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15 mars 2016

NON AU 19 MARS 2016 - COMMUNIQUES DE PRESSE Thierry ROLANDO

Le 8 Mars 2016

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Le Cercle algérianiste national - Fédération des Cercles Algérianistes

Le 8 mars 2016

En commémorant le 19 mars 1962,  François HOLLANDE affiche son mépris pour  les souffrances des   Harkis et des Pieds-Noirs 

Pour la première fois depuis la fin de la guerre d’Algérie, un Président de la République, François HOLLANDE, assistera à la commémoration du 19 mars 1962, alors même que tous ses prédécesseurs, à commencer par François MITTERRAND, ont toujours refusé de reconnaître, par leur présence, cette date très contestable.  
Comment ne pas rappeler que, loin d’avoir marqué la fin de la guerre d’Algérie, la date du 19 mars 1962, symbolise, bien au contraire, le début du déchaînement des violences contre les Français d’Algérie, Harkis et Pieds-Noirs confondus, victimes des représailles du FLN ?  
En décidant d’être présent le 19 mars prochain, à cette cérémonie, le Chef de l’État a donc choisi, délibérément, de tourner le dos à une partie de ses compatriotes, et d’afficher son mépris pour les souffrances de dizaines de milliers de victimes, assassinées par le FLN après le 19 mars 1962.  
Plutôt que de rassembler la nation, dans le souvenir et l’unité, François HOLLANDE, par ce geste, a décidé sciemment, pour des raisons purement idéologiques et électorales, de jeter le voile de l’oubli sur le drame des Français d’Algérie, et de raviver les blessures de ceux dont la douleur reste toujours intacte.  
Toutes les victimes de la guerre d’Algérie, Monsieur le Président de la République, ont droit au même respect et à la même compassion.  Or, par votre présence le 19 mars prochain, vous ferez la démonstration que certaines souffrances sont plus honorables que d’autres.
Thierry ROLANDO Président National du Cercle algérianiste

Télécharger en PDF


Signez la pétition "Contre la participation du Président de la République aux commémorations du 19 Mars".

Signer aussi la pétition mise en ligne sur le site de Valeurs Actuelles le jeudi 17 mars.

Télécharger en PDF le dossier de la pétition nationale du 17 mars 2016 sur VALEURS ACTUELLES


LE: "Cercle Algérianiste"  du 14/03/2016

Chers amis,

J'ai le plaisir de vous informer que nos amis de Valeurs actuelles, m'ont proposé de lancer une pétition nationale contre le 19 MARS 1962, justifiée par la venue de François HOLLANDE, aux commémorations.

Cette pétition, qui sortira dans leur édition du jeudi 17 mars prochain, sera portée par plus d'une quinzaine d'associations nationales de Français d'Algérie, auxquelles j'ai soumis le texte de la pétition, et qui m'ont fait part de leur accord.

Bien évidemment, il faut que nous assurions maintenant le succès de cette pétition, car c'est également un test pour Valeurs actuelles.

Il nous faudra donc, avec tout notre réseau, tous nos adhérents, et tous nos amis anciens Combattants, Pieds-Noirs, Harkis, etc., nous mobiliser, et faire connaître cette démarche, pour en assurer la réussite la plus grande.

Il s'agit d'un enjeu important car notre crédibilité, mais aussi notre capacité à entraîner derrière nous, le plus grand nombre, en dépendent.

Je compte donc, le moment venu, sur chacun d'entre vous, pour signer et faire signer en masse sur le site internet du magazine, ce texte, que je vous adresserai dans les tous prochains jours, avec la liste des premières associations signataires, dès sa validation par Valeurs actuelles.

Bien fraternellement à tous, Thierry Rolando Président national

Cercle algérianiste Fédération des Cercles algérianistes 1 Rue Général Derroja 66000 - PERPIGNAN 04.68.53.94.23

www.cerclealgerianiste.fr


Si vous avez reçu une invitation voici un modèle de lettre MANUSCRITE à envoyer a votre maire pour ne pas participer à cette cérémonie...


REVOIR LA VERITE HISTORIQUE SUR LE 19 MARS 1962

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5 avril 2016

COMPTE-RENDU ET PHOTOS CÉRÉMONIE 26 MARS 2016

 MÉMORIAL NATIONAL DE LA GUERRE D’ALGÉRIE - QUAI BRANLY

Par Nicole Ferrandis

Samedi 26 mars 2016, 14H35,

Les Porte-drapeaux se pressaient de part et d’autre du Mémorial.. Ils étaient douze, représentant l’Union national des Parachutiste, l’Union  national des Combattants,

le Cercle National des Combattants,, les E.M.S.I., les Médaillés militaires du Calvados   et les deux Porte-étendard du Commando Georges.

Les membres de l’UNP accompagnés de  M. Mercier, Président de l’U.N.P. Paris, arborant fièrement leur béret rouge, formaient une haie d’honneur.

Face au Mémorial, les familles de victimes  Cazayous, Ferrandis, Mesquida, Puigcerqver, Torres et Van den Broeck étaient enrouées de nombreux adhérents de l’association des familles des victimes, de la directrice de l’Office National des anciens combattants et victimes de guerre, des représentants du monde associatif.

Pour

- l’UNC : M Gérard Colliot, Vice-Président national, et M Bugeja, Porte-drapeau départemental,

- le C.N.C : Roger Holeindre.

- le SECOURS DE France, Roger Saboureau,

- le Carrefour des acteurs sociaux. M J. Broquet

 

Pour les associations de Harkis

- Mme Z. Bourroughat,

- M. Guerfi   (U.N.H. et A.A.F.P.A.),

- L. Bellifa (ANFONAA),

- J.C. Kaddour (Harkis 54-Soldats de France),

 

Pour les associations « pieds-noirs

- G. Bonnier (CLAN),

- J.F. Vallat et M. Chavrondier (MAFA),

- M Larmande    (Cercle Algérianiste de Neuilly),

- M. Lévy (GNPI),

- Roig et Ducrocq (Amicale des Anciens de Ben Aknoun)

- R. Soriano, Président de l’ANFANOMA à Caen.

- Y Sainsot, président national de l’ANFANOMA.

A 14h40  Mme Nicole Ferrandis prononçait un bref mot d’accueil et de remerciement, expliquant les difficultés rencontrées dans la sonorisation de la cérémonie, du fait de l’importance de la circulation, et conseillait aux Participants de lire le document qui venait de leur être remis « Comment les Victimes civiles sont arrivées au Mémorial et Pourquoi elles doivent y rester ». Elle rappelait également qu’était associé à cette cérémonie les victimes du 5 juillet, les disparus, les harkis, les civils et miliaires tombés au lendemain du 19 mars.

Puis à  14h45,  les associations  ANFANOMA, U.N.H., A.A.F.P.A., U.N.P., U.N.C., et celle des  Familles des Victimes déposaient des gerbes devant la colonne centrale.

Puis la  lecture de la liste des Morts était lue  par Yves Sainsot..

A 14H50, heure précise de la fusillade, la sonnerie aux Morts retentissait, suivie de la minute de silence

Puis éclatait la Marseillaise, suivie du Chant des Africains, entonné par la foule.

Pour terminer cette émouvante cérémonie,  chaque participant déposait une fleur bleue, blanche ou rouge devant la colonne centrale du monument.

Des touristes, se dirigeant vers la tour Eiffel située à deux pas, venaient se renseigner sur le pourquoi de cette cérémonie.

Reportage photographique de la cérémonie au mémorial quai Branly

aux Morts du 26 mars

Aux Morts du 26 mars

chant (2)

Chant "c'est nous les Africains"

chant c'est nous les Africains

Chant "c'est nous les Africains"

chant

Chant "c'est nous les Africains"

dépot de fleurs par les participants

Dépôt de fleurs par les participants

drapeaux

Drapeaux

familles cazayous, mesquida, ferrandis, torres

Familles Cazayous, Mesquida, Ferrandis, Torres

familles de victimes

Familles de victimes

fleurs familles victimes

Fleurs familles victimes

gerbe par association de harkis

Gerbe par "association de harkis"

lecture de la liste des victimes par président anfanoma

Lecture de la liste des victimes par président "A.N.FA.N.O.M.A."

les paras

Les paras

les participants

Les participants

les remerciements

Les remerciements

remerciements (4)

Les remerciements aux deux Porte-étendard du Commando Georges

reMerciements (8)

Les remerciements aux deux Porte-étendard du Commando Georges

remerciements (7)

Les remerciements

remerciements aux paras par nicole Ferrandis

Les remerciements aux Paras par Nicole Ferradis

sonnerie aux morts (2)

"Sonnerie aux Morts"

sonnerie aux morts (3)

"Sonnerie aux Morts"

sonnerie aux morts (4)

"Sonnerie aux Morts"

sonnerie aux Morts

"Sonnerie aux Morts"

sonnerie

"Sonnerie"

SORIANO ANFANOMA CAEN

SORIANO ANFANOMA CAEN

unc (2)

U.N.C.

UNP

U.N.P.

Retour commémorations 2016

14 février 2016

"ÉTUDES HISTORIQUES" INFO MIGRANTS

Avec JF Paya

POINT DE VUE SOCIOLOGIQUE à débattre avec le "Groupe de Recherches Historiques"

Écrit il y a un an en commentaire ici.

            Que dire maintenant que la boite de Pandore fut ouverte par les bévues initiales des Américains qui initièrent le phénomène Islamiste en Afghanistan contre les Soviétiques et la peur du communisme puis par LEURS et NOS interventions directes où non au moyen Orient en Irak comme en Libye voir en Syrie pour soit disant imposer la Démocratie toutes choses au nom d'un droit d'ingérence " droit de l'hommiste "qui a bouleversé l'équilibre existant de régimes dictatoriaux qui contenaient tant bien que mal leurs sociétés qui fait que nous avons armé et fait naitre pire des "golems" monstrueux qui ont provoqué BIEN PLUS de victimes ;des EXODES et des émigrations massives qui étaient maintenus avec des frontières contrôlées Certains disent "un pays à le régime qu'il mérite et c à lui de le changer". Alors "Que faire" comme disait Mao? Maintenant certains pleurnichent disant "que nous sommes en guerre" sauf que dans ce cas les procédures ordinaires de « maintien de l’ordre » ne sont plus les mêmes comme nous l’avons vu en Algérie et dernièrement avec la masse de procédures relative à une intervention judiciaire pour neutraliser une mini cellule terroriste espérons que ce phénomène reste marginal et l’État de droit ordinaire suffira sauf en amont travail obscur où on agit sans filet avec l’hypocrisie du Politique qui dit refuser « les procédures d’exception » cependant prévues dans notre Constitution ,; sans aller encore jusqu’à «l’État de guerre et créer de nouvelles lois» Mais mieux vaut prévenir que guérir et avoir les moyens sous la main, l’avenir sera juge (en guerre on cible l'adversaire et on le neutralise comme font les Américains avec leurs drones ) Mais pour en revenir à l’initial il n’est pas normal (même si la Constitution Gaulliste de pouvoir personnel le permet) sauf urgence ponctuelle contrôlée à postériori que le Peuple Français ne soit pas consulté pour toute intervention militaire à l’étranger, il devrait en être de même pour la réception massive d’immigrés et bien d’autres choses où des dépenses massives sont engagées, mais arrivés au pouvoir tous se complaisent dans ce régime comme Mitterrand qui l’avait tant combattu! (Le coup d'état permanent)
Ce n'est pas nous qui évoquons l'Islam ce sont les terroristes et les partisans de Daech qui l'utilisent, donc d'abord aux Musulmans de lutter contre ceux qui dénaturent et instrumentalisent leur religion, c'est à leur capacité de le faire qu'ils seront jugé on ne peut l'éviter .

refugies-syriens-Etats-Unis-securite-menaces

            L’EI menace d’envoyer en Europe un demi-million de migrants de Libye Les services de renseignements italiens ont intercepté suffisamment de preuves téléphoniques pour dévoiler que ISIS menace d’inonder l’Europe de 500.000 à 700.000 migrants embarqués sur des centaines d’embarcations afin de créer une «arme psychologique» contre l’Europe si celle-ci décidait de s’attaquer à la Libye.
Les forces militaires de l’état islamique (ISIS) ont la ferme intention de consolider leurs positions portuaires en Libye mais également de «se mélanger» de façon anonyme aux demandeurs d’asile afin de pouvoir traverser la Méditerranée et d’être accueillis en Europe.
Avant toute autre mesure pour contrôler l'immigration surtout de personnes jeunes et solides qui fuyant leur pays en guerre pourraient être considérés en se reportant à notre histoire (Espagne, France, Russie de 40) comme déserteurs ! et d'autres comme infiltrés de l’EI ;
Mais alors qu'un satellite peut lire une plaque de voiture on peut savoir où sont les navires poubelles qui peuvent servir aux trafiquants pour parquer en mer les migrants les cibler et les détruire avant leur utilisation bien sûr c'est à envisager sérieusement. Au lieu de cela on prépare des camps de transit avec un formidable appel d'air.

GROUPE ÉTUDES HISTORIQUES.

refugies

SAMEDI 13 FEVRIER 2016 DECLARATION DU 1ER MINISTRE FRANCAIS

Berlin - La politique d'ouverture aux réfugiés de la chancelière Angela Merkel n'est pas "tenable dans la durée", a estimé le Premier ministre français Manuel Valls, dans une interview à la presse allemande à paraître samedi.

"Cette politique qui était temporairement justifiée n'est pas tenable dans la durée", a répondu M. Valls à la question de savoir s'il soutenait "la politique d'Angela Merkel d'ouverture des frontières ouvertes", dans cette interview au groupe de presse régional allemand Funke.

"Nos capacités d'accueil limitées, les tensions de ces dernières semaines - en Allemagne mais aussi ailleurs en Europe - nous obligent à dire les choses clairement: l'Europe ne peut pas accueillir tous les migrants en provenance de Syrie, d'Irak ou d'Afrique", affirme le Premier ministre français.

"L'Europe doit reprendre le contrôle de ses frontières et sa politique migratoire et d'asile", a-t-il ajouté.

Les critiques à l'égard du cap suivi à Berlin dans le dossier des réfugiés ne cessent de croître.

Dans une autre interview en Allemagne, au quotidien Handelsblatt, le Premier ministre russe Dmitri Medvedev a lui jugé "tout simplement stupide" la politique européenne d'accueil des migrants qu'incarne la chancelière Angela Merkel, ayant consisté à "ouvrir grand les portes européennes et d'inviter tous ceux qui aspiraient à venir".

De son côté, la Première ministre polonaise Beata Szydlo a appelé à "un virage" dans la politique migratoire conduite par la chancelière, dans une interview au quotidien Bild.

L'Allemagne a accueilli à elle seule en 2015 plus d'un million de demandeurs d'asile, ce qui vaut à la chancelière des critiques croissantes dans son pays.

DECLARATION DU COMMISSAIRE EUROPEEN AUX FINANCES
Alors que la Commission européenne a annoncé l'arrivée de 3 millions de réfugiés dans l'UE d'ici la fin de l'année 2017, Pierre Moscovici a voulu se montrer rassurant sur les conséquences économiques de cette vague migratoire inédite. "Contrairement à l'idée reçue que l'Europe serait envahie et que ce serait une source de coûts considérables, l'afflux de réfugiés et de migrants a un impact positif sur la croissance", assure Pierre Moscovici. Le commissaire européen aux Affaires économiques et financières estime que les réfugiés vont apporter un gain de 0,2% à 0,3% de croissance aux pays membres de l'UE . QUI SE FOUT DE QUI ?

POUR LE PRESIDENT TCHEQUE Milos Zeman l’arrivée de migrants sur l’Europe est « une invasion organisée » ; il a estimé que les jeunes hommes de Syrie et d’Irak feraient mieux de rester dans leur pays et de « prendre les armes » contre l’Etat Islamique : "Je suis profondément convaincu que nous avons affaire à une invasion organisée et non pas à un mouvement spontané de réfugiés", a affirmé Zeman dans son message de Noël adressé samedi à la République tchèque.

POUR LE SUNDAY EXPRESS

            Plus de 4.000 combattants de l'organisation terroriste Etat islamique (EI) ont pénétré en Europe en tant que réfugiés, annonce le journal Sunday Express citant une source de l'EI. Le transfert a été "réussi", selon cette dernière. Les combattants s'intègrent aux flux de réfugiés dans les ports turcs d'Izmir et de Mersin pour arriver en Italie via la mer Méditerranée. Ensuite, ils se dirigent vers d'autres pays européens notamment la Suède et l'Allemagne.

RETOUR JEAN FRANCOIS PAYA ORAN 5 JUILLET 1962

30 mars 2016

COMMUNIQUE HARKIS DORDOGNE - MARS 2016

NON AU 19 MARS , COMMÉMORATION DE LA HONTE

asso

Communiqué conjoint de L’ASSOCIATION DÉPARTEMENTALE HARKIS DORDOGNE, VEUVES ET ORPHELINS ET LEURS AMIS ET L’AMICALE DES PIEDS-NOIRS DE LA DORDOGNE.

            Les Français d'Algérie, Harkis, Pieds-Noirs et sympathisants, continuent à condamner les commémorations du 19 mars qui font suite aux accords d'Évian. Les massacres, atrocités commises après cette date justifient sa condamnation.

            Nos communautés, en fait, NOTRE communauté, car nous sommes unis fraternellement et à jamais par notre passé au sein de l’Algérie Française. Par le présent aussi, dans la lutte pour la reconnaissance du lâche abandon sur notre terre natale et de notre accueil indigne en métropole.  Notre destin est commun à jamais.

            Nous sommes outrés de voir pour la première fois un Président de la République participer à cette cérémonie. Après ses promesses non tenues ce nouvel acte nous révolte et nous afflige profondément.

            Sans vouloir polémiquer sur le calcul stratégique, avec en vue les futures élections présidentielles. Notre Président, Président de tous les Français… sait pertinemment que notre électorat, Harkis et Pieds Noirs confondus, n’a pas un vote homogène. Ce qui en soi ne représente pas un capital à courtiser. Nous ne sommes pas dupes.

Ceci expliquant cela, la participation à cette cérémonie honteuse et la non-tenue de ses engagements de pré campagne du 12 avril 2012 qui stipulaient qu’il reconnaîtrait l’abandon, le massacre et l’accueil honteux dans les camps en France des Harkis et de leurs familles.

            À vous d’en déduire qui est à attirer ? Pourquoi sommes-nous corps et âme contre les cérémonies tenues à cette date ? À la date du cessez le feu, la guerre d’Algérie était gagnée militairement. Ce n’est que par une politique délibérée d’abandon au mépris des garanties données aux populations fidèles à la France que nos gouvernants de l’époque, avec à sa tête le général de Gaulle, ont bradé l’indépendance de ce qui fut notre pays.

Que déclarait « l’homme de Londres «  sur les harkis et Pieds Noirs… »

Le 3 mars 1962 : « Il faut se débarrasser sans délai de ce magma d’auxiliaires qui n’ont jamais servi à rien »

Le 4 mai 1962 : « L’intérêt de la France a cessé de se confondre avec celui des Pieds Noirs »

Les uns et les autres font partie du « boulet » dont il avait avoué à Alain Peyrefitte* le 20 octobre 1959 qu’il faudrait s’en « délester »

*Alain Peyrefitte a été secrétaire d'État à l’information, en avril 1962 puis ministre des rapatriés jusqu’en décembre 1962 (du gouvernement Gaulliste).

Le cessez le feu, quel cessez le feu.

Place

            Il faut savoir ceci ; les chiffres parlent d’eux-mêmes, pertes civiles puis militaires après le 19 mars 1962, nos dirigeants et les dirigeants de la F.N.A.C.A font mine de les ignorer... Mais ils savent eux, contrairement à bon nombre de nos compatriotes qui ont été et sont encore tenus dans l’ignorance.

            Les Politiques soit, mais pourquoi, une fédération d’anciens combattants feint elle d’ignorer ces chiffres … Politique quand tu nous tiens. Pour les fidèles à notre pays « La France » il y a eu plus de morts, civils et militaires confondus, après le cessez le feu  du 19 mars 1962 que pendant toute la guerre d’Algérie…

Pertes militaires du 19 mars au 30 juin 1962. 122 tués (+ 208 décès par accident et maladie). 349 blessés et 36 disparus.

Pertes militaires au 2e semestre 1962 : 30 tués, 73 blessés, 126 disparus.

Pour information de 1954 au 19 mars 1962.

Européens de 1954 au 19 mars 1962 : 2.788 tués. 375 disparus. 7541 blessés.

Musulmans de 1954 au 19 mars 1962 : 16 378 tués. 13 296 disparus.

Victimes civiles après le 19 mars 1962 :

            Européens après le 19 mars et avant le premier juillet: 3018 enlèvements dont 1 282 retrouvés (déclaration de Broglie du 24 nov. 1964, confirmée par lettre Santini du 9 novembre 1994).

            En 2005, la commission d'historien chargée de faire toute la lumière sur ce douloureux problème a retrouvé à Nantes 600 autres disparitions ; d'autres découvertes sont possibles.

            Après le premier juillet 1962, les statistiques sont censées être tenues par le F.L.N. Dans le livre "Disparus en Algérie" M.L. Leclair chiffrent à 6500 les enlèvements.

            On aboutit ainsi à un total d'au moins 6 000 morts ou disparus européens sur une population d'un million. Si un même cataclysme s'abattait sur la métropole, 60 millions, on aurait 360.000 morts, plus que pendant la seconde guerre mondiale.

             Massacre du 5 juillet 1962 à Oran Un T.O du Commandant en chef. du 14 juillet 1962 indique un minimum de 218 disparus le 5 juillet 1962 à Oran (Shat 1 R 274). La croix rouge enregistre 450 dossiers. Jean-Marie Huile, conseiller militaire de De-Broglie, puis de Joxe, ayant accès à tous les dossiers, chiffre à 671 les "victimes françaises".

            Les oranais chiffrent à 3 000 les morts et disparus ce seul jour-là.

Nota : Disparus, un enlevé n'est pas disparu s'il est rendu, vivant ou mort, ou si son corps est retrouvé. Les disparus sont chiffrés par JJ. Jordi à 1753, il en donne la liste dans son livre.

HARKIS :

            Le chiffre de 150 000 morts assassinés après le 19 mars 1962 sont contestés par l'historien Xavier Yacono, qui en se fondant sur les données démographiques, évalue entre 256 000 et 290 000 le nombre total des Algériens disparus. Par différence avec les pertes connues, on obtient une fourchette de 50.000 à 70.000 supplétifs massacrés.

            Une note du service historique des armées qui confirme le  chiffre de150.000 morts. Une autre analyse, conduit à considérer que 150.000 morts est un chiffre minimum.

            En effet, ces chiffres parlent d’eux-mêmes et vous comprendrez aisément pourquoi cet article a été écrit. Nous, Harkis, Pieds Noirs et sympathisants disons NON, NON et NON AU19 MARS, COMMÉMORATION DE LA HONTE.

            Arrêtez de bafouer notre honneur et notre dignité au détriment de calculs bassement électoraux ou autres. Harkamicalement et Piedsnoirement votre.

Sources : Ministère des Armées, archives des armées, ambassade de France en Algérie, Croix rouge Française et livres d’auteurs.

Guy REGAZZACCI, secrétaire de l'Association Harkis Dordogne.

Retour "Harkis"

8 février 2016

COMMUNIQUE DU CNC DU 8 FEVRIER 2016

AFFAIRE PIQUEMAL-ENCORE UNE PROVOCATION GOUVERNEMENTALE_Page_1

AFFAIRE PIQUEMAL, ENCORE UNE PROVOCATION GOUVERNEMENTALE

               Le 6 février dernier, le général Chistian Piquemal, ancien « patron » de la Légion Étrangère, ancien président de l’Union Nationale des Parachutistes (UNP) et ami notoire de notre Cercle a eu le courage de s’opposer publiquement à une interdiction de manifestation à Calais. Ce faisant, le général Piquemal n’a pas hésité à s’opposer aux autorités gouvernementales au nom de l’intérêt supérieur du pays, notre pays, la France. Nous lui en saurons toujours gré. Précisons que Calais – ville française ? – est devenue, de fait, une enclave soumise à un autre droit que le droit français légal, ville dont les habitants de certains quartiers sont devenus des otages en puissance que la force publique n’est plus en mesure de protéger. Le scandale est patent.

               Le rassemblement entièrement pacifique qui s’est opéré autour du général Piquemal le 6 février dernier était là, comme dans d’autres villes de France, pour justement dénoncer ce scandale. Alors que les trois sommations d’usage avaient été effectuées, le général, dans une adresse aux forces de l’ordre, plus particulièrement en direction des gendarmes présents qu’il traita de « frères d’armes », venait de donner la consigne de dispersion de la manifestation et allait achever son discours, un groupe de policiers en tenue se précipita, l’encercla et, sans ménagement, bousculant même une personne âgée, s’empara de sa personne… Ce, en vue d’une comparution immédiate.

               Dans cette affaire, les provocations délibérées sont multiples :

-          le deux poids deux mesures systématique pour l’autorisation de manifester malgré l’état d’urgence, les casseurs gauchistes manifestent et cassent joyeusement.

-          les manœuvres de désinformation de la part des autorités et de la presse serve au sujet de la nature de cette manifestation de Calais.

-          les persécutions en tous genres, y-compris fiscales, contre les associations qui déplaisent, comme actuellement nos amis de CIVITAS.

-          l’interpellation abusive et médiatisée d’un officier général populaire dans le milieu combattant…

            Malgré notre indignation légitime, sachons garder le moral et la sagesse des vieilles troupes et ne cédons pas à ces provocations qui visent à nous faire sortir de nos gonds et à manifester bruyamment notre réprobation, ce qui serait le prétexte attendu pour nous faire dissoudre. Rappelons-nous du 6 février 1934 qui servira de prétexte à la dissolution par le gouvernement de tout un ensemble de ligues et associations patriotes, le tout couvert, comme toujours, par le mensonge officiel qui s’imposa par la suite comme vérité…

               Ne tombons pas dans leur piège, soyons patients, le régime actuel, à l’agonie, se délite peu à peu

Roger HOLEINDRE

Président du Cercle National des Combattants

Général C-Piquemal4

Général C-Piquemal

 

Succès du rassemblement de Montpellier : 350 personnes contre l'immigration-invasion

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Conférence sur : « LES SEIGNEURS DE LA GUERRE »

- De l’Indochine à l’Algérie, la Légion étrangère au combat

- L’Odyssée et la fin tragique du 1er Régiment Etranger de Parachutistes en Algérie.

« De l’Indochine à l’Algérie, le conférencier évoque le vécu, l’héroïsme et les sacrifices de ces légionnaires, Fils de France non par le sang reçu mais par le sang versé. Ces soldats-loups à la démarche souple de félins, accoutumés à la chasse et au guet, infatigables dans le chaos minéral de l’Aurès, acceptaient le défi de la guerre dans  les défilés étroits comme des pièges, sur les pitons enneigés ou brûlés par le soleil et dans l’enfer du désert où le monde mort a chassé celui des vivants. Ces hommes, « soldats pour mourir », constituaient le plus beau régiment du mode ; jalousés, admirés et vénérés parce qu’ils étaient capables de mourir avec panache en criant : « Vive la Légion ! »

… Puis il y eut le 22 avril 1961 et le soulèvement des meilleures unités combattantes dont le 1er REP était le « fer de lance »… sa dissolution et celle des plus belles unités parachutistes… l’émouvant adieu de la population de Zéralda à « leurs » légionnaires… le « cessez-le-feu » et la fin tragique de l’Algérie française… Le génocide des harkis commençait. »

Cette conférence, organisée par le Cercle algérianiste de TOULOUSE, sera donnée par José CASTANO, Samedi 9 Avril 2016, à 15h30, au CEFANOM, 1, rue des Pénitents blancs – 31000 TOULOUSE - Entrée gratuite

Un repas (facultatif) est prévu à 12h.

Pour tout renseignement : 05.61.15.45.98 ou 06.40.38.69.06

Courriel : cortes.famille@wanadoo.fr

 Retour à tous les communiqués

 


 

Général C-Piquemal3

 


POUR INFO COMPLEMENTAIRE DU 08/02/2016

Le Général Christian Piquemal déclare sur BFM qu il n est pas raciste et qu il se désolidarise de la manifestation car il y avait des néo-nazi ,

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7 février 2016

ZITOUNI TAYEB

Par Michel DELENCLOS chercheur en histoire – Biographe

Le 27.01.2016, Mohamed El Korso clame (*) : «Il faut profiter du pouvoir actuel en France…».

Le 28.10.2014, Tayeb Zitouni (1), lors d’un entretien avec l’APS, affirme à Alger que la question de reconnaissance de la qualité de membres de l’ALN et du «FLN» a été clôturée en 2002 sur décision de l’Organisation national des moudjahidine «ONM», et nous ne pouvons rouvrir ce dossier aujourd’hui, 53 ans après l’indépendance.». Puis, T. Zitouni affirme que : «La France refuse de remettre ce qui reste des archives à l’Algérie ou s’attarde à le faire. Elle ne remettra jamais ces archives qui risquent de lui faire tort. La France n’acceptera jamais de s’avouer vaincue dans la guerre contre l’Algérie. La France doit admettre que l’Algérie est indépendante et que les Algériens n’oublieront jamais les affres du colonialisme. La plus grande partie de ces archives se trouve actuellement au centre national des archives.». Quant à la question des excuses et de la reconnaissance des crimes, revendiquée par plusieurs parties en Algérie, T. Zitouni estime qu’il s’agit simplement d’une question de temps, affirmant que «tôt ou tard la France devra reconnaître les crimes de guerre contre l’humanité qu’elle a commis en Algérie pendant 132 ans.». Puis, revenant sur un certain «manquement» dans la revendication d’une reconnaissance de la France de ses crimes coloniaux, T. Zitouni rappelle que «La meilleure manière de procéder consiste à préserver l’histoire et à la transmettre aux générations futures afin de leur inculquer les valeurs du patriotisme et de fidélité au serment des chouhada. Les Algériens doivent savoir comment défendre leur leg historique et demeurer fidèles à la génération du 1er novembre et alertes quant aux menaces qui nous guettent.».  («DK News» du 28.10.2014).

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Le 05.04.2015: Tayeb Zitouni, en visite à Mascara.

Le 05.04.2015, lors de sa visite à Mascara et, à propos du livre de Pierre Daum «Le dernier tabou», T. Zitouni précise que: «Le manque de documents appropriés laisse libre cours aux écrivains outre-Méditerranée, notamment les Français, de spéculer sur tout ce qui a trait à cette époque. Certains écrivains, particulièrement français, ont mis à profit cette opportunité pour donner des chiffres complètement faux notamment sur la situation des harkis. En l’absence de travaux algériens, ce sont les étrangers qui vont s’acquitter de cette mission, mais les conséquences seront graves car les informations, les déclarations et les témoignages seront faussés…» ; T. Zitouni rejette les responsabilités sur ses compatriotes notamment les anciens moudjahidines dont la «contribution», au travers de leurs témoignages, est, à ses yeux «plus que nécessaire» pour rétablir la vérité. Un avis que ne partage pas totalement l’ancien porte parole de la délégation algérienne lors des négociations avec la France, à Evian, Redha Malek qui, dans une déclaration au journal arabophone «El Khabar», estime que la balle est plutôt dans le camp des autorités algériennes qui, selon lui : «doivent faire le compte des dossiers et donner les vrais chiffres pour clore définitivement ce dossier pour ne pas laisser un moyen de chantage entre les mains des français…La version française sur les Harkis est sans fondement et n’est rien d’autre que de la propagande.».

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Le 19.04.2015 : Jean-Marc Todeschini et T. Zitouni à Sétif.

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Le 20.04.2015 à Sétif: lors du dépôt de gerbe à la mémoire des victimes algériennes du 08.05.1945, T. Zitouni est aux côtés de Jean-Marc Todeschini, secrétaire d’Etat chargé des Anciens combattants et de la Mémoire

Le 23.04.2015, J-M. Todeschini est à peine rentré en France, après ses 2 jours de visite en Algérie, que, Tayeb Zitouni, en marge d’une séance au Sénat algérien, commet une déclaration qui risque bien de déplaire de l’autre côté de la Méditerranée : «La France reconnaîtra tôt ou tard les crimes perpétrés en Algérie…». Interrogé par les journalistes sur les déclarations du président F. Hollande, T. Zitouni affirme : «Nous transmettrons le message de génération en génération...tout comme nous nous enorgueillissons de nos aïeux.».  Puis, T. Zitouni annonce la tenue, à Oran, les 4 et 05.05.2015, d’une conférence sur la torture pratiquée à l’encontre du peuple algérien durant l’ère coloniale  «dans le but de faire connaître «les tragédies endurées par les Algériens à ce moment de l’histoire.». («Le Courrier de l’Atlas» du 24.04.2015). T. Zitouni, dans ses déclarations, se sent sûrement renforcé par celles notamment de Gilles Manceron, un historien français, lequel, à Guelma (Algérie), le 07.05.2012, lors du colloque sur les massacres du 8 mai 1945, mettait l’accent sur la nécessité de voir un jour la France officielle reconnaître ses crimes coloniaux, soulignant : «Sous la présidence de Nicolas Sarkozy, nous étions loin d’une quelconque forme de reconnaissance des crimes perpétrés en Algérie. Mais, avec l’élection de F. Hollande, les choses ont de fortes chances de bouger dans le bons sens. A la croisée des chemins, l’opinion publique française, notamment avec les nouvelles générations, contrairement aux anciennes (les nostalgiques de la colonisation), est plus hermétiques aux mensonges et aux mythes colportés par l’extrême droite.» Et, selon cet historien, outre le 08.05.1945 (Guelma-Sétif-Kherrata), le 20.08.1955 à Skikda), le 11.12.1960 à Alger, et le 17.10.1961 à Paris, doivent faire l’objet de reconnaissance globale.. («Djazairess du 08.05.2012).  Mais n’oublions pas ceux qui clament et réclament ces mêmes commémorations, comme Pierre Daum, Gilbert Meynier et, B. Stora lequel, dans «Toute La Culture «TLC» du 01.11.2012, à cette question sur la mémoire algérienne en France : «Est-ce qu’il reste des tabous, est-ce que vous vous poser des interdits ? », Stora répond : «Non. Le terme de guerre est maintenant admis. Les exactions également…Je ne pense pas qu’il y ait des interdictions mais il y a des zones d’ombres. Il reste à montrer l’utilisation du Napalm et les viols des femmes commis par l’armée française.». Le 18.03.2012, dans «Le Monde-Afrique», B. Stora poursuit sa «guerre des mémoires» : voici ce qu’il écrit : «L’inauguration en novembre 2007, du «Mur des victimes du FLN», à Perpignan, a lieu. Elle se déroule en présence du secrétaire d’Etat à la Défense chargé des anciens combattants, Alain Marleix, qui a souhaité «une politique de mémoire assumée». Eclipsant la signature de gros contrats portant sur le gaz et le pétrole principalement, la question de la mémoire a donc, encore une fois, empoisonné et donné le ton des relations entre la France en Algérie.». M. Stora s’attaque au Mémorial de Marseille, au Musée de Montpellier, au Mur des Disparus à Perpignan parce que les Pieds-Noirs désirent que leur Mémoire, leur Histoire aient aussi une place ; ces Pieds-Noirs que vous comparez aux «anticastristes» cubains, ajoutant : «Mais que peuvent espérer les pieds-noirs ? Retourner en Algérie ? Evidemment non…C’est pour cela que les pieds-noirs n’ont plus que les musées comme lieux où se réfugier.». («New York Times» – repris par «Le Courrier international» n° 950 du 12 au 14.03.2009). Pour vous, M. Stora, pas de problème puisque à longueur d’entretiens, vous vous vanter d’effectuer des aller-retour fréquents en Algérie, au point de commémorer le 8 mai 1945 avec le «FLN-ALN», et de vous recueillir notamment sur la tombe de votre grand-père…Par ailleurs, lors d’un entretien accordé à Pascal Amel de «Art Absolument» et, publié dans «AlgerParis» du 09.07.2015, B. Stora soulignait que : «Le fait de porter un regard critique sur l’histoire coloniale ne signifie pas détruire «l’identité française», au contraire. Cela permet à la France de se débarrasser des fantômes du passé…». Ce que l’on peut comprendre, sauf que Stora ne cesse de témoigner à charge. Le 28.05.2010, invité par l’Association pour la promotion de la culture algérienne «APCA» de Givors, près de Lyon, après avoir donné une conférence, l’historien Benjamin Stora répond à cette question : «Cette manifestation organisée à Givors pour commémorer les événements tragiques du 8 mai 1945 en Algérie, n’est-elle pas une première nationale ? » : «Je me suis rendu plusieurs fois en Algérie, à Sétif ou Guelma, pour une commémoration des événements tragiques de mai 1945, mais à ma connaissance, c’est bien la première fois qu’une telle manifestation se déroule en France. C’est une bonne initiative car il est temps de regarder ce passé en face.». L’interview est publiée par le magazine municipal «Vivre à Givors» de mai 2010.

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Le 06.04.2013 : à droite, Benjamin Stora lors de sa conférence à Sétif (Algérie).

Ce 06.04.2013, à la maison de la Culture Houari Boumediene à Sétif, B. Stora est l’invité de l’association des anciens élèves des lycées Mohamed Karouani et Malika Gaïd. En la circonstance, Stora se prononce en faveur de l’ouverture des archives et le «déverrouillage» du débat sur la colonisation française en Algérie, notamment concernant des sujets «aussi importants» que les expérimentations nucléaires, les mines antipersonnel, les disparus algériens pendant la bataille d’Alger ou encore l’utilisation du napalm. Puis, pour ce qui concerne le 19 mars 1962, Stora souligne que, pour les Algériens : «Le cessez-le-feu marque le début d’une histoire, celle de la reconstruction de l’Etat-nation, c’est le début de la liberté, aboutissement d’un long processus de résistances et de luttes…». («Setif.Info du 06.04.2013). L’auteur interroge : «Quand l’Algérie a été un «Etat-nation» ? ».

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Le 04.05.2015 à Oran : T. Zitouni lors du colloque sur la torture de 1954 à 1962.

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Le 26.05.2015: à Kenchela, T. Zitouni insiste pour «sortir les musées du Moudjahid de la routine».

Le 15.06.2015, T. Zitouni décerne la médaille du 60ème anniversaire du déclenchement de la guerre de libération nationale à Hawe Marvine Henietta, journaliste américaine et amie de l’Algérie. Agée de 87 ans, Hawe Marvine est une sympathisante de la question algérienne qui a couvert des enquêtes sur la révolution pour le compte de plusieurs institutions médiatiques, à l’instar du «New York Times». En mai 2015, dans une conférence animée dans le cadre du salon de la communication, organisé à Alger, elle confiait qu’elle comptait écrire ses mémoires sur l’Algérie et raconter ses souvenirs avec les personnalités révolutionnaires et culturelles qu’elle avait rencontrées à cette époque.

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Le 19.09.2015: T. Zitouni, à l’occasion du 57ème anniversaire de la création du «GPRA» (2), donne une conférence.

A cette occasion, le ministre des Moudjahidine affirme que «le secteur salue les différentes démarches et les efforts consentis pour l’écriture de notre histoire notamment celle de la guerre de libération nationale, des efforts que nous soutiendrons et encouragerons. Cette célébration de l’anniversaire de la création du «GPRA» est une halte particulière aussi importante que les autres stations et autres événements historiques qui constituent notre mémoire collective.». T. Zitouni s’est dit fier «des acquis et des réalisations accomplis grâce aux sacrifices des grands hommes qui ont marqué l’histoire, soulignant que toutes ces étapes historiques ont été une source d’inspiration pour suivre la construction et l’édification après l’indépendance.  Quant à Redha Malek, il met en exergue la grandeur de l’événement –la formation du «GPRA», rappelant que ce gouvernement «portait les aspirations d’un peuple militant et combattant». L’enseignant  algérien en histoire, Ahmed Bouderba, interviendra également. Puis, T. Zitouni rendra hommage à R. Malek, Lamine Khan et Hadj Hamou.

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Le 31.10.2015: Tayeb Zitouni, lors de son discours de la célébration du 61ème anniversaire du déclenchement de la révolution du 01.11.1954.

A cette occasion, à Mostaganem, lors d’une cérémonie organisée au Musée du moudjahid de Riadh El-Fath, le ministre des Moudjahidine déclare : «L’Algérie doit concrétiser l’idéal espéré par les martyrs du 01.11.1954, qui l’ont libérée du joug colonial, et demeurer à jamais une Algérie digne et forte dans laquelle sont consacrées les hautes valeurs de démocratie et de développement au service du citoyen…Cette célébration du déclenchement de la révolution est un rendez-vous avec une histoire riche en exploits et actes de bravoure, jalonnant le parcours de notre peuple...».

«Une histoire riche en exploits et actes de bravoure, jalonnant le parcours de notre peuple…».

A cette époque, personne ne parlait de Daech et d’état islamique, sinon que de barbarie…Ci-après une série de photos, dans un ordre chronologique, qui démontrent que, du 01.11.1954 et…après l’indépendance, certains Algériens ont réalisé…des exploits.

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Un musulman découpé en morceaux

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Un Européen égorgé, éventré, émasculé

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Adultes et enfants en bas âge torturés par les barbares du «FLN-ALN».

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Le 08.05.1945 : M. Denier, une des premières victimes des massacres de Sétif.

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Mai 1945 : obsèques des Européens massacrés à Sétif, Guelma…

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Le 30.01.1956 : massacre de la famille Cruet : la mère et ses deux enfants.

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Le 20.08.1955 : à El-Halia, massacre de 45 européens dont la majorité sont des enfants qui furent sauvagement mutilés et égorgés

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Le 18.07.1956 : à Sidi-Ghalem, ce militaire égorgé.

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Le 27.05.1956 : au douar Zenata (Remchi), deux musulmans, Benmrah Bouhasoun et Beneli Mohamed, sont torturés par le «FLN-ALN». Ils sont décapités à la serpe après avoir eu la verge sectionnée et enfoncée dans la bouche. Ce genre de tortures et d’humiliations est particulièrement apprécié des terroristes marxistes depuis 1917.

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Le 01.03.1962 : à Mers-El-Kebir, près d’Oan, Rosette Ortega, gardienne de stade, violée et massacrée, sa fille Sylvette âgée de 5 ans et son fils André âgé de 4 ans, tous deux les têtes fracassés contre les murs.

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Le 23.04.1962 : ces volontaires musulmans de l’armée française sont enlevés et atrocement torturés par l’ALN.

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Le 23.05.1962 : à l’Haouch-Adda (Maison-Carrée), charnier d’hommes et de femmes. (Collection photos: Général Rolet).

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Ce 31.10.2015 : T. Zitouni prononce l’oraison funèbre de Claudine Chalet (3), décédée la veille puis inhumée au cimetière chrétien d’El-Madania: «C’est une valeureuse moudjahida qui a aimé l’Algérie et les Algériens, tout en donnant une très bonne image de la grandeur de la guerre de libération».

Le 26.01.2016, invité pour trois jours à Paris, T. Zitouni est accueilli tout d’abord, par le président du Sénat Gérard Larcher, au cours d’une audience qui s’est déroulée en présence du secrétaire d’Etat Français chargé des Anciens combattants et de la Mémoire, Jean-Marc Todeschini, et des membres du groupe parlementaire d’amitié franco-algérienne. Les deux parties ont évoqué le rôle que pourrait jouer le pouvoir législatif en matière de mémoire. Puis, Zitouni dînera au Sénat  Il s’agit, en la circonstance, de la première visite d’un ministre algérien des combattants. Par ailleurs, J-M. Todeschini précise qu’une commission de travail française se rendra à Alger les 3 et 11.02.2016.

Le parcours en France de T. Zitouni, du 26 au 28.01.2016 : Vidéo : (https://www.youtube.com/watch?v=CC-mn5E078k ).

Autre vidéo émanant du gouvernement français :

(http://www.defense.gouv.fr/actualites/articles/video-pour-une-memoire-franco-algerienne-apaisee ).

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Le 27.01.2016 : T. Zitouni et J-M. Todeschini se recueillent à l’Ossuaire de Douaumont.

C’est une première depuis l’indépendance de l’Algérie en 1962 : le ministre algérien des moudjahidin se rend à cet ossuaire pour rendre hommage à ses compatriotes tombés durant la Première guerre mondiale.

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Lors du dépôt de gerbe, J-M. Todeschini déclare qu’il s’agit, dans les deux cas,  «de participer à l’apaisement des mémoires. Des mémoires douloureuses pour nous mais aussi pour l’Algérie…Beaucoup de soldats venus d’Algérie sont morts lors de la Première guerre mondiale et de la Seconde guerre mondiale pour notre liberté, la liberté de la France, la liberté de l’Europe aujourd’hui…»A cette occasion T. Zitouni ne s’exprimera pas du tout.

Ce 27.01.2016, selon le quotidien national algérien d’information «Horizon», T. Zitouni a lancé en outre, un message fort lorsqu’il a dit qu’il n’y avait : «aucun différend» entre l’Algérie et la France, indiquant avoir constaté un changement d’attitude et de ton de la France au sujet des questions liées à la mémoire : «Nous n’avons, avec la France, aucun différend. Nous avons seulement, entre nous, des dossiers en suspens qui empoisonnent constamment nos relations...le langage et le ton ont changé (du côté français) et il en est de même pour certaines positions, notamment celles liées à notre histoire commune…Les Algériens n’éprouvent aucune hostilité ni rancune vis-à-vis du peuple français…Notre histoire commune doit constituer une force pour construire le futur des générations montantes des deux pays», a-t-il précisé, devant les moudjahidins de France et les Français amis de la révolution algérienne, au Centre culturel algérien de Paris.

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Tombes musulmanes et visite de la Nécropole nationale de Douaumont. Puis, Zitouni, avec J-M. Todeschini, se recueille sur les tombes de soldats algériens et, tous deux déposeront une gerbe au monument musulman, la Kouba. T. Zitouni ravivera la flamme du souvenir.

Le 27.01.2016, T. Zitouni se rend à Verdun, à la Nécropole nationale pour se recueillir à la mémoire des Algériens morts pour la France durant la Premier guerre mondiale. Ce même jour, accompagné de J-M. Todeschini, «T. Zitouni se recueille au pont Saint-Michel à la mémoire des victimes du 17.10.1961, où une plaque commémorative a été apposée sur le quai à partir duquel des centaines d’Algériens ont été jetés dans la Seine…», selon le quotidien algérien «El Watan» du 28.01.2016.

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Le 17.10.2011 : F. Hollande –premier secrétaire du «PS»- et ses amis algériens, sur le pont de Clichy, avaient déjà précédé T.Zitouni.

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F. Hollande, éploré, et son conseiller labellisé B. Stora : visages de circonstance… 

Puis, le 28.01.2016, T. Zitouni participera à des entretiens avec le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian puis, avec le président de l’Assemblée nationale, Claude Bartolone.

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Le   28.01.2016 : T. Zitouni et C. Bartolone.

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Le 11.03.2013 : à Alger, C. Bartolone avait déposé, à Alger, une gerbe au mausolée des «Martyrs» algériens.

(*) Le quotidien algérien «El Watan» du 27.01.2016 : «…Nous espérons que la démarche aboutisse le plus tôt possible. Cette urgence est dictée par le contexte politique en France qui s’apprête à organiser, dans quelques mois, une élection présidentielle.», précise M. El Korso.

(1) Zitouni Tayeb  né le 24.09.1956 à Oran (Algérie française)  -Ministre des Moudjahidines nommé le 05.05.2014. Membre fondateur de l’organisation des enfants de chouhada. (Martyr).

(2) GPRA : Gouvernement provisoire de la république algérienne. Créé le 19.09.1958 au Caire. Entre le 1er et le 11.07.1959, il cède le pouvoir aux militaires

(3)  Chaulet Claudine Simone née Guillot : (21.04.1931-30.10.2015). Dès juin 1956, avec son mari, elle fera partie de l’équipe de l’organe du «FLN», «El Moudjahid». A leur demande, ils seront inhumés à Alger.

Oui, l’Histoire de la guerre d’Algérie reste à écrire. Nous n’y arriverons jamais tant que les deux parties pratiqueront la censure et réécriront à leurs avantages respectifs cette époque commune à nos deux pays. Ils ont tellement de choses à cacher.

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3 février 2016

"LE REVEIL DE L'EUROPE"

Affaire à suivre!

Le samedi 6 février aura lieu à Montpellier, un rassemblement des patriotes.

Pour la première fois, un grand nombre de pays européens, l’Allemagne, l’Angleterre, l’Autriche, la Belgique, l’Espagne, la France, la Hollande, la Pologne, le Portugal, la Slovaquie, la Suisse, et la Tchéquie ont décidé de s’unir pour organiser, ensemble et en même temps, un grand moment de résistance pour défendre notre culture commune face à l’invasion migratoire, mettre un coup d’arrêt à l’islamisation du vieux continent et à  la disparition programmée de notre civilisation européenne et chrétienne

Nous sommes  tous appelés, jeunes et moins jeunes, à participer, à nous retrouver pour :

Sauver notre culture, nos traditions, notre pays, notre futur ! Préparer un avenir meilleur pour nos enfants !

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Le rassemblement de Montpellier est autorisé, et nous serons nombreux !

Pour info : rassemblement samedi 6 février 2016 à 15 h devant la préfecture

Pour tous renseignements : 07 83 47 42 42

"Si vous ne vous bougez pas"… 12 ans déjà… Chanson de Jean-Paul GAVINO

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27 février 2016

LABYRINTHE - EDITORIAL DU BULLETIN DE L'APN 24 DE MARS 2016

par son Vice-président, Michel Delenclos Chercheur en histoire

Les MOTS des uns les MAUX des autres.

Chers Amis de l’Amicale des Pieds-Noirs de la Dordogne «APN 24», au seuil de cette nouvelle Année 2016, je vous invite à lire ce très succinct rappel des préventions, des constats, des alertes lancées par des hommes politiques, des journalistes, et des analyses d’historiens                                                                       

Le 07.03.1937, l’ancien gouverneur de l’Algérie, Maurice Viollette, dans «Paris-Soir» souligne : «Ce qui est seulement exact, c’est que partout les Européens devront compter avec les indigènes, et c’est précisément ce qui est juste parce que s’il n’y a pas d’Algérie sans les Européens, il n’y a pas non plus d’Algérie sans les indigènes.». .

Le 18.08.1947, dans une déclaration à la presse, rappelant l’œuvre de la France, De Gaulle précise : «La population d’origine française ou européenne, a mis en jeu une somme énorme de travail et d’initiative qui a accru dans d’extraordinaires proportions la valeur propre de l’Algérie et servi de levain au progrès de tous les habitants. ».

Le 27.08.1956, dans «Le Monde», -le créateur de ce journal- Hubert Beuve-Méry s’interroge : «Faudrait-il donc tout lâcher, tout brader, se replier peureusement et piteusement sur l’Hexagone métropolitain. Se désintéresser du sort d’un million de compatriotes et de l’œuvre –magnifique malgré son passif- qu’ils ont réalisée ? ».

Le 07.07.1957, à Mulhouse, le président de la République, René Coty déclare notamment : «…Mais qui de nous serait lâche pour les abandonner ? ».

Le 28.05.1958, peu avant sa démission du gouvernement, Pierre Pflimlin confit à Michel Poniatowski : «Les Français d’Algérie et l’armée vont avoir des surprises avec De Gaulle. Il n’aime pas les premiers depuis le début…».

Le 12.05.1966, au Sénat, Jean Lecanuet déclare : «Nos compatriotes d’Algérie comme ceux qui, en métropole, partageaient leurs inquiétudes, ont résisté, eux aussi, pendant quatre ans (*). Ils combattirent pour leur province comme nous luttâmes jadis pour notre pays. Ils s’estimaient comptables envers eux-mêmes et envers leurs enfants de leur terre, de leurs efforts et de leurs tombeaux. Ils luttèrent tant qu’ils purent, écrasés à la fois par l’ennemi et par les armes de la France retournée contre elle-même.». (*)  -Il s’agit bien là des 4 ans de pouvoir gaulliste.

Le 23.04.1968, lors de l’inauguration de la plaque commémorative de la 1ère Armée –Esplanades des Villes Compagnons de la Libération quai Henri IV à Paris-, De Gaulle prononce un discours : «Aux soldats de la 1ère Armée française qui devant l’Histoire, ont payé le prix de la Liberté. La France pourrait-elle oublier cette armée venue d’Afrique qui réunissait les Français libres de la 1ère DFL, les pieds-noirs, (**) les goumiers et les tirailleurs marocains, algériens, tunisiens, sénégalais…». (**) 2 choses à préciser : d’abord Alain Peyrefitte a insisté auprès de De Gaulle pour qu’il évoque «les pieds-noirs», ensuite, nous sommes au tout début des événements de mai 1968…

Dans «Le Monde» du 22.03.2002, l’historienne Jeannine Verdes-Leroux écrit : «L’apaisement des Français d’Algérie passera par l’écriture d’une histoire équitable. On en est loin. La lecture dominante, fabriquée dans les violences du temps, a, depuis, outré ses falsifications, ses jugements, ses oublis.».

Dans «La Nouvelle Revue d’Histoire» n° 8 d’octobre 2003, Charles Vaugeois, sous le titre «Une guerre cruelle», note : «En face les Européens d’Algérie souffrent d’une faiblesse mortelle. En raison de leur dépendance à l’égard de la France et peut-être de leur tempérament, ils ne pourront jamais constituer un parti communautaire capable de les défendre et de les représenter.».

Le 01.06.2004, l’historien Benoït Haberbusch, dans son ouvrage «La gendarmerie en Algérie», note : «Les débats suscités par le 40ème anniversaire de la guerre d’Algérie ont rappelé les enjeux représentés par la mémoire. La communauté «pied-noir» se montre particulièrement sensible à cette question. Elle se sent dépositaire d’un siècle et demi d’une histoire qui s’est achevée par un arrachement traumatisant au sol natal…Les pieds-noirs cultivent également une relation particulière avec la France. Ils témoignent d’un amour sincère, presque naïf, pour une mère-patrie idéalisée, mais ce sentiment est assombri par la déception de certains pour la France réelle et l’abandon dont a été victime leur communauté.».

En 132 ans de présence française en Algérie, les hommes politiques, de tous bords,  ont accumulé les discours, les promesses et les silences, constituant ainsi un tracé sinueux, d’impasses et de fausses pistes, conduisant à l’élaboration d’un labyrinthe meurtrier. La fracture a été violente, marquée historiquement par le 5 juillet 1962, à Oran. Aujourd’hui, en Algérie plus qu’en France, l’écriture de l’Histoire est sous l’emprise du Pouvoir. Or, seule l’Histoire dira la vérité, car il ne s’agit pas d’inculper ou de disculper, mais de comprendre. Or, l’histoire de la guerre d’Algérie, aujourd’hui, est écrite par des idéologues épidermiques, pour certains au mépris de la chronologie, du croisement des données…Pour conclure, je retiens cette réflexion de Michel Renard, professeur et historien qui, le 15.12.2012, notait : «La réconciliation des mémoires ne pourra être que postérieure à l’accord sur la vérité historique. Encore faudrait-il que le régime algérien évolue vers la démocratie et reconnaisse la liberté d’investigation historienne à ses chercheurs. Encore faudrait-il qu’en France le lobby universitaire, intellectuel et journalistique «repentant» accepte une vision plus rigoureuse de l’histoire de la présence française en Algérie

Au sein de notre «APN 24», nous devons rester soudés plus que jamais, car, indéniablement, l’Histoire tranchera. Avec mes vœux, celui d’un Parisien du XIIIème.

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23 janvier 2016

LES ENFANTS DU "CENTRE GEORGES GUYNEMER" de 1941 à 1945

Piere Anglade-Dépêche du Midi 05 01 2017

Cet ouvrage est vendu au profit de l'entretien des basiliques catholiques en Algérie :Notre Dame d'Afrique à Alger, Santa Cruz à Oran, Saint Augustin à Bône.

Trois mille enfants réfugiés en Algérie de 1941 à 1945

SOS outre-mer Villard

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Voir aussi  ALGÉRIE- DES FAMILLES ACCUEILLENT DES ENFANTS DE LA GUERRE DE 39/45

Retour TEMOIGNAGES 1939/1945 ou bien:

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8 janvier 2016

GABRIEL ANGLADE

GABRIEL ANGLADE

C'EST AVEC UNE GRANDE TRISTESSE QUE NOUS VOUS INFORMONS DU DECES DE NOTRE PRESIDENT GABRIEL ANGLADE SURVENU LE 07 JANVIER A 17H00.

Gabriel Anglade, président de la Maison du Pied-Noir de Cagnes-sur-Mer et fondateur du Parti Pied-Noir.

C’est une grande perte pour la communauté des Français d’Algérie. Gaby fut un grand résistant et un homme de cœur… Il laissera un grand vide parmi nous.

Bien amicalement José CASTANO

Fleur de lys

« Les Deltas n’étaient pas des tueurs, mais des citoyens ordinaires prêts à mourir pour une cause : le maintien de l’Algérie française » (Gabriel ANGLADE, chef du commando Delta 6 de l’OAS Algéroise)

MARDI 12 JANVIER 2016           

Le corps du défunt sera visible à partir de 14 h 30.

Athanée de Cagnes-sur-Mer (04.93.22.63.39), route de Vence, cimetière de la Buffe, 06800 Cagnes-sur-Mer.

LUNDI 18 JANVIER 2016

10 h : Levée du corps à l'athanée de Cagnes-sur-Mer, cimetière de la Buffe.

10 h 30 - 11 h 30 : office religieux en l'église de la Sainte-Famille, 1 boulevard Maréchal-Juin 06800 Cagnes-sur-Mer.

Crématorium Nice-Colomars (04.93.29.03.50), RD 6202, vallon du Roguez, 06670 Colomars.

12 h 30 : Recueillement

13 h 00 : Crémation

16 h 30 : Inhumation au cimetière de la Buffe, route de Vence, 06800 Cagnes-sur-Mer.


Son parcours GABRIEL ANGLADE A REJOINT LES SIENS 

de DELENCLOS Michel : auteur de «19 mars 1962 ? Waterloo !», Ed. L’Harmattan. Prix d’histoire. Référencé à l’Académie des Sciences d’Outre-mer.  Chercheur en histoire. Biographie.

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21 décembre 2015

DUPERRÉ

Une fois n'est pas coutume car située à 140km au sud-ouest d'Alger la commune est créée en 1857 entériné par le décret impérial du 5 septembre 1859. C’est un chef-lieu de canton du département d'Alger. Puis suite à la réorganisation territoriale fit partie, après 1958, du nouveau département d’Orléansville.

Le village reçoit le nom de Duperré en hommage à Victor Duperré (1775/1846) Amiral, commandant la flotte de la conquête.

La ville de La Rochelle lui a élevé une statue, inaugurée le 17 octobre 1869.

Amiral Victor-Guy Duperré 1775-1846

Amiral Victor-Guy Duperré 1775-1846

Amiral Duperré 1869 - port de La Rochelle

Statue de l'Amiral Duperré de 1869 sur le port de La Rochelle

Situation Michelin

Duperré 02

Duperré 03

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Duperre 601

 

Duperre 604

Duperré

 

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Duperré 01

 

Duperré 04

Retour villes et villages d'Oranie.

12 décembre 2015

DUBLINEAU

            Ancien poste avancé Romain le centre de population d'Oued El Hammam est créé par un décret en date du 10 novembre 1851, il est agrandi et peuplé de réfugiés prussiens en 1872.

            Le village est érigé en commune de plein exercice par décret du 22 mars 1885 dans l’arrondissement de Mascara du département d’Oran. En 1956 la commune est rattachée au département de Mostaganem.

Situation Michelin Dublineau

Dublineau Vue Générale

Dublineau Vue Générale

Dublineau

Dublineau 1951 Collection Monneret

Dublineau La Gare

La gare

Dublineau La Grande rue

La Grande rue

Dublineau Le Moulin Perez

Le moulin Perez et la gare

Dublineau Le Moulin à cylindre Henri Perez

Moulin Perez - Entrée

L'église de Dublineau peinture de F - F BERGER

L'Eglise - Peinture de F-F BERGER

Dublineau-Echo de l'Oranie

Echo de l'Oranie n°159 mars 1982

Dublineau Le Pont

Le pont sur l'oued El Hammam

Télécharger l'info n°432 de JC Rosso

Retour villes et villages d'Oranie.

29 novembre 2015

GABRIEL MENE

Un grand monsieur nous a quitté ce 28/11/2015 au matin. Tu étais un grand homme avec un très grand  coeur....tu seras toujours dans nos pensées et dans nos coeurs.

Je viens d'apprendre cette triste nouvelle et j'ai beaucoup de peine. Gabriel était un véritable ami et il s'est dévoué corps et âme à la cause "Pieds-Noirs". Je souhaite que tous les PN, toutes les associations, lui rendent un hommage très respectueux. Adieu Gabriel. manuel gomez

L’ÉQUIPE DE RADIO WEB TOULON REND HOMMAGE A MONSIEUR GABRIEL MÈNE SUR YouTube

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Ce qu'il écrivait le 12 octobre 2015

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LE COMBAT DE SA VIE

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HARO SUR LE BAUDET de Pierre Salas sur son ami Gabriel du 25 novembre 2010, suivi en commentaire l'entretien avec Gabriel Mène (Propos recueillis par Mathieu GIRANDOLA) "La défense des intérêts des rapatriés d’Algérie" du dimanche 6 Février 2011.
 source: (www.laprovence.com)

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26 octobre 2015

BULLETIN D'HUMEUR N° 179

Libre propos citoyen

Document transmis par

LE PHAREFOUILLEUR  le Jeudi 19 novembre 2015.

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen - Article XI - 1789

« Ils » en ont fait des (faux) Français capables de tuer des (vrais) Français au nom de l’Islam : ce gouvernement est incapable de nous protéger, qu’il démissionne !

Madame, Monsieur, cher(e)s ami(e)s et compatriotes,

         Voici la preuve horrible de l’incapacité du Président de la République et de son gouvernement à nous protéger :

BATACLAN

Victimes assassinées au Bataclan (photo : auteur inconnu)

Cette photo est bouleversante, bien évidemment, mais il est nullement irrespectueux de la montrer : c’est une atroce réalité qu’il faut avoir le courage d’affronter.

CETTE PHOTO DOIT CIRCULER….LES FRANÇAIS, ET LE MONDE, DOIVENT SAVOIR !

         Il paraît que Christiane TAUBIRA, Garde des Sots et Ministre de l’Injustice aurait fait savoir qu’elle n’appréciait pas que cette photo circule. Comme on la comprend : c’est le résultat catastrophique de sa politique pénale volontairement -et dangereusement- laxiste !

         Revoyons la responsabilité (indirecte certes mais réelle) de Christiane TAUBIRA dans le dossier Amedy COULIBALY :

-  la Loi TAUBIRA permet de libérer les délinquants condamnés à 5 ans de prison,

- Amedy COULIBALY est passé de la petite délinquance à la grande criminalité, puis au terrorisme islamiste,

- il fut est arrêté le 18 mai 2010 par les services anti-terroristes qui le soupçonnent d’avoir participé à la tentative d’évasion de Smaïn Aït Ali BELKACEM (co-auteur des attentats de 1995 en France),

- à son domicile on trouve 240 munitions 7,62 de Kalachnikov,

- pour ces faits il est condamné le 20 décembre 2013 à 5 ans de prison ferme,

- du fait de 4 ans de détention provisoire accomplie du 22 mai 201 au 4 mars 2014, et d’une remise de peine de un an (un grand merci au Juge des peines qui a pris cette décision !), il sort de prison le 4 mars 2014 avec un bracelet électronique (gadget humaniste) qu’il garde jusqu’au 15 mai 2014 (fin de sa peine),

- le 8 janvier 2015 il tue à la Kalachnikov et de plusieurs balles dans le dos une policière municipale à Montrouge, Clarissa JEAN-PHILIPPE,

- le 9 janvier il déclenche une prise d’otages à l’Hyper Casher de Vincennes, où il assassine 4 personnes de confession juive (3 clients et 1 employé), en se revendiquant de l’Etat Islamique (E.I. = Daech),

- il sera tué ce même jour à 17h12 grâce à un assaut donné par le RAID et la BRI (bravo Messieurs, respect) !

         C’est bel et bien la Loi TAUBIRA qui a sorti Amedy COULIBALY de prison alors qu’il était un multirécidiviste fiché dangereux !!!

         Je n’ai entendu aucun(e) responsable politique demander la démission de Christine TAUBIRA (front Herpès oblige ?).

         Après de tels constats il est inutile de se demander pourquoi le FN va gagner les prochaines élections régionales et la prochaine élection présidentielle : Marine Le PEN ne laissera jamais une Justice aussi laxiste perdurer !

         Et pour ceux qui n’auraient pas encore compris d’où vient l’attaque en règle de notre société française, abrutie par les théories politiques socialistes, devenues mondialistes et donc complices d’une immigration provoquée (remplacement de peuple en marche !) et non maîtrisée, voici les noms de quelques bons petits français, qui, par leurs actes racistes et criminels, ont endeuillé notre Nation en provoquant des attentats meurtriers au nom de l’Islam…MAIS PAS D’AMALGAME :

- 1995 - Khaled KELKAL

- 1995 - Boualem BENSAID

- 1995 - Karim BOUSSA

- 1995 - Abdelkader BOUHADJAR

- 1995 - Abdelkader MAMERI

- 1995 - Smaïn Aït Ali BELKACEM

- 1995 - Nasserdine SLIMANI

- 1995 - Rachid RAMDA

- 2012 - Mohamed MERAH

- 2013 - Abdelkarine DEKHAR

- 2014 - Mehdi NEMMOUCHE

- 2014 - Bilal NZOHABONAYO

- 2015 - Chérif KOUACHI

- 2015 - Amedy COULIBALY

- 2015 - Sid Ahmed GHLAM

- 2015 -Yassin SALHI

- 2015 -Ayoub EL-KHAZZANI

         Cette liste non exhaustive (du fait de l’enquête en cours suite aux attentats à Paris, le 13 novembre) devrait nous faire comprendre un fait simple et intolérable, et je défie quiconque de me prouver le contraire :

OUI…L’IMMIGRATION MAGHRÉBINE ENGENDRE LE TERRORISME ISLAMISTE EN FRANCE !

         Bravo à la Suisse qui ne craint pas de vouloir moins d’Europe, moins d’étrangers, moins de réfugiés et qui s’en donne les moyens politiques par des votations (référendums) qui donnent la parole au peuple : c’est ça un fonctionnement démocratique !

Merci de votre aimable considération. Bien cordialement.

Michel Salanon...de l'Hôtel Saint Maurice d'Aïn-el-Turck 

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5 octobre 2015

COMMUNIQUE EPHMGA

l’Espace Parisien Histoire Mémoire Guerre d’Algérie.

Document transmis par

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DELENCLOS Michel

Chers Ami  (e) s,

Je suis très heureux de vous faire partager une bonne nouvelle me concernant. Je viens d’apprendre que, dans le cadre du 2ème Forum sur la Guerre d’Algérie, mon ouvrage a été retenu :

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Préfacé par le général et historien : Maurice Faivre qui considère cet ouvrage comme «Une mine d’or pour les chercheurs».

(http://www.editions-harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&no=38761 )

Ce Forum, organisé par l’Espace Parisien Histoire Mémoire Guerre d’Algérie «EPHMGA», se tiendra à Paris dans le Vème arrondissement, les 12, 13 et 14 novembre 2015.

Le programme de ce Forum annonce déjà la présence de : Benjamin STORA (1), Gilbert MEYNIER (2), Guy PERVILLE (3), Alain RUSCIO (4), Tramor QUEMENEUR (5). Le samedi 14 novembre verra notamment l’ouverture des Espaces Dédicaces Librairie Expositions. Bien entendu, je vous tiendrai informés de la liste des nouveaux invités.

Ces historiens présenteront leur ouvrage : (1) «La guerre des mémoires : la France face à son passé colonial », Ed. de l’Aube, 05.04.2007. (2)  «L’Algérie révélée», Ed. Droz, 01.09.1981. (3)  «Oran 5 juillet 1962 : leçon d’histoire sur un massacre», Ed. Vendémiaire, 06.05.2014. (4) «Nostalgérie», Ed. La Découverte, 16.04.2015. (5) La guerre d’Algérie revisitée, nouvelles générations, nouveaux regards», Ed. Khartala, 27.01.2015 .

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J’ose vous rassurer, pensant que, la diversité et la qualité des chercheurs et des historiens combleront ce…vide…à Paris !

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Du 24 au 27.09.2015, se tenait à Béziers «Les chapiteaux du livre». B. Stora donnait, le 26.09.2015, une conférence autour de son ouvrage «Les clés retrouvées : une enfance juive à Constantine», publié aux Ed. Stock, le 18.03.2015.

A cette occasion, la journaliste, Marine Desseigne, interviewait l’historien B. Stora («La Marseillaise.fr»). B. Stora soulignait alors que: «la guerre se termine, on ne peut pas vivre sur le ressentiment. La réconciliation des mémoires, c’est ce que j’essaie de faire, en les restituant toutes.». M. Desseigne remarque alors que: «Cette question est d’autant prégnante à Béziers, où le maire Robert Ménard instrumentalise l’histoire de la guerre d’Algérie. Il vous a d’ailleurs pointé du doigt lorsqu’il a débaptisé la rue du 19 mars 1962 pour la renommer Hélie-Denoix de Saint-Marc…». Dans sa réponse, B. Stora remarque: «Il m’a cité sans lire mes travaux ! Il n’y a pas de censure de ma part. Il peut y avoir des désaccords, ce qui est mon cas en tant que citoyens, par exemple par rapport au putsch des généraux d’avril 1961 qui entendait renverser les autorités de la République. Mais, j’ai toujours essayé de restituer la pluralité des points de vue. Par exemple, en interviewant Hélie-Denoix de Saint-Marc pour mon documentaire «Les années algériennes (1991), ou Notre histoire. Si on sélectionne la mémoire, si on privilégie une mémoire par rapport aux autres, alors c’est l’affrontement perpétuel des mémoires. 60 ans après, le problème de la réconciliation entre, la France et l’Algérie, est toujours prégnant. Je n’ai pas envie de polémiquer avec Robert Ménard, ce n’est pas mon objectif. Les  discours et polémiques de rue ne m’intéressent pas dans mon travail d’historien.».

Dans l’attente de ce Forum à Paris, je vous propose un hors d’œuvre historique et quelques ouvrages et articles de l’auteur.

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Publié aux Ed. Esprit Livres (Amazon.fr) le 27.03.2003

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Publié aux Ed. G. de Bouillon (Amazon.fr), le 01.04.2008, préface de l’historien Maurice Faivre, postface de Thierry Rolando, président du Cercle national algérianiste.

- «19 mars 1962 ? Interrogeons l’Histoire » :

(http://www.gerard-brazon.com/article-19-mars-1962-interrogeons-l-histoire-par-michel-henri-delenclos-112169696.html )

- «Les Bobards de sang et de larmes » :

- (http://www.francepresseinfos.com/2013/03/les-bobards-de-sang-et-de-larmes-par.html )

- «Abandon du projet du Musée de l’histoire de la France en Algérie».

http://popodoran.canalblog.com/archives/2014/07/06/30205013.html

- «Pierre Daum» :

http://popodoran.canalblog.com/archives/2015/04/10/31871182.html

- «Morts pour la France : une femme déterminée».

http://www.alterinfo.net/Morts-pour-la-France-une-femme-determinee_a99095.html

Retour DELENCLOS Michel. Chercheur en histoire. Biographe.

26 octobre 2016

LIEUTENANT-COLONEL JEAN-BASTIEN THIRY NOVEMBRE 2016

 CEREMONIE DU 11 NOVEMBRE 2016 A BOURG LA REINE

Chers amis,
           Veuillez trouver ci-joint et ci-dessous l'invitation à la cérémonie du 11 novembre en souvenir de tous les morts pour l'Algérie Française.
            Merci de bien vouloir diffuser.
            Avec toute notre reconnaissance pour votre fidélité au souvenir de Jean Bastien-Thiry,
Hélène Bastien-Thiry

Depuis 1963, chaque année une prière spéciale est dite le 11 NOVEMBRE sur la tombe du Colonel Jean BASTIEN-THIRY, pour tous ceux qui sacrifièrent leur vie à la défense de l’Algérie française unis dans notre souvenir à ceux qui sont morts pour la patrie au cours des deux dernières guerres mondiales et des combats Outre-mer.

Vous êtes invités à cette cérémonie qui aura lieu le VENDREDI  11  NOVEMBRE 2016  à  15  heures, 

au cimetière de Bourg-la-Reine (92) (27 rue de la Bièvre) 

Cercle Jean BASTIEN-THIRY - B.P. 50070 - 78170 La Celle Saint Cloud

basthiry@aol.com

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InvitNov16verso

Télécharger l'invitation complète au format PDF 

Retour "C.N.R."

4 février 2014

LA DOUBLE NATIONALITE EN ALGERIE DE 2016

DE Gabriel Robin

2016 L’Algérie en guerre contre ses binationaux ?

Binationnaux

Si l’Algérie est dans leur cœur, ils doivent renoncer à la nationalité française.

           Dimanche, l’Algérie votera sa nouvelle Constitution. Dernière œuvre politique majeure du président Abdelaziz Bouteflika, la révision de la Constitution a été approuvée le 11 janvier dernier en Conseil des ministres. Si certaines mesures ont été saluées par l’opinion publique, comme la reconnaissance officielle de la langue amazighe, d’autres agacent quelques opposants. C’est le cas de l’article 51 qui restreint fortement les droits des binationaux.

            Les fonctions politiques seront désormais réservées aux seuls nationaux algériens qui ne possèdent pas une autre nationalité. Idem pour la plupart des hautes responsabilités de l’État (gouverneur de la banque centrale, directeur général de la sûreté nationale ou président de la Cour suprême). Par ailleurs, l’accès à la fonction de président de la République ne sera rendu possible qu’aux candidats strictement algériens capables de prouver dix ans de résidence en Algérie. Cet article 51 dérange.

           Chafia Mentalecheta, députée binationale franco-algérienne, a ainsi poussé un coup de gueule sur les réseaux sociaux : « Au nom de la communauté nationale établie à l’étranger, composée de millions de binationaux attachés à l’Algérie comme peu savent le faire, jaloux de leur algérianité comme peu peuvent le comprendre, liés à la nation algérienne par le sang et par l’Histoire, je refuse que l’Algérie se mette au diapason constitutionnel de la France en instituant une variante de la déchéance de la nationalité. » Les deux réformes n’ont strictement rien à voir mais qu’importe l’exactitude quand critiquer la France est un véritable sport national.

           Les protestations contre l’article 51 se multiplient dans les pays à forte diaspora algérienne. C’est évidemment en France que la réforme suscite les réactions les plus passionnées. Chafia Mentalecheta a même lancé une pétition expliquant l’amour qu’elle porte à sa nationalité d’origine. Dans un élan lyrique, la députée parle amoureusement des « bi, tri et quadri nationaux », à l’identique de Jack Lang sur Canal+ récemment.

           La bi nationalité ne devrait être qu’une exception. Il est difficile d’avoir deux patries comme il est difficile d’avoir deux mères. L’Algérie dénonce cette hypocrisie et appelle les Algériens possédant une autre nationalité à choisir. Si ces derniers veulent être des acteurs politiques dans leur pays d’origine, ils doivent faire un choix clair pour la nationalité algérienne et non pas simplement en profiter des avantages.

           Ahmed Ouyahia, directeur de cabinet de la présidence de la République, le dit clairement : « Ceux qui voudraient servir ou représenter l’Algérie à de très hauts niveaux de responsabilités ne doivent avoir de loyauté qu’envers elle et doivent être dégagés de tout lien avec une puissance étrangère. » Un discours de bon sens que je fais mien.

           Sous couvert d’anonymat, un ancien haut fonctionnaire déclarait : « Mes enfants, nés en Europe, qui sont rentrés avec moi, n’ont donc pas le droit de servir leur pays ? De quel droit ? » Ils en ont le droit mais ils doivent faire un choix. Les binationaux franco-algériens ont plus souvent des comportements de patriotes algériens lorsqu’ils vivent en France. Les événements de la dernière Coupe du monde de football en témoignent.

           Abdelaziz Bouteflika les enjoint désormais à traduire leurs déclarations en actes. Si l’Algérie est dans leur cœur, ils doivent renoncer à la nationalité française

 Gabriel Robin

Gabriel Robin

Retour "Paroles d'Algériens"  (Dernière phrase de l'article de Gabriel Robin)

 

3 novembre 2015

BUTS ET RAISON D'ÊTRE DU C.N.C

Document transmis par José Castano

But et raison d'être du CNC

Courriel : cerclenationalcombattants@orange.fr

Site : http://www.cncombattants.org/

IIe Congrès du Parti de la France Enghin-les-Bains, Roger holleindre le 9 février 2013

http://popodoran.canalblog.com/archives/2015/10/20/32807785.html

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Mémoires d’Empire

La  revue historique qui relate la grandeur passée de l’Empire Français

Courriel : amefinfo@orange.fr

Site : http://memoiresdempire.free.fr

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ADIMAD

L’association des anciens détenus et martyrs de l’Algérie française

Courriel : adimadsud@wanadoo.fr

Site : http://adimad.info

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Mes ouvrages, cliquez sur :-Ma Bibliographie – 

Ma biographie, cliquer sur :- Ma Biographie – 

Mon blog cliquer sur : - Mon blog – 

15 janvier 2016

COMMUNIQUE DE CNC 15/01/2016

Le Mardi 9 février, le Prix Renaissance 2016 sera attribué à Roger Holeindre, Président du Cercle National des Combattants :

http://www.cncombattants.org/ Courriel : cerclenationalcombattants@orange.fr

Holeindre Cercle Renaissance

Télécharger au format PDF le formulaire de réservation à retourner avant le 2 février 2016

En vous priant d’assister nombreux à cette remise de prix et au dîner de gala qui suivra et aussi : Paras, bérets bleus, verts et rouges, tous unis.

http://paras.forumsactifs.net/t15366-jose-castano-une-vie-au-service-de-la-france#129990

http://paras.forumsactifs.net/portal  Courriel : beajp08@sfr.fr


Magistrale conférence de Roger Holeindre à écouter religieusement… L’abbé Guy Pagès du diocèse de Paris présente Roger Holeindre lors de sa conférence au Cercle de l’aréopage…

Témoignage inédit sur la Résistance, l’Indochine et l’Algérie…

Agenda du CNC

LE PARJURE, LA TRAHISON ET LA HONTE par José Castano


Parti de la France

NOMINATIONS À LA DIRECTION DU PARTI DE LA FRANCE

Parti de la France2

Le bureau politique du Parti de la France réuni le samedi 9 janvier a procédé à l'élection d'une vice-présidente et d'un président d'honneur.

Martine Lehideux, conseillère régionale honoraire, ancienne député au Parlement européen et présidente du Cercle National des Femmes d'Europe a été élue vice-présidente du Parti de la France.

Roger Holeindre, ancien député, président du Cercle National des Combattants (CNC), journaliste et écrivain a été élu président d'honneur du Parti de la France.

Carl Lang et les membres du bureau politique sont heureux et fiers de pouvoir ainsi honorer ces deux personnalités de la droite nationale française qui ont consacré leur vie au combat national.  Ils pourront ainsi servir d'exemple et faire partager leur expérience politique et militaire aux jeunes adhérents du PdF et de la droite nationale.

Retour à tous les communiqués

11 janvier 2016

GABRIEL ANGLADE A REJOINT LES SIENS

Par Michel Delenclos

ANGLADE Gabriel dit "l'Argenté" né à Bab-el-Oued (Algérie française), décédé à Cagnes-sur-Mer  (23.12.1934-07.01.2016)  Le 18.01.2016, après l’office religieux et la crémation, il est inhumé au cimetière de la Buffe, à Cagnes-sur-Mer.

             -Membre de l'OAS-Alger, comme responsable du Delta 6. Pour lui: «Les Deltas n'étaient pas des tueurs, mais des citoyens ordinaires prêts à mourir pour une cause, le maintien de l'Algérie française.».

Le 12.12.1961, avec Joseph Rizza, il blesse André Goulay et Lucien Bitterlin –tous deux membres des «barbouzes»- à Alger.

Le 31.12.1961, il participe à l'attaque du PC des barbouzes, rue Faidherbe, avec Roger Degueldre, Joseph Rizza, Jean-Lou Blanchy et Marcel Ligier. Volontaire, sous les ordres de Louis Bertolini, pour aller libérer R. Degueldre à Paris. Avec Ligier, il participe au piégeage de la caisse d'imprimerie destinée au PC des barbouzes situé rue Favre à Alger ; attentat qui fera 19 morts le 29.01.1962 (selon l’écrivain Georges Fleury le 28.01.1962 avec Rizza, il truffe l'une d'elles de grenades et d'explosif...). Le 15.01.1998, il confirme à l’écrivain Vincent Guibert le piégeage par lui-même du matériel d'imprimerie destiné aux barbouzes. Le 15.03.1962, il fait partie des membres du commando qui tuent six fonctionnaires des «CSE» dont Max Marchand et Mouloud Feraoun. En mai 1962, il réoriente l'évasion de Roger Degueldre, et fait partie du commando de Blanchy, sous la responsabilité de Louis Bertolini, qui devait exécuter De Gaulle. Membre actif de l'ADEP

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1973 : de gauche à droite : Jo Rizza, Hilaire Géronimo, Pierre Démaret, Bachagha Saïd Boualem, Gaby Anglade.

A la suite du "casse du siècle" à Nice en 07/1976, effectué par Albert Spaggiari, soupçonné, Anglade est arrêté avec Joseph Rizza. Alain Krivine, dans son journal "Rouge" du 05.11.1976, intitulé "Delta Connection", pose quelques questions sur l’activité d’Anglade..

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1979 : à Nice. De gauche à droite : Antoine Padovani, G. Anglade, Clément Carrasco, X.

            En 1998, il est membre du comité directeur et vice-président de l'ADEP. (1). Le 15.05.1998 à Antibes, il s'entretient avec Vincent Guibert à propos des commandos Deltas. Adjoint au maire Louis Negre et chargé des Rapatriés de Cagnes-sur-Mer à partir de 2001. Participe au Rassemblement des Pieds-Noirs du 31.05.2002 à Cagnes. Le 29.04.2004, il est élu président national adjoint de l'ADEP dirigée par Athanase Georgopoulos. Le 24.04.2005 au Cannet, il est présent à l'AG de l'Adep. Le 20.05.2006, à Cagnes-sur-Mer, il organise les journées de rencontres des Français d'AFN, en présence de Christian Estrosi, des députés Jérôme Rivière et Monnet Luca, des conseillers généraux José Calza et Jean-Auguste Kart, du conseiller régional Jean-Claude Frappa, des curés Carruana et Scotto, de l'adjointe au maire de Nice, J. Chichmanian-Delpy, de Jacques Peyrat, de Fred Artz et du capitaine Pierre Montagnon qui donnera une conférence. Le 13.03.2008, il est le doyen et premier adjoint au maire «UMP» de Cagnes-sur-Mer, Louis Nègre.

            Dans «Le Point» n° 1888 du 20.11.2008, il témoigne: «En 1955, je fais mon service dans les commandos parachutistes quand, le 20 août, le «Fln» massacre les Européens de Philippeville. A la mine d'El-Halia, nous trouvons des femmes, des enfants tués dans des conditions épouvantables.»; il explique ensuite son engagement dans l'Oas: «Il n'était pas question de prendre le pouvoir, mais de garder notre place. Les «Opérations ponctuelles consistaient à abattre des gens qui avaient clairement pris position pour l'indépendance et, donc contre nous. Ils savaient ce qu'ils risquaient.»; puis il commente le combat contre les barbouzes: «35 kilos de plastic et trois grenades dont les goupilles étaient reliées à un fil....Quand les gardes mobiles, les «rouges», ont commencé à torturer certains des nôtres, l'affrontement est devenu impitoyable»; après l'arrestation de R. Degueldre, il va à Paris afin de monter une opération pour le libérer: «C'était impossible. Alors on a décidé d'assassiner De Gaulle, en le tirant au fusil à lunette depuis l'atelier d'un peintre russe qui se trouvait en face de l'Elysée. Mais nous avons été arrêtés. Cela dit, je ne vois pas ce qu'on nous reproche. Nous avions raison. De Gaulle aurait pu résoudre le problème de l'Algérie sans l'abandonner. Qu'on reconnaisse au moins qu'il a fait cette erreur-là.». Le 22.04.2009, à Aix-en-Provence, il est signataire de la «Charte nationale des Français d'Algérie et leurs amis», aux côtés de Etienne Muvien, M. Villard, Alain Algudo, Fred Artz, Pierre Descaves, Joseph Hattab Pacha, Jean-François Collin, Serge Jourdes, Anne Cazal, Pierre Barisain, Jean-Pierre Rondeau.

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Le 07.10.2010 : à «La Maison du Pied-Noir». Au centre, portant chemise rouge, G. Anglade. (Photo Nice-Matin).

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Le 12.04.2014 : à «La Maison du Pied-Noir» du Cannet. De gauche à droite : J-P. Guey, G. Anglade, Claude Simo, Athanase Georgopoulos, J-Y. Casalonga.

Le 22.06.2014, à La Colle-sur-Loup, dans les Alpes martimes, il organise une paëlla géante. Président de l’Association «La Maison des Pieds-Noirs et de ses amis».

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Le 04.06.2015: lors des obsèques de Michel Ximenes, G. Anglade est encadré par Alliot du «FN» et Michèle Soler du Cercle algérianiste de Nice.

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Le 03.10.2015 : lors de l’inauguration d’une nouvelle stèle au cimetière de la Buffe, à Cagnes-sur-Mer, G. Anglade prononce un discours

(1).«ADEP» : Association nationale des anciens Détenus et Exilés Politiques de l’Algérie française). Créée le 04.06.1969, elle a pour président, Paul Nocetti, président adjoint Joseph Rizza et secrétaire général, Athanase Georgopoulos. Ce dernier, dans une lettre adressée au président Jacques Chirac, réfute le qualificatif de «rapatriés», lui préférant celui de «Déplacés» ou de «Français réfugiés d’Algérie»

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L’auteur de ce parcours, Delenclos Michel, est  ici, le 13.11.2015, invité du 2ème Forum des écrivains de l’EPHMGA, à Paris Vème, le nid de la «FNACA».  Là, c’est la séquence dédicace. La veille le 12 novembre, en présence de 37 personnes, l’auteur a particulièrement dérangé l’ambiance consensuelle. A mes questions relatives au fait que l’on ne cessait de parler ou d’écrire de «France coloniale», de commémorations du 17 octobre 1961, des massacres du 8 mai 1945, etc, du «viol des femmes algériennes par l’armée française», du «napalm», etc, la réaction épidermique de l’historien Benjamin Stora, a été immédiate : «J’avais mal compris…». J’en dirai davantage ultérieurement.

DELENCLOS Michel : auteur de «19 mars 1962 ? Waterloo !», Ed. L’Harmattan. Prix d’histoire. Référencé à l’Académie des Sciences d’Outre-mer.  Chercheur en histoire. Biographie.

Bibliographie :

- De P. Chairoff "B...comme Barbouzes", Ed. A. Moreau, 1975.

- Rémi Kauffer "Oas", Ed. Fayard, 1986.

- Duranton-Crabol "Le temps de l'Oas", Ed. Complexe, 15.01.1999.

- Jean Monneret "La phase finale de la guerre d'Algérie", Ed. L'Harmattan, 10.11.2000, réédité le 06.01.2010.

- Vincent Guibert "Les commandos Delta", Ed. Curutchet, 10.11.2000.

- Georges Fleury «Histoire secrète de l’Oas", Ed. Grasset, 19.10.2002.

- Vincent Quivy "Les soldats perdus", Ed. Seuil, 15.04.2003.

- Olivier Dard "Au coeur de l'Oas", Ed. Perrin, 03.10.2005.

28 octobre 2014

JEANNE D'ARC

Retour sur le parcours hors du commun de cette statue emblématique du centre-ville de Caen.

JA2 paya

photo "JF PAYA CAEN"

            Dorée, fière sur son cheval, l’étendard à la main, et surélevée sur son piédestal de granit, la statue de Jeanne d’Arc domine la place de la Résistance à Caen. Comme si cela avait toujours était le cas. Pourtant, un jour de mai 1931, elle illuminait déjà et pour la première fois une autre place, bien loin de Caen.

            Fondue par Joseph Ebstein, elle fut l’un des points d’orgue des commémorations du centenaire de l’occupation française en Algérie. Elle se figea alors sur le parvis de la cathédrale d’Oran. Elle eut même le privilège d’inspirer Albert Camus. Dans La Peste, le Prix Nobel de littérature 1957 écrit ainsi : “Rambert se rendit sous le porche de la cathédrale, cinq minutes avant huit heures. Le soleil, derrière les maisons de l’Est, réchauffait seulement le casque de la Jeanne d’Arc entièrement dorée qui garnit la place.”

            L’expérience algérienne de la statut s’arrêta en même temps que la présence française. Pendant l’exode, elle fut rapatriée dans l’Hexagone avant d’être offerte par l’Etat à la Ville de Caen. Le 10 mai 1964, le maire Jean-Marie Louvel l’inaugurait sur la place de la Résistance. Quatre ans plus tard, l’épée originale fut volée. Celle qui la remplaça le fut à nouveau en 2001.

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5 novembre 2015

VERITAS - COMMUNIQUE DE PRESSE - RUE DU 5 JUILLET 1962 A BEAUCAIRE

Attention, dernière minute. Pour ceux, nombreux, qui avaient prévu de se déplacer.
En raison de l'arrêté préfectoral n° 30-2015-11-25-002 la cérémonie de Beaucaire visant à débaptiser la rue du 19 mars 1962 pour la renommer rue du 5 juillet 1962, en mémoire du massacre d'Oran, est reportée.
Un arrêté visant à interdire les manifestations sur la voie publique dans le département du Gard... justement du samedi 28 novembre à 0h00 jusqu'au lundi 30 novembre 24h00.
Ca sent le bon prétexte............................

Annonce du Maire......fort intéressante par certains côtés.

- le nom de la rue sera bien changé à la date prévue et que si la procession de Santa-Cruz est annulée, la Messe et le repas sont maintenus.

BEAUCAIRES LE 28-11-2015

Le 28-11-2015 sans cérémonie, la plaque est en place .

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            Le Comité VERITAS est heureux d’inviter tous ses adhérents, amis et soutiens qui pourrons s’y rendre à assister, le 29 novembre prochain, à Beaucaire, au retrait de la plaque infamante « rue du 19 mars 1962 ».

            La petite rue pavillonnaire proche du collège Elsa-Triolet sera désormais dénommée  « rue du 5 juillet 1962 », en mémoire des milliers de victimes européennes et musulmanes des massacres perpétrés à Oran et dans toute l’Oranie le 5 juillet 1962, alors que les troupes françaises étaient cantonnées dans leurs casernes avec interdiction d’intervenir selon l’ordre criminel donné par le Président de la République Française et exécuté par le Général Katz.

            En juin 2015, avant cette date fatidique du 5 juillet, le Comité VERITAS a adressé à tous les gouvernants et responsables politiques de notre pays une lettre demandant la reconnaissance de ces massacres. Nous n’avons reçu qu’une seule réponse émanant de Monsieur Claude Bartolone, Président de l’Assemblée Nationale.

            Et cette réponse contenait une vérité de taille,une vérité enfin reconnue par le quatrième personnage de la Nation qui nous a écrit :

« Les nombreux témoignages, leur nature, et le récit du Commandant Khélif, donnent UNE IDEE PRECISE DE LA TERRIBLE REALITE DE CES JOURNEES TRAGIQUES. »

Le quatrième personnage de l’Etat Français ayant ainsi reconnu la terrible réalité du massacre de tant de Français, nous pensons qu’il ne pourra qu’approuver la décision du Maire de Beaucaire, Monsieur Julien Sanchez, en faveur de la vérité historique.

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Avec toute notre gratitude, bravo Monsieur le Maire !

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Julien SANCHEZ

Courriel Mairie de Beaucaire : webmestre@beaucaire.fr

            Le Cercle algérianiste appelle à une mobilisation forte pour soutenir cette initiative de la mairie, doublement symbolique, puisqu’elle marque le refus d’une date de négation des drames des Pieds-Noirs et des Harkis, et commémore le souvenir du drame effroyable du 5 juillet 1962 à Oran, jeté volontairement dans l’oubli par les adeptes de la repentance.

            Ce sera également l’occasion, pour tous ceux qui sont épris de liberté, et qui rejettent le dogmatisme et le sectarisme, de rappeler que la guerre d’Algérie ne s’inscrit pas en noir et blanc, qu’il ne saurait y avoir de pensée unique, et que les dizaines de milliers de victimes du FLN, doivent aussi avoir droit de cité.

Rendez-vous : Dimanche 29 novembre 2015 à 9h30 – BEAUCAIRE (Gard) Croisement de l’actuelle rue du « 19 mars 1962 » et de l’avenue du « Maréchal Juin ».

Le bapteme RUE DU 5 JUILLET 1962 sera suivi d'un pelerinage à"NOTRE DAME DE SANTA CRUZ de Beaucaire
- Depart 10h devant le cimetiere (route de Bellegarde) vers NOTRE DAME DES POMMIERS et à 13h repas (20€) à la chapelle Saint JOSEPH à garrigues plane de Beaucaire.

CONTACT Sanchez Jean-Claude 06 67 62 66 63 / 04 66 59 52 50.

RAPPEL - ORAN LE 5 JUILLET 1962 - LE GENOCIDE

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2 février 2016

L'ALGERIE ET LA DOUBLE NATIONALITE

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En marge du débat sur l'éventuelle déchéance de la Nationalité pour les binationaux qui provoqueraient certains remous dans la classe politique en France, nous avions soulevé de longue date un problème sur l'acquisition de cette bi nationalité parfois à leur insu pour les descendants d'Algériens nés en France en relation avec l'histoire des "accords d'Evian", le service National et les accords de réciprocité qui en était issus.

Pour essayer de comprendre les avantages où inconvénients éventuels réciproques obtenus en faisant remarquer que si "le droit du sol" existe pour les uns il n'existe pas pour les autres qui doivent toujours demander un visas si l'envie leur prends de se rendre dans leur pays natal !

En soulignant aussi que la Constitution Algérienne à notre connaissance interdit à un "non exclusivement national " d'occuper une haute fonction Politique comme ministre par exemple avec débat actuel en Algérie.

Tout ceci sans jugement de valeur mais simplement à titre d'information.

ARTICLE PARU DANS LA REVUE PIEDS-NOIRS HA en Avril 2000

 

L'Algérie et la double nationalité


LA DOUBLE NATIONALITE EN ALGERIE DE 2016


Nationalité française et indépendance de l'Algérie

Qui a conservé la nationalité française à l'indépendance de l'Algérie ?

Jusqu'à la date de l'indépendance (5 juillet 1962), les Algériens disposaient tous de la nationalité française à la suite de la loi du 7 mai 1946.
Cependant si les Algériens étaient tous de nationalité française, leur statut juridique était différent. La presque totalité de la population gardait un statut personnel de droit local (loi musulmane) ; seule une minorité bénéficiait du statut civil de droit commun (code civil). Il s’agissait des personnes suivantes :
- les personnes d’ascendance métropolitaine,
- les personnes d’origine européenne ayant acquis la nationalité française en Algérie,
- les personnes de religion juive originaires d’Algérie,
- les personnes nées de parents dont l’un relevait du statut civil de droit commun,
- les personnes originaires d’Algérie de statut musulman ayant accédé au statut de droit commun par décret ou par jugement avant l’indépendance.

A la date de l'indépendance, seuls ces Français de statut civil de droit commun domiciliés en Algérie ont conservé la nationalité française.
Les Algériens de statut civil de droit local, qui avaient donc conservé leur statut personnel musulman, ont perdu la nationalité française, sauf s'ils ont souscrit une déclaration récognitive de nationalité française avant le 22 mars 1967.

Source : Archives nationales et ordonnance n°62-825 du 21 juillet 1962.


Aujourd'hui, pour qu'un Algérien se voie reconnaître la nationalité française par filiation, il faut donc qu'il prouve que son ascendant
• avait le statut civil de droit commun à la date de l'indépendance 
ou 
• qu'il a souscrit une déclaration récognitive dans les années qui ont suivi.

1er cas : comment prouver que son ascendant avait le statut civil de droit commun à l’indépendance ?
En retrouvant le décret ou le jugement de naturalisation.

Pour le décret de naturalisation, si vous en connaissez le numéro, vous pouvez l’envoyer par mail sur le site du Journal officiel. 

Si non, vous pouvez accéder à ce décret de naturalisation en effectuant une recherche par nom, en consultant les documents suivants :
- la Liste alphabétique des personnes ayant acquis ou perdu la nationalité française par décret, pour la période 1900-1979 (publication en plusieurs tranches chronologiques). Elle est disponible à la Bibliothèque nationale de France et aux Archives Nationales (salle des microfilms du site de Pierrefitte-sur-Seine).

Autre possibilité : la recherche par date de décret dans les documents suivants :
- les tables décennales de la partie supplémentaire du Bulletin des lois, pour la période 1865-1931, consultables sur Gallica
- le Journal officiel, à partir de 1924, également consultable sur Gallica
- le Bulletin officiel du Gouvernement général de l'Algérie (devenu Journal officiel de l'Algérie en 1927) ; cette publication est consultable en Algérie.

Vous pouvez aussi vous adresser au :
Ministère des affaires sociales, du travail et de la solidarité
Direction de la population et des migrations
Sous Direction des naturalisations
93 bis, rue de la Commune
44404 Rézé Cedex

Si la naturalisation s’est faite par mariage, il vous faut vous adresser à la mairie où a eu lieu la cérémonie.

Une autre solution pour connaître le numéro du décret de naturalisation c'est d'effectuer une demande de copie d’acte de naissance sur le site de France diplomatie (pour les personnes nées à l’étranger). Cette demande permet de recevoir par voie postale la copie d’acte de naissance qui mentionne le n° de décret.
En application de l’article 28 du code civil, seuls les actes de naissance du service central d'état civil portant mention ou indication d’une acquisition, d’une réintégration, d’une délivrance de certificat de nationalité française ou d’un jugement de nationalité française, prouvent la nationalité française de leur titulaire.
Si la réponse est négative, cela signifie soit que la naturalisation est encore en cours (et n’a pas été publiée) soit qu’elle a été refusée. La réponse arrive dans un délai minimum de 2 semaines.

Une dernière option consiste à accéder aux registres d’état civil en ligne.


Si la nationalité n’a pas été accordée par décret mais par jugement, il faut faire les recherches en Algérie. Les dossiers sont en effet conservés dans les tribunaux algériens de première instance.
Il convient alors de s'adresser, selon les cas, aux services suivants :
- au greffe de la juridiction concernée en Algérie
- aux Archives nationales de la république algérienne, démocratique et populaire 
- aux Archives régionales à Alger (3, rue Djilali Benamara, Alger),
- aux Archives régionales à Constantine (1, rue du docteur Moussa, Constantine),
- aux Archives régionales à Oran (3, Bd du Colonel Abderrazak, Oran),
- au service des archives de la Wilaya de Batna (05000 Batna),
- au service des archives de la Wilaya de Sidi-Bel-Abbès (22000 Sidi-Bel-Abbes).


2è cas : comment prouver qu’un ascendant qui relevait du "statut civil de droit local" au moment de l’indépendance de l’Algérie (3 juillet 1962) a souscrit auprès des autorités françaises, avant le 22 mars 1967, la déclaration récognitive ?
Il convient de s'adresser à la Sous-direction de l'accès à la nationalité française (12 rue Francis Le Carval, 44404 Rezé cedex) qui conserve l'ensemble des dossiers finalisés.
Ces déclarations de nationalité, effectuées devant les tribunaux d'instance français, peuvent quelquefois être trouvées dans certains services d'archives départementales (Bouches-du-Rhône, Paris etc.).
La déclaration récognitive peut aussi avoir été souscrite par le père ou à défaut par la mère.

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24 décembre 2015

PHILIPPE CASTILLE

Par Michel DELENCLOS chercheur en histoire – Biographe

«Nous voulions simplement que l’Algérie reste française…Je ne suis pas passéiste »

CASTILLE Philippe né à Mailly-Champagne (Marne), décédé à Perpignan  (23.03.1926-15.12.2015)    Une bénédiction religieuse est célébrée le 18.12.2015 en l’église Saint-Jacques, à Canet-en-Roussillon village suivie de l’inhumation, au cimetière de Formiguères 

            Fils d’Amédée Henri et d’Henriette, Alexandrine, Zélia Hemy. Mari de Raymonde Doumergue d’origine Pied-Noire : décédée en 2006. Résistant. Parachutiste au 11è Choc détaché auprès du «SDECE». (1) Capitaine de réserve. Membre de l'Organisation de résistance de l’Algérie française «ORAF» (2) dont il est le cofondateur avec René Knecht.

            Il arrive de métropole en mars 1950 et s'installe à Aïn-Taya (Algérie française). Inspecteur commercial à la Sté. Algérienne Renault à Alger, grâce au cousin de René Knecht, Paul Virvaire, qui en est le concessionnaire. Père d’Olivier, Isabelle, Guillaume, Xavier et Aude. Le 10.08.1956,  Michel Fechoz, représentant chez Renault, dépose une charge de plastic rue de Thèbes au nom du "Comité des 40" dirigé par André Achiary.

            En décembre 1956, Castille participe à une réunion préparatoire à l'attentat au bazooka contre le général Raoul Salan, avec notamment le médecin René Kovac. Puis le 16.12.1956, il rencontre avec Kovacs, le général René Cogny avec Pascal Arrighi, Alain Griotteray. Castille participe à l'attentat à la roquette contre Raoul Salan, le 16.01.1957. Lors de cet attentat, le commandant Rodier qui se trouvait à la place de R. Salan, est tué. Salan se trouvait alors au Gouvernement général d’Alger, avec le ministre résidant, Robert Lacoste.

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Le lance-roquette, tel que les enquêteurs l’ont trouvé.

            Est arrêté le 26.01.1957. Puis, il est  transféré et incarcéré à la prison de Fresnes le 01.04.1958, avec Michel Fechoz, Christian Tronchi, horloger, Gabriel Della Monica, sapeur-pompier,  et Ange Gaffory, ajusteur mécanicien. En vertu de l'ordre d'informer no 285 du 18.02.1957, Castille est inculpé d'association de malfaiteurs, homicide volontaire, tentative d'homicide, destruction d'immeuble par engin explosif. Le 06.12.1957, dans «L’Écho d’Alger» dont le directeur est Alain de Sérigny, on relève un article intitulé «Alerte aux Algériens ou le chemin de la trahison» : «Tant que l’Algérie est terre française, tant que la loi en Algérie est la loi française, le combat pour l’Algérie française est le combat légal, l’insurrection pour l’Algérie française est l’insurrection légitime. Si l’on pouvait réussir par quelque procédé à retourner l’égalité, à renverser la légitimité, les ennemis de la France, les traîtres à la France auraient partie gagnée.». Ce coup de semonce est signé du sénateur de l’Indre-et-Loire, Michel Debré, qui avait insisté pour que ce message soit diffusé dans «L’Écho d’Alger» comme l’a prouvé A. de Sérigny, qui avait conservé l’original de la lettre de M. Debré, dans «Le Monde» du 17.09.1980.

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Le 18.08.1958 : lors du procès du Bazooka contre le général Raoul Salan. De gauche à droite : Michel Fechoz, Gabriel Dellamonica, Christian Tronchi, Ange Gaffory, P. Castille.

            Lors du procès, P. Castille déclare notamment : «…Je ne savais pas qu’un commandant avait été tué. Je n’ai aucune autre déclaration à faire sinon de vous préciser que notre but n’était pas de tuer, mais de provoquer une explosion spectaculaire au sein même du haut commandement dans l’espoir de voir réagir et l’opinion publique et les éléments sains de l’armée.». Philippe Castille est alors condamné le 15.10.1958 par le Tribunal permanent des forces armées «TPFA» à 10 ans de travaux forcés lors du procès à huis clos. Est libéré de l'hôpital Mustapha où il est soigné le 26.01.1960 par un groupe du «FNF» dirigé par Jo Rizza sur ordre de Pierre Lagaillarde, puis, il choisit la clandestinité. Il est alors hébergé par Claude Piegts sous le pseudo de Jacques Berthier.

            Quitte l'Algérie en avril 1960 à bord d'un cargo et regagne Madrid où il démarche pour le compte d'un institut de commerce. Il y retrouve, accompagné de M.  Fechoz, le général R. Salan le 14.02.1961 à Madrid. Lors de la révolte militaire, avec M. Fechoz, il quitte l'Espagne pour rallier l'Algérie à bord d'un bateau, mais, pris dans une tempête, ils rebroussent chemin. Castille transmet une lettre datée du 13.07.1961 rédigée par Pierre Lagaillarde et destinée à Jean-Jacques Susini. Incorporé au sein de l'OAS-Métro, il entre en France, venant de Madrid, le 16.12.1961 et s'intègre dans cette nouvelle structure clandestine, au sein du réseau "Mission III" du "Monocle", alias André Canal. Organisateur, avec Jean-Marie Vincent, de commandos de plastiqueurs dans Paris. Est arrêté le 30.01.1962, au bar le "Pam- Pam" à Paris, avec R. Barbera-Vilar, grâce à l'indicateur Raymond Monnier, par les hommes du commissaire Honoré Gevaudan. Lors de son arrestation, il est détenteur de deux fausses identités: Jacques de Kermadec et Jacques Berthier.

            Ce 30.01.1962, J-M. Vincent, qui était entré dans le bar pour l'informer de la présence de policiers, échappe à l'arrestation. Les policiers découvrent qu'il projetait un attentat contre le colonel de gendarmerie Georges Debrosse et s'apprêtait à plastiquer des permanences du «PCF». Est condamné le 05.09.1962 à 20 ans de réclusion criminelle.

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André Canal dit «Le Monocle» (arrêté à Paris le 04.05.1962) et P. Castille au pénitencier de l’Ile-de-Ré.

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Philippe Castille et Michel Conord

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P. Castille, au dernier rang au centre, une pipe à la main droite.

            P. Castille effectuera une tentative d'évasion du pénitencier de l’Ile de Ré, le 07.07.1963, avec une fausse mitraillette en bois, en compagnie d’Arnault Iannarelli, Jean-Marie Vincent, Angel Joachim Torregrossa, Jean-Claude Le Gal et Enea Cella. A la suite de cette tentative, et, considéré comme le promoteur, Castille purgera une peine d'isolement de 18 mois à la prison de Caen. Libéré le 22.03.1968 de St. Martin-de-Ré, en même temps que A. Canal et le lieutenant Daniel Godot. Directeur commercial d'une entreprise de meubles. Artisan peintre sur verre.

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Le 01.01.1988 : publication de «Bazooka. La confession de Philippe Castille», par Bob Maloubier, préfacé par Jean Lartéguy, Ed. Filipacchi.

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Mme. Argoud, le colonel Antoine Argoud, P. Castille à Darney.

            Membre actif de l'ADIMAD-Sud. Membre du Comité pour la réalisation de la stèle à la "Mémoire des 4 fusillés pour l'Algérie française", officialisée le 26.12.2001 par le maire de Perpignan Jean-Paul Alduy. Le 05.07.2003, au cimetière de Perpignan, Castille est présent à l'inauguration de la stèle aux «Martyrs tombés pour l'Algérie française», aux côtés de Jean-François Collin, Pierre Sidos, Jacques Zajec, etc. Le 24.10.2004, il est présent au colloque de Perpignan qui a pour thème "Les disparus en Algérie" et au cours duquel il tient un stand proposant ses vitraux qu’il réalise lui-même.

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Philippe Castille

            Le 20.11.2008, dans «Le Point» n° 1888, il témoigne: "Nous voulions simplement que l'Algérie française reste française". Nous avons échoué. Mais je ne suis pas passéiste. Je ne vis pas le cou tordu en arrière...On ne sort pas du 11è Choc (service d'action du «SDECE»). En Algérie, en 1956, la police nous donnait des informations sur les réunions du «FLN» qu'il fallait plastiquer. C'est comme ça que j'ai fait sauter l'imprimerie de F. Abbas.»; niant avoir participé à l'attentat du bain maure de la rue de Thèbes, il précise: «J'ai bien préparé la charge, mais je ne l'ai pas posée.»; à propos de l'attentat au bazooka contre le général Salan, il déclare: «Salan, on n'était vraiment pas chauds. Mais nos chefs pensaient qu'il serait le fossoyeur de l'Algérie et qu'il fallait l'éliminer. J'ai été arrêté et j'ai fait 15 mois de prison.».

(1)  «SDECE» : Service de documentation extérieure et de contre-espionnage. Créé par décret du   04.01.1946

(2) «ORAF» : Organisation de résistance de l’Algérie française. Dès le 16.11.1956, des actions contre-terroristes, avec l’appui du «SDECE» et la bienveillance de l’armée sont menées. Dissoute le 17.12.1956. Les membres poursuivront, malgré tout, leurs activités.

DELENCLOS Michel   Chercheur en histoire Biographe. Prix d’Histoire « 19 mars 1962 ? Waterloo »

Bibliographie :

- De F. Laroche "Le courage est leur patrie", Ed. St. Just, 1965.

- De P. Vidal-Naquet "La torture dans la république", Ed. Minuit, 1972.

- De J. Delarue "L'Oas contre De Gaulle", Ed. Fayard, 1981 et 1994.

- De P. Gauchon et P. Buisson "Oas", Ed. Jpn, 1984.

- De R. Kauffer "Oas", Ed. Fayard, 1986.

- De Bob Maloubier "L'Affaire du Bazooka, la confession de P. Castille", Ed. Filipachi, 1988, préfacé par Jean Larteguy.

- De Duranton-Crabol "Le temps de l'Oas", Ed. Complexe, 1995.

- De A. Deroulede "Oas", Ed. Curutchet, 1997.

- De C. Nick "Résurrection", Ed. Fayard, 1998.

- De A. Figueras "L'Affaire du bazooka", Ed. Deterna, 1999. De G. Fleury "Oas", Ed. Grasset, 2002.

- De O. Dard "Au cœur de l'Oas", Ed. Perrin, 2005.

DELENCLOS Michel : chercheur en histoire – Biographe.

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6 octobre 2014

COLLOQUE 2014 DU CERCLE ALGERIANISTE DU GERS

Du 27 et 28 Novembre 2014

 

Quand les « antifascistes » vilipendent l’œuvre de mémoire…

Réponse de Thierry Rolando du 1 décembre 2014 aux trotskiste de Condom

Ces rencontres outre le fait d’avoir le plaisir d’échanger avec des compatriotes que l’histoire, la culture et les sensibilités rapprochent, permettent de chercher à mieux comprendre le passé pour mieux envisager l’avenir. L’Avenir a un long Passé.

En 2014, nous nous intéresserons à « ceux qui ont mis leur vie au bout de leurs idées ».

Vous trouverez ci-joint notre invitation pour notre prochain colloque « Mettre sa vie au bout de ses idées ».

Après le colloque de 2012 sur les violences politiques et en particulier le terrorisme en Algérie dans les années 50-60, après le colloque de 2013 sur les intellectuels face aux violences politiques au travers de la figure d’Albert Camus, nous vous proposons notre troisième colloque où nous mettrons à l’honneur tous ses hommes qui ont mis leur vie dans leur engagement. Tous ne l’ont pas fait de la même manière.

Nous considérons qu’il y a une vraie continuité entre le combat contre la barbarie nazie avec l’armée d’Afrique volontairement oubliée, la révolte des officiers, l’engagement dans l’OAS et les combats parlementaires contre la tyrannie Gaullienne et le terrorisme FLN. L’histoire de ces hommes est aujourd’hui déformée voire oubliée. Leurs actions sont décontextualisées et le sens de leur combat volontairement diabolisé.

Comme à notre habitude nous nous appuierons sur les travaux de plusieurs chercheurs :

  • Certains dont Jean Claude Pérez, Robert Davezac, et Gérard Rosenweig témoigneront de leur engagement,
  • Manuel Gomez évoquera la figure de Georges Bidault qui remplaça Jean Moulin au CNR et dont on tend aujourd’hui à effacer jusqu’à sa présence au côté de De Gaulle lors de la libération
  •  Henri Christian Giraud nous parlera des relations troubles entre De Gaulle et les communistes,
  •  José Castano évoquera l’histoire de ses hommes du 1er REP
  • Frédéric Harymbat nous présentera son remarquable travail sur les Européens dans l’Armée d’Afrique
  • Enfin, nous reviendrons avec Michel Delenclos sur ces funestes commémorations du 19 mars qui nous révoltent tant. Michel Delenclos nous fera partager ses nuits d’analyses méthodiques de leur montage juridique

Nous serons très attentifs à leurs exposés et nous engagerons des débats riches en témoignages avec la salle et en échanges à la tribune.

Nous vous attendons comme d’habitude nombreux avec encore l’immense plaisir de nous retrouver.

Rendez-vous le 27 Novembre 2014 à 9 heures à Condom, un accueil sera prévu dès le 26 au soir.

Cordialement,

Georges BELMONTE - 06 84 51 39 42

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