrages pour s’emparer du pouvoir (dixit, Y- Laulun)… d’où la proposition de loi en faveur du vote des étrangers lors des élections municipales, déposée et votée par la Gauche, le 8 décembre 2011, dans un Sénat désormais à sa solde…

          Le vote musulman aura également un impact majeur sur les prochaines élections présidentielles et législatives. Plus de 10% de l’électorat français est en effet musulman. Et c’est la part la plus jeune de la population, représentant presque un quart des moins de 20 ans. Leur impact politique ira croissant. Dans certaines villes, la moitié de la population est musulmane et il va devenir impossible pour la droite de gagner ces circonscriptions, à moins que les français de souche votent unanimement à droite… plus spécialement pour le FN. Beaucoup de Français semblent, enfin, réaliser que ces élections sont l’une des dernières chances pour eux de préserver quelque chose de l’ancienne France. Et les statistiques les plus optimistes s’accordent à dire qu’en 2030, sur une population française de 68 millions, il y aura 20 millions d’Afro-maghrébins, soit 30% de la population française… ce qui laisse augurer un changement radical dans la gestion de bon nombre de collectivités locales et territoriales…

En janvier 2011, les chiffres de la natalité française furent annoncés avec faste : L’INSEE venait de publier un claironnant bilan démographique que nos journalistes, tout sourire, répercutaient : La France comptait désormais plus de 65 millions d’habitants. Soit 10 de plus que lors de l’élection de François Mitterrand en 1981. Quel exploit ! Cette augmentation du nombre d’habitants s’expliquerait, selon l’INSEE, par l’allongement de la durée de vie en hausse depuis 2000, mais aussi (et surtout) par un taux de fécondité de 2,01% qui ferait de la femme française la championne d’Europe. Et il ne s’est trouvé aucun journaliste, aucun politique, aucun adepte des « droits de l’homme » pour s’interroger sur ce bilan flatteur…

En réalité, sur 830 000 naissances recensées en France en 2006, 165 000 venaient de cette population issue de l’immigration. Le taux de fécondité de la population française « de souche » est de 1,6%, celui des Maghrébines en France est de 2,7% et celui des Noires d’origine africaine, 4,2% (source, idem que précédente). Donc, sur 65 millions d’habitants en France, il y a combien de Français réels ? Qui pourrait le dire avec courage et lucidité ?

Concernant l’immigration en général, selon Eric Besson, l’opportuniste transfuge du PS (alors Ministre de l’immigration du premier gouvernement Sarkozyste), pour la seule année 2009, 6 000 personnes ont été régularisées ; 29 288 étrangers en situation irrégulière ont été expulsés, tandis que 173 991 titres de séjour ont été délivrés et 108 275 étrangers ont acquis la nationalité française (en 2008, ils avaient été, déjà, 107 000), ce qui place la France en tête des pays européens  pour l'acquisition de la nationalité. Sur les huit premiers mois de l’année 2010, comme l'attestent les chiffres officiels des services de l'immigration, non seulement l'immigration n'est pas stoppée, ni même ralentie mais la situation continue à s'aggraver : 122 246 autorisations de long séjour ont été accordées, soit 9 % de plus que sur la même période de 2009, année déjà catastrophique et 6 597 statuts de réfugié ont été accordés pour ce laps de temps, contre 6 786 personnes pour toute l'année 2009. Selon l’OFPRA, Il a été déposé en 2010, 52 762 demandes d'asile, faisant de la France la première destination européenne.

Il y a également toujours plus de Français de papier puisque, durant cette période, ce sont 67 300 personnes qui ont été naturalisées françaises par décret. Par ailleurs, le délai moyen pour une naturalisation est passé de douze à cinq mois. Il y a eu enfin 19 042 renvois d'étrangers en situation irrégulière au cours des huit premiers mois, contre 19 456 pour la même période de 2009, donc quasi pas d'augmentation. Mais il y a plus grave ! En septembre 2010, selon « Valeurs actuelles » du 9 décembre 2010, Eric Besson a reconnu que « 75% des reconduites à la frontière n’ont pas été exécutées »… ce qui rendrait, dès lors, peu crédible le chiffre des expulsions annoncées… Pour conclure : En janvier 2011, il a été délivré 23 504 titres de séjour (+ 42,1% en un an). Le nombre de demandeurs d’asile a également grimpé de 17,4% (à 3 899) et celui des naturalisations de 19,4% (à 13 337).

Dans une étude parue dans le National Zeitung du 11/08/2006, Herbert Vonach, Professeur d’université autrichien écrivait : « Ce n’est pas parce que l’on décidera de naturaliser tous les étrangers que les problèmes y afférents disparaîtront »… « Quand j’ai mené cette étude, je me suis d’abord posé la question de savoir si mon petit-fils appartiendrait dans son propre pays à une majorité ou à une minorité. Je n’ose penser à cette dernière éventualité ».

Et quand on pense que le Ministre Besson, lors de sa visite dans la Cité des 4000 à la Courneuve (là même où un certain Ministre de l’Intérieur, aujourd’hui Président de la République, avait promis de nettoyer ces zones de non droit au « kärcher »… mais qui a, en réalité, seulement « kärchérisé » les forces de l’ordre en supprimant 9 500 postes de gendarmes et de policiers) avait déclaré sans le moindre scrupule : « La France n’est ni un peuple, ni une langue, ni un territoire, ni une religion ; c’est un conglomérat de peuples qui veulent vivre ensemble. Il n’y a pas de Français de souche, il n’y a qu’une France de métissage »… comment voulez-vous que ce « conglomérat de peuples », encouragé comme il l’est, accepte la moindre assimilation ? Car, l’assimilation c’est devenir comme autrui, chez autrui alors que l’insertion, c’est vivre comme chez soi, chez autrui. La plupart de ces immigrés, essentiellement africains et maghrébins, veulent bien bénéficier des lois sociales françaises, mais ils en refusent les devoirs. La majorité d’entre eux, ne veut pas adopter notre langue -hormis celle de la « zone »- (Pour éviter les mots un peu élégants, on ramasse ceux du ruisseau, disait Maurice Druon), notre culture, notre genre de vie, en un mot s’intégrer dans notre société… c'est-à-dire s’adapter ou se conformer aux modes d’existence du pays d’accueil. Par conséquent, ils veulent vivre selon leurs traditions et la loi coranique intégriste, en formant des îlots étrangers aux abords des villes. « Quand un peuple n’ose plus défendre sa langue, il est mûr pour l’esclavage », soutenait Rémy de Gourmont.

            Parmi les communautés étrangères établies sur le sol national, la communauté islamique est la plus marginalisée. En effet, tout les distingue des autres immigrés, leur culture, leur religion, leur histoire et leur aspect physique. L’immigré européen devra apprendre la langue française –ce sera sa seule difficulté- car les fondements intellectuels et moraux de son univers et de celui où il va vivre ne connaissent que des différences de degré. L’immigré musulman, au contraire, connaîtra une désidentification totale. Il deviendra, qu’il appartienne à la première ou à la seconde génération, un complet étranger pour les siens.

            En 1969 – déjà !- dans son n° 704 du 8 mars, le journal « Entreprise » alertait l’opinion publique : « On ne peut pas ne pas se poser la question de leur assimilation. Le langage, les mœurs, l’apparence physique, les habitudes familiales, sociales, religieuses creusent dans leur cas un fossé, sans comparaison avec les barrières relativement faibles qu’on dû franchir les immigrants européens ». A priori, ce cri d’alarme n’a pas été entendu…

      Concernant les « Français » d’origine algérienne, cette attitude peut se comprendre aisément dans la mesure où ces « Français de papier » restent sentimentalement algériens, s’estimant les héritiers des vainqueurs de la guerre d’indépendance. Et il en est de même pour leurs coreligionnaires tunisiens et marocains. A cet effet, il n’est qu’à se remémorer les incidents survenus au Stade de France lors des rencontres de football opposant la France à l’Algérie et à la Tunisie pour en être convaincu… « La France est devenue la colonie de ses colonies ! » a déclaré sur ce point Vladimir Poutine.

« Les français qui n'ont pas voulu de l'Algérie Française auront un jour la France algérienne » a écrit dans son livre « D'une Résistance à l'autre », Georges Bidault, l’ancien chef du Conseil National de la Résistance. Il reprenait là, en quelque sorte, cette déclaration du redoutable chef terroriste du FLN qu’était Larbi ben M’Hidi, lancée à la face des parachutistes français venus l’arrêter en 1957 lors de la « bataille d’Alger » : « Vous voulez la France de Dunkerque à Tamanrasset, je vous prédis, moi, que vous aurez l’Algérie de Tamanrasset à Dunkerque ».

Nos hommes politiques devraient méditer sur cette déclaration prémonitoire...

Le 17 mars 2011, le Ministre de l’Intérieur, Claude Guéant, déclarait sur « Europe 1 » : « Les Français, à force d'immigration incontrôlée, ont parfois le sentiment de ne plus être chez eux, ou bien ils ont le sentiment de voir des pratiques qui s'imposent à eux et qui ne correspondent pas aux règles de notre vie sociale. » Ainsi, tandis qu’à gauche on se réjouit de cet apport d’électeurs potentiels ; à droite, on se contente d’en établir l’amer constat sans pour autant apporter de solutions…

Et le plus grave reste à venir dans la mesure où nos élites « bien pensantes » -entre autres celles du Haut Conseil à l’Intégration- ne cessent de nous rabâcher, dans un grand concerto libéral, que la France va devoir impérativement accueillir dans les prochaines décennies plusieurs millions (sic) de nouveaux immigrés pour à la fois assurer son renouvellement démographique, pérenniser son système de retraites et relancer son développement économique, ce qui rend actuelle cette déclaration de Malika Sorel, écrivain, journaliste d’origine algérienne, parue dans le magazine « Le spectacle du Monde – Octobre 2000 » : « La France s’autodétruit sans rendre service aux immigrés ». Mortifiant sujet de réflexion…  

José CASTANO (petit fils d’immigrés espagnols)

E-mail : joseph.castano0508@orange.fr 

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« Je n’ai pas une goutte de sang français mais la France coule dans mes veines…» [Romain Gary (Roman Kacew de son vrai nom)]

« J’ai eu une discussion de fond avec Nicolas Sarkozy à l’Elysée à la fin de l’année dernière ; il m’a dit : «Toi tu as les intuitions, moi j’ai les chiffres. Et tes intuitions sont confirmées par mes chiffres. L’islamisation de l’Europe est inéluctable. » Déclaration de Philippe de Villiers, 4 juin 2009. 

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8 Décembre 2011 

Mesdames, Messieurs, chers amis,

C’est aujourd’hui que le Sénat examine une proposition de loi socialiste visant à accorder le droit de vote aux étrangers aux élections locales.

Inutile de vous dire que je suis résolument contre le droit de vote aux étrangers. 

Le droit de vote est un attribut de la citoyenneté, et la citoyenneté est indissolublement liée à la nationalité. 

C’est notre règle républicaine depuis toujours, c’est notre tradition nationale, et il n’est pas question d’en changer. Il n’est pas question non plus de retirer aux Français le dernier privilège qui leur reste : le droit de voter pour choisir leurs représentants.

Seuls les Français doivent pouvoir voter et choisir leurs représentants en France !

Ce principe n’est pas négociable, et s’il ne doit y en avoir qu’une pour le défendre, ce sera moi !

J’alerte ainsi sur cette proposition de loi socialiste, que je considère antirépublicaine et dangereuse pour notre démocratie.

Car ne soyons pas dupes, si le PS soutient le droit de vote aux étrangers, c’est bien évidemment pour des raisons électoralistes.

Le but est de récupérer de nouvelles clientèles électorales, quitte à fouler au pied tous les principes qui font la France.

Marine LE PEN, Présidente du Front National

- Cliquez sur : Il s’en est fallu de peu, 173 voix pour, 166 voix contre. Mais, au final, la proposition de loi sur le vote des étrangers aux municipales a été adoptée par le Sénat.

- Cliquez sur : L’immigration pour le PS : s’assurer des millions d’électeurs potentiels en plus 

- Les sondages disent ce qui les arrange. Cliquez sur : http://www.petitsechodoran.com/cap-sur-2012/sondages-toujours,a2985229.html

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Scandale sur les retraites : Les étrangers touchent une retraite en France sans avoir jamais cotisés !

Cliquez sur : http://www.europe-israel.org/2011/02/scandale-sur-les-retraites-les-etrangers-touchent-une-retraite-en-france-sans-avoir-jamais-cotises/#ixzz1fSNLp3wK

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- Alors que les médias n’ont eu de cesse de rappeler durant 18 mois l’enlèvement de deux journalistes en Afghanistan et qu’un comité de soutien fut créé pour leur libération, nous rappelons également que depuis le 19 mars 1962, cela fera, au 31 decembre 2011, 18184 jours que des milliers de Français d’Algérie ont été enlevés dans la plus grande indifférence sans que les « bonnes consciences » de ce monde n’élèvent la moindre protestation.  Ne les oublions pas

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